Cette air séraphique, cette chevelure
coruscante, cette peau immarcescible, cette voix melliflue (j’écoute
les chroniques d’Ariane en MP3), ces régulières chroniques
dévoilant les profondeurs de son âme soumise aux rites
propitiatoires et aux incantations obscures, c’est notre Walter du
Samedi matin.
Sur le fond, rien de bien folichon aujourd’hui,
Ariane tient à nous faire savoir qu’elle regarde la télévision et
plus particulièrement les émissions en clair d’une télévision à
péage dont je tairai le nom.
et que, parfois, ce qu’elle y
voit, n’est pas conforme à sa vision des choses. Quelle belle
manifestation de sa généreuse longanimité !!