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Les commentaires de Ouvert



  • Ouvert 6 juillet 2023 20:03

    Votre article est intéressant et l’analyse des causes est assez exhaustif. Je ne rentrerai pas dans la polémique des points de vue de précédents commentateurs. Elle résume simplement le fossé politique que ce décès a illustré et le lien ou non avec la mise à sac de notre pays dans le but jouissif de s’attaquer à l’État, ses représentants, ses biens mobiliers et immobiliers, ou aux symboles d’une société consumériste mondialisée. Cet apparent désordre des actions cache mal une main ou plusieurs mains organisatrices mais ceci mérite un autre débat.

    Votre lien démographie-territoire est évidemment un indicateur causal important mais votre conclusion sur des mesures anti-natalité généralisées me semblent ne pas apporter une solution raisonnable et créer une situation dans 15 ans catastrophique. Mais dès son application elle accélère le vieillissement du pays. Il est un fait que le peuplement par l’immigration pose le problème de la surnatalité par rapport à la population assimilée récemment ou non. La France n’a été forte dans l’histoire que lorsqu’elle avait une dynamique démographique supérieure à ses voisins. L’Italie est condamnée à disparaître si elle ne fait plus d’enfants ou à voir le grand remplacement par l’immigration. L’Allemagne est dans le même cas. Il faut au contraire inciter les jeunes couples à avoir des enfants alors qu’il s’installe une baisse inquiétante de la natalité par peur de l’avenir et une hausse de l’individualisme nombriliste. D’une façon un peu caricaturale on peut dire que nous avons deux populations, une population assimilée et une autre qui ne l’est pas encore ou ne le sera jamais.

    C’est le facteur clé de mise en œuvre d’une politique démographique française. Il faut sortir de la politique nataliste de la famille nombreuse car nous ne sommes plus dans le boom nataliste nécessaire après la guerre de 39-45. Il faut qu’elle insiste sur la nécessité du minimum de deux enfants par couple et dissuade de dépasser trois, tout en laissant la liberté à chacun. Les prestations familiales ne doivent pas prendre en compte le 4ème enfant et au-delà, ou allant en decrescendo rapide, mais doivent être augmentées jusqu’au troisième enfant. Actuellement pour une grande partie de la population, le niveau de vie décroit avec le nombre d’enfants sauf à réduire la surface d’habitation par personne de la famille. Ce changement de la politique familiale a des conséquences sur la disparité de fécondité des couples assimilés par rapport aux autres et booste l’envie de créer une famille pour les couples. Mais il y a bien d’autres choses à faire pour redynamiser un peuple qui ne croit plus en lui évidemment.



  • Ouvert 29 mars 2022 09:54

    Merci a yakafokon pour son commentaire, que j’approuve, sur l’analyse logique faite dans l’article mais contestable dans sa conclusion. Non l’envoi d’armes par les occidentaux ne fait que prolonger la guerre. La Russie n’a engagé que 150 000 hommes pour l’instant ce qui correspond en gros aux effectifs de l’armée ukrainienne qui est toujours surtout massée face au Donbass et elle continue de le pilonner. Si la résistance ukrainienne est accentuée par son réarmement la Russie devra engager plus de forces mais elle a des réserves. Ceci veut dire un prolongement du conflit et plus de morts civils. La Russie n’abandonnera pas sans avoir atteint ses objectifs, en gros le retour des russophones sous l’aile protectrice de la Russie et un véritable traité garantissant la neutralité de ce qu’il restera de l’Ukraine pour le moins.



  • Ouvert 2 novembre 2021 11:07

    A 85 ans et irradié, contaminé pendant 37 ans, je me porte encore fort bien ma foi et mes 4 enfants sont toujours vivants. A ce titre je me permets d’amener un témoignage personnel. N’ayant que ma retraite comme tout le monde et aucune action dans le lobby nucléaire, mes propos sont ceux d’un individu honnête, amoureux de l’écologie de bon sens et non idéologique. Physicien de formation, mon premier constat est que l’énergie nucléaire est une énergie dont le rendement énergétique, même après la perte due au passage des calories aux kWh, est très supérieur à celui que l’ont peut retirer de la combustion du bois, du charbon, du pétrole et du gaz. Il l’est encore plus de ce que l’on peut retirer de l’énergie solaire, et de l’énergie éolienne par ailleurs intermittente et aléatoire. Cette dernière qui a fait les beaux jours des moulins à grains avait cédé la place au pétrole et les dernières avancées technologiques ne pourront rien contre le handicap de son rendement énergétique faible et le fait qu’elle n’est ni prévisible ni maîtrisable. Sa nature même ne peut qu’en faire une énergie d’appoint.

    J’ai travaillé sur le photovoltaïque et nous savions que cela ne pourrait jamais en faire une source principale d’énergie vu sont faible rendement énergétique entraînant des surfaces considérables de captation de l’énergie solaire et vu le coût du kWh produit. En France depuis 60 ans l’industrie nucléaire n’a tué personne alors que nous sommes toujours le pays le plus nucléarisé du monde. Ce n’est pas le cas de l’industrie chimique que personne ne songe à arrêter même après l’accident d’AZF. L’indépendance énergétique de la France est mieux protégée par le nucléaire que par les énergies solaire et éolienne dont l’intermittence demande l’apport de centrales thermiques à énergies fossiles en particulier au gaz dont nous sommes démunis. La France a des contrats de fourniture possible d’uranium sur de nombreux pays du monde répartis sur tous les continents.

    Alors le maniement de la peur de Monsieur Cabanel devient de plus en plus une guerre idéologique de la décroissance quand le Japon va relancer la construction de centrales nucléaires, que la Chine en prévoit 23 et qu’elle montre la faisabilité, la bonne marche, et la sûreté des nouveaux réacteurs EPR que nous peinons à construire à Flamanville par perte du savoir-faire. Les japonais seraient-ils fous, irresponsables ? L’ONU vient d’officialiser qu’il n’y a eu aucun mort lié à directement à la radioactivité émise pas l’accident de Fukushima. L’industrie nucléaire mondiale s’avère très sûre et n’a pas le bilan de la simple catastrophe chimique de Bhopal en Inde. Ne plombons pas notre avenir énergétique où nous avons encore des longueurs d’avance en suivant les meneurs de la peur irraisonnée.



  • Ouvert 18 octobre 2021 19:11

    @pierrot
    Totalement d’accord avec vous, d’où mon évocation de Superphénix à neutrons rapides qui plaçait la France en tête de l’évolution mondiale des réacteurs en 1996. Sa fermeture a été une catastrophe financière mais plus encore un recul scientifique impardonnable. La Russie a pris le relais et va se présenter la première sur le marché des surgénérateurs. Nous avons perdu un leadership et perdu beaucoup d’argent en recyclant le plutonium dans les combustibles Mox par rapport à la consommation du plutonium dans les surgénérateurs. Il serait temps que la France se remette au travail sur cette 4ème génération pour être prête en 2035. Il faudra que les écologistes anti-nucléaires reviennent à la raison sinon la France perdra toute indépendance énergétique et le prix du kWh flambera toujours plus. Ils nous auront fait perdre 40 ans d’évolution technologique.



  • Ouvert 17 octobre 2021 14:51

    Les mini-réacteurs nucléaires changent la vision énergétique mondiale

    Le très bon article de Stratediplo publié dans Agoravox et Le Saker francophone sur ce sujet révèle un changement profond dans la politique énergétique mondiale. La réalité énergétique va prendre le pas sur l’idéologie énergétique des énergies renouvelables subventionnées. Pour l’essentiel c’est du vent au plein sens du terme. Depuis que le pétrole a remplacé les moulins à vent cette résurgence d’une technique utile en son temps n’a plus d’avenir devant les possibilités d’une utilisation d’une puissance énergétique infiniment supérieure obtenue en brisant les atomes d’uranium avant d’être en mesure d’utiliser industriellement la fusion des isotopes de l’hydrogène énergétiquement encore 100 fois supérieure à la fusion. En attendant à part l’utilisation dans la quille des bateaux et dans des projectiles perforants pour les armes, l’uranium n’a pas d’utilisation importante autre que la production de chaleur et d’électricité. De plus il est abondant sur terre et beaucoup mieux réparti sur le globe que le pétrole. On a même arrêté sa prospection et les réserves ultimes ne sont pas connues. De plus la France sait réutiliser une partie du combustible « brûlé » dans les réacteurs actuels sous la forme du plutonium. La France avait même 20 ans d’avance avec le réacteur au plutonium Superphénix arrêté pour des raisons politiques vu la pression écologique. Enfin le thorium lui-même fissile est le métal le plus répandu sur terre et est très peu utilisé dans l’industrie.

    Mais revenons aux mini-réacteurs dont la politique énergétique mondiale s’empare et pour lesquels Macron semble vouloir faire un argument politique. S’il s’agit de placer la France dans la course économique, c’est une orientation louable. Comme le montre l’article publié dans Le Saker francophone le volume réduit et le conditionnement extérieur pour les plus petits à de nombreuses utilisations possibles. Le marché mondial va être important dans beaucoup de pays. La France qui est toujours le pays le plus nucléarisé du monde par habitant pour la production électrique a perdu par sa faute la place commerciale de seconde puissance nucléaire derrière les Etats-Unis. Nos déboires sur la construction de l’EPR à Flamanville, alors que la Chine vient de mettre en production ses deux EPR de technique française, sont l’illustration de la perte de savoir-faire de notre ingénierie dans ce domaine faute de commandes pendant un temps trop long. Avec les mini-réacteurs nous avons une bonne occasion de refaire surface. Mais si la politique nucléaire est basée désormais sur la construction et la mise en œuvre de mini-réacteurs pour faire face à un déséquilibre énergétique entre la production et la consommation électrique française, c’est une autre affaire. L’avantage des réacteurs nucléaires sur le prix de l’électricité produite augmente avec la taille de ceux-ci d’où l’augmentation de la puissance installée entre les 2 réacteurs de 900 MW chacun à Fessenheim et l’EPR de 1600MW à Flamanville.

    Il y aurait dans ce choix alors une attitude essentiellement politique destinée à moins effrayer le mouvement écologique anti-nucléaire en lui faisant miroiter une régulation nucléaire de la production d’électricité intermittente et aléatoire des fermes d’éoliennes au plus près des sites de production. Plus la ficelle est grosse plus cela marche dans l’opinion. Mais cette politique du en même temps fait fi du coût plus élevé de l’électricité produite par ces mini réacteurs et par une énergie éolienne subventionnée et néanmoins plus coûteuse. Macron prépare l’opinion à l’acceptation de la poursuite de l’augmentation du parc éolien en lui cachant que le coût de l’électricité va continuer inexorablement à monter par ce choix politique du « en même temps ». Seule la construction de nouveaux réacteurs de plus en plus puissants à la place de l’accroissement continue de l’énergie éolienne peut contenir l’augmentation du prix au consommateur de l’électricité ou (et) celle des subventions à l’éolien dans des marchés avec l’industrie privée voire étrangère. Les Chinois l’ont bien compris. Ils vendent des éoliennes, en implantent chez eux pour faire vitrine, construisent en hâte des centrales à charbon, et prévoient la construction d’une vingtaine de réacteurs nucléaires dans les 10 prochaines années. Par-dessus le marché ils ridiculisent nos efforts pour diminuer nos émissions carbonées alors qu’ils émettent plus de 30 fois plus que nous, et qu’ils ne sont en réalité pas enclins à les diminuer mais plutôt à leur faire suivre leur croissance économique en plein essor. Arrêtons la politique de gribouille en fermant Fessenheim pour des raisons politiques et en pratiquant une politique énergétique incohérente. L’indépendance énergétique a un prix mais pas n’importe lequel. L’écologie a de beaux jours devant elle mais pas celle de perte de bon sens. Les meilleures idées peuvent être dévoyées si elles se nourrissent d’objectifs politiques de captation de voix ou d’idéologismes.



  • Ouvert 18 janvier 2021 18:59

    Cette information ne m’étonne pas. A la lecture de la publication de Pfizer dans le New England Journal of Medecine

    j’avais émis un avis de statisticien sur la composition des données explorées dans l’étude. La concordance exacte sur le nombre de représentants dans chaque paramètre retenu pour d’une part le groupe vacciné et d’autre par le groupe placébo supposait qu’une étude sur 42 000 patients demandait de piocher dans une énorme base de données de plusieurs centaines de milliers de patients. Pour moi cette étude est aussi bidon que celle publiée dans le Lancet pour dézinguer l’hydrochloroquine. Je l’ai consigné dans un blog le 12 janvier sous le nom « Fin du principe de prévention au nom de l’urgence » https://libererlafrance.blogspot.com/2021/01/fin-du-principe-de-prevention-au-nom-de.html



  • Ouvert 14 décembre 2020 17:46

    Le premier constat est que la France est au bord d’une descente rapide sur tous les plans, économique (PIB, commerce extérieur, endettement), éducatif, sanitaire, sociologique, sécuritaire, et d’une guerre civile dans un combat de deux civilisations sur notre sol. Le fait qu’un nombre important de musulmans sont soit assimilés, soit intégrés, ne change rien au fait que la Loi islamique est incompatible avec la Loi républicaine. Les 3/4 des jeunes musulmans sont prêts à faire valoir leur droit à vivre dans une autre civilisation. Par suite de l’immigration à 60% musulmane, et d’une fécondité supérieure le poids de leurs aspirations ne fera que grandir. Dans ce contexte la politique française n’est pas dissociée de la géopolitique dans un monde multipolaire ouvert à la mondialisation. Mais sa souveraineté, celle de sa capacité à décider seule de son avenir, est lourdement entravée. L’UE, la Cour de Justice européenne, la BCE, la prééminence de l’Allemagne dans les choix européens qui boycottent les postes les plus importants dans les commissions européennes dont la présidence, sont un premier barrage auquel va définitivement se soustraire le Royaume-Uni. Mais l’appartenance à l’UE est devenue indissociable de celle l’OTAN dont le commandement militaire est dévolu aux Etats-Unis et nous force à participer à toutes les opérations guerrières de ce pays sous le prétexte de défense de la démocratie, de prolifération nucléaire, et autres prétextes aussi flous. Nous n’avons donc la maîtrise ni de notre monnaie, ni de notre budget, ni de l’immigration, ni de l’intervention de l’Etat sur les sociétés à capitaux publics ou stratégiques, ni même de nos lois qui peuvent à tout moment être invalidées par l’UE ou la Commission de Justice européenne, et nos finances publiques sont devenues désormais à la merci de la BCE qui alimente notre survie avec son plan de relance dans la crise sanitaire. Seul un nouveau CNR réunissant tous les partis peut changer les choses. Il pourrait naître d’un référendum mais la pression médiatique actuelle risque fort de n’aboutir qu’a un vote renforçant pour longtemps la situation actuelle. La réunion de toutes les forces souverainistes est un passage obligé et le choix d’un meneur une nécessité.



  • Ouvert 16 juin 2020 12:28

    Tout n’est pas faux mais l’article démarre mal avec la stigmatisation des Etats-Unis, du Brésil en servant des valeurs absolues du nombre de décès, nombres qui ne veulent rien dire en soi vu les importances très variables des populations concernées. Au palmarès des décès par million, on trouve dans l’ordre le 12 juin 1. Belgique (845) 2. Royaume-Uni (624) 3. Espagne (580) 4. Italie (566) — 5. Suède (477) 6. France (439) 7. Etats-Unis (357) 8. Pays-Bas (351). 9 Suisse (228) 10. Brésil (200) Portugal (146). La Suède a interdit l’usage de la choloroquine, le Portugal l’a officialisé. Cette propagande de l’écologisme devient une dictature de la pensée qui n’admet aucune contestation en dévoyant trop souvent les données statistiques et scientifiques.



  • Ouvert 13 mai 2020 10:23

    Devant cette information introduite au moment où un parti devient gênant pour le pouvoir par son nombre de sympathisants et sa présence sur les réseaux sociaux, on est conduit à penser que l’UPR subit des attaques sur son chef de file. L’argument d’harcèlement, finalement semblant faire l’essentiel de l’opération de destruction du parti en déshonorant son Président, me ramène à plusieurs autres histoires du monde politique. C’est une tactique malheuresement fréquente et payante. Je pense en particulier à Philippe De Villiers que l’on a discrédité avec un problème de harcèlement entre ses deux fils en instrumentalisant l’un contre l’autre. Cela s’est terminé par un non-lieu mais le Père, attaché aux valeurs familiales dans ses convictions politiques, s’est trouvé discrédité et harcelé. Le but était atteint pour les allumeurs d’un conflit interne familial probable mais banal en soi. Le pouvoir veut désormais en finir avec L’UPR parce qu’il a devant lui des conditons beaucoup plus favorables pour se faire entendre. C’est par l’intérieur que l’on peut le plus facilement détruire un parti. L’auteur de l’article a déjà commis un non-sens apparent de politique en adhérant à un parti malgré de graves dissensions avec son leader. Il préméditait donc son coup en attendant le bon moment. C’est sans doute le cas d’un certain nombre de signataires de l’invitation à démissionner adressée à Asselineau, auxquels se sont joints des cadres voulant simplement tirer cette affaire au clair. Ces derniers sont sans doute victimes d’une opération à grosse ficelle. Ce n’était vraiment pas le moment de prendre le risque de voir les grands médias informés de cette scission. On doit laver son linge sale dans la plus grande discretion. La machine est en fait lancée de l’extérieur. Quel que soient les reproches faits à son Président, cette opération de destruction ressemble à beaucoup d’autres comme celle de Strauss-Kahn et de Fillon dont on a en plus essayé de jouer sur des soi-disant tendances homosexuelles d’un homme affichant ostensiblement sa religion et ses valeurs familiales. Tout cela sent la politique des poubelles.



  • Ouvert 25 avril 2020 18:38

    C’est la démonstration de la main-mise des Etats-Unis sur l’UE, et son lien particulier avec l’Allemagne grâce à l’OTAN. Il est temps de se rendre compte que la souveraineté évoquée par Macron est un leurre et que l’UE et l’OTAN sont des carcans qui ne nous amènent que la soumission à des puissances étrangères.



  • Ouvert 25 avril 2020 18:24

    Malheureusement le confinement est une catastrophe économique dont on n’a pas fini de compter les centaines de milliards de perte de la richesse de notre pays puisque la date du déconfinement est encore sous condition. La démonstration la plus parlante est la comparaison avec la Suède pour qui la vie économique, culturelle, sportive, etc. et les libertés individuelles n’ont que très peu changé et où le nombre de décès/million d’habitants est au 24 avril de 212 alors qu’il est de 332 en France ! Les Suédois ont privilégié, la liberté et la responsabilité individuelle, en acceptant de subir les dégâts du virus sur leur santé après l’avoir détecté le virus et traité au plus tôt et isolé les symptomatiques. La France de demain a été sacrifiée par une intervention prise 11 jours plus tard que l’Allemagne à la date du même nombre de 1 décès/million d’habitants. C’est ce qui explique la réussite allemande avec seulement 69 décès/million. L’Allemagne a choisi le confinement moins strict que nous pour sauver des vies. Il a réussi mais il le paye par une perte économique énorme. Nous on a la double peine, pas de sauvetage de vies humaines, et catastrophe économique grandissant de jour en jour avec la pousuite du confinement. Mon blog : libererlafrance.blogspot.com et l’article du 23/04/20



  • Ouvert 8 août 2019 17:39

    L’auteur de cet article se fout royalement du vote des britanniques en juin 2016 et des récents résultats des législatives qui ont confirmé nettement avec, le score de Nige Farage et les pertes des conservateurs et des travaillistes, que le respect de la démographie était plus fort dans ce pays que chez nous.



  • Ouvert 8 mai 2019 14:58

    Cette doxa du catastrophisme a évidemment quelque chose de suspect. Pour régner il faut faire peur et ceci remonte aux origines de l’homme. Alors qui a intérêt à faire peur selon la recherche du « A qui profite le crime ? ». Des grands lobbies se taillent des profits avec les éoliennes et les panneaux solaires. La Chine compte en inonder l’Afrique. La glace devait disparaître de l’Arctique en 2003. Elle est toujours là. La température du globe se refuse à suivre les prédictions des modèles mathématiques retenus par le GIEC avec seulement +1°C en mars 2019 par rapport à 1880 ou 1978. Alors on nous branche sur un autre catastrophisme pour nous plonger dans la crainte et une appétence à suivre les lignes de vie imposées. En 1958 lorsque j’ai commencé à travailler, on parlait de la fin du siècle pour la fin pétrole et 2050 pour celle du charbon...



  • Ouvert 22 mars 2019 23:37

    On peut discuter sans fin à partir de sentiments acquis ou inculqués sur les dangers qui menacent l’humanité et fustiger le nucléaire pour mieux glorifier une lutte contre le réchauffement climatique. Mais une saine discussion doit s’appuyer des faits relatés en toute impartialité et des chiffres non truqués. Je crois que l’auteur de cet article est sincère mais je n’en suis que plus navré car dans ces deux domaines l’enfumage des esprits est roi. Les informations sont gobées avec gourmandise et les manipulateurs se régalent au sens propre (l’argent) et au figuré le pouvoir. Il est facile de détruire mais plus difficile de faire appel à la raison pour construire un argumentaire. Je ne m’y risquerai donc pas ici, mais je peux donner quelques vérités chiffrées qui donnent à réfléchir.

    Si l’on prend pour référence l’année de 1880, les augmentations de température sont les suivantes : 1978 +0,13°C 1998 +0,76°C 2013 : +0,69°C février 2019 : +0,78°C Franchement vous en déduisez quoi ? Un réchauffement sur 20 ans entre 1978 et 1998, puis plus rien ou si peu... Vérifiez sur le site des mesures satellitaires de la NOAA de la température globale de la planète. Urgence ? Qui arnaque qui ? Pourquoi la température s’est-elle stabilisée pendant 20 ans alors que le taux de carbone ne cessait de monter ? Répondez d’abord à cette question pour vérifier le lien entre le CO2 et la température.

    Sur le nucléaire, les chiffres les plus fantiasistes sont plubliés dans le but de faire peur. J’ai 82 ans sans cancer, et mes 4 enfants non plus, après avoir passé 38 ans au contact de la radioactivité. Le personnel que j’ai pu cotoyer avait un taux d’absence maladie très inférieur à celui de l’industrie métallurgique. Je n’ai aucune action dans une société liée de près ou de loin avec l’industrie nucléaire, mais je peux affirmer que le degré de sécurité dans ce domaine est de loin beaucoup plus élevé que dans la plupart des industries chimiques. Avec 48 réacteurs en service la France est le pays du monde le plus nucléarisé du monde par habitant, sans aucun accident de niveau 3 dans l’échelle internationale des accidents nucléaires, le reste est classé comme incident, sans impact notable sur l’homme ou l’environnement et cela depuis 50 ans.

    Il ne faut pas mélanger l’utilisation militaire et civile du nucléaire. Le nucléaire miliaire s’est révélé un important facteur de paix entre l’URSS et les Etats-Unis. Il est faux de dire que le nucléaire est en décroissance. Justement la Chine en est un très bon exemple avec la mise en service du 1er EPR, tupe Flamanville, en décembre dernier et un deuxième va le faire cette année. Ceci s’est fait en partenariat avec la France dans un très beau contrat. 23 réacteurs sont en construction ou en projet en Chine qui dépassera ainsi la moitié de la production nucléaire française.



  • Ouvert 6 mars 2019 10:22

    Oui il faut supprimer le Sénat ! Pourquoi ? Parce que c’est actuellement le dernier rempart où la démocratie parlementaire peut encore s’opposer à une Assemblée de godillots. Le Sénat ajoute une voix discordante qui ralentit le rouleau compresseur de l’exécutif. Il se permet même de mener une enquête parlementaire dont les conclusions jettent aux yeux du monde, une image négative sur l’action gouvernementale.

    Macron ne manquera pas une si belle occasion d’en tirer cette conclusion du grand débat national qui permet de ne pas répondre aux renvendications des gilets jaunes et de les noyer dans un flot de mesures passées au crible des volontés exclusives du pouvoir.

    Il est temps de donner les pleins pouvoirs à Macron, comme à Pétain dans une France autant dans le pétrin.

    Pauvre France bercée par des illusions d’une démocratie qui n’existe déjà plus. Macron se prend pour De Gaulle, mais il est bien trop petit pour cela.



  • Ouvert 6 mars 2019 10:04

    Cela rapporte combien pour cet article de propagande qui me fait souvenir des plus belles heures de la France collabo. Macron devra choisir, gouverner la France ou gouverner l’Europe. Il me semble qu’il a déjà choisi la seconde alternative.

    La France n’a rien retiré de sa présence dans l’UE sinon celui de donner des centaines de milliards nets au budget européen et une cascade de normes qui pésent sur toute l’industrie et l’artisanat français dont la très grande majorité n’exporte pas.

    La France n’a jamais été sur autant de lieux de guerre, et la plupart du temps quasiment seul pays européen. Pendant que l’Allemagne se désendette, la France franchit le cap du 100% du PIB. Notre commerce extérieur est dans le rouge et de plus en plus. Le taux de chômage nous place parmi les plus élevés avec la Grèce, l’Espagne et l’Italie, pays vers lesquels la France est en train de se diriger.

    Macron ferait mieux de s’occuper de la Francer qui souffre et qui manifeste chaque samedi, et de répondre aux revendications claires sur la démocratie, le pouvoir d’achat, et de réduire l’inégalité grandissante des revenus. Mais le RIC est un épouvantail auquel il ne répond pas, la hausse du Smic l’est aussi et l’oligarchie lui en tiendrait rigueur. Quant à cesser de favoriser la spéculation du 0,1% des plus riches, c’est impensable si l’on veut avoir toujours le soutien des grandes fortunes de ce monde et pouvoir financer une campagne européenne avec un déchainement médiatique qui n’est que la réplique de sa campagne présidentielle... l’étage au-dessus.



  • Ouvert 6 décembre 2018 17:54

    Le seul problème et non des moindres c’est que la dissolution de l’Assemblée doit être prononcée par Macron. De plus il y a de grandes chances que celle-ci soit à droite car la gauche n’est plus en mesure de peser suffisamment. L’Assemblée de droite ou de gauche d’ailleurs devra répondre aux injonctions de Bruxelles sous peine de sanctions. Par ailleurs on entrerait dans une période de cohabitation qui ne nous changerait pas du « En m^me temps ». Enfin l’homme visé par les gilets jaunes est Macron et non pas le chef du gouvernement. C’est Macron qu’il faut viser par l’arme à disposition des Parlemantaires : la destitution. Si ceux-ci s’y refusent c’est qu’ils protègent Macron et le Système dont ils se nourrissent sur notre argent. Au Macron démission, le processur démocratique de l’article 68 répond par Macron destitution.



  • Ouvert 2 novembre 2018 20:15

    Bravo pour cet excellent réquisitoire. Trop c’est trop dans ce vent de catastrophisme qui abêtit le peuple incapable de vérifier les informations et pleurent sur les ours blancs qui se portent fort bien d’ailleurs. Si tout cela avait des fondements scientifiques sérieux et incontestables on commencerait par publier les relevés des températures depuis 1880. On constaterait que le lien avec le carbone n’est absolument pas prouvé. La période d’après guerre de 1947 à 1977, période à forte carbonisation, a connu une stabilisation des températures. La période suivante de 1978 à 1998 a connu une augmentation rapide de la température globale de 0,9°C. Mais de 1998 à 2013 la température s’est stabilisée pendant 15 ans malgré l’augmentation du carbone. De 2014 à 2016 on a assisté à une montée brusque due au courant marin El nino. Avec la disparition de son action les températures redescendent en 2017 et 2018. Cela montre que n’importe est capable de le comprendre par de simples graphiques et peut servir à informer la population.

    Evidemment cela ouvrirait les yeux, ferait comprendre que le temps de la climatologie n’est pas celui de la météorologie et surtout que la climatologie est une science jeune où

    l’on est bien loin de tout comprendre. La raison devrait nous dire « Wait and see » et d’arrêter d’affoler les populations en dépensant en plus des centaines de milliards alors que l’on est incapable de prédire l’avenir avec une certitude suffisante. Les modèles mathématiques prévisionnels ont montré qu’ils n’étaient pas validés par confrontation de leurs prévisions avec les mesures ultérieures. Alors STOP, les climato-sceptiques de haut niveau scientifique sont très nombreux mais leur voix sont simplement étouffées médiatiquement.



  • Ouvert 12 juillet 2018 20:03
    Excellent article où tout sur ce que la désinformation nous cache. L’analyse est lucide et ne pose qu’une seule question. Peut-on vraiment croire à une défense euroépenne indépendante avec des pays dont la politique étrangère est très peu cohérente ? Une vraie défense des intérêts de notre pays peut-elle alors être européenne ? Peut-on alors croire encore à l’UE ?




  • Ouvert 16 juin 2018 09:34

    Excellente analyse aboutissant à une conclusion logique. Les critiques sur le fonctionnement de l’UE fusent dans tous les partis d’opposition mais rares sont ceux qui en tirent les conclusions. Je ne suis pas communiste mis je salue cette prise nette de position.