Ces homosexuels : Des citoyens à part ?
Il y a quelques jours les médias annonçaient fièrement qu’Obama allait mettre fin à une loi discriminatoire envers les homosexuels des Etats-Unis.
Le président des Etats-Unis a en effet promis d’abroger la loi de 1993 qui interdit aux homosexuels de révéler leurs préférences sexuelles au sein de l’armée. Ce que l’on oubliait de préciser, c’est que Barack Obama n’a donné aucun délai pour l’abrogation de cette loi qui a déjà renvoyé 12 000 militaires de l’armée américaine.
Cette discrimination n’est hélas pas réservée à l’Amérique. Cela l’est d’autant moins qu’un récent rapport fait état d’une discrimination latente envers les homosexuels que ce soit par des lois, par des chiffres de discrimination ou de violence sans cesse sous-estimés en Europe…
En France, le sang n’est pas le même pour tous !
Il est surprenant de constater que Roselyne Bachelot a récemment décidé de faire perdurer la discrimination dont sont victimes les homosexuels concernant le don du sang.
L’homosexualité est toujours une contre-indication au don du sang au même titre que les récentes extractions dentaires, les changements récents de partenaires, le multipartenariat, l’usage de drogue par voie intraveineuse…
Aimer quelqu’un du même sexe rendrait le sang impur.
L’argument médical et gouvernemental est de dire que les personnes homosexuelles représentent un risque plus important concernant la transmission du SIDA.
Outre le fait que cela les stigmatise une fois encore et que cela favorise l’idée selon laquelle c’est à cause d’eux que le SIDA décime des populations, cette raison n’a pas vraiment de sens.
Il est indéniable que le plan sanitaire doit primer.
Mais ce n’est pas l’homosexuel qui favorise la transmission du SIDA, mais plutôt la pratique de la pénétration anale ou du multipartenariat qui concerne également les hétérosexuels. Ainsi, le questionnaire médical à remplir avant de donner son sang, devrait non pas demander à la personne si elle est homosexuelle, mais si elle s’est protégée lors de son dernier rapport ou qu’elle a fait le test du SIDA récemment.
Un homo est aussi dangereux qu’un hétéro qui prétend s’être protégé, alors qu’il ne l’a pas fait. Mais l’on ne pourra rien contre le mensonge.
Par ailleurs, il est aussi étrange de faire durer cette exclusion quand l’on sait que toutes les poches de sang sont vérifiées et testées avant d’êtres mises à la disposition des malades.
Pourquoi chercher à marginaliser davantage une population déjà mise au ban de la société pour le mariage, l’adoption ?
L’exemple du mariage gay impossible en est aussi la preuve.
Bien sûr que le poids de la morale et surtout de la religion est intrinsèque à notre société, et pousse à ce que l’on écarte l’idée d’un mariage pour les homosexuels.
Mais dès lors que la déclaration des droits de l’Homme et du citoyen consacre l’idée que « la loi ne considère le mariage que comme un contrat civil », ne devrions-nous pas revoir notre position ?
En effet, si l’on crée un mariage civil, c’est pour permettre à l’ensemble des citoyens et non plus qu’aux religieux, de pouvoir contracter une union. Pourquoi alors en exclure certains, et le justifier par la création du PACS ?
Au nom de quoi, si l’institution du mariage civil est défaite de toute idée religieuse, peut-on décider que des milliers de couples n’auraient pas les mêmes droits que les autres ?
Peut-être a-t-on peur que cela amène plus vite la question de l’adoption. Mais cette question n’existe-t-elle pas déjà ? Même si celle-ci paraît plus complexe, celle du mariage l’est beaucoup moins.
L’homosexualité n’est plus un crime depuis 1982. Les lois condamnant les violences discriminatoires existent et sont multiples. Mais il est évident que les homosexuels seront des citoyens à part, des sous-catégories, tant qu’ils seront marginalisés. Devoir cacher son identité au sein de l’armée, ne pas pouvoir donner son sang, c’est devoir renoncer à des droits civiques, c’est devoir renoncer à une certaine égalité.
Pendant combien de temps encore devrons-nous accepter que des groupes soient exclus ou mis de côté, non pas pour ce qu’ils font, mais pour ce qu’ils sont ?
D.Perrotin
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63 réactions à cet article
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@ oncle archibald« Pourquoi les homosexuels n’assument pas leur différence ? »Pourquoi les gens stériles n’assument alors donc pas leur différence. Pourquoi autoriser l’adoption ou les inséminations artificielles, si la nature à fait des gens qui peuvent avoir des enfants et d’autres pas. C’est la même question. L’on utilise la science pour régler le mal d’enfant de certaines personnes. Pourquoi l’interdire aux homosexuels ?-
Frédo devrait se pacser pour pouvoir adopter. Moins de frais de voyage.
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Désolée, j’avais oublié qu’il avait déjà adopté.
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« dès lors que la déclaration des droits de l’Homme et du citoyen consacre l’idée que « la loi ne considère le mariage que comme un contrat civil », ne devrions-nous pas revoir notre position ? »
Il n’y a absolument rien relativement au mariage dans les 17 articles de la Déclaration de 1789.-
« L’homosexualité n’est plus un crime depuis 1982 »
Rectifions :
Une relation homosexuelle avec un mineur de plus de 15 ans n’est plus un délit depuis 1982.-
@senatus populusque anciennement Claude courouve,
Pouvez vous m’expliquer comment vous faites ceci :
http://www.agoravox.fr/auteur/marre-de-la-debilite-d-av
http://www.agoravox.fr/auteur/claude-courouve
Deux compte, deux ID différentes avec le même contenu.
Votre récent trouble de l’identité est-il lié à votre article :
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/notes-sur-la-pedophilie-et-les-60971
Petite citation de votre belle prose :
« Le développement physique et moral de l’enfant variant suivant les races et les climats, nous devons trouver, dans chaque pays, une présomption [de consentement] différente ».À quoi jouez-vous ?
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« Petite citation de votre belle prose :
« Le développement physique et moral de l’enfant variant suivant les races et les climats, nous devons trouver, dans chaque pays, une présomption [de consentement] différente » »
Ce n’est pas ma prose, c’est une citation ; voyez le commentaire qui donne la référence à Garraud. -
Gazi BORAT 23 octobre 2009 07:29@ SENATUS COUROUVE
Il est vrai que, ayant pris l’habitude de vous exprimer par citations interposées et en vous gardant bien d’exprimer les points de convergence ou de divergence de votre pensée avec celles-ci, on ne peut qu’en déduire votre accord avec ces mots d’auteurs que vous affectionnez..
gAZi bORAt -
Si mon opinion sur la pédophilie vous intéresse, vous le trouverez dans la version complète dont l’article AV n’est que la première partie.
http://laconnaissanceouverteetsesdetracteurs.blogspot.com/2009/10/notes-sur-la-pedophilie-et-les-seuils_08.html -
@ sénatus politicus
Déclaration des Droits de l’Homme :Article 16
A partir de l’âge nubile, l’homme et la femme, sans aucune restriction quant à la race, la nationalité ou la religion, ont le droit de se marier et de fonder une famille. Ils ont des droits égaux au regard du mariage, durant le mariage et lors de sa dissolution. Le mariage ne peut être conclu qu’avec le libre et plein consentement des futurs époux. La famille est l’élément naturel et fondamental de la société et a droit à la protection de la société et de l’État.-
Vous citez là la Déclaration internationale de 1948, que vous confondez avec la Déclaration des droits de 1789.
C’est loin d’être la seule confusion de cet article. -
Où est la confusion ????? L’article 12 de la déclaration de 1789 aborde le mariage et La loi du 20 septembre 1792 instaure le mariage civil, enregistré en mairie, qui devient le seul valable aux yeux de la loi. Il doit précéder toute cérémonie religieuse. Le non-respect de cette règle est constitutive d’un délit.
De plus la déclaration universel de 1948, par son article 16 détache la religion du mariage, ainsi que la convention européenne des droits de l’Homme. -
Article 12 de la Déclaration de 1789 :
« La garantie des droits de l’homme et du citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée. »
Vous êtes toujours en pleine confusion !!! -
Big Mac 22 octobre 2009 13:42Encore un article parfaitement hypocrite qui parle de la discrimination des homosexuels sans parler de sa cause la plus importante :
Qui donc en France a refusé de jouer contre un club de foot homosexuel ? Qui donc a agressé la Gay Pride à Paris ?
Moi je me gondole comme un bossu quand je vois les tolérants à tout crin livré à leurs propres contradictions. Hé oui qu’est ce qu’on fait maintenant on laisse les musulmans discriminer les homosexuel ? Mais c’est homophobe ! On punit les musulmans qui discriminent les homosexuels ? Mais c’est islamophobe.
Démerdez vous avec votre merdier ! Croupissez le nez dans votre merde ! Jusqu’à ce que vous compreniez que la sexualité et la religion doivent être strictement cantonné dans le domaine du privé.-
De fait la sexualité ne peut être cantonnée au domaine privé puisque le mariage confère des droits et qu’il est interdit aux homosexuels de se marier.
Interdiction en contradiction avec l’article premier de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen.
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Big Mac 22 octobre 2009 14:14C’est très bien mon bon Trashon, il vous faudra donc penser au mariage entre animaux et adultes consentants ! Et puis après vous gérerez les muslims et la SPA qui ne seront pas d’accord.
Et tant que vous y êtes pensez aussi au mariages avec une poupée gonflable ou avec un robot moulinex.
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la sexualité et la religion doivent être strictement cantonné dans le domaine du privé
je suis bien d’accord avec toi , on n’en serait pas là si chacun n’étalait pas ce qui relève du privé , comme disent les inconnus , cela ne nous regarde pas ( tant qu’on nous fait pas chier avec ) ! -
Big Mac 22 octobre 2009 14:34Chalut le chat,
Nous nous frittons parfois, mais nous sommes d’accord sur l’essentiel.
MCM
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Big Mac 22 octobre 2009 14:39Autrement pour la gouverne de monsieur Trashon :
Article premier
Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune.
Alors dites moi donc ce qui autorise le mariage homosexuel dans cet article ?
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@big mac
heureusement qu’on se frite un peu , l’indiffrence , c’est ce qui tue dans un couple ! -
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Je parle de droits de l’homme vous comprenez zoophilie.....quand à savoir ce que vous faites avec un robot moulinex, cela ne me regarde pas.
Pour l’article premier il est clair qu’il n’autorise rien, il interdit les discriminations...
Le genre de discriminations qui peuvent conduire à des absurdités, comme le cas d’une amie décédée, dont la gosse de 7 ans est placée à la DASS bien qu’elle ai depuis presque toujours été élevé par sa concubine, qu’elle appelle aussi maman...
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Big Mac 22 octobre 2009 21:21Pourquoi la gosse elle a pas de père biologique ? Elle serait née de 2 ovules ?
Vous êtes un rigolo vous ! Vous autorisez les aberrations pour vous en plaindre ensuite !?!
Mais dites moi donc je rêve où vous venez de discriminer les zoophiles ? Allez hop police menotte prison !
Allez je vous laisse à vos contradictions. -
Gazi BORAT 23 octobre 2009 07:24@ BIG MCM
Véritablement hallucinant (comme dirait Rama Yade)
Voilà l’homophobie rapportée une fois de plus à votre bête noire..
Il est vrai qu’en France, traditionnellement, l’Eglise Catholique a toujours entouré de sa protection les Homosexuels..
Au fait, quel est l’impact de l’Islam sur le réchauffement climatique ?
Sur la propagation de la grippe A ?
Sue les suicides à France Telecom ?
gAZi bORAt -
Gazi BORAT 23 octobre 2009 07:33@ MCM (suite)
Par contre, très drôle de vous voir en accord avec Tariq Ramadan pour le rejet du mariage homosexuel...
gAZi bORAt -
Big Mac 23 octobre 2009 09:56Gazi Borat,
Etonnant comme vous utilisez exactement les mêmes ruses que Sisyphe, alors soyons clair et net :
Entre désapprouver l’homosexualité et lyncher les homosexuels il y a un gouffre que même votre immense mauvaise foi ne peut combler.
Je milite démocratiquement pour que l’orientation sexuelle soit du seul domaine du privé, tandis qu’en Irak et en Iran, des islamistes soudent le rectum des homosexuels à la colle forte et leur font ingérer du laxatif, les faisant ainsi périr dans des souffrances atroces.
Si vous n’êtes pas capable de faire la différence entre ne démarche pacifique et des meurtres sadiques, c’est votre problème et pas le mien. -
Gazi BORAT 23 octobre 2009 13:15@ big mcm
Tarik Ramadan a-t-il perpétré de telles monstruosités ?
A ma connaissance, non !
Vous avez donc le même positionnement sur l’homosexualité..
gAZi bORAt -
Pourquoi la gosse elle a pas de père biologique ? Elle serait née de 2 ovules ?
A l’évidence, il manque une cervelle entre vos deux feuilles de choux : si la môme est à la DASS c’est qu’elle est considérée comme orpheline, donc que son père biologique est décédé, 6 mois après sa naissance, vu que vous avez du mal a comprendre les choses même simple, je vous précise que ses parents étaient mariés et que sa mère était bisexuelle.
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Sujet qui a été déjà abordé précédemment. Il est faux de dire qu’il y a une discrimination contre les homosexuels. L’élément déterminant de la contre-indication est en effet la manifestation d’un rapport sexuel entre hommes, et uniquement d’un rapport sexuel, c’est-à-dire pas l’orientation sexuelle.
Pour faire simple, on peut être homosexuel sans jamais avoir eu de rapports sexuels.-
Ce que j’ai écrit n’est pas très clair ; je voulais dire la contre-indication au don du sang ne porte pas sur l’orientation sexuelle mais sur le fait qu’un homme ait pu avoir des rapports sexuels avec un autre.
Cela me semble un faux débat lorsque l’on voit qu’il n’y a tolérance pour les homosexuels que lorsqu’ils sont invisibles et ne demandent rien. -
excellent article qui démontre les injustices infondées, que tout le monde trouve normale .
Comme on trouve normal, sans doute naturelle, que la moitié des momes n’est plus de parents, et que l’autre moitié, soit couverte de jouets pour pouvoir s’emmerder tout seul et pas faire chier .
Je me demande où, la laïcité s’inspire pour sa morale ?
Sans doute dans cette science religieuse qui voudrait faire croire que l’amour ne sert qu’à se reproduire .
Demandons aux hétéros si, comme dans la nature, ils ne baisent que quand c’est le printemps ? Et si ils baisent bien par devant !
C’est assez subtil aussi, de ne pas voir la féminité ou la maternité de l’homo homme, argument avancé comme élément qui pourrait faire défaut dans l’éducation d’un l’enfant adopté, alors que les homos n’ont de cesse d’être caricaturé depuis toujours, comme des vieilles folles et des tapettes !
@Tartiflette
Ben voyez, c’est pas si compliqué d’être moins conne !
Pour la méchanceté, ça sera un peu plus douloureux .
Mais gardez espoir .Tenez pour être encore plus éclairée
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ah ! désolé, Tartiflette a disparue...
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« C’est assez subtil aussi, de ne pas voir la féminité ou la maternité de l’homo homme, argument avancé comme élément qui pourrait faire défaut dans l’éducation d’un l’enfant adopté, alors que les homos n’ont de cesse d’être caricaturé depuis toujours, comme des vieilles folles et des tapettes ! »
Enfin les femmes ne ressemblent pas à ces tapetets ! Croyez-vous qu’il suffit « d’avoir un peu de féminité » pour être une mère ? vous ne craignez pas d’en rajouter aux préjugés du type « ah, ces homos, ils croient toujours pouvoir tout faire comme s’ils ne l’étaient pas ! » -
En complément au précédent commentaire, il faut remarquer que les statistiques du Pacs récemment rendues publiques montrent qu’il est en constante et forte augmentation chez les... hétéros alors que, pour les homos, il reste très en retrait des projections qui avaient été faites lors de sa création.
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L’enfant choisit-il d’avoir qu’une père ou qu’un père pour les familles mono-parentales ? L’enfant choisit-il d’avoir des parents violents, alcooliques .... Du moment que l’amour de l’enfant guide l’éducation... Où est le problème. Les enfants seront mal vus ou marginalisés, tant qu’il existera des gens pour dire que les homosexuels ne sont pas normaux, ou que le mariage homosexuel est contre nature etc... On dit que l’adoption est contre nature. Mais les inséminations artificielles ne le sont-elles pas ? Fabriquer un vaccin, construire une autoroute, greffer un coeur, c’est défier la nature, aller contre la nature. Dans certains cas cela arrange tout le monde. Dans d’autres, on prétexte que ce n’est pas possible.
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Heureusement que tous les homos ne jouent pas les discriminés, ça serait pénible à supporter. J’en connais, très bien dans leur peau, qui ne veulent surtout pas se marier et n’emmerdent pas le monde en demandant des droits spécifiques. La loi commune leur suffit.
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Ah oui parce que demander d’avoir les mêmes droits que tous c’est "emmerder le monde en demandant des droits spécifiques ?
Maintenant, à partir du moment où les homos ne sont pas en droit de se marier et encore moins d’être parents, ne devraient-ils pas avoir le droit spécifique d’être exonérés de la part d’impôt qui revient aux crèches, école, cantines...des cotisations salariales style rente conjoint...puisque cela ne les concernent pas, non ? -
@beabck
Nuance, à ma connaissance, les personnes qui cotisent à la sécu ont droit aux soins, personne n’est interdit de prendre le train...C’est plutôt comme si les personnes qui n’ont pas le permis de conduire se voyaient imposer l’assurance auto ! Maintenant, je serais d’accords de ne pas financer la part vouée à l’armement, euh, pardon, à la défense ! -
Pour ce qui est des dons du sang, inutile (pour une fois) de taper sur Bachelot. La « discrimination » dont sont victimes les homosexuels ne vise évidemment pas à les « stigmatiser », mais résulte d’un simple constat fait par les médecins en charge de la transfusion sanguine : c’est dans la communauté homosexuelle que l’on trouve le plus fort taux de sang inutilisable car contaminé. C’est donc une raison purement comptable, en cette période économique difficile, qui a conduit à maintenir cette « discrimination », et en aucun cas une considération morale.
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Depuis quelques années, les homos adoptent des valeurs qu’ils jugeaient bourgeoises et dépassées il y a seulement vingt ans ; ils ont réclamé le Pacs dans un premier temps et exigent le mariage aujourd’hui. Eux qui évoquent le droit à la différence veulent en fait être comme tout le monde ; c’est un peu paradoxal. Ils veulent être considérés comme normaux mais tant qu’ils veulent manifester leur sexualité sur la place publique, ils ne sont pas normaux.
Comme les musulmans qui, face à toute critique crie au « racisme », les homos accusent ceux qui critiquent l’homosexualité d’être « homophobe ». Ils réclament la liberté d’expression dans des formes les plus outrancières pour eux mêmes mais ils la refusent à ceux qui n’approuvent pas leurs manifestations. Avec l’accusation de « homophobie » ils clouent le bec à toute critique. Si autrefois ils étaient obligés de se comportez d’une façon discrète sous peine de poursuites, aujourd’hui ils ont réussi de renverser la situation de sorte que c’est nous autres, hétéros, qui n’osent plus dire ce que nous pensons.
En outre cet article est un bon exemple d’hypocrisie et du sophisme.
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SOPHISME ?
Par votre utilisation du dangereux mot normal vous commettez un parfait sophisme par confusion
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sophisme#Classification_de_Mill« Ils veulent être considérés comme normaux ... »
Oui, les homos veulent voir leur différence banalisée. Un sens du mot normal.« ...mais tant qu’ils veulent manifester leur sexualité sur la place publique, ils ne sont pas normaux. »
- Pas normaux, au sens statistique ? Les roux non plus. Ce n’est pas la question, n’est-ce pas ?
- Vous voulez dire pas souhaitable ? 2 mecs qui s’embrassent ne gênent que les intolérants. Au plus peut surprendre
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Ainsi pour résumer votre confusion, les homos veulent avoir le droit de ne pas être normal, tout en voulant être considérés normaux.
Le paradoxe, vous l’avez construit.
En reformulant une autre phrase :
« Eux qui évoquent le droit à la différence veulent en fait [que celle-ci soit considérée comme banale] ; » ça n’a rien de paradoxal.Pauvre homophobe prêt à tous les raccourcis de pensée pour conserver ses opinions...
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Depuis quelques années, les homos adoptent des valeurs qu’ils jugeaient bourgeoises et dépassées il y a seulement vingt ans ; ils ont réclamé le Pacs dans un premier temps et exigent le mariage aujourd’hui. Eux qui évoquent le droit à la différence veulent en fait être comme tout le monde ; c’est un peu paradoxal. Ils veulent être considérés comme normaux mais tant qu’ils veulent manifester leur sexualité sur la place publique, ils ne sont pas normaux.
Comme les musulmans qui, face à toute critique crie au « racisme », les homos accusent ceux qui critiquent l’homosexualité d’être « homophobe ». Ils réclament la liberté d’expression dans des formes les plus outrancières pour eux mêmes mais ils la refusent à ceux qui n’approuvent pas leurs manifestations. Avec l’accusation de « homophobie » ils clouent le bec à toute critique. Si autrefois ils étaient obligés de se comportez d’une façon discrète sous peine de poursuites, aujourd’hui ils ont réussi de renverser la situation de sorte que c’est nous autres, hétéros, qui n’osent plus dire ce que nous pensons.
En outre cet article est un bon exemple d’hypocrisie et du sophisme.
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Si les homos veulent avoir un minimum de légitimité, il faudrait qu’ils commencent par régler leur situation ambiguë vis-à-vis de la société. Situation dont ils profitent sans se rendre compte qu’ils sont aussi leurs propres fossoyeurs.
On ne peut pas exiger d’une société humaine, quelle qu’elle soit, d’être considéré comme des membres normaux et en même temps exiger un droit a la différence. On ne peut pas exiger de nos dirigeants d’avoir les mêmes droits que n’importe quel hetero, et en, même temps faire dans le communautarisme militant à la limite de l’intégrisme.
Enfin, concernant le problème de l’adoption, il y a un problème de fond.
Notre société a plus de 10 000ans d’existence. Elle est de type grégaire, et donc se doit de gérer au mieux les relations entres la nature et l’individu ainsi que les relations entres individus eux-mêmes. D’’autre part elle a pour fonction de transmettre son héritage culturel mais aussi son héritage matériel, c’est à dire sa richesse. Les deux bases principales de nos sociétés sont la famille et la religion. La religion a pour but de définir les règles communes assurant la survie de la société (aujourd’hui ce rôle est dévolue aux dirigeants politiques), la famille ayant elle, pour but de transmettre l’héritage aux générations futures
Pourquoi c’est la famille qui a cette charge ?, simplement parce que nos sociétés ont choisi la transmission par le sang.
Ce choix vaut ce qu’il vaut, peut-être n’est-il pas parfait, mais il a le mérite d’exister et d’avoir fait ses preuves puisque nous sommes toujours là !. Et la nature humaine étant ce qu’elle est, on sait très bien qu’on a toujours plus confiance avec des membres de notre famille qu’avec des « étrangers ». Enfin l’éducation d’un enfant s’est toujours fait dans le cadre d’une famille classique, ou chaque membre apporte sa part,et surtout où l’équilibre entre père et mère reste le noyau de base de cette éducation. On peut toujours ponctuellement trouver mieux, mais dans l’ensemble, au vue des centaines de générations et des milliers de sociétés différentes, cette solution reste la moins pire !Alors aujourd’hui remettre en cause cette structure est, a mon avis, des plus dangereux, car on nous demande d’abandonner le lien du sang pour le remplacer par des liens, certes affectifs, mais plus faibles quand même. La vie privée des gens, qu’ils soient homo ou hetero, ne regarde que ces gens, on n’a pas à juger. Mais cela doit rester dans le seul cadre de la vie sexuelle, et surtout pas dans celui de la vie familiale. Voila pourquoi je pense que l’adoption doit rester limité aux cas particuliers de familles hétéros qui pour des raisons uniquement « techniques » ne peuvent pas procréer
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Peut être est-ce ainsi parce que l’homosexualité est simplement toléré.
La vie d’un homosexuel n’est parait-il pas facile, dans ce sens il est utile d’être vigilant à ce qu’ils ne soient pas persécuté ou discriminés.
Il faut aussi comprendre que l’homosexualité est ressenti par la grande majorité des hommes et des femmes comme quelque chose d’abjecte, qui dégoute.
Peut être parce que la nature fait en sorte que cela ne puisse être la norme. Cela est inscrit en chacun tout comme le tabou de l’inceste ou le canibalisme qui révulsent tout un chacun ...
Pour ces raison l’égalité ne sera jamais qu’ une égalité de droit mais pas de faits, La tolérance est déjà un progrès énorme. Peut être ne faut-il pas aller trop vite sur ces sujets
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Si certaines catégories de la population, comme les handicapés, ont besoin de protection, les homos eux ne sont pas exposés aux discriminations ou aux insultes que s’ils se manifestent. Homosexualité ne se voit pas que si l’on la manifeste volontairement. Pourquoi porter sa sexualité sur son boutonnière ? D’ailleurs, il existent depuis très longtemps des lois contre l’insulte. Ce n’était pas nécessaire d’en ajouter une pour les homos. La lois contre l’homophobie a été conçue dans un but électoraliste.
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pourquoi
« La Plume : - Doit-on consentir à croiser le fer avec un individu convaincu d’homosexualité ? [...]
Jacques Fersen : - Oui, on doit se battre. D’abord, il suffit de déplaire aux concierges pour être accusé d’horreurs. Et le concierge, c’est la réputation. Ensuite, un homo – je ne sais plus quoi – peut être aussi chic, aussi honorable, aussi respecté que Pierre ou Paul.Pourquoi mêler l’honneur au derrière ? »
La Plume, n° 387, 15 mai 1912, page 230.
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Yvance77 22 octobre 2009 21:57Cher Monsieur,
Votre caste m’emmerde pour vous le dire le plus simplement possible. Et j’en fait pas une histoire de religion.
Je me réfère à ce qui nous est supérieur, magique et sublime la Nature dans ce qu’il y a de plus grand.
L’évolution animale règne à lauquelle jusqu’à preuve du contraire nous appartenons, tend à différencier les deux sexes pour une but suprème la « reproduction » d’abord ; le plaisir ensuite, enfin cela est pour la théorie.
Dans le cadre de l’homosexualité il y a in fine extinction de la race humaine.
Que vous ne vouliez pas l’admettre cela vous concerne, pas nous.
Et si nous revenons sur le mariage vous l’avez dévoyé car là ausii il n’aurait du concerner qu’un homme et une femme.
Que les couples hétoros soient imparfaits et que des couples gay le soient OK pour le principe (puisque c’est un de vos marronierss visant la solution pour l’adoption), la Terre n’en fera pas un fromage, mais vivez votre truc dans la socièté sans qu’on vous jette des pierres, mais sans en demander plus à la mère qui nous a vu naitre !!!
Cela fait conservateur façon Bush mais là j’assume très bien.
A peluche
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J’ai déjà expliqué maintes fois comment fonctionnait les mecanismes de la diabolisation.
Il consiste a victimiser un groupe, defendant des interets egoistes particuliers en accusant tous ceux qui ne les defendent pas d’etre en connection avec le « diable » de ce groupe.
Du coup, on fait porter , dans le cas qui nous interesse sur cet article, le soupçon d’homophobie(le nom du « diable » local) sur tous ceux qui ne contionneraient pas les renvendications particulières des homosexuels.
Pour nous autres heterosexuels, qui vivont dans la norme, cela commence a devenir bien agacant.
Je conprends vos petites revendications egoistes et sectaires, mais il faut que vous compreniez que nous avons les notres, qui ne sont pas moins legitimes.
Or que cela vous plaise ou non, dans une democratie, c’est la majorité qui impose ses normes, ses valeurs, ses projets.
Comme il est possible que nous ayons des sujets plus passionant a debattre dans les elections, il pourrait etre interessant de proposer un referendum sur ce sujet, à la population toute entière pour qu’elle se prononce sur ce cas.
Neanmoins, en attendant que cela soit au programme je vais quand meme argumenter CONTRE vos demandes.
1) Le mariage ...
...n’EST PAS un probleme religieux , ce que vous sous-entendez.
En fait, il etait historiquement un moyen de donner un cadre juridique, une responsabilité aux enfants nés d’un foyer en reconnaisant implicitement que tous les enfants nés avaient un père et une mère par defaut.
C’est Donc NOTRE moyen, a nous autres heteros, de « legaliser » nos descendances de façon automatique. Nous donnions de cette façon un NOM, ce qui valorisait le père et l’implicait dans ses responsabilités.
Cet usage s’est peut etre un peu perdu, mais il n’empeche que le mariage a tendance a revenir dès que des projets d’enfants apparaissent.
Vouloir en faire un certificat d’amour , une preuve de reconnaissance sociale ne nous interesse pas.
2)« L’homoparentalité »
Ce neologisme designe l’adoption par des homosexuels, couple sterile par choix.
Il suppose que la societe dans son ensemble trouvera interesant, positif, pour l’enfant et pour elle-meme de legaliser cette pratique.
Or que cela vous plaise ou pas TOUS les psychopedagogues y sont defavorable.
C’est en gros une histoire de referents masculins et feminins qui vont manqués dans le cas de couple monosexe.
Comment a prendre a se comporter avec des femmes, si ses deux parents sont des homosexuels masculins ?
Quelles sont les attitudes « normales » , celles que vont justement rechercher nos futures petites amies chez nous si « papa » a des comportement d’homme atypique ?
Les lobbies homos fuient en general dès qu’on approche de ce genre de problemes.
Ils vancent deux genres d’arguements qu’on va flinguer dès le debut pour avoir la paix :
1) Il existe des couples heteros brutaux, alcoolique, issus du sous-proletariat inculte et les enfants s’epanouiraient mieux avec des homosexuels à la vie saine, non violent et vivant avec des moyens. je caricature a peine.
En fait , le lobbie rajoute des attributs negatifs aux couples heteros et s’invente un monde « gay » ou tout n’est que classe, luxe et volupté !
Il oublie que les parents adoptant subisse deja un flicage tres sevère, que seul le desquq du panier passe les rapport sociaux, psychologique, les enquetes sanitaires et sociales....
2) Ils inventent la famille windows, en reseau, repartie avec des grands parents hyper-presents, la mamie qui vient apporter un touche feminine et le referent manquant...ou le contraire.
Or c’est un COUPLE qui adopte, pas une fratrie, pas une tribue aux 5 generations, pas un village fusse t’il village people....
De plus le monde est plutot en manque d’adoptés que d’adoptants.
Les etats ont le choix entre des couples heteros aux deux referents (masculins et feminins ) inclus et des homosexuels au couple forcement privé d’une des deux references....
Enfin et c’est le plus terrible, ce sont les enfants eux memes.
Croyez vous qu’il soit bon d’etre « le fils des deux PD » , dans un classe, aujourd’hui ?
Les enfants ne sont pas la pour refaire la société, militer pour les causes de leurs parents.
Il risque de subir la norme sociale et de le payer cher.
Or l’adoption est faite pour offrir une famille a des enfants, pas pour le contraire...
C’est le bien etre des ENFANTS qui est visé....pas l’ACCOMPLISSEMENT d’un couple en quete de reconnnaissance sociale.
Du coup les etats qui offrent des enfants à l’adoption cherchent des couples STABLES.
Le mariage n’est une garantie de rien mais implique une recherche de creation d’un foyer.
Les couples sont souvent ceux qui ecouvrent une sterilité au moment ou leur projet d’enfant est en echec. ces couples la ne sont donc pas basé que sur la prefrence sexuelle, mais aussi n dès le depart sur des projets d’enfant implictes
En voulant recuperer le coup de tampon du mariage, c’est CE label la que vous voulez recuperer alors que de toute evidence , il ne peut etre le sujet principal d’un couple homo.
Les couples homos sont de toute façon instables et statistiquement ephemères.
La société choisi donc de ne pas leur attribuer des enfants qui ont deja subis un trauma avec RAISONS.
Enfin on va finir sur le sang contaminé.
La population homo est Statistiquement plus touchée que les heteros et c’est vrai depuis le debut de l’Histoire du Sida, que vous le vouliez ou pas.
C’est comme ça, la paroi rectale est plus porreuse aux germes que le vagins des filles, on n’y peut rien.
C’est aussi pour cette raison qu’on ne prelève plus dans les prisons....
La sexualité entre adulte NON consentants y est la norme est etre honnete avec le medecin revient a dire qu’on s’est fait enfilé par les caids de la Centrale....
Les questionnaires etant tous faux, il a été jugé avec raison qu’il etait dangeureux de prelever dans les prisons.
Pour les homosexuels, c’est la meme chose.
Vous vous sentez blessés ?
Comme les taulards....
A une epôque, on ne prelevait plus non plus dans les antilles.....la population etait trop plombés et les questionnaires statistiquement tout aussi faux....
Tous ceux qui sont donneurs de sangs, comme moi , savent quelles questions sont posées et ce que cela signifie....
Voila c’est cruel, c’est direct, mai c’est comme ça.
Je m’en fout de vos revendications et personnellement, je suis contre chacune d’elle..-
C’est Donc NOTRE moyen, a nous autres heteros, de « legaliser » nos descendances de façon automatique. Nous donnions de cette façon un NOM, ce qui valorisait le père et l’implicait dans ses responsabilités.
Merci d’avoir formulé ceci très clairement ! Cette base est désormais cible d’attaques de plus en plus régulières.
Ne nous voilons pas la face : sans être intégriste, chacun peut percevoir le projet !
La filiation deviendrait selon certains un droit de citoyen, politique.
L’état, des organismes certificateurs, viendraient autoriser l’exercice de ce droit.Parallèlement, des tests adn ,déjà autorisés en allemagne, compromettent NOTRE moyen de légaliser. L ’adoption est idéalisée, plus encore si c’est elle est le fait d’ homosexuels, tandis la descendance d’un couple homosexuelle peut être remise en cause, car elle n’est que naturelle.
Dans un avenir proche, si nous laissons faire, le légalisme sera devenu une affaire d’accréditation.
Quant aux mouvements qui prônent cela, leur manipulation ne fait pas de doute. -
C’est toujours un peu la même ritournelle qui revient : « on s’aime, alors pourquoi on pourrait pas adopter ».
Mais mon vieux, le fait de s’aimer ne donne pas spécialement de droits supplémentaires, et en tous cas pas celui de recevoir l’objet que vous ne pouvez vous procurer, l’enfant.
Le pauvre vieux, vous pensez un peu à lui, au lieu d’être aveuglé par votre désir narcissique d’enfant ?
On commence vraiment à en avoir assez de cette chanson ! Ok, votre sexualité c’est votre affaire, mais n’en faites pas subir les conséquence à un enfant. Personne, ni vous ni un autre, n’a « droit » à l’enfant. En revanche, le droit « de » l’enfant, c’est que si la vie l’a privé de ses parents, de son père et de sa mère, on n’aille pas lui imposer d’avoir deux père ou deux mères.
Donc messieurs et mesdames les homos : faites ce que vous voulez, mais si vous souhaitez vraiment que l’on vous considère comme normaux, alors cessez ces revendications permanentes...
A bon entendeur...-
Gazi BORAT 23 octobre 2009 07:36Pas évident non plus qu’un couple hétérosexuel soit une garantie d’épanouissement de l’enfant..
Nombre de gosses battus ou élevés dans des placards sont le fruits d’union « normales »..
gAZi bORAt -
Alors j’ai pas d’enfant, j’veux pas me marier mais je vois pas au nom de quoi les couples homme/femme seraient « supérieurs » aux couples homme/homme ou femme/femmes, au poids peut-être ? Au QI j’en doute... liberté d’être homo, EGALITE et aussi fraternité même si c’est pas dans l’ton des commentaires...
Et je vois pas non plus pourquoi on cantonnerait les homos au pacs, à moins d’y attribuer les mêmes avantages fiscaux que le mariage, parce que liberté d’être homo oui mais en silence s’il vous plait, EGALITE et fraternité, non ça rime mais ici ça sonne mal.
Sans compter que les familles homo-parentales existent, on a pas attendu vos cours sur la reproduction des mammifères pour en avoir des enfants, et que qui est spolié dans les cas les plus tragiques ? Les sacro-saints ENFANTS qui doivent s’éloigner de force d’un de leur parent si par malheur l’autre décède. Liberté d’avoir des parents homos, EGALITE comme pour les autres enfants et fraternité. Par ailleurs, je suggère les émissions animalières et les lectures un peu scientifique qui vous montreront que des individus homosexuels, y’en a plein le règne animal et que c’est pas à cause de leurs homos que les ours blancs sont en voie d’extinction.
La bonne entendeuse n’a pas fini de défiler en juin avec une plume dans l’cul dans son char à la Gaypride, ne serait-ce que pour avoir le plaisir enfantin de vous pourrir une heure ou deux.-
ASINUS 23 octobre 2009 06:46« ne serait-ce que pour avoir le plaisir enfantin de vous pourrir une heure ou deux. »
effectivement j ai cru remarquer que pour nombre d entre eux /elles il ne s agit souvent que de cela , ultiliser l affichage de leurs préférences sexuelles comme exutoire aux
petites mortifications de la vie que subissent indiferememt homos et héteros ,finallement
sous des revendications égalitaires pointe de plus en plus frequement un discour sectaire relevant d’un l intégrisme revendiqué bien dans l air du temps-
@ asinus
Parce que que les hétéros qui se baladent main dans la main (pour les plus softs !) n’affichent pas leur préférence sexuelle ? Je croyais que cela devait rester dans le domaine privé !-
Big Mac 23 octobre 2009 11:58Allons allons Cathy59, personne ne parle d’interdire aux homosexuels de se prendre par la main ou de se bisouter dans la rue.
Ce que nous demandons c’est que l’orientation sexuelle reste d’ordre privé et ne soit plus un motif de revendications communautaires.
Pas plus de club de foot hétéros que de club de foot homos, c’est pourtant clair et impartial comme raisonnement.
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Sauf que les droits doivent-être les mêmes pour tous, et si cela était le cas, il n’y aurait pas de revendications. Quant à ce balader main dans la main, c’est considéré comme étant une provocation, au mieux cela vaut à des insultes. Il n’y a qu’à la Gay pride que cela ne pose pas de problème puisque les gens s’y attendent.
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nephilim 23 octobre 2009 11:16tiens les islamophobes et homophobe se sont donnés rdv ici.
il ne sert à rien de discuter avec ces minables.
Bonne chance Acturevue-
La sexualité est une affaire privé la mettre en avant fini par devenir de l’exhibitionnisme.
Les homos ne peuvent avoir d’enfants si ils ne peuvent adopter c’est tant mieux pour les enfants. Un homme, une femme ,des enfants c’est ainsi depuis que le monde est monde pour le bien de l’humanité.
Je pense que certains homosexuels confondent le droit au respect et le droit à l’égalité. L’égalité n’existent pas, la preuve, deux hommes ou deux femmes ne sont pas conçu pour faire des enfants de l’amour
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Les religions se caractérisant pratiquement par des prescriptions strictes en matière de sexualité, dans une société démocratique la liberté sexuelle est le nécessaire contrepoids de la liberté religieuse.
Depuis plusieurs siècles, l’Etat intervient de plus en plus dans la vie de ses sujets. Religion et sexualité ne sont plus des affaires privées, à supposer qu’elles l’aient jamais été.
Le courant qui tend à passer de l’égalité formelle des droits à l’attibution de moyens d’exercer concrètement ces droits pousse l’Etat à intervenir, que ce soit pour faciliter l’exercice du culte, pour donner un statut aux couples homosexuels, ou dans de nombreux autres buts par le biais, notamment, de subventions aux associations.
En ce qui concerne le mariage au sens traditionnel du terme, la loi civile ne l’interdit pas aux homos, et quelques homos célèbres ont été mariés : Verlaine, Gide, Jouhandeau, Dominique Fernandez, Daniel Guérin, j’en oublie. -
Selon Daniel Borrillo, la notion de mariage, comme institution, ne délimite pas son champ d’application, c’est au contraire le principe d’universalisme qui redéfinit non seulement le mariage, mais aussi le régime du sexe (construction sociale, à ne plus mentionner sur les papiers d’identité ...). D’où la dénonciation du caractère « discriminatoire et injuste » du seul mariage hétérosexuel ..., et le détournement des textes, Constitution, Déclaration universelle de 1948, Convention européenne des Droits de l’Homme, vers l’exigence d’un universalisme absolu.
Pour D. Borrillo, « Le mariage [...] consacre socialement l’union de deux personnes ayant comme but la solidarité réciproque sur la base de l’affection mutuelle ». Or l’homosexualité relève davantage de la liberté et de l’amitié (amitié charnelle en l’occurrence) que de l’égalité et de la conjugalité ; c’est une amitié « poussée à l’extrême », disait l’Athénien (Platon, Lois). Jean-Pierre Chevènement déclarait à Têtu (mars 2002) « je ne vois pas ce que le mariage homosexuel peut signifier ».
La Constitution, la Déclaration de 1789 et le Préambule de 1946, sont muets sur le mariage ; le Préambule précise cependant sa conception hétérosexuelle de la famille (al. 10 et 11) : « La Nation assure à l’individu et à la famille les conditions nécessaires à leur développement. Elle garantit à tous, notamment à l’enfant, à la mère et aux vieux travailleurs, la protection de la santé, la sécurité matérielle, le repos et les loisirs. »
La Déclaration universelle des droits de l’homme (art. 16), définit le mariage comme hétérosexuel : « À partir de l’âge nubile, l’homme et la femme, sans aucune restriction quant à la race, la nationalité ou la religion, ont le droit de se marier et de fonder une famille [...] La famille est l’élément naturel et fondamental de la société et a droit à la protection de la société et de l’État. » La Convention européenne des Droits de l’Homme, dans son article 12, fait de même : « À partir de l’âge nubile, l’homme et la femme ont le droit de se marier et de fonder une famille selon les lois nationales régissant l’exercice de ce droit. »
La rédaction a été « modernisée » dans le Traité Constitutionnel de l’Union Européenne pour « couvrir les cas dans lesquels les législations nationales reconnaissent d’autres voies que le mariage pour fonder une famille. Cet article [art. II-69] n’interdit ni n’impose l’octroi du statut de mariage à des unions entre personnes du même sexe » (explication du praesidum dans la Déclaration n° 12 jointe au Traité). Le Traité constitutionnel laissait ainsi, avec cet article II-69, la porte ouverte au mariage homosexuel. Mais ce Traité a été rejeté en France par le référendum du 29 mai, et peu après par les Pays-Bas.
Cette dénaturation de l’institution matrimoniale semble analogue à la démocratisation à la Meirieu de l’institution éducatrice, qui exige, sous couvert d’égalité absolue, que l’acte d’enseignement soit remplacé par la libre expression des uns et des autres, que les sciences dures disparaissent au profit d’une « culture commune », inconsistante mais (parce qu’insconsistante) apparemment accessible à tous ; que la démocratie, oublieuse de ses origines nobles, prétende définir par des procédures démocratiques la culture de haut niveau dont elle est issue. Ni la culture, ni l’anthropologie ne sont cependant solubles dans la démocratie. L’acceptation du mariage pour les esclaves ou les infidèles, les unions mixtes ou interconfessionnelles, en faisant progresser l’égalité des droits, n’ont jamais dénaturé la notion de mariage ; ces réformes se firent au contraire dans le respect intellectuel du sens du mot mariage, sans vider l’institution de sa substance pour la soumettre à un a priori universaliste. En revanche, le divorce vient d’être déshétérosexualisé, si l’on peut dire, par la modification du seul article encore « marqué ».
Daniel Borrillo écrivait encore : « faire de la filiation une caractéristique essentielle du mariage revient à assigner une finalité reproductive à la sexualité ». Il assimilait bien légèrement mariage et sexualité. Le mariage donne en effet à la filiation un statut, assure en général (sauf adultère) à l’enfant la connaissance de ses origines, mais nul n’est obligé de s’engager dans le mariage. On sait, depuis Diderot, Sade, Frédéric Nietzsche et Freud, et même depuis les Grecs anciens, que la sexualité est une fonction de relation très largement indépendante de la procréation ; c’est d’ailleurs ce qui justifie notre liberté sexuelle, y compris la liberté antisexuelle des vœux de célibat et de chasteté.
L’égalité des droits n’a jamais signifié que hommes et femmes soient identiques, interchangeables, en toutes situations ; l’équivalence entre homosexualité et hétérosexualité est une erreur dérivée, basée sur cette identité supposée entre homme et femme, et sur la fausse symétrie de ces termes inventés en Allemagne dans la seconde moitié du XIXe siècle. Si cette identité était réelle, elle impliquerait de ne plus voir de différences, de fait ou de situation, entre une relation homosexuelle et un couple hétérosexuel marié. Faire de l’homosexualité revendiquée la base de l’ouverture de droits, comme le droit au mariage, reviendrait à reconnaître ce « troisième sexe » imaginé par quelques auteurs, eux aussi allemands (K. H. Ulrichs, Heinrich Marx et Magnus Hirschfeld ; les deux premiers avaient déjà revendiqué l’accès au mariage) mais récusé, pour cause de manque de fondement, par Sigmund Freud et André Gide, notamment.
Toute inégalité, toute différence de traitement, n’est pas toujours une discrimination, ni une injustice, contrairement à ce que nous assène quotidiennement la démagogie égalitariste, « comme si le principe de l’égalité des droits devait effacer toute différence ». L’égalité des droits des citoyens, libres individus, les uns par rapport aux autres, n’entraîne pas plus l’égalité juridique des couples homo et des couples hétéro (5), qu’elle n’entraîne l’égalité juridique entre les associations loi de 1901, les S.A.R.L. et les S.C.I., ou encore l’égalité juridique des associations cultuelles et des syndicats. En d’autres termes, l’égalité des droits des citoyens français (art. 1er de la Constitution) n’est pas l’égalité des droits conférés par des situations différentes (situations crées par des engagements personnels) ; cette distinction est devenue un principe constant de la jurisprudence duConseil constitutionnel. L’égalité formelle des droits de l’individu (l’homme, le citoyen) n’implique ni l’identité des situations concrètes, ni celle des diverses institutions contractuelles. Gommer les termes « père et mère » dans le Code civil, les remplacer par « parents », (proposition de loi absurde des Verts, Ppl n° 1650), nous rapprocherait davantage du cauchemar d’Orwell (1984) que de la société idéale.
Enfin, en appliquant au couple homosexuel - deux individus en général fertiles - la notion de « stérilité », qui au sens propre s’applique, le cas échéant, à UN être vivant, mais non à un « troisième sexe » imaginaire, Daniel Borrillo avait commis un gros abus de langage de plus (je plains ses étudiants). Les transexuels, eux, sont devenus volontairement stériles.
* * * * *
Extrait de l’arrêt du 19 avril 2005 de la Cour d’appel de Bordeaux :
« L’article 75 du code civil l’énonce “il recevra de chaque partie, l’une après l’autre, la déclaration qu’elles veulent se prendre pour mari et femme”. […] Sans équivoque possible, le Code civil impose à l’officier d’état civil de recueillir la déclaration de deux personnes de sexe différent qui se prennent pour “mari et femme”. […] toute autre interprétation rendrait incohérent le droit interne puisque notamment les prohibitions à mariage concernent le frère et la soeur mais ni deux frères ni deux sœurs. »
La Cour a confirmé l’annulation du mariage prononcée en première instance, en se référant notamment à la définition de Portalis.
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Définitions du mariage :
Jean Portalis, un des quatre rédacteurs du Code civil, définissait le mariage, « société de l’homme et de la femme qui s’unissent pour perpétuer leur espèce, pour s’aider, par des secours mutuels, à porter le poids de la vie, et pour partager leur commune destinée. » (Travaux préparatoires au Code civil).
« Union stable de l’homme et de la femme résultant d’une déclaration reçue en forme solennelle par l’officier d’état civil qui a reçu auparavant les consentements des futurs, en vue de la création d’une famille et d’une aide mutuelle dans la traversée de l’existence. » (Lexique Dalloz)
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Nul doute que l’abrogation de la loi « Don’t Ask, Don’t Tell », qui proscrit au conscrit « gay » de révéler son orientation sexuelle au sein de l’armée US, sous peine de renvoi, sera levée lorsque le déficit des troupes se fera sentir lors de la prochaine intensification des campagnes militaires américaines et le retrait progressif de ses alliés qui commencent à se demander ce qu’ils sont venus faire dans le bourbier afghan, à l’instar de l’Australie.
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