@kssard Suite à l’article paru dans le Canard Enchaîné, Catherine Dolto s’est exprimée et a revendiqué une manipulation d’extrême droite ! Bon ! Vouloir faire passer le Canard Enchaîné pour un journal d’extrême droite est dans la suite logique de la psychanalyse qui consiste à toujours vouloir faire passer les vessies pour des lanternes... Mais elle prétend aussi que les propos ont été sorti de leur contexte ! Lorsque qu’on lit : "Ce qu’il faudrait c’est que la loi ne
s’occupe plus de l’âge. Ne s’occupe seulement que de l’inceste, des
relations entre parents proches, frères, sœurs, parents, oncles, tantes,
mais qu’il n’y ait absolument rien entre adultes et enfants comme
interdiction.« (c’est juste un exemple isolé comme il en existe à foison dans les livres de la Dolto), quel contexte permettrait de rendre cette phrase entendable ! Je n’en ai aucune idée... Alors, quitte à être qualifié »d’extrême droite« par les psychanalystes ou de nazis par Elisabeth Roudinesco (cette psychanalyste qualifie très rapidement de »nazis" et d’antisémites tous ceux qui critiquent la psychanalyse), j’aime autant faire de la pub à cette pétition. Faites en de même, si vous pouvez.
Dans les livres L’enfant, le juge et la psychanalyste et La cause des adolescents, de Françoise Dolto , on trouve des propos franchement en faveur de la « pédophilie consentante » !!! Par ailleurs, avez-vous avez lu l’article du 8 janvier dernier dans le Canard Enchainé toujours sur les propos de Françoise Dolto en faveur de la pédophilie ?
Le scandale est en train de monter puisque les psychanalystes
prétendent à présent que les propos de Françoise Dolto sont sortis de
leur contexte ! Franchement, lorsqu’on utilise les mots : pédéraste,
pédérastie, pédophile, supprimer la notion de mineur (dans le code
pénal), dépénaliser les relations adulte-enfant, etc. je vois mal le
contexte susceptible de justifier cela !!!
Pour ceux que cela révolte ou si vous souhaitez vous faire une idée, il y a une pétition sur le site du parlement (5000 signatures impliquent un débat à l’assemblée nationale) qui comporte des extraits éloquents des livres de Dolto en faveur de la pédophilie : https://parlement-et-citoyens.fr/projects/petition-legislative/collect/deposez-votre-petition/proposals/debaptiser-les-ecoles-portant-le-nom-dune-personne-qui-justifie-la-pedophilie
Dans les livres L’enfant, le juge et la psychanalyste et La cause des adolescents, de Françoise Dolto , on trouve des propos franchement en faveur de la « pédophilie consentante » !!! Par ailleurs, avez-vous avez lu l’article du 8 janvier dernier dans le Canard Enchainé toujours sur les propos de Françoise Dolto en faveur de la pédophilie ?
Le scandale est en train de monter puisque les psychanalystes
prétendent à présent que les propos de Françoise Dolto sont sortis de
leur contexte ! Franchement, lorsqu’on utilise les mots : pédéraste,
pédérastie, pédophile, supprimer la notion de mineur (dans le code
pénal), dépénaliser les relations adulte-enfant, etc. je vois mal le
contexte susceptible de justifier cela !!!
Pour ceux que cela révolte ou si vous souhaitez vous faire une idée, il y a une pétition sur le site du parlement (5000 signatures impliquent un débat à l’assemblée nationale) qui comporte des extraits éloquents des livres de Dolto en faveur de la pédophilie : https://parlement-et-citoyens.fr/projects/petition-legislative/collect/deposez-votre-petition/proposals/debaptiser-les-ecoles-portant-le-nom-dune-personne-qui-justifie-la-pedophilie
Dénoncer c’est bien. Faire c’est mieux. Voir cette pétition pour que les écoles qui portent le nom de Françoise Dolto soient renommées.
Par « médecins », il faut évidemment comprendre : « pédo-psychanalystes », comme elle !
Dolto, Klein, Lacan, Winnicott, etc. On est dans le charlatanisme à des fins lucratives à plein tube.
Partant du commentaire fait par Krafft-Ebing d’une conférence de Freud : « cela ressemble à un conte scientifique », Jacques Van-Rillaer ajoute : « on montrera que Freud, qui croyait que sa place était à côté de Copernic et Darwin, est à placer à côté de Charles Perrault et les frères Grimm, les auteurs de contes. ».
Voir cette vidéo : https://www.dailymotion.com/video/x34x2tk
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Les propos ci-dessous ne datent pas de 1900... !
La psychanalyse défend la culture du viol et celle de l’inceste. Françoise Dolto tenait parfois des discours délirants :
comme ceux sur le viol (les féministes y seront sensibles) : « Il n’y a pas de viol du tout. Elles sont consentantes ». Lire : Entretien de F. Dolto dans la revue « Choisir » - Le viol du silence - Eva Thomas - 1979),
et ceux sur l’inceste : « Si les enfants savaient que la loi interdit les privautés sensuelles entre adultes et enfants, et bien, à partir du moment où un adulte le lui demande, s’il accepte, c’est qu’il est complice, il n’a pas à se plaindre. Mais il peut avoir, sans se plaindre, à dire : « mais ça m’a fait très mal. – Oui. Pourquoi t’es-tu laissé faire puisque tu savais que ce n’était pas permis… » ». Lire : L’enfant, le juge et la psychanalyste - Entretien entre F. Dolto et A. Ruffo - Gallimard - 1999.
Voir également les propos tenus par Aldo Naouri : « Violez-là ! .
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Freud, Lacan, astrologie, ou autres fadaises, c’est du pareil au même : charlatanisme. Nous sommes en 2017. La place de la psychanalyse est au cimetière des fausses sciences. Mais au titre de la liberté du culte, vous pouvez continuer d’y croire si cela vous chante.
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Lire : Nouvelle
suite des leçons d’introduction à la psychanalyse. Œuvres complètes, PUF, XIX,
XXXIIIe Leçon, La féminité...
Page 216 : « Nous attribuons donc à la féminité un plus haut degré de narcissisme qui influence encore son choix d’objet, si bien qu’être aimée est pour la femme un besoin plus fort qu’aimer. A la vanité corporelle de la femme participe encore l’action de l’envie de pénis, étant donné qu’il lui faut tenir en d’autant plus haute estime ses attraits, en dédommagement tardif pour son infériorité sexuelle originelle. A la pudeur, qui passe pour une qualité féminine par excellence, mais qui est beaucoup plus affaire de convention qu’on ne pourrait le penser, nous attribuons la visée originelle de masquer la défectuosité de l’organe génital. Nous n’oublions pas qu’elle a plus tard assumé d’autres fonctions.
On
estime que les femmes ont apporté peu de contributions aux découvertes et aux
inventions de l’histoire de la culture, mais peut-être ont-elles quand même
inventé une technique, celle du tressage et du tissage. S’il en est ainsi, on
serait tenté de deviner le motif inconscient de cette prestation. C’est la
nature elle-même qui aurait fourni le modèle de cette imitation, en faisant
pousser, au moment de la maturité sexuée, la toison génitale qui dissimule
l’organe génital. Le pas qui restait encore à franchir consistait à faire
adhérer les unes aux autres les fibres qui, sur le corps, étaient plantées dans
la peau et seulement enchevêtrées les unes avec les autres. Si vous repoussez
cette idée incidente comme fantastique et si vous m’imputez comme une idée fixe
l’influence du défaut de pénis sur la configuration de la féminité, je suis
naturellement sans défense ».
Page 218 : « Le fait qu’il faille
reconnaître à la femme peu de sens de la justice est sans doute en corrélation
avec la prédominance de l’envie dans sa vie d’âme, car l’exigence de justice
est une élaboration de l’envie, indiquant à quelle condition on peut se
départir de celle-ci. Nous disons aussi des femmes que leurs intérêts sociaux
sont plus faibles et leur capacité de sublimation pulsionnelle moindre que
celle des hommes. ».
« Que la fille reconnaisse le fait de son défaut de pénis ne veut pas dire pour autant qu’elle s’y soumette facilement. Au contraire, elle reste encore longtemps attachée au souhait d’acquérir aussi quelque chose comme ça, elle croit à cette possibilité jusqu’à un âge invraisemblablement avancé et, encore en des temps où le savoir de ce qu’est la réalité a depuis longtemps mis au rebut l’accomplissement de ce souhait comme étant inaccessible, l’analyse peut mettre en évidence que ce souhait est resté conservé dans l’inconscient et qu’il a gardé un investissement d’énergie considérable. Le souhait de finir par acquérir quand même le pénis tant désiré peut encore apporter sa contribution aux motifs qui poussent la femme mûre à entrer en analyse, et ce qu’elle peut raisonnablement attendre de l’analyse, par exemple la capacité d’exercer une profession intellectuelle, peut souvent être reconnu comme un avatar sublimé de ce souhait refoulé. ».
Ajoutons encore que pour Freud, les frissons des femmes hystériques, tout comme les migraines féminines sont attribuées aux réminiscences de la pression exercée par le père sur les tempes de la fillette lorsqu’il la forçait à lui administrer une fellation (d’où, ensuite, des eczémas labiaux à répétition). (Lettres à Wilhelm Fliess, lettre du 3 janvier 1897 et celle du 8 février 1897 PUF, 2006, pp. 281 et 294).
Notons encore que pour Freud, les femmes agoraphobes ne sont que des nymphomanes qui se retiennent : « L’agoraphobie chez les femmes, c’est le refoulement de l’intention d’aller chercher dans la rue le premier venu. » Lettres à Wilhelm Fliess. Lettre du 17 février1896, PUF, 2006, p. 277).
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Il ne fait nul doute que Lacan était un rigolo. Il ne s’est construit aucune légende sur Lacan comme celles qui entourent Freud. Il y a de quoi s’intéresser au cas Freud pour le démystifier quand on sait ses penchants fascistes, sa misogynie, son racisme, son charlatanisme, son égocentrisme, etc.
Entre Lacan et Freud, c’est quand même bien la légende de Freud qui a fait le plus de mal à notre société.
Lacan aurait mieux fait de vendre des cornichons ! Il aurait d’ailleurs pu vendre n’importe quoi. Il a d’ailleurs contribué à créer la plus grande secte de charlatans du monde. Noam Chomsky concluait comme ceci : « Lacan était un charlatan conscient de l’être, qui jouait avec le milieu intellectuel parisien pour voir jusqu’où il pouvait aller dans l’absurdité, tout en continuant d’être pris au sérieux ». Finalement, Lacan, c’était qui ? Il le disait lui-même : « Je suis un poète ».
@Philippe VERGNES
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Christiane Olivier n’est l’auteure d’aucune recherche scientifique dans le domaine de la parentalité. Cela ne l’empêche pas d’être lucide. L’auteur de l’article en lien n’est lui-même pas psychologue. Cela n’empêche pas son article de bien hiérarchiser les différentes étapes du développement de la théorie de l’attachement même s’il ne va pas jusqu’à la différenciation des contributions psychanalytiques et scientifiques. Notons encore que Bowlby était de pratique psychanalytique... Cela ne l’a pas empêché d’œuvrer pour la psychologie scientifique, bien que beaucoup de psychanalystes pensent encore que la théorie de l’attachement relève de la psychanalyse !
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Je ne critique pas les psychanalystes. Il en existe de nombreux qui s’alignent sur les évolutions de la psychologie scientifique et nombreux d’entre eux se mettent aux TCC. On ne peut donc pas tous les mettre dans le même panier.
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Je critique la main mise la psychanalyse (ses nombreuses écoles) sur la société. Je ne suis pas non plus un adepte de l’astrologie, mais vous reconnaitrez que nous nous fichons tous de cette autre croyance. Car aucun astrologue n’a d’influence sur le pouvoir, les élus, la justice, la psychiatrie, la société... Raison pour laquelle la psychanalyse doit reculer aujourd’hui. Et même si elle ne disparaîtra jamais (comme l’astrologie), elle reculera et finira bien par être relayée au rang qui lui revient.
@Philippe VERGNES
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Vous noterez que le rapport de l’ONED que vous référencez à propos de la théorie de l’attachement donne la parole à n’importe quel pédopsychiatre pour peu qu’il se prétende spécialiste de ce sujet comme le lobbyiste Bernard Golse qui est d’orientation psychanalytique. Vous noterez encore que rapport a été construit sur de nombreuses références psychanalytiques (exemple : celles des Guédeney, eux aussi autoproclamés spécialistes de cette théorie). Or la plupart des auteurs cités dans ce rapport n’a jamais effectué la moindre recherche sur ce sujet. Le contenu de ce rapport est hétérogène pour avoir été partiellement orienté en direction des croyances freudiennes comme la théorie des pulsions d’attachement.
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Ces influences psychanalytiques sont hostiles à la version scientifique de la théorie de l’attachement. Dans son livre (Père, Mère après séparation) Gérard Poussin écrit (pages 106 à 108) : « …/… Pour Freud, par exemple, l’enfant s’appuie sur l’objet des pulsions d’autoconservation dans son choix d’un objet d’amour, car pour lui, « à l’origine, la satisfaction sexuelle avait un objet sexuel en dehors du corps propre : le sein maternel ». C’est la théorie de « l’étayage »…/… Pour certains cliniciens pourtant, la confusion est encore présente et ils se réfèrent à la théorie de l’attachement tout en lui attribuant des caractéristiques qui étaient celles de la théorie de l’étayage. On peut ainsi entendre que « seule la mère peut être une figure d’attachement pour le jeune enfant » et qu’il est donc dangereux qu’il ne passe pas la majeure partie de son temps avec elle (notamment la nuit, comme le stipulent Solomon et George). La notion de coparentalité serait alors partie remise et ne pourrait s’appliquer qu’au-delà de l’âge de 6 ans .../…. Mon expérience croisée entre la recherche et la clinique m’amène à conclure au contraire qu’il est souhaitable de favoriser la coparentalité dans l’après divorce dès le plus jeune âge. ».
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Il est nécessaire de différencier les contributions psychanalytiques, des contributions scientifiques. Il est aussi nécessaire de garder en mémoire les différentes étapes liées à son évolution. Voir ce lien : http://summit4u.org/enfant-beneficie-attachement-a-ses-deux-parents/
Dans le cas contraire, on en arrive aux anomalies vers lesquelles nous conduit la psychanalyse.
@JL
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Freud n’a pas inventé l’inconscient. Lancelot Whyte a montré que l’idée d’inconscient est présente dès le XVIIe siècle (c’est-à-dire dès que Descartes a conçu la notion d’âme à partir de la conscience). Le mot existe en français, en anglais et en allemand, dès le XVIIIe. En 1895, Freud et Breuer publient les Études sur l’hystérie, où il est, d’ailleurs, fort peu question d’inconscient. Cette notion fait déjà partie des concepts banals de la philosophie et de la psychologie.
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Freud n’a pas non plus inventé l’idée de la guérison des troubles névrotiques par remémoration d’un événement traumatique oublié. Chaque fois qu’il évoque cette idée en racontant l’histoire d’Anna O., il en attribue la paternité à Breuer. Or dès 1890, Janet l’utilisait de manière courante. On en trouverait même des traces chez Platon.
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Freud n’a pas inventé le transfert, ni son utilisation thérapeutique. Les écrits des psychothérapeutes de la fin du XIXe siècle montrent qu’ils connaissaient parfaitement ce processus et qu’ils savaient l’utiliser. L’un d’eux ne va-t-il pas jusqu’à dire que les malades guérissent pour faire plaisir au médecin ?
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Freud n’est pas le premier à avoir donné la parole aux hystériques. Janet, dans le grand rapport sur la psychanalyse qu’il présente au Congrès Mondial de Médecine de Londres en juillet 1913 a dit que ce que Freud prétend avoir inventé, il le pratiquait lui-même depuis longtemps.
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Les prétendues inventions de Freud sont des versions à peine renouvelées de thèmes plus anciens.
La seule chose que Freud ait vraiment inventée est ses innombrables cas de guérison lorsque les patients qu’il prétendait avoir guéri n’étaient pas eux aussi inventés ! Freud était un faussaire, un usurpateur, un escroc et un charlatan. Le freudisme est un cumul de mensonges, de falsifications, d’interprétations et d’impostures scientifiques.
Dans ses correspondances, Freud a commencé par le cas princeps de la psychanalyse : Anna O., dont l’état se dégrada jusqu’à être amenée dans une institution psychiatrique. Ernest Jones, l’ami et biographe attitré de Freud, a dévoilé que « un an après qu’il eût cessé de la soigner, Breuer confia à Freud qu’elle était tout à fait détraquée, et qu’il lui souhaitait de mourir et d’être ainsi délivrée de ses souffrances ». Un sujet qui est régulièrement esquivé par les tenants de cette fausse
science est : les effets de détérioration de la psychanalyse.
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Rappelons encore que les femmes ne sont pas les seules victimes de la psychanalyse. Chaque année la psychanalyse contribue à tuer environ 1000 pères de famille dans le cadre des affaires de séparations parentales. Essentiellement formés aux besoins de l’enfant en matière de parentalité par des pédopsychiatres d’orientation psychanalytique, les magistrats continuent de croire aujourd’hui qu’il existerait une hiérarchie des rôles parentaux. Ainsi, les liens mère-enfant prévalent sur ceux avec le père lorsque l’enfant est jeune. Au final, 20% des enfants du divorce ne voient plus du tout leur père et 1000 d’entre eux se suicident chaque année.
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« trier le bon grain de l’ivraie » : C’est déjà fait ! En 1980, toutes les références freudiennes sont retirées du DSM pour leur absence de scientificité. En 2004, l’INSERM publie un rapport démontrant que les thérapies analytiques (dont la psychanalyse) ne présente aucune efficacité pour la majorité des troubles mentaux. En 2010, la HAS ne recommande pas la psychanalyse vis-à-vis de l’autisme. Dans les meilleures universités nord-américaines, on n’enseigne plus la
psychanalyse dans les départements de psychologie (Harvard, Stanford,
État de Pennsylvanie, Yale, Wisconsin, Oxford, etc.). On y enseigne les
TCC, la psychologie du développement et autres disciplines validées : http://www.nytimes.com/2007/11/25/weekinreview/25cohen.html
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Que reste-t-il de la psychanalyse ? Je ne suis même pas certain qu’il soit justifié de continuer à enseigner Freud au BAC en philosophie ! Souhaitons lui l’agonie la plus courte possible, pour le bien de la santé publique.
@Mélusine7
Il est grand temps de décrasser les milieux de la psychiatrie au karcher notamment pollué par des débiles de la psychanalyse.
@Patrick Samba
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La psychanalyse est plus proche d’une croyance (voyance, religion, astrologie, etc.) en ce sens qu’elle n’est ni scientifique, ni réfutable au sens épistémologique du terme. On observe dans la psychanalyse (les psychanalyses) les mêmes phénomènes que ceux se produisant dans les sectes.
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Lacan a reconnu publiquement : « .../... la psychanalyse n’est pas plus une escroquerie que la poésie elle-même. .../... C’est bien pourquoi la psychanalyse est une chose sérieuse, et qu’il n’est pas absurde de dire qu’elle peut glisser dans l’escroquerie. » (Jacques Lacan - Ornicar ? Bulletin périodique du champ freudien, 1979, n°17, Vers un signifiant nouveau - Texte établi par Jacques-Alain Miller - L’escroquerie psychanalytique).
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Lorsqu’un escroc (au sens employé par Lacan), qui refuse par ailleurs toute évaluation, s’en prend à des enfants : Qui manque réellement d’ouverture ?
Le problème de l’éducation des enfants autistes (mais aussi celui des enfants handicapés) n’avance pas effectivement.
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Si la psychanalyse n’est pas recommandée pour l’autisme, comment peut-elle être recommandable pour le reste ?
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Non contente d’avoir fait
l’objet d’un rapport de l’INSERM en 2004 qui démontre qu’elle est sans
efficacité sur le plan thérapeutique, en 1980, toutes les références
freudiennes ont été retirées du DSM pour leur absence de
scientificité.
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A mon sens une erreur de la commission « autisme » de l’assemblée nationale à été de vouloir une loi discriminatoire uniquement réservée au bénéfice des enfants autistes. Comment peut-on proposer que les enfants autistes profitent des avancées scientifiques et échappe au charlatanisme psychanalytique sans le demander pour les autres ?
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Il existe de nombreuses associations se plaignant de la psychanalyse : http://www.psychomedia.qc.ca/psychologie/2013-05-17/protestation-contre-la-psychanalyse-a-l-ecole
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Il y a aussi les associations de pères : https://www.ndf.fr/poing-de-vue/08-04-2013/lettre-ouverte-a-dominique-baudis-defenseur-des-droits-pour-denoncer-les-psychanalystes-qui-nous-volent-nos-enfants/
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Suite à son lobbying sur les décisions de justice (formation des magistrats, expertises judiciaires, etc.), la
psychanalyse contribue à tuer environ 1000 pères de famille par an (1000 suicides). 20% des enfants du divorce ne voient plus du tout leur père : https://blogs.mediapart.fr/pierre-laroche/blog/121015/la-discrimination-contre-les-peres-de-famille-expliquee-aux-enfants-et-ceux-qui-decident-de-leur
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On ne compte plus les psychologues, les ouvrages et les sites internet
qui dénoncent ensemble l’absence de scientificité du freudisme et
parfois même son charlatanisme...
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Pourquoi ne constate-t-on pas encore de synergie ?
Sylvain Rakotoarison écrit : « Certains ont poursuivi le travail de Freud, d’autres au contraire se sont opposés à la théorie de Freud, en remettant en cause les principes de base. Le dernier connu en date est peut-être Michel Onfray... ».
Michel Onfray ne critique pas la psychanalyse. Il est l’auteur d’un travail de reconstitution historique qui a permis de prouver que Freud était fasciste, rasciste, mysogyne, mais qu’il était aussi un falsificateur et un escroc. C’est ce qui a valu à Michel Onfray le déferlement de haine de la principale avocate du freudisme en France qui n’est autre qu’Elisabeth Roudinesco (auto-proclamée historienne de la psychanalyse !). Je vous laisse le soin de retrouver par vous-même les bassesses et les insultes qui ont été balancées contre Michel Onfray par la secte psychanalytique (qui refuse d’ailleurs toute évaluation).
Il faut aussi préciser que ceux qui s’opposent à la théorie freudienne, ne le font pas sur la base de leur simple humeur. Ils fournissent des preuves et des arguments étayés. Aujourd’hui, il est légitime de s’inquiéter du fait que la psychanalyse détruit sans doute plus de vie qu’elle n’en sauve.
Lire les « déconvertis » ici :
https://blogs.mediapart.fr/jacques-van-rillaer/blog
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