Vous annoncez un flou artistique qui titille les neurones, mais en définitive votre message me semble très net : conservateur = pas bien.
Pour ma part voilà ce qui me titille :
Quid du conservateur cherchant à empêcher une évolution négative ? Quid du réactionnaire rejetant les bêtises d’un progrès frelaté ?
Et si l’on parle de protection de l’environnement par ex., peut-on décemment le faire tout en niant l’aspect proprement conservateur de la démarche ?
« Je suis anarchiste et conservateur, dans des proportions qui restent à déterminer »
J Gabin dans « Le président », H. Verneuil