Merci à tous pour vos
commentaires.
Le problème n’est pas de savoir
s’il est innocent ou coupable, s’il est innocent, il doit être libéré, et s’il
est coupable, il doit être condamné.
Le problème est que la « Justice »
en France est instrumentalisée par les pouvoirs en place :
Le pouvoir politique, le pouvoir exécutif et le pouvoir judiciaire.
Les uns étant complices des
autres, et tous les trois s’appropriant la vérité afin de manipuler la décision
rendue, ainsi que l’opinion publique, désignant l’accusé comme le seul menteur
de l’histoire.
Dans mon cas, voici succinctement
comment cela s’est passé :
Le maire UMP de ma commune (pouvoir politique) a déposé une plainte infondée
(dixit le non-lieu) pour « menaces
et actes d’intimidations ».
Le préfet (pouvoir exécutif) m’a
déclaré malade mental à tort (dixit
l’arrêt de la Cour
administrative d’appel) pour me faire enfermer dans un hôpital
psychiatrique, avec usage de la force publique (pouvoir médical et policier)
faux et usage de faux, etc.
Et le juge d’instruction (pouvoir
judiciaire) m’a renvoyé devant un Tribunal correctionnel sur un décret-loi ABROGÉ et donc CADUC, sans crime ni délit commis par moi.
Ensuite, ce sont des centaines de magistrats qui ont pris fait et cause pour
les décisions absurdes et totalement illégales prises en amont, le tout bâti que sur la dénonciation
calomnieuse du Maire UMP (pouvoir
politique) de ma commune.
Chacun y a mis sa pierre pour que
LA FRAUDE
À LA JUSTICE
prenne corps.
Aujourd’hui encore, 4 ans et demi plus tard, j’en suis
réduit à faire des dizaines de procédures pour retrouver mon intégrité mentale
et civile, au frais du contribuable.
Et si j’avais été accusé de
meurtre, je serais encore sous les verrous, clamant mon innocence comme
Monsieur Yvan Colonna, parce que le droit n’est pas respecté en France.
Ce que j’ai vécu est l’arbitraire
le plus ignoble, qui n’a commencé
uniquement que par une affirmation infondée d’un élu UMP (pouvoir
politique).
Or si cela a pu se produire une
fois, cela peut être plus général que l’on ne le pense.
Considérant l’absence formelle de
preuves incriminant Monsieur Yvan Colonna, on est en droit de se demander « À
qui profite le crime. »
Est-ce qu’il a profité à Yvan
Colonna ?
Ou à celui qui a instrumentalisé
ce fait divers ?
À chacun de trouver sa réponse.