« Quel beau cul ! » s’exclama à haute voix DSK devant le personnel
navigant de l’aéroport Kennedy en s’adressant à une hôtesse. C’étaient
ses derniers mots d’homme libre. Dans les minutes qui suivirent, il se
faisait cueillir par la police de New York.
« Quel beau cul ! »Le french lover dans toute sa splendeur, son élégance, son style raffiné. Un poète en somme. (source : Le Point)