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Les commentaires de vraitravailleur



  • vraitravailleur 18 mai 2008 21:35

    Qu’est-ce qu’un travailleur social ? C’est une personne, plus ou moins fonctionnaire, faisant de la présence pendant un nombre d’heures bien déterminé et chargée de quoi faire, au fait ?

    Je prends quelques aspects de leurs activités : aller voir les locataires alcooliques qui se shootent , afin de leur conseiller de payer leur loyer (sans aucun effet). Aller faire une enquête à domicile en vue d’éventuelles suites judiciaires parce qu’ un père ou une mère a donné une claque à son gamin, claque dont il avait parlé à un copain à l’école , Inventer une "grosse affaire" de pédophilie à Outreau etc.

    Bref, de parfaits nuisibles qui, en plus, parasitent nos impôts.

    Evidemment, dans les services territoriaux, il y a beaucoup de jolies assistantes sociales ou assimilées que l’on rencontre toujours avec agrément et qui font parfois le plaisir de certains hommes politiques qui les placent comme conseillères municipales ou régionales. Et là, elles sont vraiment "utiles" et elles ont moins besoin de "se battre".

    vraitravailleur



  • vraitravailleur 18 mai 2008 21:04

    L’auteur de l’article s’efforce de fournir une définition de chacun des aspects de la pensées qu’il évalue à cinq comme préliminaire à l’apprentissage de la philosophie. Ce souci de la définition est louable .

    Comme tous les scolaires de la philosophie, il cite évidemment Platon comme référence de la philosophie. Platon, imposé prioritairement à tous ceux qui voulaient faire des études depuis l’antiquité jusqu’à une date récente et qui nous a tant bassiné avec "le Bien", qu’il répugne à définir en peu de mots mais qui apparaît clairement dans "La République".

    Le "Bien" selon Platon, consiste en l’établissement d’un Etat prison figé et fermé avec les hilotes qui travaillent, les gardiens ("fylakes" ou "flics" ) qui les surveillent, et des philosophes qui font régner la philosophie, c’est-à-dire l’ordre établi. Un contrôle des changes strict est établi aux frontières et nul n’a le droit de quitter le territoire de cette république ou d’y revenir sans un ordre de mission pour espionner l’extérieur et sans rendre compte de son séjour à l’étranger aux gardiens.

    Il faut "rééduquer" les déviants, car "nul n’est méchant volontairement". 

    Dion n’a pas pu réaliser ce programme, Louis XIV et Mussolini s’y sont essayés et Hitler n’a pas eu le temps de le peaufiner mais Staline (dont l’oeuvre philosophique complète, en nombre de pages, atteint presque celle de tous les autres philosophes réunis) y est presque parvenu. C’est bien sûr Enver Hoxha qui a le mieux réussi, mais il était plus cultivé que les autres.

    L’enseignement de la philosophie n’est pas neutre, pas plus que celui de l’histoire. C’est en fait une forme de justification de la propagande d’Etat. Mieux vaut ne pas penser que de penser faussement. Ma question est la suivante : quels philosophes proposez- vous au programme : les habituels Platon, Marx, Nietsche ou bien Spinoza, Frédéric Bastyat, Karl Popper et Pascal... Salin ?



  • vraitravailleur 28 avril 2008 17:37

    En matière de droits, la cohérence s’impose : ou bien la loi supprime droits d’auteur, brevets mais aussi subventions, allocations ainsi que toute la réglementation de l’économie et du travail, et dans ce cas, le copiage et la vente sans contrôle des copies de film sont autorisés (au XVIIe siècle, il n’existait pas de droits d’auteur), ou bien alors, nous restons dans un système réglementé et le vendeur de copies illégales doit être envoyé devant les tribunaux.

    L’auteur des photos illustrant l’article peut même être poursuivi pour non-dénonciation de délit auprès de la police et Dany Boon peut poursuivre le ministère de l’Intérieur pour son manque de zèle à faire appliquer la loi.

    Quoi qu’il en soit, le conseil général du Nord a attribué six cent mille euro de subventions à la production du film, compensant ainsi par avance une partie du manque à gagner dû au peu de zèle de la police d’arrêter les revendeurs de copies volées.

    Donc, la morale est sauve.

    vraitravailleur

     



  • vraitravailleur 28 avril 2008 15:39

    Chacun prêche pour sa paroisse.

    Pourquoi enseigner la psychologie du travail plutôt que la sociologie ou l’écologie, les langues et les civilisations chinoises, arabes, turques ?

    Ou encore plutôt que l’histoire de l’art, la peinture, la musique, ou d’autres matières tout aussi utiles à un ingénieur.

    Comme les journées sont limitées, il ne restera plus de temps pour les sciences exactes et les futurs dirigeants et cadres d’entreprise pourront se préparer pleinement à leur futur rôle d’accompagnateurs sociaux pour candidats aux congés de maladie

    vraitravailleur



  • vraitravailleur 28 avril 2008 15:26

    Qu’est-ce qu’un coût prohibitif ?

    En France, l’essence à la pompe coûte presque deux dollars le litre ou sept dollars le gallon ?

    Combien coûte-t-elle au Canada ?

    Si c’est moins, est-ce prohibitif ?

    vraitravailleur

     



  • vraitravailleur 28 avril 2008 15:12

    C’est certainement à juste titre que Bertrand Bellaigue revendique la nationalité française pour les descendants de Québécois venus de France entre le XVI e et le XVIIIe siècle. Déjà, lors du grand dérangement, une partie des Français d’Acadie avait été rapatriée, en particulier à Boulogne-sur-mer (voir l’article "les Acadiens de Boulogne-sur-mer").

    Toutefois, si satisfaction est donnée aux Français du Canada, il est probable que les descendants des Huguenots des Cévennes, victimes du génocide organisé par Louis XIV, et émigrés en Afrique du Sud, seront autant fondés à revenir en France et même à récupérer leurs terres confisquées par l’arbitraire du pouvoir de l’époque. Idem pour les Français de l’île Maurice, des comptoirs d’Inde etc.

    De plus, d’après les statistiques concernant les citoyens des E.U. ou du Canada demandant la nationalité française, la plupart d’entre eux cherchent d’abord à bénéficier du RMI et des cinq cents formes d’allocations qui existent dans l’hexagone alors qu’en général, les Français qui partent aux E.U. ou au Canada sont très diplômés ou du moins très qualifiés, et cherchent à fuir un système fondé sur des impôts confiscateurs.

    Il est évident que les Québécois qui demanderont à venir en métropole appartiendront plutôt à la catégorie des allocataires endurcis qu’à celle des éléments industrieux de la population. Il ne reviendront certainement pas en France avec l’idée d’entreprendre pour se heurter aux réglementations invalidantes et payer des charges et des impôts bien supérieurs à ceux qui existent au Canada.

    En général, l’oncle d’Amérique ne revend pas sa villa avec piscine en Californie pour venir s’installer dans une longère en torchis du Perche.

    De toutes façons, accueillons encore de nouveaux candidats aux allocations. Plus il y en aura, plus rapidement, ce système d’encouragement à l’oisiveté explosera.

    vraitravailleur

     



  • vraitravailleur 20 avril 2008 17:55

    Effectivement, de nombreuses habitations en bois, parfois entourées d’une clôture, se sont construites récemment sans droit au milieu du bois de Vincennes, et, quand j’ai voulu en photographier, les habitants se sont d’abord précipités sur moi de façon aggressive pour m’interdire de le faire pour ensuite s’apaiser quand j’ai affirmé que je n’étais pas journaliste.

    En effet, ces habitations, quand elles sont parvenues à un certain degré de confort, peuvent être revendues comme cela se fait déjà pour certains squats du cinquième arrondissement. Prix moyen : 5 000 euro. Ce n’est pas cher et il faut en profiter avant que les prix montent. Le mieux étant d’installer directement soi-même une cabane en bois toute faite achetée chez Leroy-Merlin.

    Déjà, certains "propriétaires" ont commencé à construire des murs en parpaing et il faut se souvenir qu’après trente ans de possession paisible constatée par huissier, ils seront effectivement propriétaires de plein droit.

    Il s’agit en effet d’un phénomène de bidonvillisation du Bois de Vincennes dont la mairie de Paris ne veut pas qu’on parle. Il est en effet probable que certains élus ou fonctionnaires y trouvent un bénéfice personnel.

    Tout ceci est vérifiable aisément par tous ceux qui se promènent dans le bois de Vincennes, en particulier le long de la route Saint-Louis. A quand des boutiques et l’électricité. Il y a déjà l’eau facile d’accès dans les rivières anglaises.

    vraitravailleur



  • vraitravailleur 8 janvier 2008 21:53

    Il n’y a pas que les pédérastes - appelés abusivement pédophiles - qui soient dangereux même après leur sortie de prison ou d’hôpital psychiatrique mais aussi toute une série de criminels inguérissables en l’état actuel de la médecine. Evidemment, pour ces personnes, se pose aux pouvoirs publics la question de leur remise en liberté après la fin de leur peine.

    Mais il faut prendre en compte aussi les innocents condamnés pour des crimes imaginaires et classés de ce fait dans la catégorie des irrécupérables. C’est aussi de ces personnes-là qu’il faut se soucier.

    En effet, à partir du moment où une personne est happée par un juge d’instruction, clé du système pénal français, elle a en général de grandes chances de se retrouver aux assises, puis condamnée.

    Aucune loi ou règlement n’impose aux magistrats chargés des affaires criminelles un contrôle régulier de leur santé mentale par un psychiatre .

    Voilà des gens, en principe équilibrés au départ, qui pendant presque quatre décennies, n’auront de rapports professionnels qu’avec des criminels. Déjà, ceci influence fortement leur façon de considérer l’humanité.

    De plus, maintenant que la magistrature n’est plus l’apanage d’un seul sexe, beaucoup de magistrats ont tendance, par facilité, à se marier, concubiner ou simplement copuler avec des collègues, fermant ainsi davantage la porte au monde extérieur (non-carcéral). Certains couples de magistrats spécialisés dans la criminalité depuis des décennies, en arrivent ainsi à rompre progressivement avec leurs amis et leur famille.

    On a beaucoup insisté sur l’affaire d’Outreau, mais il y a des milliers d’affaires d’Outreau en France et des milliers d’innocents emprisonnés et considérés comme irrécupérables parce qu’ils ont eu affaire à des juges qu’il aurait fallu détacher depuis longtemps dans d’autres activités. Il s’agit d’un vrai problème dont personne n’ose parler alors qu’il s’agit d’une évidence.

    vraitravailleur



  • vraitravailleur 7 janvier 2008 17:43

    Cher Zalka,

    Votre texte est-il une provocation ? Si, en effet, vous avez été choisi pour enseigner chez Acadomia alors que vous ne maîtrisez encore ni l’orthographe ni la grammaire du français, cette entreprise peut être effectivement considérée comme une officine escroquant les parents prêts à payer pour donner une formation complémentaire à leurs enfants.

    Comment pouvez-vous enseigner ce que vous ne savez pas vous-même ? Il est vrai que j’ai rencontré des institutrices, pardon ! des professeurs des écoles, qui ne connaissaient pas encore la différence entre l’infinitif en er et le participe passé en é. vraitravailleur



  • vraitravailleur 30 décembre 2007 15:38

    L’Islam a bon dos !

    Les mariages entre des adultes et des filles non-pubères ne sont pas propres aux Etats islamiques puisqu’ils se pratiquent aussi chez les Coptes d’Ethiopie et les catholiques d’Afrique sub-saharienne. Il est courant que les prêtres coptes d’Ethiopie, de tout âge, épousent des fillettes de cinq ans et consomment le mariage, ce qui entraîne ensuite des incontinences chez les femmes soumises à ce régime ainsi que toutes sortes de troubles constatés par les médecins européens exerçant sur place.

    Question : si un ressortissant européen contracte un tel mariage entériné officiellement par les autorités de ce genre de pays, éventuellement en se convertissant à la religion locale, est-il légalement susceptible d’être poursuivi pour pédophilie quand il revient dans son pays, en Europe ? Qui pourra répondre à cette question ? vraitravailleur



  • vraitravailleur 30 décembre 2007 14:56

    A propos de Clemenceau, j’ajouterai que c’est à partir de 1916, que les troupes coloniales ont été massivement envoyées au front. Et comme il avait de l’« humour », le « tigre » appelait le général Mangin, qui préconisait l’emploi en première ligne des troupes enrôlées en Afrique : « le broyeur de Noirs ». Dans ces conditions, pourquoi la mairie de Paris et les associations contre le racisme ne font-elles pas retirer la statue de Clémenceau, monstre pire qu’Attila, des Champs-Elysées ? vraitravailleur



  • vraitravailleur 30 décembre 2007 14:47

    Attila est un prénom répandu en Hongrie, en Slovaquie et en Roumanie. Ce conquérant est aussi considéré comme un héros positif en Turquie. En revanche, dans ces mêmes pays, Georges Clémenceau est considéré comme un criminel de guerre alors qu’en France, des voies publiques portent encore le nom de cette canaille. Pourtant, les municipalités ont tout le loisir de prendre connaissance des archives tombées maintenant dans le domaine public et prouvant que « le Tigre » (assoiffé de sang) est le principal sinon le seul responsable de la continuation de la Grande Tuerie après 1916, donc de la mort de dizaine de millions de jeunes Français et autres Européens, dont mes trois grands oncles. Morts pour rien ! vraitravailleur



  • vraitravailleur 19 décembre 2007 14:34

    Les héritiers d’actifs (au sens de biens mobiliers et immobiliers non grevés d’hypothèque) sont des privilégiés par rapport à ceux qui n’héritent de rien : c’est une évidence. Mais en France, le sport préféré étant la recherche des privilèges, seule une infime partie de la population n’en bénéficie pas. On conviendra donc que les bénéficiaires de petits héritages sont de petits privilégiés.

    Il est aussi légitime que toutes les allocations : APA, FNS, RMI etc., soient récupérables sur la succession des bénéficiaires de ces prestations. De même qu’il serait légitime de rembourser au contribuable les bourses d’Etat qu’on obtient en tant qu’étudiant, dès qu’on est salarié.

    En revanche, il est parfaitement illégitime que des fils qui n’héritent d’aucun actif soient obligés de payer certaines des dettes dues par leur père décédé telles que le rapport à la succession de leurs grands-parents (art.848 du code civil) ou les frais d’hospitalisation de fin de vie.

    Le seul moyen d’échapper à ce dernier type de remboursement étant de prouver
    - soit que les parents étaient indignes : pour ce faire, il convient d’avoir été placé à la DASS, ou d’avoir un jugement condamnant ses parents pour viol ou proxénitisme sur ses enfants mineurs ;
    - soit d’accumuler des preuves que les personnels de l’hôpital ou de l’hospice maltraitent les gâteux puis d’attaquer les responsables de la « maltraitance » en justice : pour les héritiers, c’est une solution pour ne rien payer et même pour toucher une indemnisation. Et ça peut même rapporter gros.

    vraitravailleur



  • vraitravailleur 18 décembre 2007 19:02

    Tizzone en dit trop et pas assez : il conviendrait qu’il donne des détails supplémentaires sur les innocentés de Corse qui ont effectué 7 années de prison : c’est encore mieux que l’affaire d’Outreau.

    Du nord au sud du territoire français, on retrouve les mêmes pratiques de la part d’une partie des magistrats pénaux qui jouissent de leur irresponsablité.

    Quand se décidera-t-on à prendre des mesures législatives ou administratives pour orienter systématiquement vers d’autres activités, plus saines pour leur mental, les magistrats que trente années de carrière au contact de pervers et des délinquants de tout acabit, réels ou supposés, ont rendu complètement psychopathes ?

    vraitravailleur



  • vraitravailleur 16 décembre 2007 19:00

    Où êtes-vous allé chercher le chiffre de 10 % d’indépendantistes en Corse ? Est-ce parce que les partis officiellement indépendantistes ne recueillent que 10 % des suffrages ?

    Les autres le sont aussi, mais de façon officieuse : l’appartenance à un parti continental ne se faisant qu’en fonction de l’appartenance aux clans du village.

    vraitravailleur



  • vraitravailleur 16 décembre 2007 18:53

    L’émotion de madame Erignac n’a rien à voir avec la culpabilité d’Yvan Colonna. Il est fréquent, effectivement, que les familles de victimes se focalisent sur le premier coupable qui leur est présenté par les organes de l’Etat. Elles photographient leur visage et il est très difficile ensuite de les faire changer d’avis même si on leur présente un nouveau coupable : comme la plupart du temps, elle ont accablé le premier inculpé, elles ont l’impression d’être alors elle-même fautives si elles se déjugent.

    D’où l’acharnement des parents des victimes à faire condamner le coupable initial : c’est le syndrome des sorcières du Labourd.

    vraitravailleur



  • vraitravailleur 16 décembre 2007 18:35

    M. Cartier, votre mauvaise foi est excessive : dans l’affaire Erignac contre Colonna, il n’y a ni aveu, ni preuve matérielle, rien que des témoignages douteux.

    Si les juges ont le même état d’esprit que vous, il l’ont donc condamné non pour ce qu’il est supposé avoir fait, mais pour ses déclarations autonomistes.

    vraitravailleur



  • vraitravailleur 16 décembre 2007 18:17

    « les juges ont sans doute sauvé la vie d’Yvan Colonna en le condamnant ainsi, en en faisant un participant actif à l’assassinat du préfet Erignac. »

    Effectivement, tous ceux qui courent un danger devraient être mis en prison pour avoir la vie sauve. C’est au nom de ce principe que Lucien Léger a été maintenu en prison pendant quarante ans : le père de l’enfant du meurtre duquel L.L. était accusé risquait de le tuer. Ou encore, les accusés innocents d’Outreau ont été placés en prison trente mois pour éviter d’être lynchés.

    A ce titre, on aurait dû mettre le préfet Erignac en prison pour lui éviter d’être assassiné.

    Si c’est pour protéger M. Yvan Colonna qu’on l’a placé en détention, il serait peut-être bon de lui demander son avis auparavant.

    vraitravailleur



  • vraitravailleur 16 décembre 2007 11:43

    Michel Charasse 33 a raison. Quoi de plus normal qu’un prêt des collectivités locales, l’APA, fait aux vieux pour leur éviter de vendre leur résidence principale en viager pour payer leur employé, soit remboursé par leur héritage ?

    L’APA ne serait en effet récupéré que sur les actifs de l’héritage. Si les héritiers veulent le récupérer l’héritage, il leur est loisible de payer les salaires de l’employée qui assiste leurs parents valétudinaires.

    On ne voit pas pourquoi ce serait encore à la charge de la collectivité, donc du contribuable : le travailleur contribuable paye ainsi l’APA des vieux pour que leurs enfants puisse hériter sans rien rembourser, alors qu’ils n’ont aucune difficulté à le faire.

    Il est absurde que le contribuable paye une fois de plus pour des privilégiés.

    Mon argumentaire est d’autant plus solide que je suis moi-même susceptible, en tant qu’héritier, de rembourser l’APA.

    vraitravailleur



  • vraitravailleur 16 décembre 2007 11:40

    Michel Charasse 33 a raison. Quoi de plus normal qu’un prêt des collectivités locales, l’APA, fait aux vieux pour leur éviter de vendre leur résidence principale en viager pour payer leur employé, soit remboursé par leur héritage ?

    L’APA ne serait en effet récupéré que sur les actifs de l’héritage. Si les héritiers veulent récupérer cet héritage dans leur intégralité, il leur est loisible de payer les salaires de l’employée qui assiste leurs parents valétudinaires.

    On ne voit pas pourquoi ce serait encore à la charge de la collectivité, donc du contribuable : le travailleur contribuable paye ainsi l’APA des vieux pour que leurs enfants puisse hériter sans rien rembourser, alors qu’ils n’ont aucune difficulté à le faire.

    Il est absurde que le contribuable paye une fois de plus pour des privilégiés, d’autant plus qu’ils sont nombreux.

    Mon argumentaire est d’autant plus solide que je suis moi-même susceptible, en tant qu’héritier, de rembourser l’APA.

    vraitravailleur