Il faut arrêter d’être excessif. Ca ne sert à rien et cela n’aide pas à comprendre.
En 2008, Tsvangirai a gagné les législatives et est donc devenu premier ministre.
Et si Mugabe a manipulé les listes électorales, c’est bien parce qu’il sait qu’il ne peut pas manipuler les conditions de votes étant donné les observateurs le l’Union Africaine et de la SADC.
On va bien voir : l’estimation du nombre de personnes dont le nom ne figurait pas sur les listes est estimé à 1 million par l’opposition (dont on peut penser qu’elle n’a pas tendance à minimiser ce nombre.
Il y a eu 6,4 millions de votants (sur une population de plus de 12 millions d’habitants).
Si, en ajoutant 1 million de voix à l’opposition, celle-ci ne gagne pas, c’est que la manip électorale (répréhensible) ne servait à rien et est juste une action grave et négative à mettre sur le compte de Mugabe.
Mais l’opposition n’aurait pas grand chose à regretter. Sauf que désormais, sa ligne de défense contre Mugabe risque d’être de le mettre au ban des pays développés et de risquer ainsi que le redressement du pays soit mis à mal ...
Bien plus compliqué que la simple obéissance aveugle à la propagande britannique que nous avons subi pendant 12 ans !
Mugabe en veut effectivement beaucoup à Tony Blair. Mais la Grande Bretagne avait signé les accords de Lancaster House (Margareth Thatcher par le biais de son représentant Lord Soames) en 1979 dans lesquels il était bien stipulé que le transfert des terres des fermiers blancs aux fermiers noirs devait se faire entre 1980 et 2000 et que le dédommagement des fermiers blancs, sur la valeur de la « mise en valeur des terres » (et non pas des terres elles même volées aux noirs), devait être pris en charge par la GB. C’était une des conditions à une indépendance pacifique (avril 80).
En arrivant au pouvoir dans les années 90, Tony Blair a arrêté le financement (dont 20% avait déjà été réalisé avec des terres effectivement transférées) et disant qu’il n’était pas tenu par les promesses de ses prédécesseurs. A l’époque, le budget représentait 2 jours de cette guerre en Irak que Tony Blair avait justifié en fabriquant de fausses preuves avec ses amis américains.
Il n’est pourtant pas certain que cette loi d’indigénisation (obligation que toute entreprise au ZImbabwe appartiennent à 51% à des zimbabwéiens) soit dirigée contre les blancs. Car en fait, il faut bien constater que cela impacte surtout des investisseurs de pays voisins (dont l’Afrique du Sud, avec par exemple Zimplats pour le platine), mais aussi et surtout les chinois qui étaient quasiment les seuls investisseurs au Zimbabwe compte tenu de l’embargo économique mondial contre le Zimbabwe (sauf la Chine) que le lobbying anglais lancé par Tony Blair et poursuivi par les membres de son parti a négocié avec tous ses partenaires économiques, à commencer par l’Europe et les USA.
Aujourd’hui, les choses sont en cours de redressement (en pratique fin de l’embargo européen), aussi bien dans le secteur agricole que dans le secteur minier, et les prémices sont là pour le reste (secteur industriel, touristique, ...). Mais tout n’est pas encore en place, et ce n’est pas l’oeuvre du Zanu-PF (le parti de Mugabe) mais de tous les Zimbabwéiens, y compris le MDC (le partie de Tsvangirai).
Je trouve vraiment dommage cette manipulation des listes électorales, cela ne peut que freiner le redressement du Zimbabwe.
Cela faisait longtemps que je n’étais pas venu sur Agoravox, cela ne vole toujours pas très haut.
Au fait Le Chat, je vous signale que depuis avril, il n’y a plus de monnaie zimbabwéienne : elle a été abandonnée, et désormais la plupart des transactions se font en US dolars, et parfois en rands sud africains.
@ Frédéric Lyon
C’est bien le sens de tout l’article : il n’y a pas de preuve scientifique, tout au plus des indices pouvant orienter une profession de foi personnelle.
Est-tu le Frédéric Lyon qui a une activité photographique et qui est parti en Malaisie il y a quelques années invité par le tourisme de Malaisie ? (écris-moi en privé : je suis celui qui l’avait organisé)
Personnellement, à part pour tenter de créer une polémique qui n’a pas à être, je ne vois aucun intérêt dans cette photo.
Il y a des sportifs qui remercient leur Dieu à la fin de la course et d’autres qui le supplient avant la course. Et on n’a pas plus d’insistance des medias sur ceux qui font le signe de croix avant de prendre le départ que ceux qui font une prière de remerciement quand ils ont gagné presque par miracle.
Les éléments qui influent sur le résultat (par des sélections et des réglements) sont la nationalité, le sexe et la discipline sportive. Je ne vois là dedans aucun critère de religion ni d’opinion, et il n’y a donc aucune raison pour en rajouter.
Le système actuel (IPV4) ne donne la possibilité que de 4 milliards (environ) d’adresses. Il n’a jamais permis de faire 1000 milliards.
Le mécanisme du NAT (auquel internaute fait allusion) ne permet pas totalement l’adressage nécessaire, car il faut que toutes les sous-adresses appartiennent à la même adresse IPV4. On résoud éventuellement le problème de tous les ordinateurs d’une maison (à la rigueur d’un immeuble), mais on ne résoud pas celui de deux sites lointains qui sont obligés d’avoir deux IPV4 différentes.
Les 14% sont une vue de l’esprit. En fait l’ICANN distribue par classes, c’est à dire groupes d’IP. Toutes les IP ne sont pas encore utilisées, mais toutes sont distribuées. C’est à dire que l’ICANN ne peut plus en donner aux chinois, sauf si un de ceux à qui une classe a été distribuée accepte de rendre une sous-classe de ce qu’il a reçu. C’est ce qui arrive couramment aujourd’hui, en particulier avec les associations et entreprises qui avaient reçu des classes A au tout début.
L’IPV6 utilise 64 bits pour l’adressage d’un point. Les 64 autres bits sont réservés pour ce point afin de les redistribuer en local. On fit que les adresses IPV6 sont affectées en /64
Actuellement, je suis personnellement totalement en IPV6, et tous les ordinateurs personnels (windows, PC, Linux) sortent actuellement compatibles IPV6.
L’effort n’est donc plus si grand que cela, car les routeurs ont largement été modifiés. même s’ils tournent pour la plupart en mode compatible (mix IPV6 et IPV4, ils sont capables de faire de l’IPV6).
En fait, la difficulté de l’IPV6 n’est absolument pas dans son implantation chez l’utilisateur (c’est pour ça que c’est fait), car la difficulté principale n’est pas celle de l’adressage, mais celle du routage..
La carence des adresses IPV4 est un problème d’adressage : avec la connexion permanente, un ordinateur occupe constamment une IP. et donc il faut partir sur le raisonnement de un ordinateur = une adresse IP
Le routage est une autre problématique qui est celle de savoir où envoyer un paquet quand il a une adresse IP, que ce soit une IPV4 et une IPV6.
C’est assez curieux, mais en fait, rien n’empêche une adresse IPV6 de recevoir toutes ses informations qui ont transisté sur le réseau par des adresses IPV4. Par contre, ce qui est très embêtant, c’est que, progressivement, la taille des tables de routage devient énorme, ce qui va poser très rapidement des problèmes de performances. Le routage va donc probablement utiliser un double mécanisme pour tenir compte des appareils mobiles (où la table doit être chargée en entier dès le départ) et des appareils fixes où l’on va pouvoir faire un routage hiérarchique plus efficace (/32 puis /48, et enfin /64)
@olivier blond
Je suppose que c’est une suite à la discussion en cours ?
Si c’est le cas, votre réponse n’a rien à voir : moi je parle du bidonnage de la courbe de Callendar sur les mesures de CO2 dans les carottages de glace.
Cela n’a rien à voir avec ni la théorie de l’influence de des activités humaines sur la production de CO2, ni sur l’influence du CO2 sur le réchauffement climatique, ni d’autres théories dans les articles dont vous fournissez les liens.
Je dis et je répète que la sélection d’une série de points arrangeants dans un nuage de mesures est un fausse scientifique grave. Et cela ne signifie pas que la théorie soit fausse, mais simplement que la démonstration est fausse.
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si votre dernière intervention n’a PAS pour sujet le fait que vous n’êtes pas d’accord avec le mot "bidonné", il aurait mieux valu ne pas mettre votre dernière intervention dans ce fil de la discussion, les articles que vous indiquer amenant d’autres points de vue sur un sujet pus englobant que lmon article.
@Léon
Le problème de la définition du réchauffement, c’est de savoir réchauffement de quoi par rapport à quoi.
Si on prend les dernières années, il y a réchauffement. Si on remonte plus loin (millénaires), il y a refroidissement.
Et encore, la température actuelle st celle qu’on estime être à peu près celle qu’on avait autour du 12e siècle.
@jullien
Il faut toujours faire attention aux chiffres, car ils sont parfois piègeurs ...
Pour la remarque de "bon sens", oui, nous rejettons du CO2 de par nos activités. C’est indéniable. mais votre raisonnement ne tien pas compte que du CO2 est piégé. Et cela on en est certain, puisque l’augmentation de CO2 mesuré dans l’atmosphère n’est pas du tout proportionnel à l’augmentation du rejet de CO2, quelques soient les mesures (dont certaines contestées) que l’on prend.
De plus, il y a d’autres sources d’émissions de CO2, et même de méthane du fait du réchauffement (permafrost) qui ne sont pas compatibilisés encore.
Bref, de combien le CO2 anthropique est-il responsable parmi tous les CO2 ?
Et de combien le CO2 est-il responsable parmi tous les GES
Pour ce qui est de l’argument de l’eau, vous avez oublié de dire que le taux de production de vapeur d’eau est estimé à 12 millions de tonnes par seconde. Il est donc vrai que le temps de séjour est faible, mais le taux de renouvellement est gigantesque. En comparaison, le taux de production de CO2 anthropique est d’environ de 1600 tonnes par seconde.
La vapeur d’eau est en faible quantité, mais son effet de serre (le pRG) est 8 fois plus important pour l’eau que pour le CO2. C’est à dire qu’une augmentation de 1% de l’eau en troposhère est de l’ordre d’une augmentation de 20% du CO2 (du fait que 70% de l’effet de serre est dû à l’eau et environ 25% au CO2)
Mais le plus important, c’est que vous dites que le taux de la vapeur d’eau est stable, ce qui semble inexact d’après les mesures des ballons sondes de Boulder en tropopause et troposhère (comment se fait-il qu’il n’y ait d’ailleurs pas plus d’études sur le sujet) ?
Enfin, vous dites que l’activité humaine na pas dinfluence sur le taux de l’eau, ce qui semble être contredit par les études scientifiques actuelles, en particulier avec l’eau vapeur rejettée par les avions en haute atmosphère (la tropopause varie entre 8 et 1km et les vaions volent en gros autour de 10km). Le GIEC dit siplement qu’il ne tient pas comte de la vapeur d’eau produite par les avions (ce qui a un effet négatif du l’effet de serre) sauf pour les effets de trainées gazeuses (qui diminue l’effet de serre par albédo).
En passant, c’est un nouveau sujet de réflexion, l’activité humaine est particulièrment mise en cause par le GIEC, mais pas l’activité aérienne qui risque d’avoir un effet terrible (sans que ce ne soit prouvé actuellement, ni dans un sens ni dans l’autre), chose que l’on retrouve dans un des premiers effets de rapport du GIEC (le protocole de Kyoto) danslequel le CO2 des avions n’est pas pris en compte dans les quotas limitant les rejets de CO2 des pays ...
@carnac
Votre intervention liasse croire que les aides sont très positives (sauf l’aide pour la création d’entreprise aux salariés chômeurs qui est un autre mécanisme). Pour ma part, je ne le pense pas, tout au moins sous la forme actuelle.
1. Une grande partie des aides distribuées coûtent largement plus cher à l’état en vérifications et suivis que l’argent distribué. Dans de très nombreux cas, les aides feraient mieux d’être supprimées, ce qui permetrrait ) l’état de trouver directement de l’argent plutôt que de rechercher une nouvelle taxe à nous coller pour trouver de l’argent pour les budget nécessaires au pays.
2. Demander une aide pour une TPE est un travail très important très consommateur de temps. La plupart du temps, on se rend compte après coup que le temps consacré pour obtenir une aide aurait été plus efficace en temps commercial.
Un haut fonctionnaire de mes amis avait l’habitude dire : "Quand une entreprise me demande une aide financière, je lui demande si cette aide est vitale pour eux. Et en cas de réponse positive, je ne la leur accorde surtout pas". Je trouve ça horrible, mais en pratique, il s’avère qu’il avait raison dans la très grosse majorité des cas.
@l’auteur,
Je vous trouvais à peu près juste dans ce que vous écriviez, quoique qu’avec une vision un peu déformante en faveur des salariés.
Par contre, certaines de vos dernières interventions me paraissent totalement fausses et injustes.
Tout d’abord, laissez-moi vous faire une remarque qui n’est pas un reproche, mais qui me laisse penser que votre vision est déformée : vous dites dans un de vos commentaires que vous êtes dans un activité prudhommale. Je tiens à souligner que cela seul vous expose à une vision déformante, car votre activité fait que vous avez constamment à faire à des cas de désaccords, et donc en particulier aussi bien de salariés peu scrupuleux, que d’employeurs peu scrupuleux.
Et si vous êtes une bonne professionnelle (ce dont je ne doute pas à priori) vous avez bien du vous rendre compte que la défense de certains salariés est possible sur le plan technique pas pas tellement sur le plan moral, de la même façon que vous avez du voir des employeurs de PME plutôt réac et très peu humains nni moraux. En tout cas, moi j’en connais des deux catégories.
Je voudrais vous rappeller qu’ils y a beaucoup d’affaires de prudhommes, mais qu’il y a encore plus d’entreprises ou il n’y a aucune affaire !
Le principal reproche que j’ai à vous faire, c’est que vous confondez totalement le revenu du capital et le revenu du travail. Il est vrai que dans certains métiers (comme les professions libérales par exemple), il y a confusion entre les deux. Mais en général, (le cas des BIC), la distribution de bénéfice, c’est le revenu du capital. Et le salaire du dirigeant, c’est la rémunération de son travail.
Dans les grandes entreprises, il n’y a pas confusion entre les deux (ce qui conduit à des phénomènes différents), mais dans les PME, c’est souvent le même, et pour vraiment comparer les statuts de salariés et de dirigeant, il faut les comparer dans des environnements similaires. A savoir quand l’entreprise gagne de l’argent et paye bien son dirigeant et quand elle a du mal à s’en sortir et paye mal son dirigeant (le salarié, lui touche la même chose dans les deux cas.
Le dépôt de bilan est un autre cas : la salarié perd son emploi, mais il est socialement protégé pendant quelque temps, le dirigeant perd son emploi, n’est pas protégé socialement, perd tout le capital qu’il a mis et est soumis à surveillance voire à enquête pour vérifier qu’il n’a pas commis de faits responsables dans la gestion de l’entreprise.
Un des premiers postes qui est touché dans de très nombreuses PME est le salaire du dirigeant/actionnaire. Car, une entreprise qui ne va pas bien (parce que le client principal est l’Etat et qu’il ne paye même plus à 120 jours actuellement, parce que l’entreprise est sous-traitante et son client dépose le bilan, parce que les charges comme le carburant mettent le modèle économique dans le rouge, etc...) ne distribue pas de bénéfice et que le dirigeant réduit d’abord son salaire avant celui de n’importe qui d’autre parce qu’il ne va pas aller s’attaquer lui-même au prudhomme.
Il y a également un tas de choses dont vous ne parlez pas, comme par exemple, le fait qu’un créateur d’entreprise a souvent plus de 50% du capital de l’entreprise (ce qui sera le cas s’il prend un gros risque parce que personne ne veut l’aider) est souvent pour des raisons évidentes gérant de sa sarl, mais du coup, n’ait plus droit à la sécurité sociale, parce qu’un gérant majoritaire n’a pas le droit d’être salarié et bénéficier de la sécu, même en payant les cotisations correspondantes. La solidarité sociale est obligatoire pour tout le monde, mais un gérant majoritaire n’y a pas droit, même en payant la même chose (proportionnellement à son salaire) que les salariés de son entreprise.
C’est une conception très révélatrice de ce qu’on pense des employeurs (gérants majoritaires tout au moins), et je crois maheureusement déceler de telles pensées dans vos interventions.
En tout cas, si vous comparez les deux statuts, la seule vraie différence que je vois en terme de rémunération entre un dirigeant/actionnaire et un salarié non actionnaire, c’est que les effets positifs et négatifs chez le dirigeant/actionnaires sont très fortement amplifiés aussi bien dans le gain que dans la perte.
Et si un salarié veut bénéficier plus du gain, il doit le faire avec un risque plus grand en cas de perte. C’est d’ailleurs de qui se passe s’il devient lui-même actionnaire.
@Pierrot
Votre intervention démontre votre totale manque de rigueur scientifique. Et "La bétise et l’absence d’esprit scientifique et rationnel conduit à des monstruosités."
Si vous êtes vous-même un scientifique, je serais curieux de lire votre thèse de doctorat si elle est du même accabit que ce que vous écrivez.
En effet, l’objectif de l’article est de démontrer que l’affirmation du GIEC (depuis supprimée par le GIEC) comme quoi le réchauffement climatique est du essentiellement aux activités humaines est totalement fausse. Et c’est de cela qu’il s’agit. L’exemple de l’eau n’est là que pour montrer les biais introduits : il est tout de même plus qu’étonnant de négliger un facteur qui influe sur 70% d’un phénomène sans au moins vérifier par des mesures que ce facteur ne varie pas, indépendamment de la cause.
L’effet de forçage radiatif de l’eau n’est pas seulement dû à la vapeur d’eau dans les bases couches de l’atmosphère, mais dépasse la tropopause.
AUCUNE MESURE SYSTEMATIQUE de la variation de la quantité d’eau en haute atmosphère n’a été effectuée, alors que tous s’accordent pour dire que le forçage radiatif de l’eau est prépondérant. Ce qui est tout de même quelque chose d’étonnant.
Les seules mesures effectées ont été celles de la station de Boulder et démontrent une augmentation de la quantité de l’eau dans l’atmosphère. La rigueur scientifique incite à la prudence, car ces mesures ont été effectuées en un seul endroit du globe, ce qui ne gêne apparemment pas certains alors que les seules mesures prises en compte depuis 1960 sur le CO2 ne sont faites que sur le volcan Mauna Loa dans l’archipel de Hawaï, alors qu’on sait qu’un volcan en activité rejette régulièrement des gaz nombreux du du CO2.
Ma conclusion, c’est que votre manque de modestie de donneur de leçons n’est pas vraiment crédible, surtout que les arguments que je cite ne sont pas les miens mais ceux de chercheurs reconnus.
@Xime
Oui le contrôle des 5 finalistes de chaque épreuve des JO passent au contrôle anti-dopage. Et un athlète peut passer plusieurs fois dans une jouréne au contrôle.
Le résultat négatif doit être communiqué à l’athlète en maximum 24h et un résultat positif au maiximum en 48 heures après le prélèvement.
Je trouve d’ailleurs hallucinant que tous ceux qui se permettent de parler de façon aussi péremptoire sur le dopage des sportifs n’ont même pas pris la peine de lire la réglementation à ce sujet, alors qu’elle est publiée sur internet. Qu’on s’interroge à haute voix est compréhensible : cela fait partie d’une discussion. Qu’on donne un avis qui se veut définitif alors qu’on n’en connait pas le minimum est totalement impardonnable et n’est généralement le fait que d’esprits immatures.
Ce raisonnement est totalement faux.
Le réglement des JO précise que tout athlète qui s’inscrit aux jeux accepte d’être souis au contrôle anti-dopage y compris pendant ses entrainements dans son pays.
De plus pour le cas Bolt, il a participé à de nombreuses réunions sportives internationales qui ne se déroulent pas dans son pays et où il est soumis à des contrôles anti-dopage, car les Fédérations pratiquent ce genre d’opération de façon systématique.
C’est vrai, ce n’est pas parce qu’on ne détecte pas de produit dopant qu’un sportif n’est pas dopé.
Mais contrairement au reste de votre raisonnement, j’ajoute aussi que ce n’est pas parce qu’on ne trouve de produit dopant que cela veut dire que le sportif s’est dopé.
Parce que, avec des raisonnements comme le votre, on peut aller très loin dans l’injustice : par exemple, vous êtes accusé de pédophilie, et ce n’est pas parce qu’on ne trouve pas de preuve que vous n’êtes pas coupable. Cela donne des affaires comme Outreau
Et même dans la vie courante : ce n’est pas parce qu’on ne vous a pas vu piquer dans la caisse de votre entreprise que vous ne l’avez pas fait. Et si les comptes ne montrent pas qu’il y a un trou, c’est parce que c’est trop bien camouflé.
Etc... etc...
Bref, facile de rester derrière son clavier à dire "tous des dopés" . Mais cela relève d’une forme d’intolérance aussi vile que le racisme dont le mécanisme est celui d’un différent réel envers quelqu’un reporté sur de tous ceux qui ont une caractéristique commune.
Et c’est aussi con que de déclarer que tous ceux qui aiment le foie gras sont des salauds de fascites parce que Le Pen aime le foie gras.
Et cela amène à des décisions comme des taxes sur les ordinateurs et les CD et DVD vierges pour la création audo-visuelle parce que les ordinateurs et les CD et DVD servent pour le piratage. Et tant pis pour ceux qui n’en font pas. Et si comme cela a l’air de s’orienter, demain, n’importe quel flic pourra rentrer chez vous, vérifier s’il trouve une seule chanson, film ou logiciel dont vous ne pouvez pas exhiber la facture, il vous confisque alors votre ordinateur, vous interdit à vie les abonnements internet et vous colle une amende salée en plus.
Voilà où nous mènent des raisonnements qui relèvent de l’amalgame outrancier comme certains le font ici.
Il se trouve que les vainqueurs sont systématiquement contrôlées. En fait les 5 premiers sont toujorus contrôlés, et avant la finale, systématiquement tous ceux qui arrivent à un titre mondial, et éventuellement plusieurs fois, plus d’autres tirés au hasard
@olivier blond
Je ne suis pas subjectif du tout : les données sont effectivement bidonnées.
La méthode qui consite à choisir des points qui tracent une courbe dans un nuage qui ne dégage aucune tendance peut être qualifiée de beaucoup de choses, mais toutes sont équivalentes.
Avant de dire si je suis subjectif ou non, allez vérifier la méthode et vous verrez si je suis subjectif !
@Olivier Blond
"D’une façon générale, vous semblez affirmer que le rapport du GIEC donne à 100% sûr que le réchauffement climatique est dû à l’homme.
C’est un postulat faux, aucun scientifique sur Terre ne donne pour certain que ces résultats sont la vérité absolue."
Navré de vous contredire aussi fortement, mais vous avez tout faux.
Dans la version 1 (de 1997) le rapport du GIEC l’affirmait très clairement. On ne peut plus l’obtenir, mais c’était écrit et démontré par les courbes (fausses) de Mann et de Callendar.
Vous avez raison depuis 2007, car la version 3 est beaucoup plus prudente, comme les scientifiques avaient demandé de l’être en 1997, ce que les politiques n’avaient pas fait. Et comme le rapport passe d’abord par le consensus des scientifiques et ensuite par le consensus des politiques ...
Pour ce qui concerne le reste de votre commentaire, ce sont des éléments intéressants, mais non probants et au même niveau que beaucoup d’autres (non probants également) et qui peuvent ouvrir à une discussion beaucoup plus large que l’objet de l’article qui était simplement de dire que ce qu’on nous a asséné pendant 10 ans (et a influencé de façon importante certaines stratégies industrielles) était faux, ce que le GIEC qui en a été l’auteur a reconnu par la pratique (en ne le prétendant plus).
L’article ne va pas plus loin : en particulier il ne dit pas si l’activité humaine a ou non une influence sur le réchauffement climatique. Ma conviction est que oui, mais l’article qui reste basé sur les faits ne transmet pas cette conviction personnelle, parce qu’il n’a pas à le faire si ce n’est pas un article d’opinion.
@Gilbert
Au moins, votre commentaire a un sens et une construction. Je ne suis pas d’accord avec vous, mais au moins, je suis d’accord avec la présentation des arguments.
Il y a effectivement un biais important sur le fait que les mesures soient faites en milieu urbain. Cela dit, le milieu urbain de l’époque était totalement différent. mais je vous accorde sans resctriction que le lieu est mal choisi car il apporte une certaine incertitude.
D’un autre côté, vous affirmez que les mesures par carottage sont indiscutables, ce qui faux, car il y a un grand nombre de biais et surtout, une sélection totalement aberrante des points de mesure qui la classe dans le domaine du trucage pur et simple.
Les mesures par carottage posent deux problèmes importants : la migration et le fractionnement.
La migration, c’est le fait que les micro bulles migrent progessivement vers le haut selon une cinétique variable et selon une répartition non linéaire. Ce qui veut dire qu’à part pour les périodes courtes (une dizaine d’année), les bulles dans une carotte de glace d’un certain âge sont un mélange plus ou moins non homogène de bulles d’âge différents. En pratique, pour tenir compte de cela, selon la profondeur, on donne à l’âge des bulles une ancienneté correspondant à une profondeur supplémentaire de 60 à 200cm.
Le fractionnement, c’est le fait qu’il se produit des phénomènes physico-chimiques (certes avec une cinétique lente, mais on parle de carottages de glaces de centaines d’années) qui font que la composition des gaz de la bulle n’a plus rien à voir avec la composition d’origine. Si on se sert de ça pour mesurer le taux de CO2, on a de graves soucis d’exactitude.
Il y a un autre problème dans les chiffres avancés par le GIEC et qui sont en fait des résultats repris des travaux de Callendar et que je qualifie de truqués. En fait, Callendar avait avancé la théorie de l’influence de l’activité industrielle sur le CO2 atmosphérique (une idée qui me séduit personnellement tellement il tombe sous le sens) et il a donc pris les mesures de toutes les quantités de CO2 les a rassemblées sur un graphe et en a sélectionné quelques unes pour démontrer qu’il avait raison en laissant tomber les mesures qui ne l’arrangeaient pas. Quand il a présenté son papier à la Royal Meteorological Society en 1938, il s’est fait jeté.
Le Dr Zbigniew Jaworowki, spécialiste de la mesure de CO2, en particulier par carottage glaciaire a examiné les données de Callendar. Vous pouvez récupérer ce papier sous forme pdf à
http://www.pensee-unique.fr/001_IceCoreSprg97.pdf
C’est vraiment du pur trucage de données.
Conclusion : je suis d’accord avec vous sur le biais apporté par le fait des mesures en milieu urbain, même si l’activité n’était que très peu industrielle. Mais il est certain qu’une concentration humaine est susceptible d’augmenter le taux de CO2 mesuré. Cependant , il est à noter que s’il y avait un biais si important, il aurait du indiquer au minimum une montée continue du taux de CO2 et non pas une descente, sachant qu’il n’y a pas eu spécialement d’accident de désertification de la ville. Or, les courbes indiquent bien une baisse après un pic de quelques années.
D’un autre côté, la méthode par carottage présente des biais du fait du mélange des bulles qui aurait pour effet de lisser toutes les courbes. Alors que des carottages plus profond montrent une augmentation du CO2, ce qui met à mal la théorie sans apporter une plus grande validité au mode de mesure.
Quand à la preuve utilisée par le GIEC (la courbe de Callendar), elle vient de données truquées de mesures dont on vient de voir le faible intervalle de confiance.
En terme de résultat, au bout du compte, toutes ces considération ne disent pas que les mesures rapportées par Beck sont parfaites. Mais elles ne sont certainement pas moins bonnes que la courbe de Callendar. Pour ce qui est de la démonstration de l’article, à savoir que les preuves d’une augmentation du CO2 suivant la courbe du rejet de CO2 par les activités industrielles n’existent pas, l’examen de la manipulation frauduleuse de Callendar est suffisante en soi.
Merci de votre participation intelligente qui apporte des élements éclairants intéressants.
@ronchonaire
Votre commentaire, simple à priori, m’a fait penser à poupée russe. Chaque fos que j’allais partir sur une réponse, je trouvais une autre idée à l’intérieur de l’idée précédente ...
Je vais essayer de retouver mes petits.
L’activité humaine a effectivement d’autres effets que le réchauffement climatique (pour être plus exact dans la formumaltion i vaudrait mieux dire "influence d’autres effets").
Votre remarque nous rapproche très fort de la notion de développement durable, et donc non seulement des questions d’environnement et de ressources, mais aussi de l’économie, du social, des hommes et des civilisations. Le gros problème du millénaire à venir sera d’arriver à nourrir et abreuver tout le monde. Et il va falloir trouver des mesures intelligentes avec des taux de transformation de l’énergie solaire autrement meilleurs que ceux qu’ils sont avec les céréales, ou pire, avec la viande.
Dans votre remarque sur le fait qu’il nous faut minimiser notre impact sur la planéte est tout à fait juste, mais il pose plus de questions qu’il n’en apporte. Par exemple, pour diminuer le besoin en nourriture (avec un bilan global qui devient problématique), il y a deux types d’actions : augmenter la quantité de nourriture ou diminuer le nombre de gens qui mange. Si on prend le terme de diminuer le nombre de gens qui mangent, faut-il limiter à tous les foyers (comme ils ont tenté de le faire en Chine) à 1 seul enfant ? Et si cela ne suffit pas, comment va-t-on tirer au sort ceux qui auront le droit d’en avoir un ? Sans compter que dans certaines civilisations, n’avoir qu’un seul enfant est un véritable renonciation à a vie et contraire aux traditions et à la religion. Sans compter l’inégalité entre garçons et filles dans certains pays comme l’Inde où le problème risque d’arriver plus vite qu’on ne le pense.
Si on prend le terme d’augmenter les rendements de production alimentaire, comment faire sans passer par des OGM ou des pesticides et autres traitement chimiques ? Comment régulier l’usure des terrains avec des cultures de plantes énergétiques mais gournamndes e ressources du sol ou en eau ? Comment interdire à des pays comme le Brésil de détruire les forêts pour les transformer en champs ?
Avez-vous remarqué le nombre de points d’interrogation dans ce aragraphe ? et chaque fois qu’on touche à quelque chose dans un coin, cela a des répercussions dans tous les autres secteurs.
Revenons à la diminution de l’activité humaine pour diminuer l’influence sur le réchauffement climatique. Et en premier, les USA. J’ai choisi les USA parce qu’ils ont les capacités pour produire un peu plus de nourriture s’il le fallait. Mais la problématique, c’est que pour nourrir un américain, il faut 1500 litres de pétrole par an. Pas pour le transporter, ni le chauffer, ni lui permettre de regarder sa télé : uniquement pour le nourrir
http://www.organicconsumers.org/corp/fossil-fuels.cfm et demander aux USA de fournir cette nourriture en plus a un coût en réchauffement climatique supérieur à tout ce qu’on eut imaginer dans un pays en voie de développement, ceux qui auraient besoin d’une aide pour la nourriture ...
Avec ces exemples par le petit bout de la lorgnette, on peut facilement se rendre compte que la probélatique est très complexe, et que si on démarre en ayant les mauvaises informations (en particulier sur les influences de l’activité humaine sur le réchauffement), cela peut nous amener à des décisions qui seront dramtiquement fausses.
Mais vous avez raison, le réchauffement climatique n’est pas seul en cause, car aucun problème ne peut être traité indépendamment des autres. Mais cela ne rend pas les choses plus faciles.
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