Islam, au crépuscule de la pensée !
« L’islam est une religion de paix et de lumière » déclarait Jack LANG, ancien Ministre de la culture et recasé comme Président de l’institut du monde Arabe, lors d’une visite du Président de la République François HOLLANDE à cette noble institution, qui concourt aux échanges culturels et au dialogue des civilisations. Monsieur LANG qui est un érudit devrait savoir que l’Islam, du moins celui dit « Médinois », qui est pratiqué par les plus d’un milliard de musulmans se réclament de la Sunna, c'est-à-dire la coutume instituée par Mahomet et par ses compagnons immédiats, en particulier les premiers califes, qui ont été ses fidèles lieutenants. La sunna c’est le droit musulman qui découle du coran, c’est un système de devoirs comprenant des obligations rituelles, morales et légales, mises sur le même plan, toutes soumises à l’autorité du même impératif religieux, la charia (« loi divine »). NON Monsieur LANG, l’islam n’est pas une religion de paix et de lumière, si tant est, comme l’histoire l’a tragiquement démontré, qu’une religion puisse l’être. Et comme le déclare Michel ONFRAY « l’islam est fondamentalement incompatible avec les sociétés issues des Lumières »
Vous qui êtes recteur de la Mosquée de Paris et connaissez le coran, vous avez raison Dr. BOUBAKEUR lorsque vous dites « L’Islam n’est pas une religion comme les autres « , car Jamais Mahomet n’a admis la moindre critique à son égard ; il n’acceptait que ceux qui chantaient ses louanges, comme le font les rois et la plupart des chefs des pays arabes et musulmans aujourd’hui, ainsi que l’immense majorité des musulmans dans le monde. Les ouvrages de droit musulman ne prescrivent-ils pas de tuer ceux qui critiquent Mahomet et le coran ? Le coran n’ordonne-t-il pas de mentir, tromper ou tuer les non musulmans ? Sourate 4, verset 89 n’est-il pas écrit : « Ils aimeraient vous voir mécréants, comme ils ont mécru : alors vous seriez tous égaux ! Ne prenez donc pas d'alliés parmi eux, jusqu'à ce qu'ils émigrent dans le sentier d'Allah. Mais s'ils tournent le dos, saisissez-les alors, et tuez-les où que vous les trouviez ; et ne prenez parmi eux ni allié ni secoureur » ? L'islam ne classe-t-il pas le monde en deux parties : Une « Maison de l'Islam » (Dar-el-islam) et une « Maison de la guerre » (Dar-el-harb) ? Les Maisons de l'Islam sont tous les pays où l'islam est majoritaire. La charia dictatoriale est instaurée de force et l'opposition est interdite. Les Maisons de la Guerre sont tous les pays dans lesquels vivent des musulmans, minoritaires en nombre, et qui agissent par tous les moyens légaux et illégaux pour faire triompher indirectement l'islam. De nombreux pays sont actuellement des "Maisons de la Guerre", dont l'Europe et la France.
Dans les pays ou les musulmans sont minoritaires, l'islam autorise « la taquia » (ou takiya), un comportement qui permet aux musulmans d'œuvrer en cachette à l'instauration de l'islam par les moyens du mensonge, de la ruse, de la peur (attentats aveugles).
C'est ainsi que les versets bénéfiques de la Mecque sont utilisés pour rassurer les autorités et les populations du pays alors que les versets de Médine, guerriers, belliqueux et qui abrogent les précédents sont soigneusement tus.
Attention également au déséquilibre démographique, il serait urgent de rompre avec les politiques natalistes qui caractérisent toutes les politiques familiales de notre pays depuis la fin de la seconde guerre mondiale… Un imam des environs de Lyon a calculé que dans 50 ans l'Islam sera la première religion de France, ce qui permettra d'instaurer dans notre pays la "charia" en remplacement de toutes les lois de la République Française, puisque, selon lui, « les lois d'Allah sont supérieures aux lois de la République ».
En France et dans le monde, Ironiser sur le fondateur de L’Islam ou sur le coran est passible de la mort, c’est INADMISSIBLE !
Pas un seul pays arabe ou musulman qui permet de « toucher » à Mahomet ? Où donc est la sanctification de la vie ? La liberté d’expression et la vie des humains n’ont aucune valeur dès qu’on touche à l’islam, au Coran ou à Mahomet. A moins d’indiquer des critiques contre Mahomet de la période mecquoise, quand il n’avait pas d’épée. Mais après avoir joint le pouvoir à la prophétie, il n’a plus toléré aucune critique contre lui-même ou le Coran. Et cela est encore vrai aujourd’hui.
Lorsque les terroristes ont assassiné les journalistes de Charlie hebdo, ou comme ils le font partout où ils sévissent, ils ont crié « Dieu est grand, le prophète Mahomet a été vengé ». Ils se considéraient comme les exécutants de la loi islamique contre ceux qui critiquent Mahomet. Et ce qu’ils ont fait est conforme aux dispositions de la loi islamique. La question se pose : où l’ont-ils appris ? Dans les prisons, bien sur, mais ne serait-ce pas aussi dans des livres dont regorgent les bibliothèques des mosquées en France et leur traduction sur le Web ? Ou encore, ne serait-ce pas dans les prêches des imams de ces mosquées ?
En France, tout le monde a le droit de critiquer le judaïsme, le christianisme, ainsi que leurs symboles et leurs ouvrages. Les journalistes qui ont été assassinés ne s’en sont pas privés, sans tenir compte des susceptibilités des juifs, ou des chrétiens. Ce droit est garanti par la loi française. En refusant toute critique de l’islam, de Mahomet et du Coran en France, les islamistes voudraient tout simplement y appliquer la loi islamique (la charia) et brider la liberté d’expression. Tant que de telles idées dominent la pensée des musulmans, ce qui est arrivé à Paris avec Charlie Hebdo pourra se répéter, avec le même magazine et d’autres. Ainsi, sous la menace de la mort, les Islamistes veulent faire taire des intellectuels, des journalistes, des universitaires, des politiciens et touts ceux qui seraient tentés de critiquer l’islam et ses symboles. Ils veulent tout simplement établir en France une dictature islamique brutale, interdisant la liberté de pensée et d’expression.
Permettre la cohabitation, entre musulmans et non-musulmans et éviter un conflit de civilisation, est-ce encore possible ?
Si c'est une obligation pour l'école publique de former des citoyens aptes à soumettre toute conception du monde à l'examen de la raison et à ce titre, l'école publique a l'obligation de démonter l'aliénation religieuse et balayer toutes les thèses et superstitions que véhiculent toutes les religions, mais est-ce suffisant ? Comment peut-on mettre un terme au prosélytisme des prédicateurs qui infestent les quartiers via les mosquées, le Web et les prisons ? Et surtout se poser la question pourquoi en est-on arrivé là ? Pourquoi une jeunesse Française se » Djihadise », plutôt que de se révolter contre l’oligarchie « politico-industrialo-Financière » responsable de son mal vivre ? Cette oligarchie, pour qui l'Islam radical est, au fond, le bien venu, car il va servir à détourner tout un pan de la jeunesse des vrais questionnements politiques...
Comment peut-on, dès lors, imaginer la cohabitation entre les musulmans et non-musulmans en France avec de telles idées ? La société française est-elle menacée par la guerre civile, dont les musulmans seront les premiers perdants ? Soyons honnêtes, ne nous voilons pas la face, ils étaient très nombreux les adeptes de la religion musulmane en France à applaudir à l’assassinat des journalistes de Charlie Hebdo et des clients du magasin casher, comme ils ont applaudi les crimes de Mohamed MERAH ? Nul ne peut nier que ce qui est arrivé à Paris avec les journalistes de Charlie Hebdo provient en grande partie des enseignements islamiques.
Si l’on veut éviter un conflit de civilisation, aux conséquences les plus dramatiques, outre l’interdiction de tout financement étranger de Mosquée, car on y retrouve sans cesse l’Arabie Saoudite et le Qatar, ceux-là même qui financent et instrumentalisent le terrorisme Islamique, ainsi que l’interdiction d’imams étrangers, il est urgent d’imposer, y compris de façon autoritaire, auprès des responsables religieux musulmans l’obligation de revoir l’ensemble des enseignements coraniques. Ils doivent lever les interdits « du Coran, de Mahomet et de l’islam » et permettre leur critique comme on le fait avec le judaïsme et le christianisme. L’islam doit se soumettre aux lois de la république et non la république aux lois de l’Islam. Les imams des mosquées de France doivent reconnaître la liberté d’expression prévue par la loi française et demander aux musulmans de s’y soumettre, faute de quoi ils pourraient être contraints à des sanctions, voire de quitter le territoire.
Pour des prêches en français, mais également revoir et réorienter l’enseignement islamique
En ce qui concerne les mosquées, il faut surveiller ce qui y est dit et ce qui y est enseigné afin qu’elles ne deviennent pas des nids de terrorisme et d’extrémisme. Pour cela, les mosquées doivent être ouvertes à tous, les prêches doivent être prononcés en français, les imams étrangers ne doivent pas être autorisés à y officier. En Egypte, les prêches sont distribués aux imams par les autorités étatiques, qui contrôlent la stricte observance de leur contenu. Si en France, république laïque, le rôle de l’Etat n’est pas de se substituer à un clergé quel qu’il soit, il faut toutefois soumettre les imams actuels à des mesures administratives et éducatives et tous les prêches des mosquées de France doivent pouvoir être contrôlés par les autorités Françaises. Ce qui signifie que ces prêches doivent être enregistrés et les contrevenants doivent être sanctionnés.
Comme le suggère Sami ALDEEB dans une lettre ouverte au Dr. BOUBAKEUR, recteur de la Mosquée de Paris (http://www.europe-israel.org/2015/01/sami-aldeeb-lettre-a-dalil-boubakeur/) Il faut obliger les autorités religieuses musulmanes à revoir intégralement l’enseignement islamique et l’orienter vers la doctrine de Mahmoud Mohamed TAHA.
Mahmoud Muhammad TAHA, homme politique Soudanais et Théologien musulman libéral, naît vers 1909 dans une modeste famille du Soudan alors colonie britannique. Sa mère décède en 1915, son père en 1920, et il est alors recueilli par une tante qui le fait étudier. Il devient ingénieur, travaille un temps pour les chemins de fer puis se mets à son compte et, à la fin des années 1930, milite pour l'indépendance du pays. En 1945 il fonde avec quelques autres intellectuels un Parti Républicain, nettement à gauche, ce qui lui vaut deux ans d'emprisonnement. Mais il ne sera pas un martyr de l'indépendance, proclamée au début de 1956. Dès cette époque, il développe une vision de l'Islam qui suscite bien des haines. Il part d'un constat, que n'importe qui peut faire et que nul ne peut sérieusement contester : il y a deux catégories bien distinctes de textes dans le Coran. (Source WIKIPEDIA)
Selon Mahmoud Mohamed TAHA il y a une distinction fondamentale entre la période mecquoise (formulation des dogmes et des principes éthiques qui s’adressent aux non croyants) et la période médinoise (une expérience historique dans un contexte déterminé, violent et guerrier où l’Islam est supposé se structurer, en ne s’adressant qu’aux croyants convertis, souvent par la force. Dès lors l’Islam dépasse le cadre du spirituel pour devenir politique et constitutionnel), et il faut que les musulmans rompent avec l’Islam de cette période et donnent plus d'importance à la première période.
Le message contenu dans les versets du Coran révélés à La Mecque (« Coran mecquois ») expose un discours différent sur la liberté religieuse et l’égalité entre les sexes que les versets révélés après le départ de Mahomet pour Médine « Coran médinois ». Les premiers législateurs de l’islam abrogèrent les versets mecquois et se servirent des versets médinois : ce fut la création de la loi islamique traditionnelle, la charia.
Mahmoud Mohamed TAHA pensait que le « Coran médinois » ainsi que les lois de la charia basées sur ces versets violaient les valeurs d’égalité, de liberté religieuse et la dignité humaine, et qu’elles étaient dépassées. Ces versets étaient des « versets subsidiaires », valables pour la société du viie siècle, mais « inadaptés à l’époque moderne, le vingtième siècle ». Les versets mecquois, qui forment le « Second message » de l’islam, doivent constituer la « base de la législation » islamique pour une société moderne. La vraie charia, d’après TAHA, n’était pas figée, mais capable « d’évoluer, d’assimiler les capacités de l’individu et de la société et de guider la vie suivant une échelle de développement continu. Pour lui, le Coran de Médine était approprié en son temps pour constituer la charia, mais la « forme originale, authentique » de l’islam était le Coran de La Mecque, qui garantit un statut égal entre hommes et femmes, musulmans et non musulmans.
Le 5 janvier 1985, TAHA fut arrêté pour avoir distribué des pamphlets appelant à l’abolition de la charia au Soudan. Il refusa d’assister à son procès, qui débuta le 7 janvier. Le procès dura deux heures avec pour charge principale l’aveu que les accusés étaient opposés à l’interprétation de la loi islamique en vigueur au Soudan. Il fut condamné à mort avec quatre disciples (qui se repentirent par la suite et furent acquittés) pour « hérésie, opposition à l’application de la loi islamique, trouble à la sécurité publique, incitation à s’opposer au gouvernement, et reconstitution d’un parti politique interdit. »
Faire interdire en France le coran sous sa forme actuelle
Mahmoud Mohamed TAHA estimait qu’il fallait impérativement laisser de côté le Coran médinois, qui viole les droits de l’homme, et ne retenir que le Coran « mecquois ». Cela nécessite l’interdiction en France du Coran sous sa forme actuelle. Il faut exiger des autorités religieuses musulmane que tous les exemplaires du Coran, y compris ceux qui se trouvent dans les mosquées indiquent clairement que le Coran médinois est caduc en raison de ses incitations à violer les droits de l’homme. Les responsables de la religion musulmane doivent en outre reconnaître la liberté religieuse, y compris la liberté de changer de religion, de quitter l’islam. Les autorités françaises doivent imposer cette exigence sous peine de retrait de la nationalité française et de renvoi dans le pays d’origine, pour ceux qui ont conservé leur nationalité de départ.
Pouvoir débattre librement de l’Islam de Mahomet et du coran. Pouvoir s’interroger, critiquer et formuler librement toutes les hypothèses, y compris celles qui peuvent choquer les croyants concernant cette religion et son fondateur.
Sans encourir le risque d’être victime du fanatisme religieux pour » blasphème », on doit pouvoir traiter du coran et de Mahomet au même titre que lorsque l’on débat des questions historiques. A cet effet on doit pouvoir librement évoquer les deux hypothèses concernant le « fondateur » de l’Islam :
Première hypothèse : Mahomet est victime de schizophrénie, il "entend des voix" donc se croit "missionné" par le Dieu qu'il imagine dans sa tête. Il devient un gourou de secte et s'inspire des religions qui l'entourent (judaïsme et christianisme), étant en contact avec ses représentants et disciples. Au départ, les versets dictés par Mahomet sont bienveillants, miséricordieux, prônant le Bien, car étant copiés sur les dix commandements de Moïse et le christianisme du Nouveau Testament. (Versets de la Mecque.) La faiblesse numérique du nombre de ses adeptes l'oblige à être humble et bienveillant, ceci afin d'augmenter son auditoire.
Puis, son influence et sa force militaire augmentant, il utilise la guerre pour étendre son influence. Il devient ainsi un chef politique et un chef de guerre qui impose par la force, la « religion » qu'il imagine.
Seconde hypothèse : Mahomet aurait été utilisé par un groupe d'intellectuels désirant civiliser les us et coutumes de cette époque et de ce lieu géographique, en s'inspirant de ce qui existait déjà dans les pays alentours, c'est à dire le judaïsme et le christianisme… Ce groupe enseigne à Mahomet les versets bienfaisants mecquois, inspirés du christianisme. Et toutes les sourates du Coran (sauf la 9) commencent par « Au nom d'Allah le bienfaiteur miséricordieux (qui pardonne) « Sa renommée grandissant, Mahomet se serait « débarrassé » d'eux, afin de prendre le pouvoir pour lui seul, et instaurer cette nouvelle idéologie en fonction de ses idées personnelles. Mahomet n'est pas un religieux mais un despote, un dictateur. Il abroge les versets de bienveillance du début et les remplace par les versets de Médine, guerriers, vengeurs, cruels.
Les versets de la Mecque, versets bienfaisants du début, inspirés par ce groupe d'intellectuels, sont abrogés par Mahomet qui les remplacent par des versets malfaisants, prônant la haine, la guerre, la vengeance, la cruauté, ceux-ci correspondant exactement au tempérament de Mahomet !
Je pense qu’il y a conjonction de ces deux hypothèses, le débat reste ouvert…
En guise de conclusion
Obliger les autorités religieuses musulmanes, en France et en Europe, à imposer une lecture du « Coran mecquois » passe également par l’interdiction de la BURQA, HIJAB, NIQAB ou l’obligation d’étourdissement préalable pour l’abattage des animaux, cette disposition étant également applicable aux Juifs. Parvenir à de telles dispositions ne doit pas pour autant exclure une vigilance constante, avec déchéance de la Nationalité pour tous les prédicateurs Islamistes recruteurs et djihadistes qui doivent être remis aux autorités du pays où ils combattaient et où ils ont commis des exactions, Irak, Syrie, Kurdistan Etc.
Sur le plan international il faut rompre avec la logique où NETANHAYOU ordonne, HOLLANDE exécute et cesser d’être des auxiliaires serviles de la politique de l’axe Arabo-Qatari-Israëlo-Américain. Pour cela il faut renouer avec le Gouvernement Syrien de Bachard AL-ASSAD et cesser de vouloir en découdre avec l’Iran, dont la culture religieuse et les intérêts géopolitiques sont incompatibles avec ceux des organisations Djihadistes sunnites (au sujet du Nucléaire Iranien, nous avons les moyens technologiques pour éviter tous risques de dérapage de la part de ce pays). N’oublions pas que ceux qui vont en Syrie« combattre ceux que nous combattons », pour reprendre la formule d’un ancien Ministre Français de l’intérieur, aujourd’hui premier Ministre, y vont pour combattre et tuer d’autres Musulmans parce qu’ils ont une interprétation ou une pratique différente de l’Islam, ils sont « Alaouites, Chiïtes ou autres »… .
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