La paresse des enseignants...
La paresse des enseignants ! Voilà un mythe qui a la vie dure et qui se perpétue encore plus de nos jours ! Evidemment dans l'enseignement, les gens ne voient et ne perçoivent que l'avantage des vacances et le nombre d'heures de cours dipensées aux élèves. Pourtant, les enseignants sont soumis à un parcours complexe : tout d'abord, ils poursuivent de longues études avant de pouvoir accéder à leur fonction : 5 années après le baccalauréat, parfois plus...
Les concours d'enseignement sont difficiles avec des programmes assez lourds : n'oublions pas que les enseignants sont des spécialistes d'une discipline. Une fois les concours passés, ils découvrent le métier avec toutes sortes de contraintes parfois inimaginables : mutations dans différentes régions, classes souvent chargées, élèves en difficulté.
Le travail en classe est exigeant car il ne supporte aucune inattention de la part de l'enseignant : il faut faire participer les élèves, animer des débats, bien commenter les interventions des participants.
L'enseignant se doit aussi de préparer des cours, de les revoir, de corriger des copies, de recevoir des parents si des problèmes se posent, de mettre en oeuvre des devoirs communs, des bacs blancs : le travail à la maison est souvent très lourd et l'enseignant a l'esprit mobilisé par ses classes.
Imaginez le nombre d'élèves que l'enseignant a en charge chaque année !
Comment un enseignant aurait-il le temps d'être paresseux ? Il a sous sa responsabilité une multitude d'élèves : il doit les inscrire dans une progression annuelle, avec des exercices variés, différents. Son rôle est aussi de leur inculquer des valeurs : ponctualité, travail, politesse, respect des autres, attention, écoute.
Il leur prodigue des conseils pour leur orientation, il a pour fonction de les noter, de les évaluer avec équité et justesse... de les encourager dans leur évolution.
Sa mission est de répondre aux questions et aux atttentes des élèves : il est à leur service.
Il joue parfois le rôle d'assistante sociale face à des élèves en grande difficulté, en manque d'affection, il doit veiller à protéger ces élèves, les soutenir.
L'enseignant doit maîtriser aussi des notions de psychologie pour gérer des classes avec des personnalités très diverses, savoir doser bienveillance, rigueur, efficacité.
Aucune place pour la paresse dans ce métier qui demande une énergie sans faille devant les élèves... aucune place pour le laisser aller !
L'enseignement exige à la fois des qualités physiques et intellectuelles : impossible d'être fatigué devant des élèves, il faut assurer le travail avec dynamisme et compétence... Voilà bien un métier qui ne s'accommode d'aucune indolence !
83 réactions à cet article
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LE problème n’est pas les enseignants mais l’enseignement. Apprendre les valeurs ultra-libérales aux élèves les dépriment et c’est pour cela qu’ils s’enfuient. Ce n’est pas forcément une mauvaise chose.
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Bonjour La mouche
L’enseignement a surtout pour but d’éveiller les esprits, de faire découvrir des idées, des révoltes... -
kemilein 30 mars 2013 17:44là coco t’as une vision idéaliste de la chose.
les profs des éveilleurs ? st’une blague ?
ils sont probablement le premier rouage du consentement et de la résignation en TUANT l’esprit critique des jeunes.les profs font leur taff pour avoir une paie a la fin du mois, ils oublient vite leur rêve de transmettre et d’enseigner voir d’éduqué, seul compte en banque les fait tenir, leur condition de travail son extrêmement rude psychologiquement.
travailler avec des gens n’est pas comme travailler derrière une machine, on s’attend a de la reconnaissance, de la bonne humeur, le sentiment du travail bien fait, et on ne retrouve rien de cela dans l’éducation, c’est une frustration permanente des profs. [OK]mais la réalité factuel est que le prof est celui qui très tot va transmettre la résignation, transmettre le conformisme, dicter la tenue, le comportement, l’attitude (ferme ta gueule je parle / t’es une merde je te tutoie mais moi faut me vouvoyer, ETC)
de plus ils sont les briseurs de personnalités, OUI OUI, leur tâche effective est de créer des zombis, des gens décérébrer, plein de savoir, mais sans personnalité, des vaches a lait. Eux même ne s’en rendent pas compte, mais c’est ce qu’ils font.
Il suffit de regarder le nombre de jeunes qui sortent avec pour seul Conscience-Personnalité-Subjectivité leur « Rebellisme » et rien d’autre. Aucun avis sur le monde, la vie, la mort, sur l’instruction et l’éducation qu’ils ont souffert (dans le sens subir), aucun avis sur « et maintenant je fais quoi, j’en fais quoi », rien que des zombis près a perpétuer le cycle de leurs aïeux et a consumer au rytme des injonctions publicitaires (< voir ici pression social - par réseaux sociaux par exemple-)
le probleme de l’école est beaucoup plus grave qu’une question de professeur, c’est une question autant de PROGRAMME que de STRUCTURE et pour finir, que de d’OBJECTIF.
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Bonjour kemilein
mon rôle est bien celui là : il consiste à transmettre des idées, de grands auteurs, à éveiller l’esprit critique : je précise que je travaille en lycée... et je n’ai pas du tout l’impression d’être inutile, bien au contraire ! -
kemilein 30 mars 2013 20:33et bien je te l’annonce ta fonction devra disparaitre en tant que telle car elle est un frein a l’éveil de l’humain. Il faudra la réévaluer pour lui donner un sens, un objectif d’exigence. (et NON pas du « mérite » car le mérite n’existe nul part, mais ca pour le savoir faut avoir un cerveau, ce dont beaucoup manques)
le prof a deux objectifs, qui en réalité en sont trois.
il doit instruire, il doit éduqué, il doit forger l’esprit critique.
l’esprit critique doit d’ailleurs porter autant sur l’instruction que sur l’éducation.note : il faut pour cela bien définir ce qu’est l’éducation, c’est une « propagande », la construction d’un ordre « technique » (d’aucun disent politique ou économique, mais c’est en réalité « technique » c’est a dire artificiel). l’éducation a pour vocation de vous conformer a ce qu’on attend de vous, exemple être un « consommateur passif » il n’existe nul cour de citoyenneté, c’est a dire d’assumer son rôle de citoyen. c’est a dire par exemple d’être en arme, de proscrire l’armée car il appartient a tout citoyen de défendre sa communauté légale, ce n’est pas une option pour lui car il sait que s’il ne défend pas son autonomie (collective et souveraine) alors on lui en imposera une autre, raison pour laquelle il prend les armes.
et ainsi de suite.l’instruction n’est pas trop mon soucis en l’état, même si vous vous focalisez sur des branques érigées en dieu de la littérature, par exemple voltaire, ou encore balsaque, bref de merdes parfaites et d’inutilité certaine, soit une perte de temps conséquente a l’apprentissage, la sensibilisation d’autre chose bien plus pertinente.
Note : voltaire a une oeuvre a contenue politique très discutable, imaginons lire mein kamf, c’est un peu la même chose sur les bords (leurs aspects pas le contenu).l’éducation, c’est a dire l’apprentissage forcé de code de conduite d’attitude et de comportement est quand a lui complètement a revoir. ce qui est fait au sein de l’éducation nationale est parfaitement inacceptable. Et, pour ma part, le conditionnement conscient des humains a la servilité et l’esclavage est pour moi un crime contre l’humanité (« h » minuscule).
quand a l’esprit critique il est inexistant, les oeuvres lues ne servent a rien et ne forge rien, si ce n’est quelques bribes de « culture » (Culture) qu’on s’échange entre privilégié comme un code distinctif, souvent social. Et cela dure jusqu’a la FAC a qui le rôle n’est clairement plus d’éduquer ou de forger mais juste d’instruire (et heureusement).
bref, l’école dans son ensemble est a détruire et a rebâtir.
problème ?
l’humanité est une masse de cons, c’est donc mission impossible...
savourez -
Allez, un coup de poker : on échange ?????
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Contre quoi pierrarnard ?
je ne doute pas que beaucoup de métiers exigent beaucoup de travail .. mais pourquoi en exclurait-on l’enseignement ?Bonne journée... -
Un poste de cadre dans l’industrie, avec aussi des études longues et des contraintes insoupçonnables genre viré du jour au lendemain parce que le patron est débarqué par les actionnaires et retrouver après un an de chômage du taf a 80 km de chez soi.
Un travail qui ne supporte aucune inattention car il consiste à recevoir des gens qui viennent avec des problèmes à résoudre que l’on ne connait pas à l’avance et auxquels il faut répondre sur le champ parce que sinon on est pas crédible.
Un cadre se doit aussi de préparer l’avenir de son service en assumant des décisions prises avec peu ou pas de visibilité dans un environnement fluctuant.
Il oriente aussi ses subordonnés et décide de leur avenir, mais la c’est par le biais des plans de carrière et des augmentations et ses jugements ont une influence directe sur le noël des enfants.....et la qualité de la soupe.
Il gère aussi des états d’âmes et mettre la main sur l’épaule d’un type qui pleure dans son bureau fait partie du métier.
Tout comme expliquer à un type qu’il est viré mais qu’il n’y a rien de personnel......
Bref comme un prof mais avec un impact direct en vrai sur la vie des gens.
J’avais pensé lors d’un de mes périodes de chômage me reconvertir dans l’enseignement mais le chemin est complexe pour qui n’est pas du sérail....c’est pourquoi je souris en proposant cet échange parce qu’ encadrer sans conséquences, expliquer récurement ce que l’on sait et non ce que l’on estime, avec un salaire pas si éloigné et plein de vacances ça me va !!!!-
Encadrer sans conséquence ? je souris aussi, pierrarnard : des enfants sont sous notre responsabilité : leur avenir est engagé...
Il faut gérer la relation avec tout un groupe d’élèves réunis, des adolescents en crise parfois avec leurs problèmes : et la société actuelle en génère beaucoup : divorces, couples éclatés , enfants en détresse...Le moindre incident en classe est de notre responsabilité...Pour le salaire, c’est un peu hors sujet mais tout de même les enseignants sont très mal payés...Il reste la sécurité de l’emploi : le fonctionnaire, c’est vrai, ignore le chômage et doit travailler tout au long de sa vie jusqu’à la retraite retardée maintenant pour tous... -
Le salaire ? Soyons nets pour moi qui ai démarré en 1971 et terminé en 2011.
Début de carrière l’équivalent de 1425 € nets.
Fin de carrière 2700 € nets.
Pas de quoi faire fortune... -
Bonjour Jean François
les enseignants français sont assez mal payés, c’est vrai ... mon article évoque surtout le travail fourni par les profs et que les gens ne perçoivent pas.... -
Personnellement commencé à travailler en 1986 pour 7500f net suis actuellement a 2700€ net avec 80 personnes à gérer pour une moyenne de 10 h par jour avec en plus 2h de voiture.
Voyez , la question se pose...
Pour ce qui est des responsabilité de l’encadrement direct, cela peut être par exemple expliquer à un type méritant qu’il n’aura pas de rallonge cette année encore parce que l’entreprise va mal (alors que les actionnaires ont leur 14,5% de rentabilité). La vrai raison c’est que j’ai dépensé la presque totalité de mon enveloppe de 3% de masse salariale (ça fait pas lourd) pour passer cadre 2 types plus cruciaux dans l’organisation qui encadraient chacun 10 personnes avec un statut d’employé.
Un autre exemple cela peut être d’expliquer à une assistante qu’elle ne partira pas en vacances avec son mari dont la boite ferme en aout parce que je préfère que ce soit sa collègue (qui elle des enfants)qui parte avec eux en aout.
La vrai vie, en pleine gueule et un impact direct sur les gens, tout de suite et pas au bac dans x années.... -
La vrai vie ! mais l’enseignant aussi l’éprouve et tous les jours : vous savez ce qu’est un adolescent en détresse et en révolte qui n’a pas de parents pour s’occuper de lui et dont il faut gérer l’indiscipline tout en connaissant ses difficultés ???
On en a de plus en plus dans nos classes, pierrarnard...Des classes de 36 élèves en lycée.... -
"Pour ce qui est des responsabilité de l’encadrement direct, cela peut être par exemple expliquer à un type méritant qu’il n’aura pas de rallonge cette année encore parce que l’entreprise va mal (alors que les actionnaires ont leur 14,5% de rentabilité)."
2700€ / mois pour servir la soupe aux actionnaires, le denier de votre morale n’est pas très élevé. Prenez exemple sur c Ghosn que diable !
Vous dites être cadre, Comme des millions de salariés lambda j’ai envie de dire, à qui l’on vend cette pommade pour leur faire endosser la responsabilité de faire ingurgiter la potion amère de l’exploitation à l’échelon hiérarchique inférieure et ce jusque tout en bas de l’échelle. Aujourd’hui quasi tout le monde ou presque est cadre...
Etre cadre cela suppose une certaine marge de manoeuvre. Si vous ne l’avez pas et que vous êtes contraint en tout dans vos décisions, notamment de ne pas pouvoir dire la vérité à vos subordonnés (je n’ai pas la possibilité de vous augmenter parceque les actionnaires sont prioritaires), il faut vous poser la question de votre place de cade. Echelon hiérarchique élevé, expert technique ou organisationnel, sans doute. Posons nous tous la question, sans se flatter l’égo ? sommes nous vraiment cadre ? -
« impossible d’être fatigué devant des élèves »
Surtout quand on fait grève la moitié de l’année en plus des vacances... Est-ce que les profs de l’Education Nationale sont des grosses feignasses ? Non, pas tous, mais un bon nombre : c’est clair.
Ajoutons à ça qu’un prof a tout le loisir d’être une grosse feignasse s’il est fonctionnaire, vu qu’il ne peut pas être viré si facilement (malheureusement), rien ne l’oblige à bosser. Bonne planque !Au collège, j’avais une prof, elle fasait même les grèves des cheminots, si ça c’est pas de la feignasse, qu’est-ce que c’est ?
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Allons, allons tikhomir
il faut arrêter avec les clichés : un enseignant est noté, contrôlé par des inspecteurs, par des chefs d’établissement... il ne peut pas se permettre de s’absenter comme vous le dites... -
Celle-ci a pourtant brillé par son absence. Peut-être qu’elle couchait avec l’inspecteur et le directeur pour avoir ces « privilèges »
Même chose pour un vieux prof qui nous projetait son cours — certainement le même depuis une éternité — et qui ne faisait que lire ce qui était projeté.
Allez, on a tous des exemples de profs glandeurs.
Mais plus sérieusement, la paresse des profs est équivalente à celle de beaucoup de fonctionnaires, et malheureusement aussi à celle de bien des gens du privé. D’ailleurs dans le privé c’est de pire en pire, les gens en tiennent une sacré couche.
Pour ma part, je pense qu’on devrait pouvoir licencier plus facilement les gens qui ne glandent rien.
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Pour ma part, je n’ai guère connu de profs « glandeurs » : une seule fois en fac.... sinon en lycée et collège difficile pour un prof de ne pas faire son travail : les profs sont contrôlés, notés...
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les profs sont contrôlés, notés...
Et qu’est-ce qui se passe si les « notes » ne sont pas bonnes, Rosemar ? Ils sont virés peut-être ? -
Pourtant, des exemples de profs, j’en ai pas mal de mon côté. Ils sont notés, mais et alors ? Si on ne peut pas les virer parce qu’ils sont fonctionnaires, ça ne pèse pas grand chose.
Mais comme je le dis, c’est un fléau de société qui s’étend largement au privé et de plus en plus (moi-même, je dois régulièrement faire des rappels dans certaines équipes ou mettre des gens à l’écart, voire demander à ce que certains soient licenciés).
C’est d’ailleurs (entre autres) une des raisons pour lesquelles je refuse catégoriquement tout travail avec des fonctionnaires ou assimilés, (EDF/GDF/Orange/France Telecom/La Poste/SNCF), etc., que je refuse tout travail dans les mutuelles et assurances (une belle bande de glandeurs là-dedans à cause de leur convention collective), que je refuse tout travail où il y a trop de gens syndiqués ou tout travail avec un syndicat et tout travail où l’entreprise respecte à la lettre le code du travail, que je refuse tout travail qui n’est pas « à flux tendu » ou critique. J’ai déjà essayé, je ne recommencerai plus, surtout avec les fonctionnaires, plus jamais. Depuis que je fais ça, ma vie professionnelle a vraiment changé pour le mieux.
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Bonjour francesca
les profs peuvent être sanctionnés, une mise à pied par exemple... -
Oui bien sûr, pour de la glandouille, une mise à pied, tout le monde y croit.
Continuez de prendre les gens pour des idiots, rosemar. -
Enfin francesca
je réponds à vos questions et vous ne me croyez pas : j’ai connu un collègue qui a subi une mise à pied ... -
Une mise à pieds ? Cool ! Des vacances supplémentaires ! (en plus des grèves, des vacances et des arrêts maladie).
Allez, le ratio nombre de glandeurs/nombre de mises à pied montrerait facilement qu’il n’y a pas véritablement de sanctions.
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Pas de salaire pour une mise à pied : vous appelez cela des vacances tikhomir ?
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Mais arrêtez un peu. Il n’y a quasiment pas de mises à pied et le peu qu’il y a durent combien de temps en moyenne ?
Une prof qui gifle un elève (et je pense qu’elle a eu raison) : 2 semaines de mise à pied. C’est pas une vraie sanction ça, ce sont des vacances.
http://infos.fncv.com/post/2010/03/21/education-nationale-enseignante-exclue-gifle-eleve-lille
Combien de temps de mise à pied pour simplement glandouiller ?
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2 semaines de mise à pied pour une gifle : c’est bien une sanction et il y a bien absence de salaire : ce n’est pas rien : vous voyez là toutes les difficultés du métier des enseignants qui doivent se maîtriser dans des situations difficiles : merci d’apporter de l’eau à mon moulin, tikhomir....
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Mais 2 semaines sans salaire, ce n’est pas une sanction attendez, ce sont des vacances. Une vraie sanction c’est à partir d’un an de mise à pied ou un licenciement. Là d’accord, on pourrait en parler.
Au moins, là où je bosse, celui qui pose trop de problèmes, on lui dit : tu fais tes affaires tout de suite et à 14h t’es parti, on lui paye son préavis et il est grillé dans le métier, il aura bien du mal à trouver un job intéressant dans une autre boîte suite à ça, chômage longue durée en perspective. Ca c’est une sanction.
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Et puis le sujet n’est pas l’’exaspération des enseignants, c’est leur feignasserie ou leur incompétence. Sont-ils mis à pied pour ça ?
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Francesca
Voici le témoignage de mac...Dans l’enseignement comme partout ailleurs, il y a des gens plus ou moins courageux.Si la vie est difficile, particulièrement dans les PME, il existe aussi de grandes entreprises privées dont le marché est assuré parce qu’elle jouissent d’une situation de quasi monopole. Dans certaines de ces entreprises vous pouvez très bien y trouver des cadres ou des secrétaires qui passent beaucoup de temps à surfer sur le net pour préparer leur prochaines vacances ou qui s’éternisent à la machine à café. Je le dis parce que je l’ai vu...Les gens du privé ne sont pas toujours punis pour leur paresse...Mais la différence, c’est que les enseignants, eux, sont soumis au contrôle des parents, des élèves, de l’administration... et croyez moi avoir les parents sur le dos, ce n’est pas rien... -
Marrant ça, les profs qui essayent de se faire plaindre quand les français galèrent au chômage (et particulièrement les jeunes dont le quart ne trouve pas de boulot), profs bien planqués avec le job sécurisé qu’ils ne risquent pas de perdre, sans réelle sanction, qui se plaignent avec 2700 euros en fin de carrière quand le Français moyen finit sa carrière avec bien moins que ça et touche une retraite maigrichonne qu’il doit finalement compléter avec un job d’appoint parfois... Français moyen qui lui, a la décence de ne pas essayer de se faire plaindre en permanence.
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Il n’est pas question de se faire plaindre ou de gémir mais de prendre conscience de certaines réalités...
Le métier d’enseignant consiste à transmettre, à faire réfléchir : c’est une belle activité aussi ! -
Mais transmettre quoi exactement sinon une propagande étatique malsaine qui falsifie l’histoire de France voire l’oublie complètement, qui veut sexualiser les enfants dès l’école primaire et leur voler leur innocence, ne donne plus de cours de S.V.T. mais leur fait des modes d’emploi pour des capotes et les endoctrine pour être athées (l’école n’est ni neutre ni laïque, elle est athéiste), fait la promotion de l’idéologie du gender, les endoctrine pour qu’ils ne réfléchissent plus et admettent sans discuter les principes républicains les plus ignobles, déresponsabilise les parents et leur vole leur rôle éducatif pour soit disant « extraire l’élève de ses déterminismes sociaux » (pour en faire de bons petits soldats consommateurs), et bien d’autres horreurs.
Au lieu de sexualiser des gosses de 6 ans, on ferait mieux de leur apprendre à lire et à écrire correctement.
Arrêtez votre barratin sur « le beau métier de prof », aujourd’hui, c’est un métier qui pervertit la jeunesse en plus d’être une grosse blague.
Le prof aujourd’hui ne sert qu’à relayer (souvent malgré le prof lui-même) des idéologies malsaines mais le prof est trop en sécurité pour mordre la main de l’Etat qui le nourrit et l’envoyer promener.
L’école de la république est une immonde mascarade, une machine perverse dont il faut s’éloigner au plus vite.
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Mais pas du tout tikhomir
vous êtes toujours dans la caricature : vous connaissez Zola, Hugo, Molière ??ces auteurs là invitent à la réflexion !! -
Pas du tout ? Ah oui ? J’en déduis que vous êtes fanatisée.
Moi j’étais à l’école il y a un peu plus de 10 ans et c’était déjà ça, aujourd’hui je suis largement au contact d’adolescents et franchement, c’est encore pire.
Lorsque je vois certains exercices qu’on leur donne à faire, c’est tout à fait honteux.Rien que le fait qu’il y ait une « éducation sexuelle » à l’école prouve ce que je dis sur la sexualisation, la déresponsabilisation des parents (où l’école distribue via les infirmières scolaires des contraceptifs et des avortements, etc.).
Et ça ? Dès l’école primaire : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/10/23/01016-20121023ARTFIG00548-vincent-peillon-se-penche-sur-l-education-a-la-sexualite.php
Dès l’école primaire ? Je trouve ça limite pédophile.
L’école est une machine mortifère.
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@ tikomir
Mieux vaut que les adolescents n’ai pas d’éducation sexuelle, c’est sûr. Ce que vous dites c’est retour vers le moyen age. Encore heureux qu’en SVT, on enseigne les bases de la biologie et que l’on en profite pour expliquer les moyens de contraception.
Vous être en plein délire. -
Le mythe de l’enseignant qui ne fait rien et ne pense qu’à prendre des vacances commence à faire long feu.
Dans l’enseignement comme partout ailleurs, il y a des gens plus ou moins courageux.Si la vie est difficile, particulièrement dans les PME, il existe aussi de grandes entreprises privées dont le marché est assuré parce qu’elle jouissent d’une situation de quasi monopole. Dans certaines de ces entreprises vous pouvez très bien y trouver des cadres ou des secrétaires qui passent beaucoup de temps à surfer sur le net pour préparer leur prochaines vacances ou qui s’éternisent à la machine à café. Je le dis parce que je l’ai vu...-
MERCI pour ce témoignage mac....
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slipenfer 30 mars 2013 11:56la paresse je sais maintenant ce que c’est .
c’est quand tu as envie de chier et que tu retarde le plus longtemps
possible le moment de sortir de ton lit pour descendre les escaliers
qui mène au wc.-
rosemar
seriez vous la réincarnation de davy crockett ?
https://www.youtube.com/watch?v=QAVN_n0PljQ
méfiez vous : fort alamo j’ai vu le film plusieurs fois ça finit toujours mal ........-
Bonjour gaijin
pourquoi davy crockett ?J’aime bien la chanson en tout cas ! Merci ! -
l’article, le fil, votre façon de défendre les enseignants au delà de toute vraisemblance ........
ça m’a fait penser a fort alamo ( le film ) et au davy crocket incarné par john wayne
( un petit coté dernier combattant offrant sa poitrine aux balles pour défendre son drapeau )l’école cernée de toute part
peuplée de héros grandioses
résistants jusqu’à la dernière cartouche ( d’encre )
...................................pour tout vous dire je n’ étais pas fan de davy crocket : trop lisse trop propre sur lui
même enfant je préférais déjà david bowie : « tranche, taille et cours ...... »
je comprends votre démarche mais l’ école dont vous me parlez ne ressemble en rien a ce que j’ai pu connaitre ........
pourquoi ?et si une partie des maux de l’école venait de cette position retranchée derrière des idéaux ?
il y a vous et ceux du dehors, mais qui ferme les portes ?
l’école ne devrait’ elle pas être la préoccupation de tous ?
beaucoup de questions mais je trouve les questions plus riches que les réponsesvoilà le pourquoi de ma comparaison ........
« tranche, taille et cours ...... » -
Tu fais des amalgames. (par rapport à ton vécu ?)
Y’a de tout dans l’éducation nationale comme ailleurs...Des gens passionnés qui s’investissent dans leur mission sans compter.à contrario : d’autres qui ne devraient plus y être, parce qu’ils n’ont pas la vocation ou l’énergie et qui ennuient profondément leurs élèves et entachent le métier et le mérite des autres.être prof devrait être un sacerdoce, avec des remises en causes relationnelles...Demander a un instit de CP d’avoir une maîtrise de biologie ou de math pour concourir :quelle ânerie !Demandons nous plutôt, s’il est à l’écoute des difficultés, s’il est apte à entraîner, émuler,...La réponse est évidente, il suffit de se remémorer nos profs, qui dans nos cursus personnels, nous ont marqué. Vous vous souvenez de leur nom ?Oui : pour les très mauvais et les excellents, mais la grande majorité (courbe de Gauss) a juste fait honorablement son métier sans laisser d’empreintes.« Le cercle des poètes disparus », traite bien ce sujet.-
Toute généralisation comportera des erreurs
n
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Juste remarque noodles
mais comme on a tendance à taxer les enseignants de paresse, il est bon de préciser que ce métier exige du travail...Belle journée... -
Voilà un beau coup d’épée dans l’eau
A mon avis, Rosemar, l’effet produit par votre article est négatif.Les assurances lénifiantes nous assurant le petit doigt sur la couture que tous les profs sont excellents, et ce catalogue de bienséance, me font penser à cette brochure qu’on nous donnait, le premier jour de notre incorporation à l’armée, pour nous assurer que les militaires, forcément parfaits, allaient faire de nous des hommes.
Et que ce petit livret s’il ne nous donnait pas toutes les réponses, était là pour nous rassurer, sur notre prise en charge, la meilleure dans le meilleur des mondes possibles....." L’enseignant se doit aussi de préparer des cours, de les revoir, de corriger des copies, de recevoir des parents si des problèmes se posent, de mettre en oeuvre des devoirs communs, des bacs blancs : le travail à la maison est souvent très lourd et l’enseignant a l’esprit mobilisé par ses classes.....« AU SECOURS !.... C’est Too much !...Cela frôle l’idéologie soviétique quand elle faisait la publicité du politbureau, associant la réussite émérite des travailleurs à l’idéologie bénie oui oui.
L’esprit de corps est manifeste, et indispose, quand il ne nous fait pas rigoler doucement.
Car l’avez vous oublié, tous ceux qui vous lisent, et ils vous le rappellent, ont été des élèves, et ont des souvenirs.....Vous ne la ferez donc à personne en donnant une image si lisse du corps enseignant.
Des profs, inutile de faire dans la provocation et se discréditer, en disant que c’est une profession de fainéant.Non, c’est sans doute un métier difficile, mais qui n’est tout de même pas un chemin de croix.
Des profs, chacun a ses souvenirs de gens admirables, dont on se souvient parfois toute notre vie, et d’autres qu’on voudrait bien oublier.Une remarque évidente : Inutile de nier que l’éducation nationale ne sanctionne pas les mauvais, ou très exceptionnellement. Au pire elle les mute, et pour les affaires les plus graves et les plus douloureuses, comme les médias en ont fait écho dernièrement.
Un prof qui va mal, tous les collègues auront tendance à le protéger, et si cela part d’un bon sentiment, mais pour les gamins c’est parfois dramatique.
L’assurance qu’ils continueront des années et des années, avec les dégâts collatéraux.
Peut- être pourriez vous si j’osais faire dans ce genre de dérangement, en matière d’écriture, au lieu de pontifier et d’assurer les arrières, au point d’en être si peu crédible, à force de langue de bois.
Après tout c’est un sujet humain, dérangeant sans doute, mais qui appartient tant à la tradition d’un métier, qu’il faut parfois un œil extérieur pour vous le révéler.Pas question qu’on touche aux inspecteurs !
Voilà ce qu’on a entendu il y a deux ans, quand le ministère voulait faire évoluer la notation, et donner aux directeurs leur mot à dire.
Ce qui ne manquait pas de sel, quand on se souvenait des indignations soulignant naguère l’archaïsme de ce système, se trouvant tout à coup paré de toutes les grâces.Car c’est quand même ça qui est au cœur du problème.
Aucun autre corps de fonctionnaire n’a un système de recrutement si archaïque !
Dans la fonction hospitalière, on est embauché par un DRH en fonction de projets.
Mobilité, et adaptation sont les outils en place.A vrai dire mon billet m’exaspère moi aussi car il me fait pointer des choses désagréables, et qui peuvent sembler désobligeantes, surtout aux profs qui dans l’ensemble font bien leur métier.
Mais c’est un peu ce que vous provoqué par ce constat appelant forcement à la réaction, par son coté » bétonnage de brut ", et d’abord le titre, qui est forcément provocateur, et cherchant la caricature.
Qu’il faut bien sûr éviter dans tout genre de débat.-
Bonjour Bakerstreeet
vous écrivez : « Pas question qu’on touche aux inspecteurs !Voilà ce qu’on a entendu il y a deux ans, quand le ministère voulait faire évoluer la notation... »Alors là, je ne suis pas d’accord : les inspecteurs n’ont plus une grande utilité : coupés du monde enseignant, ils ont perdu le sens des réalités et pourtant les enseignants sont soumis à leur autorité arbitraire le plus souvent...En tout cas, si mon article est inutile, selon vous, il a quand même suscité des commentaires qui sont aussi parfois positifs et tant mieux !Les gens s’imaginent que les enseignants ne sont soumis à aucun contrôle, c’est absurde : ils sont d’abord contrôlés par les parents qui ont maintenant leur mot à dire, par les élèves, par l’administration : la situation a bien évolué... -
bakerstreet
" « AU SECOURS !.... C’est Too much !...Cela frôle l’idéologie soviétique quand elle faisait la publicité du politbureau, associant la réussite émérite des travailleurs à l’idéologie bénie oui oui."
merci c’était aussi mon sentiment mais je n’avais pas le courage de développer ..... -
Rosemar
Content de vous voir reprendre des couleurs, car votre article me semblait vraiment trop formel.
Le but n’est ce pas est de faire réagir, et je l’ai fait en rapport avec votre titre, qui me semble dangereux, car en déplorant un « mythe » ou un cliché, vous l’entretenez malgré vous, et provoquez des réactions cassantes.
Plus d’un l’a souligné, pas question de mettre tous les profs dans le même panier ( de fleurs).
L’éducation est une fête, ou devrait l’être, pour les parents comme pour les enseignants.
Pour l’école, des changements devraient être institués, pour le bonheur des deux parties.
J’ai cru comprendre dans certains articles que vous avez écrit, et dans votre remarque, que vous n’y êtes pas à priori opposé, et cela vous honore.
Dans tout problème soulevé, pourrait on envisager des solutions, ou des hypothèses de travail ? -
Bakerstreet
Tout à fait d’accord avec vous sur la réticence systématique des enseignants face aux propositions concernant la notation. Et c’est peut-être dommage, car en l’état, ce priincipe est tout au moins insuffisant : inspections trop espacées, trop ponctuelles, et obligatoirement annoncées, ce qui bien sûr ne donne pas une évaluation suffisante (on met à part les cas extrêmes, qui existent, de profs incompétents, dont la mise en évidence est aisée mais ne débouche pas très souvent sur une mise à l’écart de la fonction, ce qui serait pourtant plus que souhaitable !).
Mais pour ce qui est de donner aux chefs d’etablissement le pouvoir d’évaluer, là je suis moins d’accord : les profs entretiennent avec l’administration des boîtes des rapports complexes qui peuvent fausser outrageusement l’évaluation pédagogique , car c’est bien de celle-là qu’il s’agit en tout premier lieu et qui intéresse directement l’intérêt des élèves et de leurs familles. L’idéal serait de former plus d’inspecteurs et de recentrer leur action sur l’inspection proprement dite. Or, ils doivent répondre à de multiples tâches, l’inspection n’en représentant qu’une partie...
L’énorme difficulté d’enseigner dans certains établissement tient actuellement à la part que représente l’éducation sur l’instruction. Il n’y a pas de vraie liberté sans instruction, or nombre d’élèves n’ont pas de par leur difficultés éductaives personnelles, la « sérénité de base » qui les rendrait immédiatement aptes à acquérir des savoir et des compétences. La formation des profs actuellement les prépare-t-elle suffisammment à cette action purement éducative ? -
La fin du mythe sur les vacances !Je profite de cet article pour faire une petite mise au point concernant le mythe des vacances des profs.1- Les profs ne sont pas payés pendant les vacances d’été, leur salaire annuel est de 10 mois, il court du 3 septembre au 3 juillet (c’est la raison pour laquelle tous les discours de politiciens concernant l’école en juillet sont ridicules car où trouver l’argent pour payer un mois de salaire en plus à la profession ?).Pendant ces deux mois de « chômage technique », les enseignants touchent néanmoins une somme qui correspond à un lissage de leur salaire annuel. Par exemple, un prof moyen avec 10 ans d’ancienneté gagne à peu près 2 100 euros net, mais chaque mois l’Etat ne lui verse que 1800 et les sommes retenues sont reversées les deux mois d’été sous forme d’erzat de salaire.Cette technique de lissage fait que même la plupart des enseignants ne savent pas qu’ils sont payés sur une base de 10 mois. Mais c’est la raison pour laquelle on a coutume de dire que dans la fonction publique à même échelon, un prof est moins bien payé que n’importe quel autre fonctionnaire.2 La dernière fois que je me suis penché sur la question, j’ai découvert que le contrat qui liait les enseignants datait des années 50, à l’époque où la durée du travail hebdomadaire était de 42h. Les enseignants sont tenus de faire 45h par semaine car ces trois heures supplémentaires étaient destinées à compenser les vacances de l’année scolaire. A ma connaissance, cette loi n’ayant jamais été revue, cela veut dire que réellement, les enseignants n’ont que 2 semaines de congés payés par an. Les autres « vacances » sont en fait des temps de récupération pour lesquels ils ont largement travaillé durant l’année.Ce qui est parfois difficile à comprendre c’est que le travail des enseignants se fait en deux temps : le temps devant élève, de 18h, et le temps de préparation, corrections, réunions, préparations d’examens, rencontres de parents etc...estimé à 2h30 pour une heure de cours qui est impossible à évaluer car il varie avec la matière, le nombre d’élèves, les fonctions comme professeur principal etc...On peut donc dire que même le plus fainéant des profs doit réussir à descendre à quoi...35h par semaine ? On est loin du paradis de la paresse...-
Enfin une mise au point avec des faits .
On peut compléter ou actualiser avec ceci : salaires bloqués depuis 2010 mais prélèvements accrus , donc baisse du salaire nominal .
Depuis 1995 : baisse du salaire en euros constants du salaire de 13% , alors que hausse de15% dans l’UE) .
Depuis 1981 , baisse en euros/francs constants du salaire des profs ( à ancienneté égale ) de 24% .
Baisse en relatif de 42% , car il n’y a pas eu de diminution du temps de travail ( jamais d’ajustement pour une 2ème , une 3ème , la 4ème et la 5ème semaine de Congés payés) .Le salaire est donc bas .
Mais il est frappant de voir ( ne serait-ce qu’ici ) toute cette rancoeur à l’encontre des profs : rancoeur qui montre que dans ce métier , la pression s’exerce y compris de la part de gens qui ne sont pas dans l’entourage professionnel .
On est typiquement dans ce qui est décrit à propos des grandes entreprises : non reconnaissance de l’investissement personnel dans le travail , exercée à l’encontre des salarié(e)s , cadres d’Orange par exemple , sauf que la pression ne vient pas que d’en haut , par une exigence de rendement démesurée .Ce mépris n’est pas sans rappeler le mépris de classe à l’encontre des métiers déconsidérés .
Et finalement ce qu’on lit ici montre l’état de notre société : dénoncer les salariés , profs ou non , se plaindre soi-même qu’on subit un stress dans son entreprise , mais l’imputer aux autres salariés , pas au mode d’exploitation : et là le Patronat sourit , il a gagné , les salariés sont en guerre entre eux ... l’austérité et le chômage peuvent continuer de plus belle .
En attendant , au lieu de se battre pour vivre mieux , gagner un meilleur salaire et de meilleures conditions de travail , on reproduit le discours patronal de culpabilisation du salarié . Sauf qu’au fond , on se trompe de cible , tant qu’on n’est pas membre du CAC 40 .
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Alors nous avons 1 millions d’Enseignants masochistes en France !?
Parce que si le métier est si dur (plus dur que le travail à la mine ou sur les chaînes de montage !) alors pourquoi donc embrassent-ils une telle carrière professionnelle ?
Pas étonnant que les élèves Français sortent tous dépressifs ...
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Bonjour Denzo
il faut savoir que de moins en moins de candidats se présentent aux concours d’enseignement : ce métier n’est donc pas si attractif pour beaucoup... -
j’ai vu des ouvrières pleurer et saigner sur leurs postes de travail
mais j’ai aussi vu des enseignantes quitter une salle de classe en pleurant , couvertes d’encre .....
notre société est violente .......
il ne sert a rien de dire que la violence c’est mal
notre société est violente .......
les gens sont violents
les enfants de parents violents sont violents
point -
gaijin
je connais des collègues qui vont travailler aussi la peur au ventre.... -
Rosemar
Faux !
Si vous ne le savez pas le nombre de candidats aux concours a explosé cette année
Malgré le relèvement parfaitement imbécile et contre productif, ayant forcément entamé l’érosion par voie mathématiques :Est il vraiment nécessaire d’avoir un master pour enseigner aux maternelles, et je dis le mot enseigner avec prudence, en regardant ce qui se fait ailleurs...Dans les pays nordiques, les petits sont scolarisés bien plus tard, pour à la fin de leur cursus ne pas trop en montrer handicap, c’est le moins qu’on puisse en dire.
A mon avis, on gagnerait beaucoup en multipliant les filières d’entrée, et en permettant à des gens qui ont eu des expériences professionnelles différentes, de changer un peu la donne habituelle qui s’est caricaturée dans son illusion d’excellence : Les candidats sont de plus en plus diplômés, mais pour quel effet ?
Pas terrible à lire le résultat des enquêtes internationales.
La faute à qui ?
A la méthode d’abord, car les gens qui sont en place font sans aucun doute avec leurs moyens.
La flexibilité, différentes approches, adaptations, ouverture, multiplications des genres, médiation, voilà pour moi des valeurs et des mots clés. -
Bakerstreet
le nombre de candidats a peut-être augmenté mais il faut vous renseigner : dans certaines disciplines on connaît encore une pénurie de candidats.... -
Ah la « vraie vie »...
Rosemar, vous vous fatiguez inutilement avec certains.
Sur le fond, vous avez raison mais vous ne convaincrez personne.
Ce que j’observe c’est que tous ces geignards passent leur temps à opposer salariés du privé/salariés du public (enseignants en particulier) sans élaborer une quelconque réflexion sur le métier de prof.
Ce que les profs voient de la « vraie vie » ce sont des élèves (qu’ils soient d’extraction modeste ou plus aisée, la mauvaise éducation étant généralisée, trans-classes) qui se comportent souvent comme des « porcs », bourrés de préjugés archaïques sur à peu près tous les sujets (et notamment sur le métier de prof) totalement soutenus par leurs parents.
Inutile de ressortir à ces gens la longue liste des « incivilités » (novlangue obligatoire même quand il s’agit d’ultra-violence verbale et physique voire d’actes criminels, mais peu veulent employer ces expressions et surtout reconnaître la réalité) face auxquels les « profs » ne peuvent rien...Allons plus loin.
L’alliance des trotskistes et des libéraux, soit l’avènement du libéralisme libertaire depuis 40 ans a mené à cela : crise de la transmission du savoir, crise de l’autorité (au sens d’accroitre les capacités, d’augmenter, de « développer ») que les « éducateurs » trotsko-gauchistes soutenus par le laisser faire des libéraux, confondent sciemment avec l’autoritarisme...donc avec la réaction, le fascisme etc.
En outre, on se retrouve, donc, face des élèves qui ne respectent déjà pas leurs parents (ou l’inverse certainement, ce ne sont pas les exemples de parents laxistes qui fulminent contre le « prof » qui remet leur gamin à sa place, qui manquent).Après, le statut/fonction du prof, même logique. Et là je ne vous rejoins pas Rosemar.
Il est devenu animateur-éducateur (homme ou femme) en "jean’s t-shirt, et basket« devant des élèves fringués comme lui. Il doit respecter des programmes qui sont là pour rendre l’élève »employable" (et encore...) avec comme objectif l’acquisition pour l’élève de connaissances et d’un esprit critique a minima (« on » travaille sur la pub, des chansons, des sketchs en cours de français, « on » leur parle des théories à la mode en SVT, « on » fait de ou dans l’air du temps...avec « atelier hip-hop » à midi).
ça vaut autant pour le public que pour le privé. Mais bon, il y aura toujours une buse de service qui viendra défendre ce dernier, alors que les programmes sont les mêmes, les enseignants passent les mêmes concours (des mauvaises langues disent même que les profs du privé sont des recalés du public), mêmes correcteurs, mêmes inspecteurs, etc. En réalité, seul le hors-contrat est véritablement « privé ».
Ajoutons que pour ne plus employer l’expression de surveillant général on parle CPE, de « vie scolaire », de « conseillers », etc. Cela ne devait que trop rappeler l’URRS à nos bons pédagogues trotsko-libéraux.
Bref, « on » les entretient dans le déjà-su...
Tout le vocabulaire de la pédagogie et les buts vers lesquels l’élève doit tendre viennent du libéralisme avec la bénédiction/complicité des trotskards.
Exemples de solutions : fin du copinage et de la démagogie (tenues « prof-élève » strictement différenciées -> uniforme, révision en profondeur des programmes et pédagogie (l’École n’est pas là pour servir le Marché), quand un élève est exclu d’un établissement à lui et ses parents de faire les démarches obligatoires pour en retrouver un qui l’acceptera, moins de place donnée aux parents (est-ce qu’on va les emmerder sur leur lieu de travail, nous ?), etc.A lire, Gabriel Cohn-Bendit aussi xxx que son frère. Selon lui, « on » n’a pas été assez loin dans la démagogie, le pédagogisme etc.
http://www.marianne.net/Pour-Gaby-Cohn-Bendit-l-ecole-c-est-de-la-merde_a183415.html
extrait :
Gabriel Cohn-Bendit, impayable mais sérieux : « un préalable avant d’avoir été enseignant, c’est d’avoir fait une colonie de vacances et de s’en sortir avec les mômes ». Et de poursuivre dans sa démarche marketing : « il faut faire de la publicité comparative entre les méthodes de l’école traditionnelle et les nôtres et on verra les résultats ! ».
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Bonjour Jean Michel
vous écrivez ceci « « on » travaille sur la pub, des chansons, des sketchs en cours de français, « on » leur parle des théories à la mode en SVT, « on » fait de ou dans l’air du temps...avec « atelier hip-hop » à midi) »Mais alors là ce n’est pas du tout la réalité : on continue à étudier les grands textes littéraires en lycée : Zola, Balzac, Molière, La Bruyère, La Fontaine et tous les grands auteurs !!Heureusement ! J’ai encore pour vocation d’éveiller l’esprit de mes élèves à une conscience critique !! -
jean michel
" Ce que j’observe c’est que tous ces geignards passent leur temps à opposer salariés du privé/salariés du public (enseignants en particulier) sans élaborer une quelconque réflexion sur le métier de prof.«
mais non mais non
au contraire on ne demande pas mieux ( et merci pour votre intervention )
si rosemar se fait chambrer c’est en grande partie a cause de la » lississitude " de son discours
( néologisme entre lisse et lassitude )
une suggestion a ajouter a votre liste : sortir des discours idéologiques, revenir a la réalité des faits réintroduire le pragmatisme dans la pédagogie, foutre la paix aux profs sur leurs méthodes du moment ou les résultats suivent ........l’école crève de sa position de camp retranché assiégé de toutes parts ( d’où mon intervention sur fort alamo ......... )
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Rosemar si vous contrariez Jean-Michel vous allez finir au Goulag comme une vulgaire trotskiste. Le commissaire du peuple vous dit que l’alliance laxiste des libéraux et des trotskards est la cause du mal et que revenir au temps des uniformes, tous en blouses grises et au garde-à-vous et pourquoi pas devant la statue de KIM-Jong-Un remettrait de l’ordre dans ce pays...
Ne faites pas semblant d’apprendre les grands auteurs bourgeois à nos mômes tout le monde sait ce que sont vos méthodes pédagogiques.....
Chanter la Marseillaise de la République bourgeoise, adoubée par le PRCF, devant le lever des couleurs serait un plus pour nos jeunes décervelés..
On apprendrait aux gamins la « décence commune » les valeurs patriotiques, de respect des hiérarchies, du mépris des prolétaires de substitution des trotskards c’est-à-dire des Roms et des métèques, l’amour du drapeau tricolore des Versaillais... En plus bien sûr de l’histoire de l’URSS revisitée par les meilleurs thuriféraires du camarade Staline....Bref cette école qui aujourd’hui comme hier permet d’exclure les couches populaires de la connaissance et des études, cette école au service du capitalisme et qui voit toujours davantage les requins du privé arriver en masse dans les sphères de l’EN devrait selon notre ami revenir à des méthodes anciennes qui n’ont jamais pu émanciper les couches sociales exploitées et qui ont donc fait la preuve de leur échec.
Le « c’était mieux avant » oublie ou fait semblant d’oublier que le rôle de l’école en système capitaliste c’est de dégager l’élite et d’envoyer les autres, les recalés, au boulot pour la nourrir.
Le socialisme se voulant la libération des prolétaires de la tutelle et de l’exploitation économique de l’oligarchie devra aussi casser ce système d’éducation et permettre à toutes et à tous d’accéder aux connaissances. Pas besoin Kapos pour ça !
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-> lire URSS bien sûr.
Rosemar,
Le trait était évidemment forcé, un brin caricatural, vous l’aurez compris !?...
Jaja,
Encore une fois, à lire votre commentaire (et ceux d’un ou deux autres, cela dit au passage), on a l’impression d’avoir affaire à un militant umps-eelv ou fn...»Goulag« , »politburo« ou encore c’est soit l’Union européenne (vous NPA rajouterez sociale avec naïveté ou cynisme) soit la Corée du Nord ». On connaît bien...
Si vous ne voulez pas intégrer le fait que l établissement du, je vous cite, »socialisme se voulant la libération des prolétaires de la tutelle et de l’exploitation économique de l’oligarchie" passe par la restauration de la souveraineté nationale (et, de fait, par un rapprochement avec des mouvements désirant aller dans ce sens) contre cette "Europe supranationale" non-réformable, soumise aux lobbies, aux puissances d’argent, alors votre société rêvée ne verra jamais le jour.
Les positions euro-critiques mais participatives sont stériles, c’est la stratégie FDG-PGE-NPA-FN...Ce sont celles des « partis de l’oligarchie » comme des « partis pseudo anti-système » qui s’arrangent bien de la situation et qui flouent leurs électeurs...
Ensuite, vous pouvez continuer à ricaner sur le « patriotisme », "l’amour du drapeau tricolore« , la »décence commune", si cela vous chante, mais vous continuerez à faire le jeu des premiers sus-cités.
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Jean Michel
ce n’est même pas caricatural : c’est en dehors de la réalité : en lycée on continue à étudier la littérature, les grands auteurs, les classiques... Heureusement ! et un certain nombre d’élèves s’y intéressent.... -
" Encore une fois, à lire votre commentaire (et ceux d’un ou deux autres, cela dit au passage), on a l’impression d’avoir affaire à un militant umps-eelv ou fn..."
Un militant umps-eelv ou fn...comme vous dites se reconnait dans l’État bourgeois et la République tout comme vous mon cher... Vous avez tous le même drapeau tricolore vissé au fond de vos tripes et avez depuis longtemps bradé le drapeau rouge de la Révolution...Pour moi il s’agit de renverser cet appareil d’État capitaliste et de jeter son symbole tricolore aux chiens....
Marrant que vous nous reprochiez vos travers de collabo de la bourgeoisie.....avec qui vous seriez prêt à conclure un nouveau compromis en tentant de copier le CNR de vos anciens mentors traitraillons qui ont si bien combattu les grèves ouvrières et celle des mineurs tant il était important de gagner au profit de la bourgeoisie « la bataille de la production » comme le disait le stalinien Thorez qui avait déja fait le coup aux prolétaires en affirmant " qu’il faut savoir terminer une grève "... même si satisfaction n’était obtenue que pour cet apparatchik...
La lutte de classes ne se limite pas aux frontières de l’État bourgeois et de la République. L’État n’est pas neutre : ses institutions sont au service de la classe capitaliste que nous combattons. La gauche de combat est internationaliste et défend les intérêts communs des opprimés par delà d’inutiles frontières.
" Dans un contexte de mondialisation de la crise économique, écologique, politique, comment tenir un tel discours républicain ? Quel est l’objectif : gouverner le pays, ou bien se mettre au service des mobilisations dans une perspective d’opposition de gauche résolue à ce gouvernement, de rupture avec cette République et de réelle alternative au système ? Il devient urgent de choisir. "
Roseline VachettaQuand à l’Europe le Npa dénoncera tous les traités européens et sortira de l’Euro si besoin est.. Il l’a suffisamment expliqué même si sa stratégie se veut la plus large possible et qu’il pense qu’agir à l’échelle de l’Europe est une bonne chose.
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Ces clichés sur les feignants de profs traduisent en fait le mépris grandissant pour la culture et le savoir, pour tout « ce qui pense » car penser, c’est pouvoir contester.
Voyez comme les bons élèves se font traiter d’intellos et sont assez souvent l’objet de lazzis, de moqueries ( fayot, collabo, et j’en passe....)
Une très petite minorité de feignants, il y en a dans chaque profession et c’est...humain !
L’individualisme s’exacerbe, la société se délite en groupe rivaux qui se montent les uns contre les autres sous n’importe quel prétexte ( origine sociale ou autre, jalousie, etc...) et tout ça arrange les maîtres du système économique....
Qu’ils continuent à râler contre les profs tous ces aigris....et surtout qu’ils ne se battent pas contre les classes surchargées ( il existe des Maternelles à trente élèves ! ), contre des programmes ineptes qui rayent de la carte l’orthographe et la grammaire.....Le niveau n’a cessé de baisser ? Peu leur importe !
Au lieu de traiter les profs comme des boucs émissaires, ils feraient mieux de se battre pour les enfants !-
MERCI antonio pour ce message...
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Selon moi le plus gros problème des enseignants c’est qu’ils doivent apporter la connaissance a des élèves qui, en dehors de ce cadre, reçoivent sans interruption des messages allant a contresens des attentes de l’appareil éducatif. Du divertissement médiatique a l’impuissance parentale, les profs se voient contraints de gérer des situations auxquels ils n’ont pas été formés, et qui normalement ne devraient pas interférer avec leur profession.
Certes ils bénéficient de la garantie de l’emploi et des vacances scolaires mais leur stress quotidien relève d’une nature proportionnelle aux ravages sociétaux sans cesse grandissants. Imaginez vos deux enfants capricieux provoquant l’autorité a la moindre contrariété, multipliez ce nombre par quinze, essayez de faire opérer votre démarche et pensez que l’autorité n’est pas directement légitime, vous verrez que la lutte est constante...Après, il est clair que la situation des salariés d’une PME est aussi difficile, cela dit la fonction de l’Etat est tout de même d’offrir une éducation a ses citoyens et je trouve qu’il est sain de permettre a ce mécanisme de marcher correctement. Enfin sous couvert de ces alibis on nie de toute évidence tout le mal généré par une société de profit.-
MERCI 2000mg
pour cette analyse... -
Un peu d’humour pour un café serré du matin ?
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Merci L’enfoiré pour l’humour...
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Bonjour Rosemar,
Si l’éducation nationale avait des résultats éducatifs meilleurs, les profs n’auraient pas à se justifier.Quand vous allez au garagiste et que votre voiture n’est pas réparée, vous accusez le garagiste, surtout si vous savez que dans l’après midi on l’a vu au café.Quand vous voyez le résultat éducatif, des jeunes, vous accusez les profs de tous les mots, surtout quand vous voyez le nombre de profs absents sur le carnet de correspondance.La fainéantise du prof est une fausse barbe, elle découle de l’impression du manque d’implication, les profs passent plus de temps à parler de eux et de leurs problèmes que des jeunes, que de leurs résultats, que de leurs réussites.-
Bonsoir SpartacusLes profs ne sont pas seuls responsables de cette dégradation à la différence du garagiste : la culture est dévalorisée, les adolescents sont obnubilés par leur propre image, par leurs outils de communication, leurs portables, les parents souvent sont débordés et n’arrivent pas eux mêmes à canaliser leurs enfants... etc. -
Malheureusement les élèves ne sont pas des voitures dont onpourrait changer les pièces défectueuses afin d’obtenir un fonctionnement correct !
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Rosemar,
Vous devriez éviter de tendre la perche au poujadisme : le beauf a beau très bien savoir que son discours est particulièrement con, que bien des fois, déjà, il aurait mieux fait de se taire, il ne parviendra jamais à s’empêcher de le produire. Apparemment, c’est compulsif. Cette page doit être un beau sottisier, si j’en juge par deux ou trois interventions. Mais je n’ai pas tout lu : il n’y a aucune chance, sur un tel sujet, d’être surpris par du nouveau. Les profs resteront donc des fainéants, et pour l’éternité.
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Oui, c’est compulsif mais on trouve aussi quelques messages de soutien...
Bonne soirée Christian... -
Bon ,aller ,j’vais me lacher ,meme si certain en polynésie devineront mon nom de famille ...
Mon pater a été instit,puis prof ,puis directeur de collège ....ça été loin d’une feignasse,il bossait ,était créatif avec les gosses ,se remettant en cause ....
Lorsqu’il est arrivé aux iles Marquises ,il a refait le prog d’histoire-géo pour l’adapter en remettant l’histoire locale dans le cursus (ce qui lui a valu de fortes critiques administratives et religieuses ),a créé de toutes pièces des formations adaptées ,créé de toutes pieces un internat dans les ilesAustrales(collège),de toutes pièces le collège de Hao ,archipel des Tuamotu (et le bordel à gérer vu que ce collège admet des elèves à 500 km aux alentours ) ,a créé de toutes pièces le collège de Faaroa ,Raiatéa,archipel des iles sous le vent ,polynésie française ...
Normallement,détaché,il n’aurait du faire que quelques années ,mais son énorme travail ,plus sa connaissance intime des problématiques locales (culturelles-cultuelles-politiques) a fait que les autorités térritoriales,meme les indépendantistes ,ont voulu qu’il reste .
Ainsi,dans ses projets il a pu imposer ses équipes pédagogiques ,et s’eviter les feignasses ,qui existent (dixit) .
Je suis fier de lui,et de tout ce qu’il a construit ;pour les tahitiens qui le connaissent ,dans la famille C ,suis Antoine ...-
Constant danslayreur 1er avril 2013 13:51Salut Antoine,
En effet, il y a de quoi être fier de lui
Je n’en dirai pas autant de certains, je ne vise personne mais suis mon regard quand même... s’en prendre au grand Jacques... t’as pas honte, mais qu’est-ce qu’elle avait de spécial bon sang ? -
Salut Constant ...
Ton lien est mort ,savais pas que ce Jacques avait chanté ça .. -
MERCI aita
pour ce témoignage... -
Constant danslayreur 1er avril 2013 20:25Tu ne peux ne pas connaitre, ça j’en suis sûr. Par contre tu ne connaissais peut-être pas le nom de la chanson
http://www.youtube.com/watch?v=hJuK8KVqMZwPasse une bonne soirée Aita
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C’est malheureux de voir un article sérieux et sensé sur Agora vox partir noyé par des trolls qui sont une « auberge espagnole » et dignes de « Topaze »de Pagnol.
Véritable manoeuvre masquée de diversion : Que de calomnies gratuites contre des personnels dévoués qui donnent leur énergie pour aider et sauver un véritable Service Public.(Comme de nombreux postiers et facteurs, d’agents de l’ONF, agents de l’EDF, sapeurs pompiers, hospitaliers publics : Infirmier(e)s , internes, chirurgiens, urgentistes..., cheminots, ... !Par contre ,de nombreux critiques acerbes habituels gardent (comme les médias) systématiquement un silence trés suspect sur les dirigeants des Banques privées qui démolissent notre pays et les PME.
Vous essayez ainsi avec tous les politiciens libéraux de diviser pour mieux diviser et "détricoter tous les acquis du CNR à la Libération.
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MERCI BOBW
pour ce message de soutien aux enseignants !Bonne soirée...
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