Pornographie : l’addiction du siècle ?
Comme nous sommes en pleine campagne électorale, c'est peut-être l'occasion de poser la question : pourquoi n'interdit-on pas l'accès libre aux sites pornographiques sur Internet ?
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Cyber pornographie : êtes-vous accros ?
Nicolas Sarkozy a mis au point une loi interdisant le port de la burqua, alors que personnellement, je n'ai jamais croisé une femme avec une burqua — ou si j'en ai croisé une, j'ai du m'en foutre royalement. La liberté individuelle de ceux qui sont en âge de faire des choix prévalant selon moi sur le principe de laicité appliqué au vêtements que l'on porte dans la rue. En revanche, si j'avais un fils de 11 ans, je serais inquiet qu'il puisse tomber sur une compilation d'éjaculations faciales en croyant cliquer sur Action Man.
Ceci n'est pas tout à fait de la fiction : selon le magazine américain GOOD, c'est à cet age que les teenagers sont exposés à la cyberpornographie. Les 12-17 ans étant les plus gros consommateurs de X en ligne, 90% des 8-16 ans se connectant à l’heure des devoirs. Non je vous assure, ce n'est pas une blague. S'ils cliquent sur des icônes tels que Supermario, Pokémon, Action Man, remarque encore le magazine, vos petits chérubins ont des chances de tomber sur des hyperliens porno, autrement dit sur le braquemart de Rocco Siffredi !
Ted Bundy, le célèbre tueur en série, qui avait coutume d'enfoncer des buches en chêne pleines d'échardes dans l'anus de ses victimes pendant leur sommeil, a avoué quelques heures avant son rendez-vous avec la chaise électrique, dans une interview assez sensationnelle accordé au Dr Dobson, que sa rencontre avec la pornographie alors qu' il était encore enfant, avait été un facteur déterminant dans la fabrication du monstre que l'amérique avait découvert avec stupéfaction dans les années 80, après une série de 40 meurtres plus ou moins horrifiants. Réalité ou dernier coup de pub avant de partir ? Personne ne sait.
Depuis, tous les scientifiques ayant étudié un peu sérieusement la pornographie s'accordent sur ce point : la pornographie est une drogue dure, et l'addiction est d'ordre physiologique au même titre que l'addiction à l'héroine. Le drogué cherchant, comme dans n'importe quel processus d'addiction, à se procurer des doses de plus en plus fortes, et de plus en plus fréquentes. Tout ceci est très bien expliqué dans "The psychopharmacology of pictorial pornography. restructuting brain, mind and memory and subverting freedom of speech" Un rapport signé Judith A. Reisman qui nous explique, un tas de scientifiques spécialisé à l'appuie, qu'un cerveau exposé très tôt à des images pornographiques peut être irréparablement affecté.
Les connexions toujours plus rapides d'internet rendent possible aujourd'hui un accès instantanné à un nombre inimaginables de sites pornographiques gratuits- et contrairement à la logique de l'économie néo libérale, la gratuité est ici en passe de devenir la règle, et la multiplication des victmes de l'addiction la conséquence de cette équation machiavélique. Celui qui a gôuté revient. Et qui revient devient vite addict.
On connait mal aujourd'hui les conséquences de l'addiction pornographique. Le sujet est encore tabou et sous estimé bien qu'il existe au États-Unis des cliniques spécialisées dans la désintoxication des accros au porno.
Ce que l'on connait mieux, ce sont les chiffres. Selon une étude menée par Optenet, une société spécialisée dans la sécurité informatique, les contenus pornographiques occuperaient près de 37 % du total des pages web dans nos pays et le nombre de pages proposant des contenus pour adultes serait en constante augmentation. Ainsi, entre 2009 et 2010, le nombre de pages aurait augmenté de 17 %. On pourrait être tentés de relativiser ces chiffres en se disant qu'on cherche à nous faire peur pour nous vendre de la sécurité informatique, mais il suffit de taper "cumshots" sur google. (Cessez de me lire, si cela vous choque, ou que vous faites parti de ceux ou de celles qui péfèrent ne pas savoir.) Le mot signifie "éjaculation" en français. Comme le "Sesame ouvre toi" d'Alibaba il vous donnera un accès immédiat à des millions de vidéos gratuites mettant en scène des magnifiques créatures à peines majeures accueillant avec joie, dans leurs parties les plus intimes, les millions de "cumshots" en question.
C'est idiot mais contrairement à la burqua, personne ne pense à légiférer. Pourquoi ? C'est une bonne question.
Malgré la gratuité, l'industrie cyberpornographique est une industrie juteuse. Selon "Good Magazine" encore, 89% des sites X sont créés aux Etats-Unis - 260 par jour pour être exact. Ils génèrent plus de 3 milliards de dollars de recettes annuelle.
Et comme naturellement les drogués ont besoin de drogue de plus en plus dure, c'est vers la pédo pornographie qu'ils finissent par s'orienter, ou la zoo-pornographie. Plus de 100 000 sites web pédophiles accessibles ont été recensés. Et le réseau peer-to-peer Gnutella enregistre quotidiennement près de 116 000 requêtes à caractère pédophile...
Oui ma bonne dame ! On va bientôt en terminer avec le sujet. Mais la question qui reste à se poser est cruciale : la cyberpornographie est-elle un garde fou prémunissant la société contre un tas de maniaques sexuels qui, s'ils ne pouvaient pas se vider de leurs ardeurs, seuls devant leurs écrans d'ordinateurs, feraient la sortie des écoles... ou au contraire farbrique-t-elle des Ted Bundy ? Si l'on opte pour la premiere proposition, cela exlique peut-être que l'on tolère dans une certaine mesure que quelques dizaines de milliers d'enfants de pays pauvres soient sacrifiés pour fabriquer les films qui se retrouvent sur Internet. Si l'on considère au contraire que la cyberpornographie est une excitation dangereuse des appétits sexuels de la population, alors il faut faire une loi qui en reglementera l'accès.
Jean Luc Toutlemonde
67 réactions à cet article
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Toutes les opinions étant acceptées, Agoravox accueille aussi celles des cathos intégristes.
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Plutôt que des lois prohibitionniste et de la censure, utilisez des petits programmes de filtrage parental et éduquez correctement vos gamins.
Surtout, si vous avez le souci de les préserver, ne leur achetez pas de téléphone portable.
Et si vous le faites, refusez l’option internet.La pornographie est une mauvaise habitude, donc une drogue, oui. So what ?
Tout est drogue.
Si vous faites des lois d’exceptions pour les fadas qui fantasment de travers, alors il faudra interdire les jupes et les jambes des filles qui font tourner le monde (comme dit la chanson je crois) et mettre tout ce beau monde à la burqa.Si c’est ce que vous voulez, vous avez un problème.
La prohibition n’est jamais une solution, toujours un problème dès lors qu’il est question de comporrtements addictifs (la prohibition des armes, je m’en tape, c’est pas une addiction qui est visée).
La liberté doit être préservée.
Et la solution, c’est l’éducation.
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Merci à l’auteur pour ses bons tuyaux.
Il manque quand même les bonnes adresses qui vont bien avec.Dans l’attente...
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ben dit donc, je viens de me rendre compte que je suis malgre moi un dangereux pervers voire un tueur en serie potentiel car j ai vu des magazines porno (eh oui a l epoque on n avait pas internet, c etait papier) quand j avais 13 ans ...
Sinon qu a 17 ans des gamins vont sur des sites X ne m etonne pas. j aurai fait comme eux a l epoque si ca existait. C est de la curiosite.
Apres je suppose qu ils sont capable de faire la difference entre un film et la realite (tout comme personne ne vole comme superman, je connais pas de femme que se fasse culbuter moins d une minute apres l avoir rencontree)PS : moi les burqua j en ai rencontre plusieurs et ca me gene. C est quand meme un symbole fort de l islamisme et du rejet de notre culture
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Chacun son truc. Pour moi la religion est plus obscène que la pornographie.
Je trouve une burqa plus obscène que la nudité.
Question d’opinion et de point de vue. Je préféré de très loin choper mes enfant devant un porno à 15 ans que lisant la Bible ou le Coran. Je me demanderait vraiment où est ce que j’ai échoué.
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Qui a dit que la nudité était obscène ? C’est vous ! LA nudité vous inspire donc « automatiquement » des pensées obscènes...
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L’auteur compare la pornographie et les histoires de burqa... je dis que le sexe c’est la nature, pas la religion.
Si vous préférez je trouve ça plus obscène des gens qui prêchent leur prosélytisme ou qui prient dans la rue que des gens qui baisent dans un parc. Ça vous va comme ça ?
Par ce que vos raccourcis fumeux hein... Moi aussi je vais en faire un de raccourcis... vous seriez pas du genre à voir des obsédés par tout des fois ?
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Il ne faut pas oublier que le sexe est thérapeutique, eh oui, essayez de supprimer le sexe dans les hospitaux psychiatriques et vous allez voir un beau bordel. Si vous n’avez jamais vu des gens grimper au mur c’est le moment ou jamais.
La pornographie existe depuis que le monde est monde, l’accès à internet doit être contrôlé par les parents, un point c’est tout.Après, effectivement il y a le problème des pervers, là, les parents doivent être plus que vigilants. Un pervers ne se guérit pas, les sites porno sont pour lui juste un défouloir, ce qui en soi n’est pas entièrement négatif, ça évite bien des passages à l’acte.Beaucoup de couples ont besoin de piment dans leur relation, cela ne fait pas d’eux des dépravés, porno, coquinerie, quelle différence ? Faut pas déconner, faire l’amour à la papa-maman s’était bon il y a quelques décennies. Si cela vous gêne, allez à la messe dire deux paters et trois aves, dieu vous pardonnera. -
"Et comme naturellement les drogués ont besoin de drogue de plus en plus dure, c’est vers la pédo pornographie qu’ils finissent par s’orienter, ou la zoo-pornographie."
c’est du second degre ?
sinon faut se faire soigner-
Eh ben moi, j’aime bien cet article et j’y adhère totalement. Je ne suis pourtant pas intégriste. Il y a longtemps que je ne vais plus à la messe et que je ne cautionne plus ces singeries.
Mais vous avez tous raison : tant que ce ne sont pas nos enfants qui se font enculer avec des bûches, que ça reste des petits Philipins ou des petits gosses prolos du Nord..., c’est pas grave.
Vous avez raison : il vaut mieux fabriquer des déglingués qui ne pensent plus qu’au cul. C’est moins gênant pour le Nouvel Ordre Mondial. C’est d’ailleurs un des moyens qui marchent le mieux.-
Ce qui me semble important surtout dans ce libre accès à la pornographie, c’est l’image de la femme qu’elle véhicule souvent.
Ensuite, ces vidéos réduisent l’amour à un acte qui en est bien souvent dépourvu.
Sinon, sans être catholique ni intégriste, j’approuve totalement cet article. Mais certains semblent croire qu’être le jouet de ses émotions est le nec plus ultra de la liberté...
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Merci pour cette mise au point. J’avais peur qu’il n’y ait personne pour faire cette remarque :
« Mais certains semblent croire qu’être le jouet de ses émotions est le nec plus ultra de la liberté... »
C’est exactement ça.
Les populations sont formatées par l’idéologie de marché néo libérale dominante, c’est inquiétant. Tout esprit critique est anéanti en effet. Ils sont comme les adeptes d’une secte qui auraient l’impression de défendre leur point de vue alors qu’ils défendent celui du marché et des intérêts économiques.
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« Mais certains semblent croire qu’être le jouet de ses émotions est le nec plus ultra de la liberté... »
Merci pour votre réaction, je me sentais bien seul. C’est exactement cela en effet. On le voit bien dans les réaction ici.
Cette confusion entre l’accès au plaisir sans limite et la liberté promu pas la société de marché (le « just do it » de Nike) est certainement la maladie du siècle.
L’idéologie néo libérale fait des ravages. Les populations sont comme les adeptes d’une sectes. Chacun croit défendre son point de vue librement, mais il défend en réalité celui de l’idéologie néo libérale dominante. Et ceci sans aucun recul critique et alors même parfois que ladite personne se décrierait comme « alter ». C’est inquiétant.
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Il n’y a pas que l’Internet et ses écrans, il faut tenir compte aussi de la possibilité qu’a tout individu de se représenter mentalement des scènes libidineuses, dans une sorte de rêve éveillé. C’est fréquent chez les adolescents. Avec l’âge, ça s’atténue un peu mais il reste des souvenir qu’il est toujours possible de faire remonter à la surface de la conscience.
La neurophysiologie a beaucoup progressé ; les techniques d’imagerie cérébrale permettent maintenant de faire apparaître les zones du cerveau qui sont actives lorsque la conscience est appliquée à tel ou tel objet. Il me semble qu’une solution simple serait, dès le plus jeune âge, par des techniques chirurgicales qui sont maintenant très éprouvées, de déconnecter les zones de l’encéphale qui seraient susceptibles de générer ces sortes d’activités mentales pernicieuses.
La castration ou l’ovarectomie, avant la puberté, auraient probablement aussi une influence positive sur la morale et sur les moeurs. En outre, cela ferait beaucoup de petits garçons qui conserveraient à l’âge adulte une voix de soprano. On pourrait enfin redécouvrir tout un répertoire admirable de la musique ancienne réservée aux castrats. Oui, il faut bannir le sexe et toutes ses sales horreurs ! Un peu de pureté, enfin, et de la musique avant toute chose !-
Là, rien à redire, c’est de la belle oeuvre, du 36e degré comme on aime ! Excellent !
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Il y a du sexe sur internet car les gens aiment le sexe,c’est tout. Il n’y a pas de mal a ça.
C’est vous qui êtes dangereux à vouloir toujours encadrer nos plaisirs avec de fausses raisonsSi Il véhicule de mauvaise images de la femme c’est parce que les films sont fait par de gros nullos sans imagination .Avec la bimbo et des tas de gangsta bien bronzés et friqués au bord d’une piscine .Il pourrait être beau pourtant.Et contrairement à ce que pensent un bon nombre d’ultra-féministes,il ne pousse pas à vouloir dominer . D’ailleurs elles ne connaissent rien à la sexualité masculine vu qu’il n’y a quasiment aucune étude sur le sujet et qu’elles vivent d’idées préconçues , elles ne veulent pas comprendre si ça va à l’encontre de leur idéologie.C’est comme le chocolat,en lui même il ne fait pas de mal,c’est le gars qui fait l’idiot avec qui finit,évidement,obèse... C’est SA faute,pas celle du chocolat.Si un mec sait pas faire la différence entre les scènes d’u film au scénario minable d’un porno et la vie réèlle,ce n’est toujours pas la faute au porno lui même .Quant-aux gamins et la pureté de l’enfance,ne me faites pas rire,n’essayez pas de nier et déformer la réalité... À 7 ans on ne parlait que de ça , du sexe , et c’était pas du propre ( au moins les garçons , on côtoie pas encore trop le sexe opposé à cet âge,je ne savais pas ce que les filles en pensaient. ) on imagine plein de trucs et si o est bien informé on sait faire la différence entre la fiction et le réel et les risques qui y sont liés.Mais les tabous cachent la chose ET les risques.Et je préfère que les gens soient confrontés à la réalité , même si elle est parfois dure , et qu’ils aient les yeux grands ouverts sur le monde plutôt que de leur filer de la morphine idéologique/religieuse. Sinon il n’y a pas de prise de recul possible.Je ne comprendrais donc jamais pourquoi on s’attaque au sexe sinon pour des concepts moraux d’un autre temps .Il faut éduquer les gens sur la sexualité,leur montrer qu’elle ’est pas malsaine,que c’est un plaisir,qu’elle peut comporter des dangers comme n’importe quoi mais qu’ils ne sont pas inévitables,qu’elle ne devrait pas être réservée au pleins-de-frics-populaires et aux top-models-aux-longues-jambes,que c’est ce qui fait marcher le monde,que c’est son opium plus qu’aucune forme de religion et que ça fait partie de notre NATURE et ce n’est pas parce q’un barbu dans le ciel qui n’existe probablement pas et que des apôtres de l’ignorance et de la haine nous disent que c’est mal que je je vais couper mon abonnement à internet et reposer ma main droite. :p-
Et ce n’est pas l’addiction du siècle c’est l’expression d’une des facettes du vivant et de notre nature humaine.
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La burqa, le porno,
Bof, les 2 dénigrent l’image de la femme non ?
Se faire arroser plusieurs fois ou cacher sa face, c’est se soumettre à dieu heu.. à l’homme veux-je dire.
C’est pareil au final.
Ça rejoint la même poubelle.-
Oui, bien sûr... je suis d’accord avec vous. Mais des millions de personnes sont sans doute victimes de la pornographie en France... et quelques centaines de femmes portent la burqa. Depuis que la loi a été crée, il y a eu 300 verbalisation ce qui est un chiffre absolument ridicule au regard d’un pays de 6 000 000 d’habitants.
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Comment voudrais tu qu’une femme grandisse, si on ne l’arrose pas ?!
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@L’auteur,
Je suis d’accord avec vous of course !
@Cocasse, que vous avez de grandes mains ...
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« Mais des millions de personnes sont sans doute victimes de la pornographie en France... »
Au premier degré cette affirmation est à se tordre de rire ...
Mais finalement, vous avez raison, la pornographie politique actuelle fait effectivement des millions de victimes ....
Pitié ! Pas de double enculage le soir du 6 mai !!!
Par contre, une partouze générale pour les législatives, faut voir ... -
Que doit-on censurer en premier :
1 - le sexe en forme et qui « s’exprime » de Roco Siffredi ?
2 - la kalachnihov qui dézingue à tout va : femmes, enfants et vieillards partout sur le globe ?
3 - le cinéma qui fait du pognon avec la violence, les bombes, les intégristes, que du léger quoi ?
4 - faire du tourisme en Syrie en prenant des photos des monuments ?
5 - la City, Wall street, Las Végas et autres paradis ?
Où se trouve donc l’obscénité la plus éprouvante, parmi cette liste non exhaustive, hélas ??? -
un partouze générale au soir des législatives...
pour moi c’est tout vu
non merci
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J’adhère à l’article, en ce sens que si les gens ne passaient pas autant de temps à regarder du porno, la société serait peut-être plus belle, l’homme plus digne. Seule question : en est-il capable ?
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La meilleure façon de régler ce problème qui parait crucial, n’est-il pas de couper les deux mains à tous ces petits branleurs du net !?
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cette addiction en dit plus long sur
le délabrement émotionnel et éducatif de notre civilisation que toutes les thèses universitaires
mais il est bien évident que comme toutes les drogues
elle doit rester libre d’accès
la liberté est quand m^me une valeur « sacrée » de la religion de la consommation dont les ex ou néo soixante huitards sont les meilleurs et les plus ardents défenseurs
y compris et surtout la liberté de se détruire et de détruire le peu qui reste du fameux « lien social »
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Jean luc toutlemonde t’ as vraiment rien d’ autre à « foutre » que de nous bassiner avec tes conneries c’ est le titre qui m’ a attiré et quelle déception. pauvre petit homme frustré.
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La burqua et le porno sont deux choses différentes .
La burqua est utilisée par les vecteurs de l’islamisme radical .
La pornographie est une réalité ,pas bien jolie , à l’image de notre société assez déglinguée dans ses valeurs .
Mais avant le net , il y avait tous les films X en vidéo et en DVD accessibles partout .
L’anomalie est qu’effectivement des gamins jeunes puissent se connecter librement sur ces sites interdits aux moins de 18 ans .
Et que les parents fassent l’autruche alors qu’il y a des moyens de verrouiller l’accès à ce genre de site . Mais je ne me fais pas d’illusion : certains gamins y auront toujours accès et inviteront les copains .
Mais au delà : la majorité des films violents ,sadiques ,ne prônant que la force, l’individualisme , l’opportunisme ,l’illégalité , l’argent ne sont ils pas tout autant « pornographiques » .
De fait notre civilisation est malade , sans doute parce que la facilité et l’utilisation des instincts sont très lucratifs pour les pervers avides de pognon .
Et par extension la publicité n’est elle pas une activité perverse , quasi pornographique, envahissante et m^me entrée dans les moeurs ?
Quand on interroge les publicitaires ils sont persuadés , ou veulent nous le faire avaler , qu’ils s’agit de création, d’art etc ...
Mon oeil ! Il s’agit de gagner beaucoup d’argent et de faire tourner cette société de consommation « pornographique »...
Parce qu’il y a de l’obscénité à dériver toutes nos valeurs vers l’unique consommation , d’autant que celle ci n’est pas accessible à tous .
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"S’ils cliquent sur des icônes tels que Supermario, Pokémon, Action Man, remarque encore le magazine, vos petits chérubins ont des chances de tomber sur des hyperliens porno, autrement dit sur le braquemart de Rocco Siffredi !" : C’est là l’erreur centrale de votre article. C’est totalement faux. Ca a pu être vrai dans les années 90, mais ça fait bien longtemps que les sites pornographiques ont bien compris que ce n’était pas du tout leur intérêt de se faire référencer à tort et à travers. Ensuite, effectivement, au début de l’adolescence, une curiosité s’éveille chez les enfants quand aux sujets liés au sexe. Mais ça, c’est une question éducative, et c’est aux parents de remplir leur rôle et de ne pas laisser les contenus pornographiques (que ça soit sur internet ou ailleurs) se charger de cette éducation.
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"Ted Bundy, le célèbre tueur en série, qui avait coutume d’enfoncer des buches en chêne pleines d’échardes dans l’anus de ses victimes pendant leur sommeil, a avoué quelques heures avant son rendez-vous avec la chaise électrique, dans une interview assez sensationnelle accordé au Dr Dobson, que sa rencontre avec la pornographie alors qu’ il était encore enfant, avait été un facteur déterminant dans la fabrication du monstre que l’amérique avait découvert avec stupéfaction dans les années 80, après une série de 40 meurtres plus ou moins horrifiants. Réalité ou dernier coup de pub avant de partir ? Personne ne sait"
Si la pornographie transformait les gens en tueurs en série, l’humanité serait une espèce en voie de disparition, je pense. Pour reprendre le cas de Ted Bundy, son père a quitté sa mère avant sa naissance et elle l’a laissé les 3 premiers mois de sa vie dans un foyer pour filles-mère. Ensuite, il a grandit dans la croyance que son grand-père était son père et que sa mère était sa soeur. Au final, il n’a jamais connu son père. A mon humble avis, tout ça a pu jouer un certain rôle dans la formation de sa personnalité...
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A mon humble avis nos chérubins souffrent plus des conneries et des horreurs débitées à longueur de journée à la télé que du porno sur internet. Ma ligne de défense est de ne pas avoir de télé et de faire prendre conscience à mes enfants que le sexe porno sur internet n’a rien à voir avec la vraie sexualité, tous comme les héros de films d’action n’ont rien à voir avec des gens réels. C’est du cinéma souvent mal foutu et à prendre comme tel. La seule législation que je demande est l’interdiction de déguiser les sites porno sous des liens qui accrochent les enfants (genre cliquer sur chatte et se retrouver sur une page porno), mais hors cela...
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Le porno, c’est comme le cannabis, l’alcool, le tabac, c’est quand l’addiction se fixe que le plaisir s’en va
Sinon surtout pour des adultes, c’est une distraction comme une autre
Légifèrer c’est faire atteinte à la liberté individuel
Le crédit revolving c’est plus dangereux que le porno, l’alcool et le tabac réunis et pourtant on interdit pas la pub Cetelem
Non à toute censure-
Oui, c’est comme toutes les drogues, mais à la différence du tabac et de l’alcool, celle-ci est gratuite et disponible depuis chez vous, et laissée en libre accès à vos enfants.
C’est comme si vous aviez des étalages à tous les coins de rue avec alcool et cigarette distribué gratuitement, vous comprenez ?
Je ne parle bien évidemment pas d’interdire le porno mais de limiter le droit de l’afficher sur internet en accès libre.
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Non à toute censure
comme c’est inattendu cette remarque
de votre part
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par contre laxisme obligatoire
résignation imposée
servitude volontairepermissivité généralisée
et démission permanentele véritable totalitarisme des libertaires démagogues
j’espère que vos enfants n’ont pas été trop nombreux
pour subir une telle violence -
@Jean-Luc Toutlemonde
"C’est comme si vous aviez des étalages à tous les coins de rue avec alcool et cigarette distribué gratuitement, vous comprenez ?"
Vous avez vu juste : la tentation est partout, et pas seulement sur l’Internet ; elle est même dans la rue et c’est là qu’il conviendrait d’incriminer cette « concupiscence des yeux » dont parle Saint-Augustin au chapitre X de ses Confessions. Augustin ne voudrait pas voir les jeux du cirque, mais un jour il s’y lasse entraîner. Il se cache les yeux, mais il entend encore. Il finit par regarder. C’est cuit : l’addiction s’empare de lui immédiatement.
Dans la rue, on peut être assis tranquillement à la terrasse d’un café, à méditer très vertueusement sur la transcendance de l’égo ou la résolution des équations aux dérivées partielles et, d’un seul coup, passe une très belle femme. On tourne la tête pour regarder dans la direction opposée, bien évidemment, mais comme une intuition érotique nous a frappé, elle se reporte sur toutes les autres femmes qu’on peut voir à proximité et même très loin. On se dépêche de rentrer chez soi les yeux fermés, en suivant les murs, à tâtons, mais la tentation peut perdurer et quelquefois durant des heures. C’est désastreux.
Je ne sais plus quel philosophe, pour pouvoir penser tranquillement et n’être plus perturbé par les données du monde sensible, s’était crevé les yeux et les tympans. Origène, le pauvre, s’était châtré. Ce sont là des solutions évidemment tout à fait extrêmes, mais comme ce sont surtout les femmes qui sont responsables de ces tentations (et on le voit bien par le récit de la Génèse), c’est peut-être elles qui devraient prendre les mesures qui s’imposent. Je ne parle pas de la burqa, laquelle est infiniment plus suggestive voire excitante que la simple nudité, mais la chirurgie esthétique est maintenant très au point et sans grand danger. Quand une jeune fille est vraiment très belle, si on lui coupait le nez, par exemple, elle attirerait moins l’attention, susciterait moins le désir qu’une certaine pitié lorsqu’on la croiserait dans la rue. Les femmes ainsi enlaidies seraient infiniment plus tranquilles en tous lieux. Jacques de Voragine, dans sa Légende dorée, rapporte le cas de Sainte-Paule dont la statue plonge quelquefois dans la perplexité les touristes qui visitent certaines églises : elle a visiblement un corps de femme mais porte une barbe qui lui tombe jusqu’au nombril. C’est elle qui l’a demandée à Dieu, cette barbe, et il la lui a accordée. Trop belle, elle était sans cesse confrontée au désir masculin. Barbue, elle a pu enfin se consacrer à l’amour sacré sans plus jamais avoir à affronter la corruption des amours profanes.La question que pose cet article est vraiment essentielle et torturante. Le péril impose de trouver rapidement des solutions. Puissent mes modestes suggestions rencontrer un jour l’assentiment des pouvoirs publics.
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@Christian Labrune
Vous avez une certaine culture. Vous connaissez apparemment vos classiques. Votre démonstration est habile et pourrait emporter l’adhésion des moins instruits, mais vous ne tromperez pas ceux qui savent penser. L’enchaînement de vos arguments relèvent de ce que l’on appelle communément le sophisme. (Vous en avez sans doute parfaitement conscience d’ailleurs, et êtes sans doute un admirateur de toutes cette tradition...) Je connais mieux votre genre que vous semblez me connaitre, cher Monsieur.
"Un sophisme, ou argument à logique fallacieuse pour duper volontairement, est un raisonnement qui cherche à apparaître comme rigoureux mais qui en réalité n’est pas valide au sens de la logique (quand bien même sa conclusion serait pourtant vraie). À l’inverse du paralogisme qui est une erreur involontaire dans un raisonnement, le sophisme est fallacieux : il est prononcé avec l’intention de tromper l’auditoire afin, par exemple, de prendre l’avantage dans une discussion. Souvent, les sophismes prennent l’apparence d’un syllogisme (qui repose sur des prémisses insuffisantes ou non-pertinentes ou qui procède par enthymème, etc.). Ils peuvent aussi s’appuyer sur d’autres mécanismes psychologiques jouant par exemple avec l’émotion de l’auditoire, l’ascendant social du locuteur (argument d’autorité) ou des biais cognitifs (comme l’oubli de la fréquence de base).
Dans la Grèce antique, les sophistes dont le nom est à l’origine du terme sophisme, enseignaient l’éloquence et l’art de la persuasion. Et c’est pour démasquer leur rhétorique parfois fallacieuse que les philosophes ont posé les bases de la logique. Depuis les Réfutations sophistiques d’Aristote, de nombreux philosophes ont ainsi cherché à établir une classification générale des sophismes pour, le plus souvent, s’en prémunir (Bacon, Mill, Bentham) mais à l’inverse, d’autres auteurs, comme Arthur Schopenhauer dans L’Art d’avoir toujours raison (1830), ont aussi défendu l’usage du sophisme pour son efficacité dialectique."
Source Wikipedia
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"Le mot sophisme dérive du latin sŏphisma, lui-même issu du grec σόφισμα (sóphisma) : « habileté », « invention ingénieuse », « raisonnement trompeur ». Ce mot grec est formé sur σοφία (sophía) : « sagesse », « savoir », et désigne dès l’Antiquité grecque le type de discours prononcés par les sophistes (littéralement « spécialistes du savoir »), orateurs prestigieux et professeurs d’éloquence (ou plus globalement de rhétorique), dont le but était surtout de persuader l’auditoire (dans les assemblées ou les tribunaux), bien souvent au mépris de la vérité elle-même. Socrate et Platon ont beaucoup débattu avec les sophistes pour essayer de démasquer leurs raisonnements trompeurs et bâtis sur une logique non-rigoureuse1, mais c’est Aristote surtout qui a inventé la science de la Logique pour classer les types de raisonnements (ou de syllogismes) et montrer rigoureusement quelle est la « logique » fallacieuse à l’œuvre dans un sophisme2."
Source Wikipedia
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@Jean-Luc Toutlemonde
Vous évoquez toute sorte de registres littéraires et toute sorte de figures de style mais je ne vois rien qui pourrait servir à caractériser le texte que je me suis bien amusé à écrire. Un seul mot suffisait mais, sauf erreur, je ne le vois figurer nulle part dans votre énumération.Le seul mot qui convienne, c’est IRONIE.
Dans le registre ironique, c’est très simple, on dit exactement le contraire de ce que l’on veut faire entendre. Au lieu de démonter les arguments que je lis, ce qui serait fastidieux, j’adopte d’une manière particulièrement outrée (jusqu’au ridicule) le point de vue que j’entends combattre. Cela relève aussi de ce qu’on appelle
DEMONSTRATION PAR L’ABSURDE. -
Il faut arrêter de jouer les puritains choqués par le sexe. Vous évoquez le cas de Ted Bundy, soit. C’est UN cas à part, alors que des millions de personnes vont quotidiennement visiter des sites pornos... qui peuvent aussi servir d’exutoires à des pulsions que les esprits les plus perturbés ou les plus influençables pourraient, sans porno à la demande, assouvir en passant à l’acte. Du gros n’importe quoi que cet article, qui en somme, ne va chercher les origines des problèmes que là où il est facile de taper sans réfléchir.
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aucun puritanisme dans ce constat froid et distancié de toutle monde
les bobos libertaires et leur sociologues patentés, s’effarouchent de tas de « dérives sociétales », de déréliction du lien social, de perte diverses et variées due selon à eux à des méchants « ils », les capitalistes, le nouvel ordre mondial etc....
ils pleurnichent sans arrêt sur la société marchande et sa marchandisation de l’école, des services publics, sans être foutus de voir que chaque avancée de cette marchandisation est liée à un abandon de responsabilité de chacun face à la conduite de sa vie , de souveraineté individuelle, de responsabilité en fin de compte
beaucoup plus facile de se résigner et de pleurnicher que d’agir et de vouloir
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@Gordon 71
"beaucoup plus facile de se résigner et de pleurnicher que d’agir et de vouloir«Vous avez raison, et je me demande même s’il ne conviendrait pas d’interdire sur AgoraVox un certain nombre de sujets, dont celui de la pornographie. Comment penser à la pornographie, en effet, (il faut bien savoir de quoi on parle), sans qu’un certain nombre d’images licencieuses rencontrées dans la vie par le plus grand des hasards - et certes, ce n’est pas moi qui les rechercherais !- ne reviennent nous hanter et nous troubler. Je ne voudrais pas paraître plus vertueux qu’un autre et je dois faire ici une confession : j’ai pensé plusieurs fois en lisant cette suite de textes à l’aquarelle intitulée »Pornokratès« , de Félicien Rops, lequel avait illustré aussi plusieurs poèmes particulièrement immoraux des »Fleurs du Mal". Et voilà que je pense à Baudelaire, maintenant, par association d’idées ! Et même à des estampes d’Hokusaï que pour rien au monde je n’oserais décrire. Vous voyez bien par là, sans qu’il soit nécessaire que j’en rajoute à quel point certains sujets peuvent être dangereux et corrupteurs. J’ai maintenant passé la soixantaine, je ne suis plus tout à fait un enfant. Néanmoins, je souhaiterais qu’on évitât certains sujets qui peuvent heurter les personnes sensibles.
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@Christian Labrune,
Sophisme encore, vos arguments transpirent la mauvaise foi. Je vous imagine très bien naviguer entre une dizaine de sites pornos, lire Baudelaire, puis revenir à la pornographie, ou pourquoi pas à un décadent grec, vous devez avoir de la nourriture à porté de main aussi, les rideaux tirés, de l’alcool pas loin, et puis vous écrivez un petit commentaire sur Agora Vox, de temps en temps le téléphone sonne, mais c’est votre mère, vous ne répondez pas, et retournez à votre porno...
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Non pas sophisme, mais IRONIE. Le sophiste essaie de persuader son interlocuteur, il essaie de le tromper. Mais ce que j’écris est tellement loufoque, je ne peux pas imaginer un instant que cela puisse être pris au sérieux. J’essaie de faire rire, je me moque du puritanisme. De toute façon, il n’y a guère d’autre solution : le puritanisme n’est pas une position intellectuelle ou philosophique à partir de quoi on puisse argumenter, c’est une manière d’être qui résulte de certains blocages psychiques contre lesquels on ne peut pas grand chose, ça ressemble un peu à la phobie. Il faudrait avoir recours, pour venir en aide aux puritains, à des thérapies comportementales. Leur montrer par exemple des images licencieuses en grande quantité, jusqu’à ce qu’ils les regardent avec le même détachement qu’un bouquet de fleurs ou un paysage, sans que ça engendre chez eux ces pulsions érotiques qui les perturbent et auxquelles il leur semble si difficile de résister. Un individu à peu près normal n’a pas ces sortes de phobies. Il m’est arrivé de travailler des heures dans des académies de dessin face à des modèles nues qui étaient loin d’être repoussantes, ça ne me faisait ni chaud ni froid à personne. Avoir peur de simples images, cela me paraît quand même assez grave !
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"Non pas sophisme, mais IRONIE. Le sophiste essaie de persuader son interlocuteur, il essaie de le tromper. Mais ce que j’écris est tellement loufoque, je ne peux pas imaginer un instant que cela puisse être pris au sérieux" c’est encore un parfait sophisme ! Vous êtes décidément un incorrigible sophiste, tel un serpent, on ne peut pas vous mettre le pied dessus. Et quand bien même on vous attrape, visqueux vous nous glisser entre nos mains...
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Jean-Luc Toutlemonde
"Sophisme encore, vos arguments transpirent la mauvaise foi. Je vous imagine très bien naviguer entre une dizaine de sites pornos, lire Baudelaire, puis revenir à la pornographie, ou pourquoi pas à un décadent grec, vous devez avoir de la nourriture à porté de main aussi, les rideaux tirés, de l’alcool pas loin, et puis vous écrivez un petit commentaire sur Agora Vox, de temps en temps le téléphone sonne, mais c’est votre mère, vous ne répondez pas, et retournez à votre porno..."Cher Monsieur, vous avez trop l’habitude de fantasmer : je ne transporte jamais de nourriture près de mon clavier, je n’ai pas encore bu d’alcool cette année, il n’y a pas de rideaux chez moi, je connais par coeur les Fleurs du Mal et il y a longtemps que je n’ai plus besoin du bouquin. Par ailleurs, je ne pense pas que ma pauvre mère, du petit cimetière de province où elle est enterrée depuis plus de vingt ans, puisse encore m’appeler au téléphone. Ne serait-ce pas plutôt votre propre existence quotidienne que vous êtes en train de me décrire ? Que vous passiez votre temps, rideaux tirés, à godailler tout en regardant alternativement des images pornographiques et AgoraVox, croyez bien que je n’y vois aucun inconvénient : grand bien vous fasse.
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Je suis en effet moi même un adepte de la pornographie, de la philosophie sophiste et de Baudelaire, un personnage à la fois noyé dans le vice et la vertu, je l’avoue, j’ai trouvé votre texte assez inspiré, et vous écrivez bien. Si vous ne défendez aucun point de vue, alors vous êtes mon ami.
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sophisme ironie dérision enfumage
où en êtes vous réellement Mr Labrune sur l’échelle de votre humour qui compte combien de degrés ?excusez moi de ne pas chercher à me perdre dans vos circonvolutions -
labrune
l’érotisme, le plus cru, et la pornographie ne font pas peur pas plus que mes pulsions les plus bestiales qui me signalent de temps en temps que je suis encore vivantet les romans de Miller je les ai lus et les phots de Newtonje ne souhaite rien vous interdire, il m’importe peu de savoir où vous trouvez votre plaisiril se trouve juste que je suis Père et qu ’à ce titre j’ai la prétention de transmettre à mes enfants quelques bribes de l’expérience que j’ai pu accumuler et adjoindre à ce que mes parents eux m^mes m’ont transmis et notamment que l’« Amour » et la sexualité peuvent être sources de bonheur et d’équilibre pour l’humainmon propos n’est pas tant de l’ordre de l’injonction et de cet affreux mot qui vous fait transpirer d’effroi « la morale »la généralisation et la banalisation de la pornographie est pour moi avant tout un constat et un indicateur de l’état des rapports humains et sociaux de notre sociétévous semblez prendre cela avec humour et légèreté c’est votre droitil m’arrive effectivement de prendre certaines choses au sérieux, et avec gravité, trop sans doutevous me trouvez grave , je le suis, c’est pas grave -
Il m’est arrivé de travailler des heures dans des académies de dessin face à des modèles nues qui étaient loin d’être repoussantes, ça ne me faisait ni chaud ni froid à personne
quelle tristesse, pour ma part la nudité d’un être que ce soit dans une chambre, sur un plage ou dans l’atelier d’un artiste, ne peut que m’émouvoir, il y à là, pour moi là une intention, , un message un cadeau à l’autre quand on offre sa nudité et sa fragilitédonc Mr Labrune maîtrise parfaitement ses pulsions et ses désirs, vous nous en voyez ravis Mr , félicitationsen bon intellectuel de gauche vous vous occupez en priorité de vous même, de vos plaisirs et de votre liberté ?Considérez vous que avez vous une quelconque responsabilité envers les autres, les plus jeunes, les moins bien armés que vous au plan conceptuel, ou émotif, la société, l’avenir .... ? -
Gordon71
"quelle tristesse, pour ma part la nudité d’un être que ce soit dans une chambre, sur un plage ou dans l’atelier d’un artiste, ne peut que m’émouvoir, il y à là, pour moi là une intention, , un message un cadeau à l’autre quand on offre sa nudité et sa fragilité«Vous me faites rigoler : si on va passer quelques heures à l’Académie de a Grande Chaumière, c’est pour travailler le dessin, essayer de comprendre quelque chose à l’anatomie ; on n’y va pas pour chercher des »émotions« . Ce n’est pas un bordel, et les modèles n’y »offrent« rien, ni leur nudité ni leur fragilité. Il n’y a la-dedans rien qui soit érotique, pas même les attitudes des modèles. Qu’ensuite, muni d’un minimum de savoir technique le peintre puisse produire des images qui susciteront une émotion érotique, c’est une autre affaire, mais l’émotion est du côté de ceux qui regardent et pas du côté de ceux qui produisent, lesquels travaillent en faisant marcher froidement leur intelligence et la technique qu’ils ont acquise. C’est comme au théâtre : relisez le Paradoxe du comédien de Diderot. L’acteur qui incarne Jules César calcule la force de sa voix, calcule sa position sur la scène et ses attitudes mais il ne se prend pas pour Jules César. Il n’éprouve pas les »émotions" qu’il communique. Tous croient qu’il est Jules César s’il est bon acteur, sauf lui.
Je ne réponds pas pour l’instant à l’admonestation que le Père de Famille adresse au petit galopin sexagénaire irresponsable et tout à fait immoral que je suis, ça risque d’être un peu long et ce matin je n’en trouverai pas le temps. -
Vous me faites rigoler : si on va passer quelques heures à l’Académie de a Grande Chaumière, c’est pour travailler le dessin, essayer de comprendre quelque chose à l’anatomie ; on n’y va pas pour chercher des « émotions »
personnellement je ne vois pas d’inconvénient à ce qu’un artiste ressente et me fasse partager ses émotions
et je ne vois pas bien le rapport que vous établissez entre émotion et bordel.... -
éventuellement je vous invite à regarder « la belle noiseuse » de Jacques Rivette
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@gordon71
" il se trouve juste que je suis Père et qu ’à ce titre j’ai la prétention de transmettre à mes enfants quelques bribes de l’expérience que j’ai pu accumuler et adjoindre à ce que mes parents eux m^mes m’ont transmis et notamment que l’« Amour » et la sexualité peuvent être sources de bonheur et d’équilibre pour l’humain.mon propos n’est pas tant de l’ordre de l’injonction et de cet affreux mot qui vous fait transpirer d’effroi « la morale » "Le premier impératif de la morale, me semble-t-il, c’est de ne rien imposer à autrui qui puisse être de nature à le faire souffrir, à moins qu’autrui ne soit masochiste et qu’il n’éprouve une grande jouissance dans la douleur, à moins qu’on n’ait soi-même de sérieuses dispositions pour le sadisme. Encore faudrait-il, avant d’entrer dans ces sortes de relations, s’être enquis de ce que l’autre désire réellement, ce serait bien la moindre des choses, non ? Je suis un peu fouriériste, comme vous pouvez le voir, et je m’accommode sans a priori d’une morale assez minimale qui se contenterait d’accoupler ces « passions complémentaires » que le cher utopiste voulait promouvoir.
Or, nous avons été jetés vous et moi dans une situation particulière qui s’appelle l’existence sans qu’on ait jamais pris soin de nous demander si cela nous convenait, et nous souffrons quotidiennement. Quand bien nous n’avons ni mal aux pieds ni mal à la tête et même si nous jouissons de ce silence des organes qui s’appelle la santé, nous souffrons quand même de toute sorte de maux abominables : c’est le pauvre bougre qui vous demande un euro à l’entrée du métro, c’est la bêtise incurable sur Agoravox, ce défouloir des haines les plus répugnantes, c’est la lecture débilitante des journaux et les flaques de sang quasi quotidiennes du journal télévisé. Ce supplice se prolonge un certain nombre d’années et ensuite, c’est la mort ; ce sera bientôt l’euthanasie : la rencontre finale du tueur des hôpitaux qui nous fera « dégager » parce qu’il faut de la place pour les suivants, etc. Bref, c’est la vie, un fruit à moitié pourri qu’il faudra bouffer jusqu’à l’asticot qui dort en son centre. Si on fait le bilan, les maux l’emportent largement sur les petits plaisirs et je suis d’accord sur ce point avec Schopenhauer et la tradition bouddhique : le néant serait hautement préférable. Pour être heureux dans ce monde, il faut être profondément masochiste ou un peu con. Je ne le suis pas, hélas.
Arrivée à l’âge des rhumatismes, Madame de Sévigné écrit à sa fille qu’elle aurait préféré « mourir entre les bras de sa nourrice ». Elle sait qu’il va lui falloir mourir bientôt d’une manière ou d’une autre et cela la désespère ; elle n’aime plus la vie mais elle a plus encore horreur de la mort. Je la comprends. Si j’avais pu avoir avec ma mère une sérieuse conversation avec elle avant de naître, je vous le dis tout net, je lui aurais conseillé d’avorter. Le malheur, c’est qu’on rencontre toujours trop tard ses parents pour que ces sortes de conversations décisives puissent avoir lieu.
Autrefois, les enfants surgissaient dans le monde on ne sait trop comment, les parents ne les avaient pas voulus. Ils s’étaient agités confusément avec toute l’énergie d’une jeunesse qui ne réfléchit guère et le petit crétin ne tardait pas à surgir, ahuri, hurlant d’horreur comme le font tous les nouveaux-nés. C’était ainsi, on n’y pouvait rien. On n’avait pas vraiment voulu lui infliger ça, on n’avait pas voulu non plus qu’il disparût un jour, et on pouvait raisonnablement espérer qu’on ne le verrait jamais mourir, on serait parti bien avant ça.
Nous n’en sommes plus là. Je n’ai jamais voulu être cause de la mort d’un autre être et par conséquent je n’ai pas fait d’enfants. La contraception, ça marche extrêmement bien, je peux vous le garantir. Vous me voyez donc fondé à considérer que les gens de ma génération sont responsables non seulement de la naissance mais aussi de la mort d’enfants qu’ils ont fait tomber dans le grand merdier où nous pataugeons sans même avoir eu la politesse de leur demander au préalable si cela leur convenait. A leur place, j’adopterais plutôt un profil bas.Vous concevrez aisément, ces choses étant dites, que la posture du Père de Famille ne me paraisse en rien respectable. Le Père de Famille est d’abord un pervers sadique irresponsable et je vois pas qu’il puisse avoir rien de positif à transmettre, sinon l’exemple une très sinistre inconséquence. Tout ce qu’il peut souhaiter, c’est que ses descendants soient suffisamment masochistes pour jouir des maux que la vie leur infligera, soit assez stupides pour que lui soit épargnée cette petite répréhension très morale que je viens d’écrire.
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@gordon71
"personnellement je ne vois pas d’inconvénient à ce qu’un artiste ressente et me fasse partager ses émotions
et je ne vois pas bien le rapport que vous établissez entre émotion et bordel....«L’artiste a vécu, il a ressenti des émotions, bien évidemment, mais quand il produit une oeuvre, c’est la raison qui travaille et qui calcule les effets du tableau. Je ne parle évidemment pas des barbouilleurs en transe devant leur toile et qui croient »s’exprimer« , confondant l’art et la défécation picturale.
Pour être plus précis concernant l’émotion, cette phrase de Flaubert à propos d’Emma Bovary, que je cite de mémoire : »elle cherchait des émotions et non des paysages, étant de tempérament plus sentimental qu’artiste". Autrement dit, la brave Emma veut être émue et même violemment secouée ; face au réel et face à l’art, elle ne PENSE pas, elle ne recherche que la consommation et le divertissement illusoire, lesquels lui font oublier sa condition et ses frustrations. C’est précisément cela qui définit le bovarysme. -
vu comme çà effectivement
je respecte votre point de vue encratiste, et il semble préférable de ne pas charger qui que ce soit de cette douleur
la vie est un océan de souffrance dans lequel on trouve parfois queques ilôts de félicité, j’espère que c’est votre cas.
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Gordon71
"je respecte votre point de vue encratiste, et il semble préférable de ne pas charger qui que ce soit de cette douleur«Les encratites s’appuyaient sur des textes religieux, sur Paul de Tarse en particulier, lequel était probablement impuissant sur le plan sexuel et voulait imposer aux autres l’interdiction de ce qu’il aurait été bien incapable de faire lui-même. Le plaisir et la procréation sont désormais deux choses tout à fait distinctes, fort heureusement, et je n’ai évidemment rien contre la bagatelle, pas plus que contre la pornographie qui n’est jamais que »l’érotisme des autres« . Je ne sais plus qui est l’auteur de cette parfaite définition. Bref, si les enfants découvrent très tôt par des images tout à fait explicites de quoi il retourne, ça n’est pas plus mal. Au moins, ils savent à quoi s’attendre, à la différence de ces pauvres filles qu’on enfermait encore dans les couvents au XIXe siècle. Si le personnage de Jeanne dans »Une vie", le roman de Guy de Maupassant, avait pu voir en catimini avant de se faire violer la nuit de ses noces par l’abruti qu’on a voulu lui faire épouser, quelques petits films tout à fait raides, le sens de sa vie eût assurément été tout autre. Ce qu’on peut regretter c’est que la production dite pornographique soit le plus souvent tout à fait nulle sur le plan esthétique et même érotique. Mais c’est précisément parce que tout cela fait l’objet d’un refoulement puritain qu’on en est là. Voyez a contrario les estampes des Japonais, ou les peintures érotiques de la Chine ancienne. C’est du grand art, mais Paul de Tarse, l’ennemi juré de toute fornication, n’est jamais allé mettre son nez dans l’alcôve des amants de l’époque d’Edo.
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si j’ai bien tout compris
les encratiques voulaient hâter la fin des temps en refusant la mise au monde de nouvelles âmes et ce pour mettre fin aux souffrances de la vie terrestre et faire advenir le royaume des cieuxquant à éduquer les plus jeunes à la sexualité je vous renvoie à votre mise en garde de ne pas imposer « sa » morale à autrui qui vous dit que chacun est si pressé d’avoir des rapports sexuels, de voir et de faire des expériencesque la sexualité et ses mystères aiguise la curiosité des plus jeunes, j’en suis persuadéque certains soient plus précoces que d’autres j’en conviens, mais il y à une dimension de maturité émotive, distincte de la maturité biologique, à prendre en compte et les cabinets de psychanalystes sont remplis de quadras (ou m^me plus âgés) qui ne se sont jamais remis d’une expérience sexuelle et d’émotions, violentes vécues trop tôt au vu de leur capacités et de leur maturité psychique -
C’est bien connu. Quand les branleurs se branlent et les drogués se droguent, les élites n’ont rien à craindre pour leur pouvoir.
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Un article comme souvent écrit par des personnes qui soient ne sont pas concernés par le type de population visée (« jeunes »), soient n’ayant que peu de connaissance sur le sujet.
"Et comme naturellement les drogués ont besoin de drogue de plus en plus dure, c’est vers la pédo pornographie qu’ils finissent par s’orienter, ou la zoo-pornographie« .
Cet argument a été réutilisé des centaines de fois sur toutes les addictions et a énormément de mal à convaincre. Les phrases du style »si tu fumes du cannabis, tôt ou tard tu vas en vouloir plus et tu vas prendre de l’héroïne, du LSD...« . Un vrai cliché qui, sans vouloir paraître énervé commence vraiment à m’exaspérer.
Contrôlez vos enfants et arrêtez de rendre responsable les autres, »il faudrait limiter l’accès à ces sites". Pourquoi ne pas le faire soi-même, quel est la différence ?
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Après les sites terroristes, interdisons aux (a)mateurs de zieuter les sites sur la France charnelle !
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Pour réduire la dépense publique, un gendarme ou policier mort en service sur deux ne sera pas remplacé.-
L’article n’est certes pas d’une grande qualité, mais les commentaires traduisent d’un certain malaise. La question posée ne manque pas d’un certain intérêt.
Car après tout, on est libre de corrompre notre psyché avec une perte totale de valeur et de pervertir nos enfants, mais on est pas libre de s’habiller en bat-girl si on veut. Après tout la bat-girl ne fait du mal qu’à elle même, tandis qu’ici c’est de nos enfants dont il est question.Ce n’est pas sans raison que la pornographie est interdite aux mineurs !
La pornographie est néfaste pour les mineurs, c’est une réalité, et pourtant je peux lire des réactions qui viennent dire : le sexe c’est sain, c’est utile, etc...
Je ne vois majoritairement que des défenseurs de la « Liberté » qui ne comprennent rien à la définition de ce mot.Ce n’est pas être libre que d’avoir droit à nuire à la santé mentale ou autre de quelqu’un.
Je ne prend pas ici parti pour une censure du X sur internet. Car mon problème est que la censure d’internet, on sait où elle commence et on ne sait pas où elle s’arrête ! La censure peut dériver et elle est bien plus dangereuse encore que le X. Pour cette raison, je suis contre toute censure sur Internet.Mais je n’irais pas jusqu’à, comme certains ici, faire l’apologie du porno, en particulier lorsqu’il touche des enfants ! Vous êtes sacrément atteint les gars.
En effet, pour des personnes adultes le sexe fait partie de l’épanouissement personnel, et encore ! Il y a des activités sexuelles nuisibles, et la pornographie n’est certainement pas le meilleur outil pour être épanoui sexuellement...Quoi qu’il en soit, il faut bien tendu condamner cette apologie du cul, tout en respectant le fait que les gens aient le droit de faire leur propre conneries, mais refuser que nos enfants aient à subir ça et qu’ils soient à un âge conscient lors qu’ils décident de regarder du porno.
Au delà de ça, on peut toujours contourner censure et protections, et un parent peut tâcher de protéger son gamin en étant prudent et en limitant l’accès à ces sites.
Je suis donc contre toute censure de l’internet, d’abord parce qu’elle serait la porte ouverte à une censure politique et économique dont nous sommes suffisamment victimes.-
Bonjour,
Dans les années 90, les jeux de rôles donnaient envie de profaner les cimetières. Les disques de hardrock écoutés à l’envers diffusaient des messages sataniques et des incitations au suicide et enfin, on avait trouvé une affiche de Tueur Né d’Oliver Stone dans la chambre de Florence Rey et Audry Maupin et donc, c’était un remake du film en vrai, les films rendent violents, etc.
Bref, aujourd’hui Internet est le nouveau « diable ».
Revenons-en à l’article, donc, comme ça, on tombe sur des sites X à tous les coins de permaliens ? Ted Bundy enfonçait des bûches ( des bûches, pourquoi pas des poutres !!!??? ) dans le derrière de ses victimes parce qu’il avait découvert le porno gamin ( sur internet ?? ) ? Un amateur de porno finira par chercher de la zoophilie et de la pédopornographie ? Il y a 100 000 sites ouverts et accessibles à caractère pédophile sur Internet ? ... Mais WTF comme disent les jeunes.
Je ne sais pas dans quel univers vous habitez, mais moi, l’Internet que je fréquente, je ne tombe sur rien de tout cela en surfant. C’est dingue. Je ne suis jamais tombé sur un site terroriste ou pédophile via un permalien. Après 15 ans de pratique, je dois être un alien. Et je vous l’annonce, les sites qui ont ce caractère sont déjà interdits et sont fermés régulièrement. Donc, c’est quoi le postulat derrière tout ça ? Il faut filtrer Internet, comme en Chine ?
Internet, c’est comme dans la vraie vie, avant de trouver, il faut chercher. Et les choses interdites ne se trouvent pas dans la rue. Vous avez déjà vu un quatre par trois vantant les mérites du sexe avec les animaux en pleine rue vous ? Vous connaissez beaucoup d’anecdotes où des gosses cherchaient un Jouetclub et sont allés dans un sexshop en confondant Lego et godemichet ?
Ça commence à être pénible d’utiliser des prétextes fallacieux pour censurer. Intéressez vous à la télévision si vous voulez protéger vos gosses et adoptez les mesures adéquates.
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Et c’est quoi l’adresse du site ou des enfants de 11 ans en burqa se font cumshotfacialiser ?
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Bonjour,
Je suis AFREG, le webmaster du www.pornodependance.com
Mon site traite de l’addiction à la pornographie, notamment en ligne. Les effets de l’addiction à la pornographie sont nombreux : dérive vers une sexualité violente, problèmes de couple, difficultés d’érection... Le porno a une telle présence dans notre société contemporaine, que le problème est susceptible de toucher aujourd’hui tout le monde..Mon site propose un forum où les dépendants et leurs proches peuvent venir s’exprimer librement et s’entraider. Le tout est évidemment entièrement bénévole, ANONYME et GRATUIT.
Merci ! AFREG.-
Bonjour,
Vous êtes dépendant à la pornographie ? Vous souhaitez vous en sortir ? Ou vous souhaitez aider une personne accro au porno à s’en sortir ?
Visitez le www.pornodependance.com. Site d’information bénévole et gratuit, forum anonyme d’entraide.
Merci. AFREG. Le webmaster.
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