Le jeu des prêteurs : l’esclavage par la dette
52 réactions à cet article
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Mais Mélenchon est clairement, il l’a affirmé maintes fois dans sa campagne, contre l’OTAN et pour un référendum pour sortir de l’Europe austéritaire. C’est même le titre d’un de ses livres.
Depuis peu, il l’a dit la première fois au congrès de Bordeaux, il est pour la sortie de l’Euro si il conduit obligatoirement à une destruction de la richesse de la patrie.
Il n’y a rien de plus clair à ce sujet.
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Il affirme : « pour sortir de l’Europe austéritaire » s’agit-il de sortir de l’Europe ou changer d’Europe vers une Europe moins austéritaire ?
Il affirme : « pour la sortie de l’Euro » (affirmation au conditionnelle toute fois), comment procédera t-il concrètement ?
Alors qu’il critique ouvertement le gouvernement actuel, pourquoi a-t-il demandé à voter Hollande lors des élections présidentielles et pourquoi accepterait-il d’en être son premier ministre comme il l’a confié récemment ?
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efzed@ tu t imagines mélanchon voter blanc pour le 2 tours des présidentielles , sarko élu , par ses traites du fdg , politiquement parlant , nous étions foutu !!! , le ps aurai récolté la mise
comme le parti de gauche par excellence de l opposition , il aurai fallut attendre 2017 pour que les socialistes arrivent au pouvoir qu elle perte de temps , tandis que la, ils sont au pouvoir
pratique une politique copie conforme a la droite , en étant en opposition de ce gouvernement ,
mais pas dans l opposition , nous somme autonome dans une dynamique conquérante pour faire une politique de gauche
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D’après ce que j’ai compris de la position de Jean-Luc Mélenchon sur l’Europe : de 1981 à 1983, la France a subit les asseaux de la finance internationale et le franc a été déstabilisé. Il considère que la masse que représente l’Europe peut mettre à l’abri contre la répétition de cette événement.
Mélenchon pense que la France a une autorité internationale naturelle et qu’il suffirait qu’elle donne le « La » pour que beaucoup d’autres pays suivent.
C’est l’Allemagne qui impose ses volontés en fonction de ses intérêts à court terme, et Sarkosy puis Hollande rampent devant l’admiration béate du « modèle allemand » et ont accepté sans conditions le diktat imposé par Merkel.Sortir de l’Euro ou imposer un nouveau fonctionnement, les deux choix sont possibles : en tout cas le fonctionnement actuel n’est pas viable pour les peuples, le constat est certain.
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Ariane, tu entend des voix, lis donc le programme du FdG, ou voit tu écrit ce que tu affirmes ?
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Alors,pourquoi entraîner les convaincus dans une nasse sixièmiste alors que notre actuelle 5eme ne peu pas être soupçonnée d’atlantisme tant de Gaulle en avait horreur ?
Privilégier la forme plutôt que travailler à structurer les bases révolutionnaires dans l’esprit de chacun en s’appuyant sur la réalité historique de la construction européenne revient à capturer et à isoler un certain nombre de mécontents en leur faisant croire que si nous en sommes là c’est à cause de la 5eme...Nous sommes dépendants de notre dette aux banques américaines depuis plus de deux siècles...,et après 5 républiques... !!! Pourquoi voudriez-vous qu’une sixième y change quelque chose ?Il faut donc travailler sur le « pourquoi » du changement et pour le « comment »,rassurez vous,la conviction partagée et sainement motivée des citoyens libérés saura se faire entendre.« S’il conduit à une destruction des richesses de la patrie »,je cite votre citation...,la forme conditionnelle laisserait entendre que Jean Luc Mélenchon n’est pas encore bien certain de cela ?...,qu’il y aurait quelque chose de bon dans cette Europe à 27 ? Bon pour qui ?S’il dit aujourd’hui ce qu’il ne disait pas hier,cela préfigure-t-il qu’il nous dira demain ce qu’il ne nous dit pas déjà,...ou ce qu’il n’a pas encore compris ?-
La 5ième n’a absolument pas interdit Sarkosy d’intégrer L’Otan,
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parce que la 5 républiques est un frein à l humain d abord , nous devons faire la constituante ,
pour créer la 6 républiques c est tous le slogan des présidentielles 2012 « prenez le pouvoir »,
fait, par, pour le peuple-
Bonjour ;
Mélenchon est à proprement parler un démagogue, sur ce point en tout cas. (je dis cela, mais l’apprécie par ailleurs, ...comparé aux autres). le démagogue, c’est celui qui se réclame de la ...’populace’. (on dit populiste nouvellement ; mais généralement les personnes qui le définissent ainsi se gardent bien de définir en quoi il est populiste ; c’est qu’il leur faudrait justement dévoiler ce qu’est réellement le ’Peuple’ et comme elles en sont l’ennemi juré et ont juré sa perte...).
Il y a confusion dans l’esprit, sur le plan des concepts, lorsqu’on emploie le terme ’peuple’ et c’est en partie de ce fait que notre nation part en vrille.
Mais répondez à ces questions, je vous prie, Babeuf
doit-on 1789 au Philosophe ou bien à la populace ? (il y eût bien des jacqueries, durant des siècles, avant que la royauté soit abolie, vous savez..)
en vertu de quoi une personne encartée au fn, ou mieux encore une brute néonazie, ne ferait-elle pas partie du peupe tel qu’on l’entend ? la tyrannie d’une majorité antagoniste qui exercerait sa violence sur la minorité ? Celle d’une frange qui se réclamerait comme le tout au détriment de tous* ?Ce terme de ’peuple’ que l’on emploie inconsidérément, dans l’affaire qui nous occupe, ne désigne pas une entité physique mais quelque chose d’abstrait, une Idée. C’est en quelque sorte l’âme de la Nation et elle n’est guère en mesure d’écrire quoi que soit. Et c’est bien parce que la majorité de la populace sinon toute n’entend plus rien à cette Idée que le maheur public se porte si bien.
Cordialement.
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@babeuf
Le seul frein à l’humain est l’ignorance et ceux qui la propagent.-
le traité constitutionnelle de 2005 le non !!! la emporté, au mépris du peuple , ils l on contourné ,
par le traité de lisbonne , ils font tout le contraire des pouvoirs qu on leurs donne , les dépendants c est ceux qui les ont signés ps et ump ,la crise c est eux , la répartition des richesses passe par la 6em , entre l euro de merkel et la souveraineté du pays mélanchon
a tranché par la voie du référendum-
@babeuf,
C’est bien pour cela que François Asselineau veut sortir de cette Europe des « traités volés ».Il n’est pas nécessaire de s’égarer dans la complexité d’une constituante puisque la possibilité de dénoncer le traité de Lisbonne et d’en sortir unilatéralement fait l’objet d’un article de se même traité.L’actuelle constitution dénonce toute souveraineté qui n’émanerait pas de la nation.Ce n’est pas la faute de la 5eme république si elle a été violée !!!JLM accuse le thermomètre d’être responsable de la fièvre et pendant que vous perdez votre temps à en fabriquer un autre,vous restez ignorant des vraies solutions qui passent par la compréhension de l’histoire de l’Europe et de notre dette aux banques américaines depuis plus de deux siècles.JLM et le FDG n’ont pas l’exclusivité d’une sortie de l’Europe.Bien avant lui,François Asselineau et l’Union Populaire Républicaine préconisent clairement cette solution,mal relayée,il faut bien le dire par les média dont JLM sait profiter.-
J’avoue que le détour par l’esclavagisme me parait pousser le bouchon un peu loin, et l’analyse être d’ailleurs à ce sujet un peu courte.
Le capitalisme est né en né dans les rues de Séville, alimenté par l’or et l’argent du nouveau monde, grâce à l’esclavage. Alors oui, l’esclavage est au source du capitalisme, mais les premiers banquiers capitalistes étaient espagnols par « américains ». Les banquiers « nord-américains » n’ont tiré qu’un profit marginal de l’esclavage. On ne peut guère comparer les plantations de champs de coton en Amérique du Nord et les mines de métaux précieux en Amérique du Sud.
Par ailleurs, au XIXème siècle, le poids des « banquiers américains » par rapport à celui des empires européens est là encore négligeable ;
Relié d’un train d’union l’esclavage et les banquiers américains, mélanger joyeusement l’exploitation de l’amérique du sud au plan Marchal, en oubliant d’analyser la colonisation de l’afrique et de l’asie par l’Europe c’est juste n’importe quoi.
Oui, les USA ont pris un poids économique croissant à partir de la 1ère guerre mondiale et qui n’a cessé de grandir avec la 2ème guerre mondiale, puis le plan Marchal et la fin des empires coloniaux européens.
A partir de ces éléments, on peut avoir une analyse politique fine.
Mais il ne faut pas remonter plus loin, au delà, ce que vous racontez est juste absurde et ignore des pans entiers de l’histoire et du monde : Afrique, Amérique du Sud, Asie (colonisée et exploitée par l’Europe, en très marginalement par les USA).-
Maintenant concernant l’UE et la possibilité de réformer la France malgré les contraintes de l’UE, la position du FdG est claire et notamment très bien décrite dans le livre de Jacques Généreux (responsable du secteur économie du PG) « Nous, on peut » :
1°) Par la 6ème république et le référendum (suprématie du référendum sur les traités interantionaux), on instaure le droit d’une « exception française » comme il peut en exister une « exception anglaise » pour tous les points où les règlements de l’UE sont manifestements en désaccord avec l’intérêt national. Les anglais l’ont fait à maintes reprises pour leurs intérêts, on peut faire de même pour les notres.
2°) On tente de convaincre nos partenaires de réformer la BCE. A ce titre, vu l’augmentation du niveau de critique vis à vis de la politique de rigueur menée par l’UE de la contestation populaire dans de nombreux pays au récent méa-culpa du FMI, les contre-exemples de pays comme le Japon, le Royaume-Unie où les USA quant à l’indépendance de la Banque Centrale, on peut espérer y parvenir.
3°) Si le point 2°) échoue, on propose aux pays interressé une sortie concertée de l’Euro pour créer un « Euro du Sud » et une BCE du sud non-indépendante, mais qui aura tout de même plus de poids financier que la seule Banque de France. On peut imaginer que des pays comme la Grèce ou Chypre, mais aussi l’Espagne, l’Italie, le Portugal, tous pays pris dans la nasse de la dette souveraine soient interressés.
4°) Si ça échoue, alors oui, on réfléchira à sortir de l’Euro. mais avant, il y’a beaucoup, beaucoup de choses à tenter.
Rappelons que l’Europe, en tant que 1ère puissance économique mondiale, avec l’essentiel de son commerce intérieur à ses frontières à une capacité de résistance face aux marchés qu’aura difficilement un pays seul. D’où l’intérêt de garder l’Europe si on arrive à lui faire changer de cap.-
trente ans que l’on nous bassine avec une nouvelle et meilleure europe !
voyez partout l’inflation de la misere !
de plus comment comptez vous convaincre 27 pays aux intérêts divergents de rouler pour nous, les français, beret à la main ou sur la tete ?
quant au marché inter europeen, il n’y en aura bientôt plus , faute de producteurs et d’acheteurs solvables.
la solution , c’est sortir de ce piege que sont l’europe, l’euro et l’otan. en priorite
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acetrip,
Merci de faire remarquer que le moindre changement de virgule dans les Traités européens nécessite l’unanimité du vote des 27 états.Article IV 443-3 : « UNE SEUL ÉTAT PEUT S’OPPOSER A TOUTE MODIFICATION. »
Il ne suffira pas du vote des Etats du sud, ou même d’une majorité d’Etats... , ce qui rend la probabilité d’une « autre Europe » bien mince.
Le seul moyen de sortir de l’ UE , c’est l’article 50.
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La politique internationale est principalement l’affaire d’un rapport de force politique, elle ne découle pas de règles procédurales. Vous imaginez si la moitié de l’UE veut mener des politiques progressistes, comment les autres pays pourront-ils justifier d’user de règles procédurales pour y faire obstruction face à leurs propres peuples ? Allons ... Les règles des traités ne valent rien, ce sont des traités juste, c’est la volonté des pays qui compte, et les traités sont changés ensuite en conséquence. Asselineau vous enfume avec sa vision extrêmement légaliste des choses. Il parle de souveraineté mais ne comprends pas que cette souveraineté nous place au dessus des traités européens peu importe ce qu’il y a écrit dedans ou dans notre constitution et que nous pouvons agir comme bon nous semble pourvu qu’on en prouve la légitimité ( référendum par exemple ).
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attention au marché transatlantique, ou le droit us, prendrait petit a petit sa place, qui déverserai
en europe sa marchandise , hollande a ce cap la en tête, mettre au catacombe le reste d acquis sociale , de ce qu il reste bien sur-
@pingoin094
Je n’ai jamais dit que notre endettement remontait aux origines du capitalisme mais aux origines de la création des EU par des esclavagistes,pas plus que je n’ai dit que c’étaient les EU qui avaient directement exploité le tiers monde,mais que ce sont les pays d’Europe qui l’ont fait et que ces profits servaient à payer notre dette.Pour faire une autre Europe,il n’y a qu’à vous lire pour comprendre qu’elle ne serait pas plus viable que l’actuelle tellement vous employez de« si »...Pour une approche réaliste de l’Europe actuelle,je vous conseille cette vidéo sans compromis et vous demande de me pardonner si mon condensé de l’histoire n’est pas parfait.J’ai simplement fait en sorte qu’il ne soit ni fastidieux,ni trop caricatural...deux siècles d’histoire en trois phrases...il y a forcément un risque...-
Mercredi 24 avril 2013 :
A propos de la zone euro, Olivier Berruyer écrit :
Je rappelle mon analyse : les contraintes nécessaires au maintien d’une monnaie unique sur une large zone sont très lourdes. Aucune zone n’est jamais véritablement optimale, mais une monnaie tient dans un pays car les écarts sont limités, et la volonté populaire de rester ensemble permet des transferts plus ou moins importants de personnes et d’argent.
La Zone Euro est bien trop hétérogène, et surtout aucune volonté réelle de faire les efforts de transferts financiers entre pays n’existe, raison pour laquelle la quasi-totalité des unions monétaires passées ont échoué.
L’euro disparaîtra donc probablement ; et comme personne n’a le courage de reconnaître que, bâti avec les meilleures intentions du monde, c’est néanmoins une regrettable erreur technique, péché d’orgueil, sa dissolution sera assez brutale.
Espérons qu’elle sera assez bien contrôlée, et que d’autres propositions de coopérations européennes se feront alors jour, mais raisonnables, et non bâties sur une lubie « d’États-Unis d’Europe », joli rêve mais bien loin des attentes réelles des peuples.
Dans ces temps troublés, conserver certains acquis, et construire un tout petit peu plus (en particulier sur le plan social et démocratique) serait déjà un très grand succès… À trop vouloir, à tout jouer à quitte ou double, on finira par tout perdre…
Olivier Berruyer.
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@pingoin094
Comment comptez-vous vous y prendre pour faire changer de cap,une politique européenne dont l’instance suprême et non élue,la Commission Européenne, est composée exclusivement de personnes ayant des intérêts direct dans les banques (et les grandes sociétés) qui nous tiennent par la dette ?Pensez-vous sérieusement que ces gens-là défendront demain des intérêts autres que ceux de leur maison-mère américaine alors qu’il n’ont rien fait de plus jusqu’à présent ?-
@pingoin094 et à tous
Le numéro 3 de mon récapitulatif comporte une erreur d’écriture qui pourrait laisser supposer que se sont les EU qui ont directement exploité les pays pauvres...Il faut comprendre : L’Europe ne trouvant presque plus rien sur la planète pour payer ses dettes en dévalisant les pays pauvres,....Toutes mes excuses pour ce « mal dit »-
Il est assez étrange que le FDG, constitué essentiellement d’électeurs qui ont voté contre les Traités, et qui critiquent le capitalisme, préfère rester dans un système néolibéral pur et dur, plutôt que d’en sortir.. .
On critique les Traités les jours de vote, puis on s’en accommode, en espérant les changer un jour, comme nous le promettent tous les Partis politiques depuis 50 ans.
La Constitution française est infiniment plus démocratique que les Traités européens.
Son préambule fait explicitement référence à 1789.« Le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l’ Homme et aux principes de la Souveraineté nationale, tels qu’ils ont été définis par la Déclaration de 1789. Le peuple est souverain. »
« Le peuple est souverain ».
La démocratie est liée à l’indépendance du pays et à ses frontières.
La Nation est une notion de Gauche.
La Souveraineté nationale est la base de la République.
Et quand on s’attaque à la souveraineté nationale, on s’attaque à la République.Toute la gauche française, en devenant européiste a abandonné la Nation et la République au Front National. Et la démocratie par la même occasion....
L’UPR n’est pas gênée du tout de défendre la démocratie, l’indépendance du pays, la nation et la république.
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D’autre part, il y a confusion permanente entre INTÉGRATION et COOPÉRATION.La coopération, c’est la situation en Amérique du sud, où des Etats indépendants et souverains signent des accords de coopération en fonction de leurs intérêts communs.
L’intégration, c’est la perte de l’indépendance et de la souveraineté, transférées à des instances extérieures qui décident à la place des peuples.
Si tant de citoyens se sentent dépossédés de la démocratie, c’est que nous ne décidons plus de rien. Les Gouvernements reçoivent des ordres de la Troïka, ils ne peuvent plus défendre les entreprises, ni les emplois et ni l’intérêt général.
On voit ce pauvre Montebourg s’agiter en vain : que peut -il faire contre l’article 63 du Traité de Fonctionnement de l’ UE qui interdit le contrôle des capitaux ? Rien.
Et ce pauvre Hollande, qui se sert des questions de société pour cacher qu’il ne peut plus rien pour l’emploi...
Sortir de l’ UE, de l’euro et de l’ OTAN veut dire au contraire, reprendre son indépendance pour pouvoir signer des accords de coopération entre Etats indépendants. Actuellement, c’est Bruxelles qui signe les accords internationaux.
Pourquoi le FDG ne dit-il jamais que le Venezuela est un Etat démocratique, parce qu’il est indépendant et souverain ?
Vidéo de François Asselineau : « Où est passée la république française ? » site de l’ UPR
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« un référendum pour sortir de l’Europe austéritaire »
Pas pour sortir de l’Europe donc ! Et donc un référendum dont l’Europe se fout comme de l’an 40 !L’euro conduit obligatoirement à une destruction de la richesse de la patrie, il y a besoin de vous expliquer ?
Bref Melenchon vous vend du flan et même une méduse s’en rendrait compte !
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le flan, c est flamby, par contre la france avec lui ,ressemble de plus en au radeau de la méduse
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la france doit rompre les amarre avec les usa , comme l on fait bien des pays d amérique du sud
qui ont subit le joug us , donc eux connaisse bien le problème , chez nous ce système nous l avons depuis 1983 , je rappelle que la dette française à commencé en france en 1973 , date ,
a laquelle nous empruntons aux banque privées , et non plus a la banque de france .........................-
babeuf,
Une citation qui devrait vous plaire, puisque vous semblez vous intéresser au Grand Marché Transatlantique. Elle date de 1812. Elle est d’ Andrew Jackson qui sera Président des USA en 1829 :
« Nous allons nous prévaloir de notre droit au libre échange et ouvrir le marché aux produits de notre sol afin d’égaler les exploits de Rome. »
Rien n’a changé depuis, la mentalité américaine consiste toujours à étendre son Empire.
PS : Ce n’est pas la France qui va signer cet accord, c’est Bruxelles.
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pilou@ oui , les usa ,sont devenu ,la puissance par excellence , une seconde rome , elle
domine le monde, mais c est une victoire a la pyrrhus , c est un modèle basé sur de l argent par de l argent, de toujours plus d exploitation a une vitesse maximum , au moindre cout !!!!!, donc avec toujours plus de chômage de misère , tiens les chiffre du chômage vont bientôt tombé
ils seront catastrophique !!!!!!!, pour revenir au usa ,tu sais« les empires conquérants meurent souvent d indigestions » c est de hugo -
Bonsoir Mr Norton,
Le ton de votre article, me fait penser au son de votre avatar,Tous simplement délicieux.HihihihihihiCordialementFranckil y a cinq heure de vidéo pour le programme, il me reste quatre heure à visionner,le début est très prometteur.-
« La source de cette divergence se situe sans doute dans l’analyse historique des origines mêmes de la construction européenne. »
Non, peu importe les origines d’une chose, ce qui compte c’est ce qu’on en fait au temps présent et dans le futur.
En réalité, la source de cette divergence se trouve dans le fait qu’Asselineau est nationaliste et qu’il croit que chaque pays a un intérêt différent, alors que la gauche est internationaliste et comprend que le conflit d’intérêts n’est pas entre peuples, mais entre classes sociales, et que la solution se trouve dans la solidarité entre les peuples là où Asselineau croit que la solution se trouve dans la concurrence entre les pays.
De plus Asselineau est aveuglé par son propre statut social, en tant que Technocrate il ne comprend pas que c’est d’abandonner les grandes questions politiques ( finance / échanges entre les pays / partages des ressources / écologie etc ... ) à des technocrates, à des ministres et à des diplomates qui permet justement la constitution d’une oligarchie et l’impuissance des peuples. Asselineau nous propose de refaire les mêmes erreurs que nos ancêtre après la seconde guerre mondiale et qui ont conduit à la situation actuelle. Ce n’est pas un simple retour en arrière qu’il faut, il faut s’organiser autrement.
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Logan,
Le replis national que préconise l’UPR ne peut être qu’une solution transitoire qui vise seulement à redonner au peuple français un pouvoir décisionnel indépendant d’une commission européenne non élue et non démocratique,puisqu’elle décide seule,indépendamment de la volonté de chacun des 27 pays soumis à son autorité...Cette commission étant composée des meilleurs défenseurs d’un ordre marchand qui hait la démocratie,il est naturellement urgent d’arrêter de s’y soumettre,aussi bien comme individu que comme entité nationale.La sortie de l’Europe,de l’euro et de l’OTAN,vise à se soustraire dans un premier temps a cette autorité.Avez-vous déjà entendu,ne serait-ce qu’une seule fois,la voix des 27 ?pourriez-vous nous la décrire ?...La seule voix qui ce fasse entendre à Bruxelles est celle des bankstrers dont l’autorité n’aura pour limite que celle de notre crédulité.Accuser François Asselineau,qui dirige l’Union Populaire Républicaine,d’être aveuglé par son statut social,c’est vouloir nous faire croire que le votre ne doit rien aux règles du jeu imposées au monde et à l’Europe par cette Internationale Marchande...Qui pourrait s’en vanter à part quelques ermites ?Une sortie unilatérale de la France de cet autre « machin » qu’est l’Europe des 27,serait l’honneur de notre pays et la première salve tirée contre un système dont tout porte à croire qu’il a démontré son pouvoir destructeur des libertés,individuelles et collectives,...de la planète,en tant que biotope limité,...et de toute forme d’organisation humaine qui oserait s’y opposer.La division et la guerre sont les outils et le gagne-pain de ces misérables,notre crédulité est leur chemin,l’entente des peuples et la paix,leur ennemi mortel.Ce constat n’est ni de droite,ni de gauche,il est l’émanation d’un sentiment qui cherche ses mots au fond de chacun d’entre nous,devant l’inacceptable constat de l’échec de l’humanité toute entière à maîtriser son destin.La devise d’une organisation mondiale dans laquelle nous pourrions tous nous reconnaître,serait du genre :UNE PLANÈTE,UN PEUPLE,UN DESTINCelle que l’on peut attribuer à la dictature marchande qui gouverne l’EUROPE et le monde est plutôtDIVISION,ILLUSION,PROFITLa fin de notre DÉNI sera sa mort et la renaissance d’une identité humaine mondiale dont il nous reste à définir la nature dans un climat politique pacifié.Acceptons donc avec courage,nous,français,d’être tous coupables de notre manque de vigilance démocratique depuis 1789...,ou,à minima, d’avoir été les contributeurs inconscients de cette tyrannie moribonde.Sortons du DÉNI par la grande porte,celle dans laquelle nos révolutionnaires avaient mis les premiers coups de bélier,agrandissons le passage pour toute l’humanité,...FINISSONS LE BOULOT !...Avant que la bête blessée,dans quelque dernier sursaut rageur,détruise encore un peu de nous.-
@logan suite
L’avenir s’éclaircira quand du brouhaha sortirons en accord parfait,les cris unanimes et ordonnés :STOP !...,PAIX !...,UNITÉ !...C’est bien évidemment ce premier cri que nous engage à pousser François Asselineau en nous démarquant de l’Europe muselée des 27...-
L’UPR ne défend-il pas la dévaluation de notre monnaie en expliquant qu’ainsi les entreprises françaises pourront exporter en donnant des exemples de pays qui avaient pu ainsi, selon lui, retrouver de la croissance ?
Le programme de l’UPR ne se retreint donc pas à vouloir récupérer de la souveraineté, cette mesure faire partie d’un programme économique.
Et elle s’inscrit bel et bien dans la vision nationaliste et libérale de l’économie selon laquelle notre future prospérité proviendra de la concurrence avec les autres pays ( ici d’un dumping monétaire ).Donc il ne s’agit pas que d’une transition, c’est bien un modèle de société qui est défendu par Asselineau, basée sur une vision de droite niant la lutte des classes et conceptualisant une lutte des nations.
C’est cette différence qui est cruciale, parce que du coup, dans notre vision des choses, de la lutte des classes, et de la nécessaire solidarité à la place de la concurrence entre les pays, ou encore l’intégration démocratique plutôt que l’intergouvernemental qui est par essence oligarchique pour discuter des règles internationales, et bien la sortie de l’UE et de l’euro ne sont pas nécessaires, et au contraire elles nous feraient reculer de plusieurs décennies.
Par exemple, la monnaie unique, tout comme le parlement européen, sont des éléments que l’on pourrait utiliser pour organiser la solidarité et la démocratie que nous voulons mettre en place.
Quand aux autres mesures de notre programme ( je parle du front de gauche ) elles ne nécessitent aucunement des mesures aussi extrêmes. En tout cas, on essaiera des voies plus modérées avant d’envisager la sortie de l’UE.D’où la supercherie du ni droite ni gauche. L’UPR fait partie de la droite républicaine. Parce que nous avons en commun notre républicanisme nous pouvons être d’accord sur un bon nombre de mesures progressistes et démocratiques. Mais fondamentalement, il y a bien une vision droitière ( nationaliste ) et une vision de gauche ( internationaliste ) qui s’opposent.
Ce n’est pas une histoire d’origine de l’UE qui est à l’origine de nos différents.
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Salut Norton,
la question de la Vème ou VIème est importante pour une chose, c’est qu’il est difficilement pensable de faire comme le dit l’UPR aussi simplement. D’abord il faut gagner le pouvoir et pour cela il faut s’unir comme le dit très justement l’UPR. Mais comment unir l’extrême droite et gauche et les abstentionnistes et les votes blanc ?
VOus dites, sortons de l’EUrope, bien, mais que fait on de suite après ? Quel programme ? Qui décide ? Et quelle en seront les conséquences quand aux relations de la France avec ses voisins ?
Non, vous devez d’abord établir un calendrier de sortie de l’Europe, de l’euro où la communication est fondamentale, autant pour l’extérieur qu’à l’intérieur. Car sinon, ce serait simplement gagner des élections pour mettre en place le chaos et la guerre civile, appuyé par les gouvernements voisins et plus particulièrement le gouvernement US et les banques à qui vous voulez couper le bras.
L’intérêt fondamental d’une constituante réside bien dans le fait qu’elle consiste à dégager un socle commun, s’imposant à tous ou du moins une large majorité. L’autre intérêt tout aussi important est de permettre la communication des débats et des choix du peuple français aux citoyens des autres pays, plus qu’à leurs gouvernements. Autrement dit, de semer les germes de la révolution.
Voilà pourquoi la constituante s’impose, pour justement permettre l’union de tous les opposants à l’Europe telle quelle, ce que l’UPR en tant que parti politique ne peut faire car il ne peut prétendre incarner toutes les idées des partis et surtout des citoyens.
Alors, non, on ne peut sortir de l’Europe avant d’avoir fait la constituant définissant ce qui fonde l’unité nationale. Car on ne peut fonder l’unité nationale sur le rejet de l’Europe, ni sur un quelconque rejet, mais sur une adhésion à un projet commun. Ni sans se donner le temps et les moyens de l’expliquer aux citoyens des autres pays, qui ne sont pas nos ennemis mais des victimes du même système spoliateur. Ne pas vouloir de l’Europe actuelle ne voulant pas signifier ne pas vouloir de l’Europe, ni de l’amitié des USA, mais basé sur une vrai démocratisation de tous les peuples de notre planète l
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Logan,
Votre lutte des classe est respectable et sa nécessité toujours d’actualité. Mais pour celle-ci comme pour tant d’autre,la recherche de solutions n’a aucune chance de progresser dans un monde dirigé par un système basé,non pas sur le partage d’une réflexion axée sur ce but,mais sur sur le partage sournois et incapacitant des responsabilités de chacun à en être à la fois la victime et l’acteur.Si nous voulons briser nos chaînes il faut inventer un concept à la hauteur de leur résistance...-
Il n’y a pas de chaine, rien qui ne puisse en tout cas voler en éclat dès lors que l’on dispose de la puissance publique et de la légitimité de la volonté du peuple.
Ce qui nous met dans l’impuissance, c’est bien que des tas de gens continuent de voter pour l’UMP et le PS, aidés pour cela par le FN qui leur sert de diable de confort et d’impasse politique pour une partie des contestaires. -
À Hervé hum
Premièrement,les tendances fachisantes ne disparaîtrons pas de la génétique humaine par la magie d’une constituante,pas plus que l’homosexualité,le sens artistique,le sens collectif ou celui du sacrifice.Il ne peut pas ne pas exister,dans l’histoire humaine,de péripéties où la survie d’un groupuscule,d’une tribu ou de tout un peuple n’ait été déterminée par l’une ou l’autre de ces caractéristiques.A ce titre,le respect de tous s’impose à chacun.La proposition éclairée que nous fait François Asselineau ouvre la voie révolutionnaire la plus moderne et la plus censée.Il nous propose d’arracher notre bâillon européen afin que nous puissions,dans le respect de chacun,qu’il appartienne à une majorité ou qu’il soit l’unique représentant de sa tendance,nous réunir autour de la table républicaine et parler dans une même langue et sous l’égide de la déclaration universelle de 1789,des maux de ce siècle et de la manière d’y remédier,en toute connaissance des paramètres et des enjeux.La République,en déplairait-il même à François Asselineau,n’a jamais refusé d’agrandir cette table pour y accueillir une quelconque délégation étrangère désireuse de partager nos réflexion sur des enjeux d’avenir...Par rapport à notre situation actuelle et en deux mots,il s’agit de la manière la plus simple,la plus légale,la plus économe en temps et en argent mais aussi la moins politicienne,ce qui vaut quelques détracteurs (prudents,en général...) à François Asselineau ,de REPRENDRE LA MAIN...@franckledrapeaurougeDu chant du twin au bruit sourd du canon dans la plaine...tous les chemins m’éloignent de Rome...-
Norton, je vois que vous restez sourd et muet à mes arguments pour une constituante.
Le commentaire de Logan parle bien d’un programme économique préparé par Asselineau, or, s’il s’agit de rassembler tous les opposants à l’Europe actuelle, il ne peut en aucune manière présenter un programme économique, mais seulement le proposer comme alternative en concurrence avec ceux des autres. C’est à dire, d’établir un programme commun, sans lequel aucune alliance n’est possible pour se donner une chance de gagner l’élection.
Il faut choisir sa priorité, suivre un leader ou bien poursuivre un but. Si c’est poursuivre un objectif, c’est celui ci qui dicte ses conditions et non un leader politique qui dicte lui ses ambitions.
De Asselineau à Mélenchon en passant par Chouard et beaucoup d’entre nous ici, on voit poindre un même objectif affiché, celui de la véritable démocratie exigeant de s’émanciper de la dictature des politiciens corrompus au service d’une ploutocratie insatiable. Dans laquelle l’Europe actuelle concentre tous les maux. Mais si cette volonté est véritable, alors tout le monde, y compris et surtout les leaders politiques, doivent se mettre en retrait, au service de l’objectif démocratique. Et celle ci passe par la mise en place d’une constituante pour fédérer tous les courants politiques désirant sortir de la dictature économique et sociale actuelle incarné par l’Europe.
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Hervé hum,
Je serai pour une constituante avant tout l’orsqu’on me démontrera que la constitution actuelle représente un frein à sa réforme totale.Si l’UPR veut encadrer cette démarche,je sais qu’elle sera menée avec le sérieux nécessaire et l’ouverture maximale dans un cadre républicain qui garantira la sécurité intérieure et extérieure contre les tentatives certaines de déstabilisation auxquelles il faut se préparer.Contraindre par la rue l’actuel gouvernement à encadrer une constituante qui signerait la fin de la vie politique d’un bon nombre de ceux qui le composent,aurait l’effet d’un putch et la pagaille engendrée serait le meilleur moyen de décrédibiliser ce mouvement auquel les nombreuses défections prévisibles ajouteraient encore leur risque.C’est précisément cette déstabilisation qui ferait le lit d’un passage à la radicalité et à la violence.Certains n’attendent que cela...Qui commanderait aux armées ?...,qui protégerait nos centrales,véritables bombes atomiques non délocalisables... ?...,qui commanderait les forces de l’ordre ?...,comment seraient garantis nos approvisionnements ?... qui protégerait les expatriés ?...etc...et toutes les autre questions qui ne se posaient pas en 1789.À pousser ceux dont l’impatience fait perdre la raison,on nous invite à un suicide révolutionnaire qui non seulement ne fera pas honneur à notre pays mais servira d’avertissement aux autre pays,tentés par la même volonté.L’UPR nous propose de procéder à touts les changements nécessaires dans le calme et la sécurité qui conviennent à un pays adulte et maître de son destin.C’est pourquoi vous ne verrez pas François Asselineau agiter des chiffon rouges pour demander au peuple bouillonnant de se jeter dans le vide,alors que la majorité n’a jamais lu nos textes constitutifs.Un risque qui peut être minimisé est toujours trop grand.Si vous êtes conscient que vous ne jouez pas seulement l’avenir de la France,pesez votre responsabilité avant le premier sang.Demander un référendum proposant des élections présidentielles anticipées n’est pas au programme de JLM,pourquoi...,si ce n’est parce qu’il n’aurait pas de majorité ?Comptez-vous contraindre l’actuel gouvernement à encadrer cette constituante ?En cas de défection partielle ou totale qui prendrait les commandes des administrations et des corps d’état ?Provoquer un référendum proposant une constituante c’est aussi prendre le risque d’un NON à faible majorité...,comment empêcheriez-vous les perdants de tenter un passage en force sur un sujet d’une telle nature ?Je crois vraiment que le seul intérêt de ce projet de manif est de nous faire réfléchir à notre futur commun et en cela JLM aura fait le bien de notre pays, provoqué un choc de conscience chez les politiques et un réveil citoyen qui demande encore à s’étendre dans la confiance et dans le calme.De la maturité de ses acteurs dépendra le succès du changement.Attendons au moins que cette nécessité de changement profond pénètre tous les esprits.-
Pas d’accord Norton je n’ai pas écrit que pour passer de la Vème à la VIème il faille passer par une phase de chaos. Je dis simplement que pour faire l’unité des forces d’opposition aux partis dominants actuels que sont l’UMP et le PS ou UMPS, il faut que le candidat ait pour unique lettre de mission la mise en place d’une constituante dont l’objet est un débat national pour définir la société du XXIème siècle que nous voulons voir. Ce qu’on appelle le contrat social. Cela parce que c’est la seule manière crédible de pouvoir fédérer des partis autrement incompatibles et incapables de gagner une élection seul.
Donc, le président qui serait élu de cette coalitions de forces hétoroclites, mettrait en place un gouvernement qui assurerait la gestion des affaires courantes de l’Etat, avec les règles de la Vème république. Il garantirait la transparence et la sérénité des débats contre toute tentative de déstabilisation. Ne prendrait plus de décisions engageant la France, mais continuerait à respecter tous les traités engageant la France en attendant les décisions prises par la constituante. Ce qui permettrait bien d’expliquer les raisons du peuple français pour toute rupture des traités actuels. Si je ne l’ai pas dit avant c’’est que cela me semblait sous le sens.
A contrario, imaginer Asselineau réunir sous son nom seul une majorité de français, est complètement irréaliste. De ce point de vue, Bayrou à bien plus de chance d’y parvenir car il occupe depuis bien plus longtemps le paysage politique et ce avec une constance qui peut finir par payer.Surtout que sa stratégie de se placer au centre de l’échiquier politique consistant à essayer de magnétiser les déçus de droite et de gauche peut finir par marcher. Surtout que celui ci tape aussi sur les extrêmes en mentionnant et le référendum d’initiative citoyenne et l’éventualité d’une VIème république. Sa stratégie de se présenter comme le seul vote utile possible capable de casser le monople UMPS est remarquable de patiente et de persévérance.
Là, je suis loin de mes idées propres, mais je sais voir l’intelligence et l’abnégation d’un homme politique et le reconnaître !
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DÉCLARATION DE 1789Article XVIILa propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n’est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l’exige évidemment, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité.-
Oui, et tout est dans l’interprétation.
Si nul ne peut être privé de propriété, cela indique que la propriété sans limitation est un vol caractérisé envers ceux qui ne disposent pas de propriété.
Ainsi, nombres de citoyens se trouvent sans propriété alors que d’autres en ont la valeur de 10, 100 ou même 1 000 fois ce qui est suffisant pour une seule famille.
Faire respecter cet article veut donc bien dire de limiter la propriété à la condition de satisfaction de tous le monde. Faisant intervenir la nécessité publique pour donner à chacun la jouissance de la propriété qui lui est dûment reconnu.
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@Herve hum
Bravo,...sacré cuisine !!! Bien vu pour Bayrou...et pourquoi pas Borloo ?!!!!!Très peu pour moi...En fait,quelles sont vos propres idées ?Pour la propriété,votre interprétation me convient car justement je voulais me mettre au sax...et j’en ai pas...donc,donc,donc,...Donc on se calme et on réfléchi si accuser les possesseurs de sax ou de propriété de voleurs est l’esprit de respect qui anime la déclaration de 1789 ou si celle-ci prévoit une juste indemnisation plutôt que d’aller chercher le degré de malhonnête d’un citoyen propriétaire d’un bien acqui sous un régime auquel à des degrés divers,nous avons tous collaboré...Keep diving !-
Ah Norton, ne commencez pas à faire dans le sophisme !
Entre posséder un sax et en posséder 10, 100 ou mille, il y à une marge de 90%, 99% ou 999% d’écart. Ceci dit, le jour ou j’arrête de jouer de mon sax, je vous l’offre avec plaisir car et d’un, je ne l’emporterai pas au paradis et de deux, un instrument de musique est fait pour jouer de la musique. Alors, en posséder 10 ne me fera pas jouer mieux, mais n’en posséder aucun me fera pas jouer du tout et vouloir en prendre un à celui qui en a plus qu’il ne lui en faut. Et ce « vol » ne sera que justice si et seulement si, c’est pour jouer du saxo, en prendre le plus grand soin et savoir l’offrir si j’arrête d’en jouer.
Donc, donc, donc, on réfléchi, on reste calme et on pose la question suivante, qu’est ce qui m’est le plus important, vivre en sécurité dans ma grande propriété privé, derrière des grillages et l’arme à la main ou bien en sécurité en tout lieu, sans barrières et sans besoin d’arme ?
Et vient la question suivante, laquelle des deux m’assure la plus grande sécurité, sans stress ?
Ah, et pour Bayrou, je ne fais qu’une analyse perso où je fais abstraction de mes propres idées et aspirations, pour pouvoir donner un avis lucide et impartial. On dit toujours qu’une élection ne se gagne jamais au centre, Bayrou fait le pari inverse et seul l’avenir dira s’il s’est entêté comme un âne ou comme un véritable non conformiste, visionnaire de sa propre destiné. Quoiqu’il en soit, le seul véritable échec est de ne rien tenter. Donc, comparer Bayrou à Borloo est insulter le premier car si l’un tente, l’autre ne tente jamais rien et ne connait, lui, que l’échec.
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Le mot propriété n’est pas là pour désigner la terre,mais tout ce qui peut être la propriété de quelqu’un.En droit,un voleur est quelqu’un qui a acquis illégalement quelque chose et ce sont des magistrats qui en jugent.
Si vous voulez parler de propriété agricole,c’est très diffèrent.La terre produit notre alimentation et quand on sais qu’elle est le principal secteur ou se sont engouffrés les dirigeants de notre monde marchand,il est évident qu’il possèdent un moyen de pression d’autant plus puissant qu’il est lié à un besoin primaire.La marchandisation de l’eau,phénomène plus récent mais qui prend de l’ampleur,procède des mêmes intentions...-Être dépendant d’autrui pour son alimentation à de nombreux effets induits dont celui d’enrichir les groupes financiers qui nous dirigent.Mais la liste est longue...-Un des effets les plus négatifs est la perte de compétence des citadins pour appréhender les problèmes écologiques qui menacent notre survie.-Un autre touche la qualité de l’alimentation proposée.(variété,pesticides...)-Un autre malmène nos instincts enfouis de chasseurs-cueilleurs...-La pollution des nappes et des cours d’eau...-...etc...La mise à disposition de terres cultivables pour chacun est certainement une des pistes à explorer pour inverser ces tendances et peut répondre à une nécessité publique.Mais traiter de voleurs ceux qui possèdent 1000 hectares (ou plus,ou moins),c’est dans la plus part des cas,de la diffamation.Beaucoup de grand propriétaires ont hérité de ces surfaces...,d’autres les ont acquises par leur travail...,certains les ont achetées à des prix très bas,parce que personne n’en voulait...etc...La vie citadine,35 heures+loisirs,est à l’opposé de la vie agricole où les 35 heures sont faites,bien souvent, le mercredi soir..., les loisirs inexistants...,et les « week-end »,comme l’on dit en ville,souvent compromis,comme les congés,d’ailleurs...Consécutivement à l’exploitation par un plus grand nombre de petites parcelles agricoles,nous verrions disparaître les grandes exploitations dont profitent les lobbies de l’agroalimentaire et leurs pesticides.Si l’état mettait en œuvre aussi bien dans la recherche publique que dans la formation,un programme agricole sans utilisation de pesticides et une mise à disposition des terres agricoles non cultivées,à usage professionnel ou familial,la liste des avantages que nous en tirerions serait aussi longue que celle des problèmes que pose l’agriculture des lobbies.Je n’ai pas entendu de la part de l’ensemble du monde politique connu,la moindre allusion allant dans ce sens...Aller vers la démarchandisation de l’alimentation et de l’eau est un devoir citoyen qu’il ne faudra pas oublier d’inscrire sur notre feuille de route.Le droit à une alimentation saine,variée et non polluante est un problème qui ne se posait pas dans ces termes en 1789 où plus de 80% de la population était rurale.Aujourd’hui,le monde citadin étant ce qu’il est,il va falloir du temps et de la persuasion ou une sacrée famine,pour qu’il découvre l’intérêt d’une telle politique,d’autant que l’abandon des « avantages » plastifiés,aseptisés,sans sueur ni fumier,ne sera pas immédiatement du goût de tous...-
Cher Norton, cette fois ci, je suis d’accord avec tout ce que vous dites !
J’ajouterai juste que l’histoire de l’humanité est une histoire de colonisation commencé sur les autres espèces animales et terminés par la colonisation au sein de l’espèce humaine.
De ce fait, il n’y a pas à proprement parler de peuple natif, mais de peuple premier colonisateur, second, tertiaire, jusqu’à aujourd’hui où la reconnaissance mutuelle des uns et des autres garanti seule la fin de la colonisation et la paix entre tous les peuples.
Bonne nuit
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Jean-Luc Mélenchon nous parle d’une autre Europe...Il n’est d’ailleurs pas le seul à nous en vendre une...Article 443-3 du Traité de Fonctionnement de l’ UE :« Un seul Etat peut s’opposer à toute modification des Traités. »Avant de convaincre les français du bien fondé de la feuille de route qu’il nous propose,il a certainement fait le tour de toutes les capitales européenne pour s’assurer que les 27 pays,France comprise,sont tous d’accord pour modifier le ou les traités comportant des clause gênantes de son point de vue.Même la possibilité de créer 2 groupes de pays formant 2 Europes distinctes au fonctionnement séparés mais reliés par la BCE (banque commune européenne ?) a forcément reçu l’approbation des 27...Non ?...,personne n’en a entendu parler ?...C’est forcément parcequ’il a oublié...,on peut comprendre,c’est fatigant la politique...,on dit tellement de choses qu’on n’en oublie l’essentiel...Et puis ces journalistes,toujours à poser des questions à côté de la plaque au lieu d’aller droit au but...,quand on pense combien ils sont payés...À moins qu’ils ne comprennent pas ce que signifie qu’un seul pays peut s’opposer à toute modification des traités...Dans ce cas,il faut absolument qu’ils regardent cette vidéo explicative de moins de 10 minutes...on gagnera du temps !Mais si au contraire ils savaient tout ça...,alors pourquoi tout ce buzz ?-
Salut Norton, belle démonstration d’Asselineau !
Pourtant, les traités qui ont cours ont bien été signé par tous les pays !
Reste une chose, c’est que l’Europe est dépendante d’un agent extérieur parce qu’elle ’est arrêté au milieu du guet du fédéralisme. Autrement dit, parce qu’elle ne s’est pas construite sur le principe démocratique, mais sur le le principe de l’internationalisme.
Reprenons l’exemple de l’immeuble à 27 propriétaires. Si tous les habitants de l’immeuble sont propriétaires et ont le même niveau économique par personne, alors ils arriveront à s’entendre sur les travaux communs. Mais s’ils ont des revenus différents, ils ne le pourront pas car quand l’un peut, l’autre ne le peut pas forcément car ayant d’autres priorités (remboursement crédits). Si par contre, ils acceptent de pondérer leur contribution personnelle en fonction de leur pouvoir économique, qu’ils acceptent donc la solidarité économique, ils arriveront aussi à s’entendre.
C’est cela le principe fédéraliste, considérer que c’est la somme de toutes les propriétés qui fait la propriété de l’immeuble et donc sa valeur intrinsèque. Car la valeur de chaque appartement dépendra, pour une part plus ou moins importante, de la valeur de l’immeuble. En effet, si chacun ne considère que la valeur de son seul appartement et ignore les autres, il prendra le risque de perdre de sa propre valeur si un ou plusieurs autres propriétaire laissent leur appartement en état de vétusté, d’insalubrité et au pire, de dangerosité avec risque d’incendie. Sans compter, si certains proprios sont des délinquants et crée de l’insécurité.
Aussi, dans une copropriété, tous les propriétaires ont intérêt à coopérer et s’entendre pour conserver et valoriser la valeur de leur appartement en prenant soin de l’immeuble. Si chacun tire de son coté, l’immeuble perdra obligatoirement de sa valeur et à sa suite tous les appartements. A certains moment ils pourront être amené à faire des choix stratégiques comme faire du covoiturage en vendant une voiture pour maintenir l’état de l’immeuble.
En fait, les problèmes surviennent surtout lorsque le propriétaire n’habite pas l’immeuble mais y place un locataire. Et s’il y a plusieurs locataires, voire que les propriétaires soient moins nombreux que les locataires, alors en effet, il faudra un syndic extérieur. Car autant le locataire que le propriétaire extérieur ont pour priorité le bénéfice immédiat et réduit à leur propre intérêt particulier et non communautaire. Un propriétaire extérieur peut accepter une moins valu dans la valeur de son appartement car il n’est pas dépendant de celui ci et peut s’en séparer à n’importe quel moment.
Au niveau des nations, un pays « locataire » dans l’immeuble Europe, est un pays dépendant d’une entité extérieure à l’Europe. Comme on le voit avec l’Angleterre et nombres de pays de l’Est envers les USA. De ce point de vue, les USA sont les vrai propriétaires de ces pays qui eux ne sont que des locataires de l’Europe et donc, ne regardent que leur intérêt propre. Mais qu’en est il de l’Allemagne ? Propriétaire ou locataire ???
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@Hervé hum
Avec le même niveau économique,l’histoire et la culture de chacun fera qu’il y aura toujours des pays qui voudront une chose et un autre,son contraire,comme dans une copropriété à 27 l’orsqu’il s’agit de privilégier la réparation de l’ascenseur,comme le voudraient les habitants des étages supérieurs,ou celle de la porte du hall,comme le souhaiteraient ceux du rez-de-chaussée qui se gèlent depuis qu’elle est cassée.Dans l’Europe des 27,chaque pays possède des liens différents avec les États Unis,mais pas seulement avec eux...Par exemple,chacun est diversement concerné par la stabilité du bassin méditerranéen qui touche davantage les pays du sud que les scandinaves...etc...On peut multiplier les exemples de discordance à l’infini...La seule chose que l’on ne puisse pas multiplier,ce sont les 27 signatures réunies qui valident nos adhésions respectives à nos traités.En les signant,nous nous sommes enfermés dans une prison commune et nos traités sont le marbre sur lequel est gravé le règlement de la prison.A-t-on déjà vu des prisonniers changer un tel règlement ???...surtout quand il faut l’unanimité des 27 prisonniers pour valider la moindre demande,...les uns sont fauchés,les autre mangent casher d’autres veulent faire un petit orchestre...etc...Heureusement,nous disposons,comme les règles du droit international nous y obligent pour tout traité,d’un passe de sortie situé dans l’article 50 du traité de Lisbonne,que chacun peut utiliser à sa guise, s’il veut sortir.Pour gérer les affaires d’une prison,il y a une administration pénitentiaire extérieure,Pour gérer une copropriété,il faut un syndic extérieur également...Et pour gérer les affaires des 27 pays de l’UE,il faut une puissance extérieure également,mais comme ça faisait un peu désordre de nous envoyer les directives,directement depuis Washington,on nous a affublé d’une commission,dite « européenne »,composée des bons serviteurs de Wall Street,alignés à Bruxelles sous un beau drapeau étoilé lui aussi.D’où la question de mon modeste article à monsieur Melenchon :À moins de trouver quelque intérêt au pouvoir que ça leur donne,pourquoi ne pas renvoyer outre-atlantique les administrateurs de ces banques qui tiennent un conseil permanent chez nous, appelé commission européenne, puisque ils travaillent désormais pour des banques fantômes ?Et après on voit pour la 6eme..., à moins que nous ne parlions d’abord de paix...-
On tourne en rond, puisqu’on revient au début de notre discussion. Bref, relisez mes commentaires précédents où je dis pourquoi il vaut mieux d’abord poser la constituante avant de sortir de l’Europe.
Mais sur le fond, nous sommes d’accord pour ne plus vouloir de cette Europe là.
Quant à Mélenchon, je lui laisse le bénéfice du doute et la présomption de sa bonne foi. C’est à dire qu’il dit d’abord essayer la persuasion et le rapport de force à l’intérieur de l’Europe avant d’en sortir. Mais il à clairement dit quelle était sa priorité et son choix.
Et ce choix va dans le même sens que le votre tel que vous le décrivez ainsi, alors que c’est moins sûr pour Asselineau. Ce dernier veut sortir de l’Europe, mais après ?
Quoiqu’il en soit, la seule manière de rassembler le plus de courants divergents sous une même bannière est à mon sens une constituante car c’est la seule qui garantie le plus le choix démocratique intérieur et une meilleure communication extérieure... La France n’est pas la Finlande et ce qui s’y dirait ne passerait pas inaperçu !
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Tant que nous serons menotés par des traités figés pour l’éternité,toute réaction démocratique interne,qu’elle soit d’ordre syndical,monaitaire,militaire,structurel,ou tout ce que vous voudrez,sera obsolète,comme les réactions grecques ou espagnoles.
DANS L’EUROPE DES 27,ON FERME SA GUEULLE OU ON LA QUITTE !...
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