Voici comment la Bourgeoisie a pris le pouvoir

La société bourgeoise moderne, élevée sur les ruines de la société féodale, n’a pas aboli les antagonismes de classes. Elle n’a fait que substituer de nouvelles classes, de nouvelles conditions d’oppression, de nouvelles formes de lutte à celles d’autrefois.
La découverte de l’Amérique, la colonisation de l’Afrique, le marché des Indes et de la Chine donnèrent un essor jusqu’alors inconnu au négoce. A mesure que s’ouvraient les nouveaux marchés, les besoins croissaient sans cesse. La classe moyenne industrielle supplanta les maitres de jurande : la division du travail entre les différentes corporations céda la place à la division du travail au sein de l’atelier lui-même. Mais les marchés s’agrandissant sans cesse, la vapeur et la machine révolutionnèrent la production industrielle. La classe moyenne industrielle céda sa place aux millionnaires de l’industrie, aux chefs de véritables armées industrielles, aux bourgeois modernes. Le marché mondial était né et la bourgeoisie se développait en décuplant ses capitaux.
La bourgeoisie est elle-même le produit d’un long processus de développement, d’une série de révolutions dans le monde de production et d’échange. Chaque étape de développement de la bourgeoisie s’accompagne d’un progrès politique correspondant. La bourgeoisie, depuis l’établissement de la grande industrie et du marché mondial, s’est finalement emparée de la souveraineté politique exclusive dans l’Etat représentatif moderne. Le pouvoir étatique moderne n’est qu’un comité chargé de gérer les affaires communes de la classe bourgeoise tout entière.
Partout où elle a conquis le pouvoir, la bourgeoisie a détruit les relations féodales, patriarcales et idylliques. Elle a noyé les anciennes valeurs dans les eaux glacées du calcul égoïste. Elle a brisé sans pitié tous les liens, pour ne laisser subsister d’autre lien, entre l’homme et l’homme, que le froid intérêt, les dures exigences du « payement au comptant ». Elle a supprimé la dignité de l’individu, devenu simple valeur d’échange, aux innombrables libertés dument conquises ; elle a substitué l’unique et impitoyable loi du marché. En un mot, à l’exploitation que masquaient les illusions religieuses et politiques, elle a substitué une exploitation ouverte, éhontée, directe, brutale.
La bourgeoisie a dépouillé de leur auréole toutes les activités considérées jusqu’alors avec un saint respect, comme vénérables. Le médecin, le juriste, le prêtre, le poète, l’homme de science, elle en a fait des salariés à ses gages. Elle a déchiré le voile de sentimentalité touchante qui recouvrait les rapports familiaux et les a réduits à de simples rapports d’argent.
Toutes les sociétés ont reposé sur l’antagonisme de classes oppressives et de classes opprimés. L’existence et la domination de la classe bourgeoise ont pour condition essentielle l’accumulation de la richesse aux mains des particuliers, la formation et l’accroissement du capital : la condition du capital c’est le salariat. Et l’ouvrier moderne, loin de s’élever avec le progrès de l’industrie, déchoit de plus en plus au-dessous même des conditions de vie de sa propre classe. L’ouvrier devient un pauvre et le paupérisme s’accroit plus rapidement encore que la population et la richesse. Il en ressort donc clairement que la bourgeoisie est incapable de demeurer plus longtemps classe dirigeante et d’imposer à la société, comme loi impérative, les conditions d’existence de sa classe. La société ne peut plus vivre sous sa domination, ce qui revient à dire que l’existence de la bourgeoisie n’est plus compatible avec celle de la société.
D’après Marx et Engels
http://2ccr.unblog.fr/2012/11/19/avenement-de-la-bourgeoisie/
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44 réactions à cet article
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Et la finance dans tout cela ?
Et les fortunes issue du commerce des esclaves ?
Quelle bourgeoisie a pris le pouvoir en 1789 ?
Cela ne pouvait pas être la bourgeoisie industrielle, elle n’existait quasiment pas, puisque le système économique était fondé sur le binôme manufactures d’état (grande industrie propriété de l’Etat) / corporations (université d’artisans propriétaires).
Ce qu’on disait à l’époque des commerçants : faiseur de rien, vendeurs de tout.
En vérité, ce terme de bourgeoisie est bien mal choisi, car les bourgeois sont ceux qui habitent les bourgs.
Cependant, ceux qui ont pris le pouvoir, il l’ont fait grâce à leur très grande fortune, et celle-ci fut fondée sur l’import/export ou la spéculation : acheter pas cher ici, revendre très cher là-bas.
Ces gens devaient leur fortune à leur capacité d’aller et venir entre les nations, sur mer.
Ils n’habitaient donc pas des bourgs. Il n’étaient donc pas des bourgeois.
Ils circulaient sur les mers : ils étaient des merois.-
Vous avez raison, ils n’étaient pas des bourgeois....il sont issus des usuriers et des banquiers qui ont développé leur richesse avec les lettres de change et le commerce maritime.
Napoléon a montré la voie en détruisant la République de Venise dont les statuts se méfiaient de ces mercenaires de la finance et de la mer.
En France, la révolution française a été une grande redistributrice des biens saisis (ceux de la noblesse et surtout ceux des institutions religieuses) et a déclenché l’envie de s’enrichir le plus vite possible. Quant à l’armée Napoléonienne, les généraux discutaient le « bout de gras » avant chaque campagne ou bataille avec l’Empereur (il faut relire les correspondances édifiantes conservées à Vincennes)
L’Empire Français a mis à sac l’Espagne et l’Italie ....
Le XIXéme siècle a ainsi commencé ...puis continué avec une frénésie enrichissement rapide et à n’importe quel prix humain : le tout couvert par déjà « le politiquement correct » de la moralité de plomb d’écrasement des classes ouvrières.
Cette nouvelle classe dirigeante voulaient de l’argent, toujours plus d’argent : elle a mis la main sur toutes les inventions en étant obligée de lâcher du lest à la fin du XIXéme...et la, elle a essayé de récupérer à son profit la marche en avant du « progrès social » qu’elle aurait créé..mais qu’en fait la classe ouvrière lui a arraché.
Depuis elle s’est mutée dans le néocapitalisme. Elle contrôle encore plus les voies maritimes regarder les concentrations des compagnies de chargeurs), pratiquement tous les ports maritimes du tiers et du quart monde....et bien sur toute la finance...et même la Federal Bank of Reserve des US.... -
Evidemment on a du mal à se mesurer à Marx et Engels.
Mais il me semble que votre article est un peu « biblique » tant la « classe bourgeoise » a été poreuse...avec sa cohorte de « nouveaux riches » et actuellement sa cohorte de « nouveaux pauvres ».
Vous semblez sous estimer un phénomène qui rendrait la France « inoxydable » (à condition que la classe politique fasse bien attention) : sa culture des économies bien entamée par tous ces crédits quasi « forcés » à croire que la France voulait faire vivre à chacun sa facilité à s’endetter.
Adieu veau, vache, couvée...La Fontaine nous avait prévenus.
Cette France qui a économisé, qui a su également « vivre chichement », qui a su « mutualiser ses imprévus », est également une France solidaire, un tantinet paternaliste mais l’amour d’un père c’est mieux que la gourmandise d’un patron du C40.
Cette France qui a économisé prêtait « sans intérêts » car elle était avant tout catholique et plus tard, de culture « judéo chrétienne » ...
Que dire ? Il existe en France des pauvres et des riches, des pauvres qui ont été riches et des riches qui ont été pauvres...Le « bourgeois » serait donc un mythe.
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voila a propos de la finance, toujours selon Marx : LA DETTE PUBLIQUE ET LA BANCOCRATIE
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C’est bien la démonstration que Marx s’emmêle les pinceaux.
D’une part, il évoque l’accroissement du négoce (enrichissement des négociants)
D’autre part, il évoque la bourgeoisie industrielle qui supplante les jurandes.
Puis vous rapportez que la première action des révolutions fut de créer des banques nationales à capitaux privés entraînant l’augmentation des impôts, ce qui aurait exproprié les artisans et paysans.
Cependant, avant la révolution Française, la bourgeoisie industrielle était très limitée, puisque le système était fondé sur le binôme manufactures d’état / jurandes (corporations) : la grande industrie était dans la main de l’état (c’est le modèle français, colbertiste).
Donc cela ne peut pas être la bourgeoisie industrielle qui a renversé le système économique d’alors. Il suffit de regarder les acteurs de la révolution pour s’en convaincre.
Comment mettre tout ceci en cohérence ?
Et bien, c’est que la puissance agissante, ce fut celle des négociants, enrichie par le commerce international, qui avaient capté une grande fortune (Par exemple, le duc d’Orléans, avait grande quantité d’avoirs à Londres et qu’il devaient donc faire du négoce - Il faut savoir que les nobles étaient interdits de faire des affaires en France : j’imagine que beaucoup ont contourné cet interdit en faisant des affaires à l’étranger)Par conséquent, ces négociants pleins aux as, en s’emparant du pouvoir, en ont profité pour :
1°) mettre la main sur l’industrie française : dissolution des corporations, privatisation des manufactures d’état, afin de s’en emparer grâce aux liquidités qu’ils détenaient.
2°) mettre la main sur l’immobilier : saisie des nombreux bâtiments ecclésiastiques et autres châteaux.
3°) mettre la main sur les terre : abolition des prés communs.
4°) mettre la main sur la monnaie : légalisation du prêt à intérêt, et création d’une banque centrale de type privée.
Ca me semble beaucoup plus logique de voir l’origine de la manoeuvre révolutionnaire dans les négociants liés au commerce maritime international plutôt que dans la petite bourgeoisie industrielle...
Comment Marx peut-il ainsi rater cette évidence ? Bizarre. -
Que dire ? Il existe en France des pauvres et des riches, des pauvres qui ont été riches et des riches qui ont été pauvres...Le « bourgeois » serait donc un mythe.
ce phénomène est marginal , car dans le mouvement de paupérisation, c’est la concentration du capital qui provoque cette marée de paupérisation et là cela n’est plus à la marge, 1 million de chômeurs en plus en 2/3ans cela n’est pas anecdotique ! C’est bien de relire Karl de temps à autre car le capitalisme n’a jamais connu un tel analyste ni aussi fin observateur que lui , toutes ses analyses sont toujours aussi pertinentes et justes, ce qui permet de dire que les choses changent mais pas le système qui est toujours une machine à aliéner terriblement efficace de même que sa propension à accaparer les richesses créées !Que dire de plus si ce n’est que nos états démissionnaires qui ne sont plus dans leur rôle de garde-fou, et aux abonnés absents pour encadrer ce système,ne laissent qu’un peuple désarmé face à cette machine impitoyable et diabolique qu’est le Capitalisme financier !!! -
Et voici comment la bourgeoisie (financière) garde aujourd’hui le pouvoir.
Structure du capital et déliquescence sociale
Quand une entreprise n’est pas du CAC 40, c’est-à-dire n’est pas inextricablement imbriquée dans la Finance, elle dépend pourtant entièrement de la Finance ( qui se présente à elle sous la forme des Banques) pour ce qui concerne ses investissements, et encore de la Finance (sous la figure de ces grandes entreprises, précisément) en aval car dans la plupart des cas cette entreprise est en sous-traitance.
Un exemple : une exploitation agricole est confrontée en amont au bloc financier de banques et à d’énormes monopoles de production des engrais, des pesticides et des OGM dont Monsanto est l’exemple le plus frappant.
Et, en aval, elle est face aux chaînes de distribution et grandes surfaces.
Par ce double contrôle, son autonomie et ses revenus se réduisent toujours plus.
C’est ce double contrôle qui assure aux monopoles une rente prélevée sur le bénéfice total du capital obtenu par l’exploitation de travail.
La maximalisation de cette rente concentre les revenus et les fortunes dans les mains d’une petite élite au détriment des salaires, mais aussi des bénéfices du capital non monopolistique.
D’où cette constatation : il y a capitalisme et capitalisme. Les servants du second ne pouvant guère se targuer que d’être en quelque sorte les fermiers de l’autre.
Le grand capital est devenu parasitaire, ce qui se constate aussi sur la question des dettes souveraines, qui est un autre moyen confortable pour lui de s’assurer la rente.
La France a le double lacet passé autour du cou, et les Gouvernements, qu’il fût brutal ou qu’il soit lénifiant, sont les bourreaux qui le serrent.
Allez demander avec cela à son peuple d’être révolutionnaire, quand il ne peut plus respirer qu’à peine !
Cette asphyxie s’explique aussi par le fait qu’il n’est guère vraisemblable que la politique des dirigeants européens, en premier lieu allemands, soit le fruit d’une erreur.
La Grèce est le champ d’expérience (comme l’Espagne le fut pour les armes Nazis) qui ouvre des perspectives sur ce que l’Union européenne entend faire de ses travailleurs : des masses désocialisées, réduites à la misère, en compétition avec celles des pays les plus déshérités de la planète.
L’idéal, à terme, étant la prospérité de la race des surhommes qui tiennent tout et la masse, énorme, des bons à rien.
C’est le retournement ironique d’une sombre histoire.Pour élargir : http://www.legrandsoir.info/le-capi...
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@dwabala
pour une fois ton analyse est pertinente et je t’en félicite, mais le combat n’est jamais fini car ce système a son talon d’achille et celui-ci est mortifère, son arrogance prédatrice fera qu’à la fin il produira tellement de pauvreté et de désolation, que les masses devront à nouveau se soulever, car malgré tout le potentiel d’intelligence augmente avec le temps et je dirai que intelligence et frustration ne peuvent pas toujours rester à la marge , le désespoir qui en résulte ne peut pas être érigé en système de gouvernance alors quand ???? -
Ce « confort » relatif, ( il faudrait y aller voir de plus près sur les conditions de travail, de transport, d’accès à l’éducation...) très vigoureusement attaqué aujourd’hui, est dû pour une large part à la situation impérialiste de la France, à ses colonies, dès la fin du XXe siècle : en pillant les richesses du monde la France bourgeoise a pu d’une certaine façon corrompre ceux qu’elle faisait travailler pour extorquer du sur-travail. .
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Ce confort et cette consommation que vous avez l’air de décrire comme une avancée, schweizer, c’est du pipo ! Et c’est bien là que le bas blesse !
Parce que le sapin de Noël avec une seule orange dans chaque paire de chaussures, mais l’amour, la liberté, le choix de sa vie et de ses activités, cela ne vous parait pas plus beau ? -
Voila un propos de comptoir, côté droit juste au bord, qui est bien usé. Faut-il y répondre ? Mouais bon :
Les progrès que vous citez sont des progrès dont l’origine est technique. Je pense qu’ils seraient venus sans la révolution, les lumières, la démocratie, l’impôt et la redistribution des richesses... A l’inverse, ce sont ces progrès techniques, en commençant par l’imprimerie, qui ont renversé les régimes statiques ultra-conservateurs conservant à jamais des titres et des privilèges. Ces progrès bouleversent nécessairement les flux de richesses, le commerce, la répartition des tâches, les modes de vie... Comment des régimes basés sur l’immuabilité auraient-ils pu intégrer ces bouleversements ? Imaginez-vous un instant la France de l’ancien régime vaguement relookée encore là de nos jours avec ses classes et ses privilèges... Pas un pays ne lui ressemble en Europe.Quant aux progrès dont vous parlez, quel amalgame :- Non, les ouvriers n’ont pas de voiture du tout ou alors elle a plus de dix ans. Et ils n’en ont certainement pas deux. Ceux qui travaillent encore, ne croulent pas sous les dettes et n’ont pas trop d’enfants au chômage ni d’accidents de la vie peuvent effectivement rouler carriole (mais pas carrosse).- Vous nous parlez de vacances à la mer et au ski comme si elles allaient de paire ! Oui, les pauvres vont parfois en camping mais ne peuvent pas se planter devant le rivage, beaucoup trop cher. Mais parlez-leur de pistes noires et de télésièges à débrayage, ils vous feront répéter trois fois.- Et voila maintenant des smicards qui remboursent une villa secondaire... Là, ça suffit ! Cette accusation là est de loin la plus odieuse. Le logement est le problème numéro un de (presque) tous les français et les ouvriers ne parviennent plus à quitter les quartiers.- Sans oublier la litanie des gadgets électroniques, nouvelle verroterie pour indiens des cités, et de leurs tristes signes extérieurs de richesse complètement Nikés qui les campent définitivement dans la société de consolation.Aller ! C’est l’heure d’achever la bête de Trêves, pour conclure pompeusement à la déconfiture des idées de gauches en invoquant la dictature des apparatchiks bourgeois des anciens pays prétendument communistes. Ça c’est de la démonstration... de comptoir.Pour l’article, savoir si ce sont les bourgeois ou les négociants qui ont fait la révolution est certes intéressant pour l’histoire. Ils se sentaient de la même classe et croyaient avoir les mêmes intérêts. Le terme industrie à l’époque n’avait pas le même sens qu’aujourd’hui... Relire ces auteurs avec les mots d’aujourd’hui. Bah ! Remet l’aiguière au goûte-vin, tavernier !Au secours OB_Ouonne qu’hait nos vies, vous êtes mon seul espoir... Mal placé ! -
pour pipeau vous avez absolument raison scwheizer ; mais je vais vous dire : je n’emploie jamais ce mot-là ; il est sorti tout seul de je ne sais où, si bien que je n’y ai pas fait attention !
Quant à l’orange, comment dire c’était « allégorique » ! Moi aussi j’aurais tiré la gueule, quoique.. mes cadeaux étaient toujours des cadeaux utiles et je n’y trouvais rien à redire, quand on est même vous savez, on prend les choses comme elles viennent.
C’était juste que pour moi, le confort de l’amour, de l’éducation, de la liberté de vie sont beaucoup plus précieux que tous ces gadgets dont on sait qu’ils ne suffisent jamais à satisfaire qui que ce soit.
Et j’aime quand on me donne en comparaison, les taudis, le froid, la maladie, comme s’il était écrit, fatal et somme toute « normal » que l’on fasse un progrès ici et une régression là.
Je suis plus optimiste que vous ( mais pas du tout angélique) je pense qu’on aurait pu s’y prendre autrement et faire un progrès ici et là !
Bien à vous -
Beau billet robert Gil : reste à comprendre - et surtout à expliquer- pourquoi et comment la bourgeoisie a trouvé tant de complices ! Car le pouvoir n’existe que parce qu’on le laisse s’exercer !
La révolution de 1789 est la révolution de la bourgeoisie : bientôt la vraie révolution des peuples ?
Non pas la dictature- du prolétariat- mais la dignité, la responsabilité et le courage de tout un chacun ?-
Mais ce ne sont pas les bourgeois - les habitants de nos bourgs qui avaient obtenus certaines libéralités de la part des nobles, qui sont à l’origine de la révolution...
Ce sont d’abord les négociants internationaux, enrichis par le commerce maritime international.
Ils se sont certes appuyés sur les bourgeois et les élites de l’état, en leur faisant miroiter des avantages, cependant, leur but a toujours été de prendre possession des richesses du pays (et donc aussi celles des bourgeois), grâces aux immenses liquidités monétaires que le négoce international leur avait rapportées.
Nous sommes d’ailleurs toujours dans ce système. C’est le négoce international qui dirige, d’où le libre-échange, la financiarisation de tout. C’est aussi pourquoi l’écrasante majorité des paradis fiscaux sont dans les Îles où les ports... -
Avant déblatéré sur la bourgeoisie, jauge toi comment t’es accro au confort et cela veux dire !
Tu es bien dans la situation du grand Vizirs qui veux prendre la place du Calife !
Et comme tu ne te regardes pas sur pied, il est visible que certaine subtilité t’échappes !-
à alinéa
Beau billet robert Gil : reste à comprendre - et surtout à expliquer- pourquoi et comment la bourgeoisie a trouvé tant de complices ! Car le pouvoir n’existe que parce qu’on le laisse s’exercer !
on le laisse s’exercer ! parce que depuis 1789 (et même avant ! ) on a réussi à tromper le peuple sur les tenants du pouvoir ! en mettant des marionettes ,2012 le ps , mais celui-ci étant démasqué le N.O.M. prépare la suivante pour 2017 ! elle s’appelle mélanchon chargé d’abattre la vrai révolution : le F.N. seul opposant au capitalo- mondialisme judéo-americain
comme disait tonton en politique il faut jouer avec 2 coups d’avance tandis que GIL c’est quand il a vu les couilles qu’il dit que c’est un mâle !-
L’image d’Épinal du coco bobo.
Une image de classes sociales imperméables et sectaires..Un communisme sans ennemi c’est comme le pastis sans eau.Comme vous le voyez, ce texte Marxiste créée un ennemi artificiel, le bourgeois !C’est comme cela que procède toujours les propagandes communistes.Le bourgeois cette semaine, les USA la semaine prochaine, les riches dans 15 jours.Sans lutte des classes, Staline, Mao, Pol Pot n’auraient pu engendrer les plus grands génocides de la planète.....Eux aussi ont lu Marx.....C’est loin d’être un signe d’intelligence ou d’humanisme.-
tes commentaires sont egalement loin d’etre un signe d’intelligence !
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@ spatacusLe bourgeois cette semaine, les USA la semaine prochaine, les riches dans 15 jours.
La finance dans trois semaines, les capitalistes et leurs serviteurs, dans un mois, etc.
Evidemment, puisque sous des dénominations différentes c’est toujours la même réalité qui est visée.
Sans lutte des classes, Staline, Mao, Pol Pot n’auraient pu...La lutte des classes n’est pas le fruit de la pensée d’un théoricien dans son cabinet.
C’est une réalité sociale, économique, politique et historique.
Quant au beau monde impérialiste et à sa paix des classes il a à son palmarès des réussites sans égales dans le domaine des horreurs. -
Désolé mais le monde impérialiste a certes des guerres, mais sur des ennemis extérieurs, la particularité du communisme est cette « lutte des classe » qui conduit aux génocides de ses ressortissants nationaux :
A date c’est 100 millions de morts sur son propre peuple.Aucune idéologie n’est aussi génocidaire que le communismeLutte des classes URSSCe sont les "bourgeois, riches, syndiqués, paysans, contestataires, planificationsLutte des classes en URSS 20 millions de mortsLutte des classes en Chine 65 millions de mortsLutte des classes en Vietnam 1,5 million de morts et ça continue aujourd’hui les ennemis sont les minorités HmongsLutte des classes en Corée du Nord 2 millions de morts et çà continue aujourd’hui les ennemis sont les contestataires, les paysans, les commercants...ETCCambodge 2 millions de mortsLutte des classes en Europe de l’Est 1million de mortsLutte des classes en Amérique Latine 270 000 morts et aujourd’hui ça continue, ile prison cuba, Persécution des journalistesLutte des classes en Afrique 1,7 millions de mortsLutte des classes en Afghanistan 1,5 millions de mortsN’oublions pas les mouvements révolutionnaires communistes qui au nom de la lutte des classes kidnappent et spolient les paysans comme les Farc, ou les zinzins du sentier lumineux -
Il faut laisser les morts enterrer leurs morts.
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Mais bien sur, il ne faut pas dire Troïka, BCE, FMI et j’en passe car c’est la porte ouverte à la création d’un ennemi imaginaire, ce qui permettra forcément à des dictateurs propagandistes de s’emparer du pouvoir pour perpétrer d’effroyables génocides...
Non, non, il n’y a pas de méchants derrière toutes ces crises, ces privatisations tous azimuts, cette déréglementation programmée pour provoquer des chocs de compétitivité et d’exploitation du travailleur (mot qui n’existe plus non plus). Ce n’est pas la bourgeoisie, ce ne sont pas les négociants, ce ne sont pas les milliardaires ou les USA qui organisent le grand bon en arrière ! Ça se fait tout seul, juste question de bon sens. Aller, circulez !Par ailleurs, il va de soit que si vous lisez Marx ou Engels vous deviendrez des crétins près à suivre le premier dictateur venu. Lire rend con, c’est bien connu. Identifier les coupables et les condamner rend cruel. Vouloir les arrêter conduit au génocide. Vous ne le saviez pas ? Arrêtez de vouloir changer le monde, c’est trop risqué !Au secours OB_Ouonne qu’hait nos vies, vous êtes mon seul espoir... Mal placé ! -
Sauf qu’utiliser le livre noir du communisme pour les chiffres est indigne d’un historien vu le torchon qu’est ce livre. Certes en URSS il y’a eu des morts mais pas 20 millions. De plus ce livre mélange tout pour essayer de faire des crimes seulement une volonté communiste d’extermination, c’est un peu plus complexe que cela. Franchement des livres sur l’URSS ou la chine de Mao y’en a des beaucoup mieux et des plus sérieux au point de vue de la rigueur historique. Après pour Pol pot, si y’en a bien un que l’on ne peut pas considérer comme marxiste dans tout ça c’est bien lui, c’est plus un ultra gauchiste rousseauiste réactionnaire qu’autre chose. Vouloir revenir à la campagne, et détruire les villes franchement faudra me dire où est le marxiste là dedans, le marxisme ne préconise certainement pas le retour au moyen âge et surtout pas l’idéologie rousseauiste idéaliste de « la corruption de la ville ». Quant à l’industrie et à la classe ouvrière on la recherche toujours dans le mouvement de pol pot. Staline lui au moins a industrialisé le pays et develloppé les villes, pas Pol Pot
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OB_Ouonne
Que le système d’économie de marché soit malade surement, mais le communisme n’est pas un remède, c’est un poison. La lutte des classes n’a engendré que la misère la pire sur terre.MahlerC’est vrai que Pol Pot et ses cadres ont étés formés au Marxisme en France par le PCF.Staline Mao et Hitler furent les pires monstres que la terre ai connut.Nazisme , communisme sont des horreurs ! -
sparagus,
celle-ci je l’attendais, alors comme tu radote je te refais passer le lien pour tes 100 MILLIONS DE MORTS ! -
Ah bon il n’y en aurait que 90 millions ?
Sinistre comptable ! -
décidément tu ne comprendra jamais rien Spartacus tu es perdu pour de bon !!!
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tu as oublié la guerre sino-vietnamienne dans les années 70 et l’invasion du cambodge par les vietnamiens pour mettre fin au régime de pol pot ,des communistes qui se battent contre des pseudo-communistes çà c’est ennuyeux pour ta comptabilité personnelle car qui est le méchant dans ce genre de cas de figure !
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spartacus
« ...le monde impérialiste a certes des guerres, mais sur des ennemis extérieurs »
Spartacus est un ignare. Spartacus dit n’importe quoi et il ment. La guerre de sécession aux Etats-Unis (1861-1865) avec 6 millions de morts n’était pas une guerre contre un ennemi extérieur. Le massacre de la Commune de Paris en 1871 par le gouvernement impérialiste de Thiers (30.000 morts) n’était pas une guerre contre un ennemi extérieur (La Guerre Civile en France, Karl Marx). L’holocauste des juifs allemands par le régime impérialiste hitlérien n’était pas une guerre contre un ennemi extérieur. Six millions de juifs exterminés la plupart dans des chambres à gaz. Les massacres du régime tsariste en Russie en 1905 (300.000 morts) et pendant la révolution d’Octobre 1917 (7 millions de morts) n’étaient pas une guerre contre un ennemi extérieur. Je n’évoque même pas les guerres civiles en série de l’impérialisme qui ont ensanglanté l’Europe entière : Espagne, Portugal, Italie...
« ...la particularité du communisme est cette lutte des classes qui conduit aux génocides de ses ressortissants nationaux »
Cela est faux. Totalement faux. C’est un mensonge grossier. La lutte des classes n’est pas la particularité du communisme. Ce n’est pas le communisme qui a inventé la lutte des classes, ni les classes sociales elles-mêmes. Les classes sociales et leurs luttes ont été inventées par les brigands, les pilleurs, les exploiteurs. Les esclaves qui se soulevèrent en Italie entre 73 et 71 avant Jésus-Christ sous la direction de SPARTACUS n’étaient pas des communistes. Bien au contraire, le communisme est le produit de la lutte des classes dans la société capitaliste. Le communisme surgit comme la seule solution pour supprimer le capitalisme, pour supprimer les classes sociales, pour supprimer l’exploitation de l’homme par l’homme, pour instaurer la société sans classe, la société communiste.
"Les socialistes ont toujours condamné les guerres entre peuples comme une entreprise barbare et bestiale. Mais notre attitude à l’égard de la guerre est foncièrement différente de celle des pacifistes (partisans et propagandistes de la paix) bourgeois et des anarchistes. Nous nous distinguons des premiers en ce sens que nous comprenons le lien inévitable qui rattache les guerres à la lutte des classes à l’intérieur du pays, que nous comprenons qu’il est impossible de supprimer les guerres sans supprimer les classes et sans instaurer le socialisme ; et aussi en ce sens que nous reconnaissons parfaitement la légitimité, le caractère progressiste et la nécessité des guerres civiles, c’est à dire des guerres de la classe opprimée contre celle qui l’opprime, des esclaves contre les propriétaires d’esclaves, des paysans serfs contre les seigneurs terriens, des ouvriers salariés contre la bourgeoisie.« (Lénine ; Le socialisme et la guerre)
En fait, le bilan des morts que spartacus aligne est celui du monde capitaliste, impérialiste, puisque spartacus lui-même impute ce bilan à la lutte des classes dont on sait qu’elle est la marque exclusive de la société des exploiteurs, particulièrement du capitalisme, qui ne peuvent pas exister sans lutte des classes.
Donc, sur le compte de l’impérialisme, au bilan manipulatoire et démago de spartacus, il faut ajouter les chiffres déjà évoqués ici au chapitre précédent. Pour éviter d’être confronté à l’horreur épouvantable que le capitalisme a jusqu’ici infligé à l’humanité, spartacus préfère se limiter au nombre de morts infligé à »son propre peuple" par l’impérialisme. Si on veut englober l’impérialisme dans son ensemble, il faut songer seulement que chaque ville du continent américain est un immense champ de fosses communes de populations amérindiennes massacrées par les conquistadors européens. Songer aussi à l’épouvantable traite négrière pendant quatre siècles, et ainsi de suite jusqu’à ce jour.
Donc, non seulement Spartacus est un ignare et un menteur, il est aussi un calomniateur, un phagocyte de la mémoire de l’humanité, une vulgarité qui ne mérite même pas qu’on lui accorde la moindre attention.
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La guerre de sécession aux Etats-Unis (1861-1865) n’est pas un génocide de classe. C’est une guerre civile.
Le redressement de la Commune de Paris en 1871 est une insurrection armée contre des lois votées par la république.L’holocauste des juifs allemands oui, mais le nazisme comme le communisme relève de cette idéologie de lutte des classes et de fabrication d’ennemis factices.Une guerre ne se compare pas a un génocide communiste ! -
quand il y a autant de mort, à ta place ROBERT GIL je raserais les murs au lieux de considérer tous cela comme inévitable !
C’est simplement montrueux et ta position est insoutenable devant cette monstruosité ! -
Une révolution chasse l’autre jusqu’à la prochaine. La société des hommes est, a toujours été et sera jusqu’à sa fin, irrévocablement pyramidale. Le pouvoir y domine le peuple ; l’exception la masse ; la force la faiblesse, l’intelligence la sottise, le savoir l’ignorance , la richesse la pauvreté dans tous leurs aspects ; etc.
Et le nombre n’arrange rien.
Voir à ce sujet :
http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com/ ou lire
"La Pyramide sociale
- Monstrueux défi" en pdf ou édition papier.Evocation d’une situation et de son évolution au cours du temps, dans des termes que les milieux autorisés répugnent visiblement à employer. Pourtant, agnostique et apolitique ; aussi peu spéculative qu’intuitive, la simple observation d’une réalité démographique, mise en relation avec les inégalités sociales et l’écologie, laisse à chacun la liberté d’en prendre la part qu’il jugera compatible avec ses propres convictions, aussi bien religieuses que politiques.
Une vision aussi libre que décoiffante de fondamentaux trop souvent négligés.
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Tout à fait, j’ajoute que c’est dans notre nature simiesque. La domination est ancrée dans chacun d’entre nous, qu’il joue le rôle de soumis ou de dominant. D’ailleurs il arrive de changer du premier pour le second à quelques uns et l’on voit alors ces drôles endosser rapidement les idées et modes de pensée afférents à leur nouveau statut de dominant.
Chacun change d’ailleurs de costume tous les jours, l’ouvrier tyrannise ses enfants, le patron rampe devant sa femme, et dans la vie, l’âge et l’expérience en pousse certains à diriger leurs petits camarades : ce qu’ils approuvaient hier devient alors leur bête noire : « Ils vont arrêter de parler politique et bosser un peu bordel de Marx ? »Le problème est que nous ne pouvons pas être conscient de notre position au moment où nous l’occupons car c’est instinctif (sur le moment). Demandez-vous : suis-je dominant ou dominé avec un tel ou une telle ?Mais votre réflexion n’est pas sur l’origine des classes mais sur le rapport des mouvements entre elles en fonction de la configuration économique. Aujourd’hui dans une économie mondiale, il est clair que le monde entier est émergent à l’exception des anciens pays riches et de pays trop pauvres qui n’ont qu’un escalier aux marches trop hautes et pas d’ascenseur !Dans les pays ex-riches le descenseur social est en surchauffe et l’on est même jeté violemment dedans : impossible de rester sur le pallier !La pyramide est quelque peu concave du reste, la base s’élargit à vue d’oeil tandis que sa pointe, toujours plus fine, crève tous les plafonds. Il est d’ailleurs fort amusant de voir les petits bourgeois happés par le mouvement descendant alors qu’ils se croyaient sortis de la plèbe... « Mais si je paye plus d’impôts, je redeviendrai un pauvre ! »Et pour revenir à mon propos, il est clair qu’un dominant menacé devient méchant. Il s’en prend tout de suite à ceux du dessous. Après tout, c’est une juste vengeance si lui-même se trouve rabaissé par ses supérieurs... Il ne va quand-même pas être le seul à trinquer ! Il est près à tout pour conserver son rang : et que je te vire un employé dans mon entreprise artisanale, que je ferme une activité pour acheter - sans le dire - à l’étranger, ou que je mette en action un plan de restructuration de 10000 personnes... Chacun selon ses moyens, mais chacun pour soi !Au secours OB_Ouonne qu’hait nos vies, vous êtes mon seul espoir... Mal placé ! -
Il se trouve que le dernier article publié surtraite précisément de l’ascenseur-descenseur dans la pyramide sociale. -
c’est bien là le problème c’est l’organisation pyramidale qui crée l’absolutisme et les dictatures et non pas la lutte des classes pour emmerder un peu Spartacus , n’importe quel système économique sans démocratie politique vire très rapidement à l’absolutisme et à la confiscation du pouvoir et des richesses par une oligarchie, qu’elle s’appelle nomenklatura, comité d’actionnaires , ou direction générale, l’appropriation des richesses par quelques uns se fait souvent au nom de l’intérêt général qui n’a de général que l’intérêt de quelques uns !!!
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la bourgeoisie a toujours été esclavagiste , de tous temps elle c’est adaptée et elle s’adaptera en permanence, car il y a toujours des bourgeois dans l’âme !!!!
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Robert GIL préfére les régimes où les membres du Parti oppriment le reste de la population, c’est beaucoup plus « stylé » que l’oppression par la bourgeoisie .
Il attend son heure pour être bien placé dans le Comité Central.
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la caricature te va bien mais à jouer les cyniques on perd son âme !
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Que la monarchie ait cherché à faire refluer la féodalité, c’est une évidence.
C’est d’ailleurs à cela que l’on doit la création de l’état, et aussi la création d’une nouvelle noblesse (la noblesse de robe). Cela permettait d’harmoniser les lois.
Cependant, mettre la destitution du Roi sur le compte de la bourgeoisie industrielle me semble faux. Prenez « Étienne Marcel », le prévôt des marchands de Paris. Il n’est pas un industriel, mais il est un commerçant qui importe des draps de Flandres et du Braban. C’est toujours le même principe : Jouer sur le différentiel des prix entre deux zones économiques. C’est de la spéculation. Étienne Marcel se mariera à la fille du Banquier Pierre des Essarts.
Les grandes fortunes ne sont font pas par l’industrie, mais par la spéculation et le commerce... -
Pour ceux que ça intéresse : Jacques Attali Karl Marx ou l’esprit du monde
Livre intéressant voici une interview d’Attali :http://www.evene.fr/livres/actualite/entretien-avec-jacques-attali-136.php
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Christian
« Pour ceux que ça intéresse : Jacques Attali Karl Marx ou l’esprit du monde
Livre intéressant voici une interview d’Attali »Cà se saurait si Jacques Attali, ancien conseiller de François Mitterrand et missionnaire de Nicolas Sarkozy, était marxiste. N’étant pas marxiste et même étant foncièrement anti-marxiste, Jacques Attali, intellectuel grand bourgeois qui s’assume, n’est pas qualifié en matière de marxisme. Le marxisme n’est pas une simple philosophie contemplative ou spéculative.
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Cà se saurait si Jacques Attali, ancien conseiller de François Mitterrand et missionnaire de Nicolas Sarkozy, était marxiste
Curieuse conception de l’histoire...si l’on vous suit il faudrait donc qu’un chercheur adopte les idées de la personne qu’il étudie pour en parler ? Donc il faut être marxiste pour parler de Marx, royaliste pour parler des rois et patriote pour parler de Jeanne d’Arc etc...Au fond donc ces illustres personnages ne devraient jamais être critiqués ou tout au moins analysés.
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Christian
« Curieuse conception de l’histoire... »
Chacun pense ce qu’il veut comme il veut et fait ce qu’il veut comme il veut. Mais l’Histoire avec « H », contrairement à l’histoire avec « h » comme vous la voyez, n’est pas un capharnaüm où n’importe quel hérétique vient soigner sa névrose.
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Le livre d’Attali sur Marx n’est ni un capharnaüm ni même une critique sur Marx. Par contre certainement une critique sur ce que l’on croit être le marxisme, ça oui.
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