J’aimerai que quelqu’un m’explique comment le bureau du Procureur arrive à tenir un raisonnement aussi étonnant dans sa conclusion : (je cite la traduction de Rue89)
L’ADN de l’accusé, provenant de tissus cellulaires, a été trouvé sur
la bande élastique des deux collants et sur celui de la culotte.
L’ADN de l’accusé, également provenant de tissus cellulaires, a aussi
été trouvé sur l’entrejambe des collants clairs, mais pas sur celui des
collants sombres ou de la culotte.
Parce qu’un individu peut toucher des textiles sans obligatoirement y
déposer de l’ADN, ces résultats suggèrent que l’accusé à touché les
sous-vêtements de la plaignante mais ils ne contredisent ni ne
confirment les déclarations de la plaignante, qui affirment que l’accusé
a placé sa main à l’intérieur de ses sous-vêtements et touché
directement son sexe.