Les analyses de l’ADN permettent d’effectuer la classification raciale. C’est par l’analyse génétique autosomale (autrement dit par l’analyse du génome, donc de l’ADN) que l’on peut déterminer l’ascendance principale d’une personne et donc sa composition raciale. Ainsi, une personne née de père noir et de mère blanche verra très clairement dans son analyse environ 50 % de gènes de Noir (que les laboratoires dans leurs documents désignent souvent par « Africain sub-saharien ») et 50 % de gènes de Blanc (que les laboratoires désignent souvent par « Européen »).
Les diverses techniques mises au point par l’équipe de professeur Masatoshi Nei, et par d’autres scientifiques, ont été utilisées et complétées par des scientifiques dont les recherches concernent la génétique des populations dans des domaines variés, par exemple en médecine.
Par ailleurs les techniques qui découlent de ces recherches sont utilisées aussi par des sociétés commerciales (cliquez sur le lien et vous pourrez le constater : c’est précisé en bas de page) qui par la mise en application des analyses autosomales proposent d’établir quelle est la composition raciale d’un individu et, selon les moyens techniques dont elles disposent et selon les dépenses financières que l’on est prêt à consentir, elles peuvent aller plus ou moins loin dans le détail de l’analyse. Ces sociétés présentent le rapport d’analyse en donnant pour l’ADN analysé au moins la part des trois principaux regroupements raciaux (Européen, Africain sub-saharien, Est-Asiatique) mais il est possible aussi d’obtenir la répartition plus fine par des sous-groupes raciaux.
Il semble que certains lecteurs ont quand-même des doutes : la science a-t-elle identifié l’existence des races humaines ou bien a-t-elle constaté que les races humaines n’existent pas ?
C’est un fait que certains scientifiques, au services de l’idéologie mondialiste (ou globaliste), nient l’existence des races humaines, et c’est un fait que l’idéologie du mondialisme, qui actuellement dicte les règles dans les cercles au, et autour, du pouvoir politique et médiatique, met en avant ces scientifiques-là.
Pendant ce temps des scientifiques intègres, mais qui sont ignorés par les médias, considèrent que les différences biologiques entre les branches de l’humanité sont clairement marquées de sorte qu’on peut parler de races, identifiables par des caractéristiques biologiques spécifiques que porte chaque groupe racial.
La vérité établie devrait pourtant être diffusée sans censure. L’obstruction que l’idéologie des mondialistes et des « antiracistes » a réussi à imposer depuis quelques dizaines d’années s’apparente à l’interdiction qui jadis empêchait de constater publiquement que « la Terre est une planète qui gravite autour de l’étoile Soleil ».
Alors que dit la science concernant les races humaines ? En effet : « La vérité c’est que chaque espèce est composée de plusieurs races et que l’espèce humaine n’échappe pas à cette règle naturelle. ». Pour en savoir plus vous pouvez lire l’article dont le lien est donné en fin du présent commentaire.
Une discipline scientifique ancienne est capable de déterminer l’appartenance majoritaire d’un individu à une race : c’est l’anthropologie. Par l’examen d’une série de caractéristiques physiques, l’anthropologie permet de classer un individu dans un groupe ou sous-groupe racial. Ainsi les experts en criminologie sont capables, par l’examen du squelette, de déterminer avec une forte probabilité quelle est la race dominante de l’individu.
Plus récemment c’est la génétique qui a apporté toute la fiabilité dans la détermination de la composition raciale d’un individu. Da façon analogue à l’anthropologie, l’analyse génétique autosomale permet également de classer un individu dans un groupe ou sous-groupe racial. La où l’anthropologie examine les caractéristiques biologiques macroscopiques, l’analyse génétique autosomale examine les caractéristiques biologiques microscopiques tout en apportant plus de précision.
Les techniques d’analyse sur le génome et de traitement statistique des données à partir des échantillons de populations étudiées ont été mises au point notamment par l’équipe du professeur Masatoshi Nei (Pennsylvania State University). Parmi ses contributions, qui permettent la définition des groupes raciaux selon les critères génétiques, on peut citer les méthodes statistiques pour mesurer la distance génétique entre les populations (la distance génétique de Nei) et la méthode de reconstruction des arbres phylogénétiques.
La science génétique progresse et cerne de mieux en mieux la question des groupes raciaux humains. C’est un fait qui est délibérément évacué en France où les médias acceptent, sans tenter de le contredire, le dogme propagé par les « bien-pensants » que « les races humaines n’existent pas ».
L’analyse génétique autosomale est donc capable de déterminer l’ascendance principale d’une personne. Ainsi, une personne née de père noir et de mère blanche verra très clairement dans son analyse environ 50 % de gènes de Noir (que les laboratoires dans leurs documents désignent souvent par « Africain sub-saharien ») et 50 % de gènes de Blanc (que les laboratoires désignent souvent par « Européen »).
Les diverses techniques mises au point par l’équipe de professeur Masatoshi Nei, et par d’autres scientifiques, ont été utilisées et complétées par des scientifiques dont les recherches concernent la génétique des populations dans des domaines variés, par exemple en médecine.
Dès les premières études sur les groupes de populations humaines, basées sur l’analyse autosomale, dans les années 1990, la différentiation en groupes raciaux est apparue comme une évidence. Par exemple sur ce lien on peut examiner le graphe sur lequel sont représentées les distances génétiques entre les groupes raciaux - telles qu’elles ont été mises en évidence par une étude effectué par les chercheurs de l’équipe conduite par le professeur Luigi Luca Cavalli-Sforza (Stanford University).
En France il est devenu impossible de propager la vérité sur les races humaines. Par contre, depuis une trentaine d’année, la propagation du mensonge « les races humaines n’existent pas » est facilitée. Et pour rendre la question confuse on a remplacé la notion de « race » par la notion de « ethnie ». Une façon de nier l’existence des races humaines consiste à affirmer que seules les différences ethniques existent entre les groupes humains.
La race recouvre une notion de classification de groupes humains selon les critères biologiques.
L’ethnie recouvre une notion de classification de groupes humains selon les critères culturels (langue, religion, repères moraux, habitudes sociales etc.). Ainsi une race humaine peut être subdivisée en ethnies. Il ne faudrait pas utiliser la notion de « ethnie » pour remplacer la notion de « race » - pourtant c’est ce qui est fait en France.
En France la censure empêche de propager la vérité sur les races humaine.
Les médias français ont éliminé le franc-parler pour utiliser un charabia « politiquement correct ». Par exemple le titre « Un violeur en série d’origine africaine recherché à Paris ». Que signifie « d’origine africaine » ? Serait-ce « Noir » ? Le terme « d’origine africaine » est source de confusion, car par exemple Ségolène Royal est née au Sénégal est-elle « d’origine africaine » ? En vérité on cherche un individu d’un certain type racial mais en France c’est suspect de le dire ouvertement.
En France on est allé tellement loin dans le dénigrement de la réalité que l’enseignement public dans les écoles françaises produit des citoyens qui sont persuadés que les races humaines n’existent pas. Dans d’autres pays du monde l’existence des races est un fait que chacun peut ouvertement constater et que l’on prend en compte à tous les niveaux. Par exemple, aux États-Unis d’Amérique, lorsque le FBI diffuse les fiches de signalement concernant les criminels recherchés, la race de chaque individu est précisée car c’est un élément de différenciation, un élément d’identification. Par contre dans les débats internes en France, préciser la race d’un individu semble gênant. En France on utilise des contorsions, pour éviter de parler des races humaines on invente des termes comme « minorités visibles » sans préciser quelle en est la signification, de sorte que l’on introduit avec ce néologisme maladroit la confusion, car il y a des quantités de minorités qui sont visibles : les handicapés moteurs, les chauves, les nains, les riches tape-à-l’œil, les gros, les barbus etc.
En conclusion qu’on se le dise une bonne fois pour toutes : la différentiation des humains en groupes raciaux est une évidence confirmée par la science moderne.
Je recommande la lecture de l’article « Les races humaines ou les types humains ».
Le problème est au cœur de l’islam et le traitement par l’éducation des musulmans ou par la création d’un « islam de France » ne supprimera pas le problème.
La comparaison des textes – l’Ancien Testament, le Nouveau Testament et le Coran – est sujette à interprétation notamment à cause de sourates considérées par certains comme caduques alors que d’autres estiment que le texte est un tout et qu’une sélection n’est pas permise.
Donc ce que suggère l’auteur – « pour repenser l’islam et remettre à plat cette religion, il faut disposer de la liberté d’expression » – ne serait au mieux suivi que par une partie de musulmans. Cela reviendrait à dire que l’islam n’est pas LE problème, mais que le problème vient de certains courants hérétiques de l’islam, et donc qu’il suffit de tailler dans les textes pour en sortir quelques chose d’acceptable et d’applicable en Europe.
C’est faux, la violence est au cœur-même de l’islam. C’est un fait et évacuer ce qui est au coeur revient à renier ce qui est à l’origine de l’islam, c’est-à-dire la partie la plus « sacrée » pour la plupart des musulmans, la partie sur laquelle repose l’islam. Dans ce processus une confrontation ouverte apparaitrait entre ceux qui se dirait « vrais musulmans » par comparaison aux autres qu’ils considéreraient comme « faux musulmans ».
Alors la question est quelle partie de la population
française musulmane accepteraient une redéfinition de l’islam : les vrais
musulmans ou les autres ?
Cette question est d’importance car selon la réponse toute tentative d’adaptation de l’islam pourrait n’avoir aucune chance d’aboutir, ou pire aboutirait à la création officielle en France de courants clairement marqués et antagonistes. Cet antagonisme entre ceux qui se disent héritiers de Mahomet existe notamment en Irak avec la violence qui s’en suit.
L’auteur mentionne le wahhabisme mais n’explique pas pourquoi (ou en quoi) ce courant est persuasif pour les musulmans qui cherchent la réponse à la question « quel est le véritable islam ? ». C’est une erreur de croire que la question est celle des gens instruits versus ceux qui ne le sont pas.
On voudrait traiter l’islam pour le rendre compatible avec nos sociétés européennes comme cela a été fait avec les chrétiens. Mais ce qu’on peut appliquer aux uns on ne peut l’appliquer à certains autres.
L’islam a un problème en comparaison avec la chrétienté : ceux qui veulent suivre la voie montrée par Mahomet prennent une toute autre direction que ceux qui veulent suivre la voie montrée par Christ.
Pour y voir clair à propos de l’islam, pour faire une comparaison correcte avec les autres religions, en l’occurrence avec la chrétienté, il y a un moyen incritiquable.
La comparaison de la vie des prophètes fondateurs de la chrétienté et de l’islam montre des divergences profondes : quels messages, quels enseignements pour leurs adeptes, ont laissé Jésus et Mahomet par les exemples-mêmes de leurs vies ?
Intéressons nous donc aux faits de leur vies.
Jésus prêchait la tolérance et la bonté envers tous sans distinctions ; il n’a jamais appelé à propager par la force la religion chrétienne. Alors que Mahomet a appelé à l’intolérance envers ceux qui n’obéissent pas aux règles qu’il a édictées : il a personnellement propagé l’islam par la guerre, par la violence. L’enseignement de Mahomet, l’exemple qu’il a donné, contient une dose certaine d’incitations à la haine.
Certains rétorqueront que la chrétienté a aussi été souvent imposée par la violence. À cela il faut répondre que ceux qui ont utilisé la violence pour propager la chrétienté sont seuls responsables de leurs actions : ils n’ont pas agi en accord avec les enseignements de Jésus, le prophète chrétien. Par contre ceux qui cherchent à imposer l’islam par la violence sont en accord avec la doctrine qu’enseignait Mahomet et même avec les actions guerrières, avec la violence, avec le vol que pratiquait personnellement, le sabre à la main, Mahomet, le prophète de l’islam.
La violence est ainsi inextricable de l’islam car dès ses origines la violence a imprégné l’islam.
Les religions ne se valent pas, l’islam n’est pas une religion comme une autre.
Qui sont les vrais musulmans : ceux qui se comportent en suivant l’exemple donné par Mahomet, le fondateur de l’islam, ou les autres ?
Donc sous l’éclairage de l’islam donné par l’exemple de la vie de Mahomet comment situez-vous les djihadistes : parmi les vrais musulmans ou parmi les faux musulmans ?
Les slogans brandis en public ces derniers jours ont exigé le respect de la liberté d’expression donc le présent commentaire devraient avoir le droit de figurer à la suite de l’article ci-dessus …
Sans nommer qui que ce soit énonçons sous forme d’hypothèse certains comportements et voyons à quel groupe de personnes cela pourrait s’appliquer et quels mots conviendraient pour qualifier ce groupe.
Imaginons un « mouvement spirituel » qui aurait été propagée par son fondateur en appliquant la violence meurtrière. Imaginons qu’il y ait des faits historiques : dès les origines de ce « mouvement spirituel » il a été propagé par les actions guerrières, avec mises à mort, mises en esclavage et vols que pratiquait personnellement, les armes à la main, son fondateur. Par ces moyens violents, et en le justifiant auprès de ses adeptes par « la voix de Dieu », qui lui aurait dicté les règles lui permettant d’agir ainsi, il s’est notamment constitué un groupe d’esclaves sexuelles sélectionnées parmi les vaincus. Imaginons que ce « mouvement spirituel » pratique un rite annuel, qui se déroule dans le contexte familial, en présence notamment d’enfants, dans une ambiance de grande allégresse, où les enfants sont donc entrainés à se réjouir lorsqu’un animal est mis à mort pas égorgement.
Tout ce qui vient d’être décrit correspondrait de nos jours à la description d’une secte satanique et de son fondateur.
Imaginons que l’attitude très agressive des adeptes a permis à la secte de se répandre et de rassembler beaucoup d’adeptes. Il se trouve que c’est d’abord le nombre de pratiquants qui conditionne la passage de secte à religion. De sorte que cette secte satanique a rapidement prétendu être une religion.
Imaginons qu’au fil du temps cette secte continue à progresser et que parmi ses adhérents il y en a un grand nombre qui avancent en cachant leur visage maléfique sous un masque. La ruse du masque leur permet d’avancer en ne provoquant que peu de méfiance et pas beaucoup de résistances. Sur le masque il est écrit, à l’intention de ceux qu’ils croisent : « notre secte c’est la secte de la bonté » et aussi « notre secte n’est qu’une gentille secte comme les autres sectes qui ont le droit d’exister, donc nous aussi avons le droit de pratiquer nos rites et de nous comporter selon nos coutumes ».
Cachant leur véritable aspect de secte satanique ils avancent en attendant l’instant qui leur serait favorable, le moment où ils deviendraient si nombreux que les autres habitants n’oseraient plus montrer leur mécontentement de devoir cohabiter avec une secte ouvertement satanique.
Si cette secte existait de nos jours, si elle continuait à progresser dans le monde et à se propager partout y compris en Europe, se trouveraient-ils un gouvernement, et une population, capables d’éradiquer l’épidémie satanique ?
« Alors c’est quoi un vrai musulman ? »
La réponse est dans mon premier commentaire.
Mahomet est à l’origine de l’islam.
Donc à l’évidence ceux qui suivent l’exemple donné par Mahomet sont des vrais musulmans.
Je veux bien répéter une fois de plus :
Ceux qui ont utilisé la violence pour propager la chrétienté sont seuls responsables de leurs actions : ils n’ont pas agi en accord avec les enseignements de Jésus, le prophète chrétien. Par contre ceux qui cherchent à imposer l’islam par la violence sont en accord avec la doctrine qu’enseignait Mahomet et même avec les actions guerrières, avec la violence, avec le vol que pratiquait personnellement, le sabre à la main, Mahomet, le prophète de l’islam.
La violence est ainsi inextricable de l’islam car dès ses origines la violence a imprégné l’islam.
Les religions ne se valent pas, l’islam n’est pas une religion
comme une autre.
La voie montrée par Jésus est tout à fait différente. Jésus prêchait la tolérance et la bonté envers tous sans distinctions ; il n’a jamais appelé à propager par la force la religion chrétienne.
Alors que
Mahomet a appelé à l’intolérance envers ceux qui n’obéissent pas aux
règles qu’il a édictées : il a personnellement propagé l’islam par la
guerre, par la violence. L’enseignement de Mahomet,
l’exemple qu’il a donné, contient une dose certaine d’incitations à la haine.
Par son comportement Mahomet à validé tout ce qu’aujourd’hui, en France, on appelle « l’islam radical ».
Si la question « C’est quoi se radicaliser ? » est posée à propos de l’islam, alors on doit constater que l’islam EST radical depuis ses origines, il ne s’est pas radicalisé récemment. Du moins si on parle du véritable islam, celui des musulmans qui suivent la voie montrée par Mahomet.
Donc sous l’éclairage de l’islam donné par l’exemple de la vie de Mahomet comment situez-vous les djihadistes : parmi les vrais musulmans ou parmi les faux musulmans ?
Philouie, la réponse à vos assertions est dans mon commentaire.
Je la reprends donc :
Ceux qui ont utilisé la violence pour propager la chrétienté sont seuls responsables de leurs actions : ils n’ont pas agi en accord avec les enseignements de Jésus, le prophète chrétien. Par contre ceux qui cherchent à imposer l’islam par la violence sont en accord avec la doctrine qu’enseignait Mahomet et même avec les actions guerrières, avec la violence, avec le vol que pratiquait personnellement, le sabre à la main, Mahomet, le prophète de l’islam.
La violence est ainsi inextricable de l’islam car dès ses origines la violence a imprégné l’islam.
Les religions ne se valent pas, l’islam n’est pas une religion comme une autre.
Si la question « C’est quoi se radicaliser ? » est posée à propos de l’islam, alors on doit constater que l’islam EST radical depuis ses origines, il ne s’est pas radicalisé récemment. Du moins si on parle du véritable islam, celui des musulmans qui suivent la voie montrée par Mahomet.
Donc sous l’éclairage de l’islam donné par l’exemple de la vie de Mahomet comment situez-vous les djihadistes : parmi les vrais musulmans ou parmi les faux musulmans ?
Dans les temps plus récents il y a eu des mouvements qui ont suivi et qui suivent l’exemple donné par Jésus. Les jésuites sont un bon exemple pour ceux qui veulent vivre en accord avec les enseignements de Jésus. D’autres exemples existent à l’intérieur des églises chrétiennes (par exemple de nombreux ordres monastiques et pas seulement) ou à l’extérieur.
Concernant les jésuites voyez La République jésuite du Paraguay.
On y apprend que « Pendant plus d’un siècle et demi, les pères jésuites réussirent à faire vivre jusqu’à 150 000 Indiens Guaranis répartis dans une trentaine de missions sous le gouvernement d’une improbable République théocratique et communiste. Utopie réalisée, l’État jésuite enclavé entre la vice-royauté du Pérou et celle du Rio de la Plata couvrait non seulement l’actuel Paraguay, mais également le nord de l’Argentine, l’Uruguay et le sud-ouest du Brésil - soit une surface équivalente à celle de la France. »
Toute une série d’arguments dans cette énième tentative de banalisation
de l’expansionnisme musulman. Et l’auteur nous cite même l’exemple des étasuniens qui aiment tellement les musulmans .... Puis on nous énumère les medecins musulmans, les avocats musulmans etc. qui ne prennent jamais la voie du djihad... Mais la vérité c’est que ces musulmans-là n’ont de musulman que le nom, ce ne sont pas de vrais musulmans, comme nous allons le voir.
Par ailleurs on voudrait nous faire croire que l’islam n’est pas LE problème, mais que le problème vient de certains courants hérétiques de l’islam.
C’est faux, la violence est au cœur-même de l’islam. C’est
un fait.
Il ne faut pas accepter les préjugés dans le style « l’islam c’est la bonté-même », il faut examiner les faits, les bases sur lesquelles repose l’islam.
Affirmer que « l’islam est une religion comme une autre » c’est encore un préjugé délibérément répandu en France et en Europe.
Contrairement à ce genre de préjugés, que l’on répand notamment à travers les programmes de l’enseignement public obligatoire, il faut retenir que toutes les religions ne se valent pas.
Intéressons nous aux messages qu’ont laissé Jésus et Mahomet par les exemples-mêmes de leurs vies.
Intéressons nous donc aux faits de leur vies.
Jésus prêchait la tolérance et la bonté envers tous sans distinctions ; il n’a jamais appelé à propager par la force la religion chrétienne. Alors que Mahomet a appelé à l’intolérance envers ceux qui n’obéissent pas aux règles qu’il a édictées : il a personnellement propagé l’islam par la guerre, par la violence. L’enseignement de Mahomet, l’exemple qu’il a donné, contient une dose certaine d’incitations à la haine.
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Certains rétorqueront que la chrétienté a aussi été souvent imposée par la violence. À cela il faut répondre que ceux qui ont utilisé la violence pour propager la chrétienté sont seuls responsables de leurs actions : ils n’ont pas agi en accord avec les enseignements de Jésus, le prophète chrétien. Par contre ceux qui cherchent à imposer l’islam par la violence sont en accord avec la doctrine qu’enseignait Mahomet et même avec les actions guerrières, avec la violence, avec le vol que pratiquait personnellement, le sabre à la main, Mahomet, le prophète de l’islam.
La violence est ainsi inextricable de l’islam car dès ses origines la violence a imprégné l’islam.
Les religions ne se valent pas, l’islam n’est pas une religion comme une autre.
Qui sont les vrais musulmans : ceux qui se comportent en suivant l’exemple donné par Mahomet, le fondateur de l’islam, ou les autres ?
Dons sous l’éclairage de l’islam donné par l’exemple de la vie de Mahomet comment situez-vous les djihadistes : parmi les vrais musulmans ou parmi les faux musulmans ?
A propos de « la liberté et la tolérance ».
L’identité des Européens est bâtie sur des fondations qui contiennent un grand nombre d’éléments d’origine chrétienne : par exemple la société européenne applique les principes moraux issus de l’enseignement chrétien. Ainsi la laïcité a été inventée par les Européens en appliquant le principe chrétien de tolérance.
Une précision sur la tolérance : être tolérant cela ne signifie pas qu’on doit accepter de subir passivement l’intolérance des autres. La tolérance qu’ont adoptée les Européens, qui sont globalement d’ascendance culturelle chrétienne, ne doit pas leur interdire de s’opposer à l’expansionnisme agressif des musulmans. La tolérance s’arrête là où commence l’agression. L’islamisation de l’Europe, facilitée par les cercles politiques au pouvoir, qui sont les collaborateurs de l’islamisation, cette islamisation qui se répand contre la volonté de la majorité des Européens, est une agression et lorsqu’on est agressé on a le droit de s’opposer à l’agression.
Puisqu’il est question de la liberté d’expression le présent commentaire devrait avoir le droit de figurer à la suite de l’article ci-dessus …
Sans nommer qui que ce soit énonçons sous forme d’hypothèse certains comportements et voyons à quel groupe de personnes cela pourrait s’appliquer et quels mots conviendraient pour qualifier ce groupe.
Imaginons un « mouvement spirituel » qui aurait été propagée par son fondateur en appliquant la violence meurtrière. Imaginons qu’il y ait des faits historiques : dès les origines de ce « mouvement spirituel » il a été propagé par les actions guerrières, avec mises à mort, mises en esclavage et vols que pratiquait personnellement, les armes à la main, son fondateur. Par ces moyens violents, et en le justifiant auprès de ses adeptes par « la voix de Dieu », qui lui aurait dicté les règles lui permettant d’agir ainsi, il s’est notamment constitué un groupe d’esclaves sexuelles sélectionnées parmi les vaincus. Imaginons que ce « mouvement spirituel » pratique un rite annuel, qui se déroule dans le contexte familial, en présence notamment d’enfants, dans une ambiance de grande allégresse, où les enfants sont donc entrainés à se réjouir lorsqu’un animal est mis à mort pas égorgement.
Tout ce qui vient d’être décrit correspondrait de nos jours à la description d’une secte satanique et de son fondateur.
Imaginons qu’au fil du temps cette secte progresse et que parmi ses adhérents il y en a un grand nombre qui avancent sous un masque. La ruse du masque leur permet d’avancer en ne provoquant que peu de méfiance et pas beaucoup de résistances. Sur le masque il est écrit, à l’intention de ceux qu’ils croisent : « notre secte c’est la secte de la bonté » et aussi « notre secte n’est qu’une gentille secte comme les autres sectes qui ont le droit d’exister, donc nous aussi avons le droit de pratiquer nos rites et de nous comporter selon nos coutumes ».
Cachant leur véritable aspect de secte satanique ils avancent en attendant l’instant qui leur serait favorable, le moment où ils deviendraient si nombreux que les autres habitants n’oseraient plus montrer leur mécontentement de devoir cohabiter avec une secte ouvertement satanique.
Si cette secte existait de nos jours, si elle continuait à progresser dans le monde et à se propager partout y compris en Europe, se trouverait-il un gouvernement, et une population, capables d’éradiquer l’épidémie satanique ?
Toute une série d’arguments dans cette énième tentative de banalisation de l’expansionnisme musulman.
Pour essayer de justifier l’islam l’auteur souligne que « on présente l’islam comme étant intrinsèquement violent, on oublie de rapporter que les religions monothéistes ont connu à des degrés divers des périodes de ce type. ».
Ce genre d’argument sert à égarer le raisonnement en présentant les religions comme étant équivalentes, aucune plus critiquable que les autres.
Par ailleurs on voudrait nous faire croire que l’islam n’est pas LE problème, mais que le problème vient de certains courants hérétiques de l’islam.
C’est faux, la violence est au cœur-même de l’islam. C’est
un fait.
Il ne faut pas accepter les préjugés dans le style « l’islam c’est la bonté-même », il faut examiner les faits, les bases sur lesquelles repose l’islam.
Affirmer que « l’islam est une religion comme une autre » c’est encore un préjugé délibérément répandu en France et en Europe.
Contrairement à ce genre de préjugés, que l’on répand notamment à travers les programmes de l’enseignement public obligatoire, il faut retenir que toutes les religions ne se valent pas.
Intéressons nous aux messages qu’ont laissé Jésus et Mahomet par les exemples-mêmes de leurs vies.
Intéressons nous donc aux faits de leur vies.
Jésus prêchait la tolérance et la bonté envers tous sans distinctions ; il n’a jamais appelé à propager par la force la religion chrétienne. Alors que Mahomet a appelé à l’intolérance envers ceux qui n’obéissent pas aux règles qu’il a édictées : il a personnellement propagé l’islam par la guerre, par la violence. L’enseignement de Mahomet, l’exemple qu’il a donné, contient une dose certaine d’incitations à la haine.
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Certains rétorqueront que la chrétienté a aussi été souvent imposée par la violence. À cela il faut répondre que ceux qui ont utilisé la violence pour propager la chrétienté sont seuls responsables de leurs actions : ils n’ont pas agi en accord avec les enseignements de Jésus, le prophète chrétien. Par contre ceux qui cherchent à imposer l’islam par la violence sont en accord avec la doctrine qu’enseignait Mahomet et même avec les actions guerrières, avec la violence, avec le vol que pratiquait personnellement, le sabre à la main, Mahomet, le prophète de l’islam.
La violence est ainsi inextricable de l’islam car dès ses origines la violence a imprégné l’islam.
Les religions ne se valent pas, l’islam n’est pas une religion comme une autre.
Qui sont les vrais musulmans : ceux qui se comportent en suivant l’exemple donné par Mahomet, le fondateur de l’islam, ou les autres ?
Si la haine s’installe, où est sa cause ?
Pour défendre l’islam on tient des discours que l’on peut résumer par la phrase : « l’islam est une religion comme une autre ». Ensuite on cherche à égarer la raison on disant qu’il faut savoir lire le Coran, en sélectionnant soigneusement les sourates « halal » et en éliminant les sourates « haram ».
Pour y voir clair à propos de l’islam, pour faire une comparaison correcte avec les autres religions, en l’occurrence avec la chrétienté, il y a un moyen incritiquable.
La comparaison de la vie des prophètes fondateurs de la chrétienté et de l’islam montre des divergences profondes : quels messages, quels enseignements pour leurs adeptes, ont laissé Jésus et Mahomet par les exemples-mêmes de leurs vies ?
Intéressons nous donc aux faits de leur vies.
Jésus prêchait la tolérance et la bonté envers tous sans distinctions ; il n’a jamais appelé à propager par la force la religion chrétienne. Alors que Mahomet a appelé à l’intolérance envers ceux qui n’obéissent pas aux règles qu’il a édictées : il a personnellement propagé l’islam par la guerre, par la violence. L’enseignement de Mahomet, l’exemple qu’il a donné, contient une dose certaine d’incitations à la haine.
Certains rétorqueront que la chrétienté a aussi été souvent imposée par la violence. À cela il faut répondre que ceux qui ont utilisé la violence pour propager la chrétienté sont seuls responsables de leurs actions : ils n’ont pas agi en accord avec les enseignements de Jésus, le prophète chrétien. Par contre ceux qui cherchent à imposer l’islam par la violence sont en accord avec la doctrine qu’enseignait Mahomet et même avec les actions guerrières, avec la violence, avec le vol que pratiquait personnellement, le sabre à la main, Mahomet, le prophète de l’islam.
La violence est ainsi inextricable de l’islam car dès ses origines la violence a imprégné l’islam.
Les religions ne se valent pas, l’islam n’est pas une religion comme une autre.
Qui sont les vrais musulmans : ceux qui se comportent en suivant l’exemple donné par Mahomet, le fondateur de l’islam, ou les autres ?
Comment se propage et s’impose l’islam :
- là où il n’y a pas de résistance, comme en Europe car les gouvernants y interdisent toute forme de résistance, on constate que les coutumes musulmanes, les règles communautaires et la charia s’installent progressivement grâce à l’attitude naïvement trop tolérante des populations indigènes,
- là où islam rencontre de la résistance, par l’extermination de ceux qui n’adhèrent pas : voir la vidéo (avertissement : scènes de violence extrême, visionnage réservé à +18 ans)
L’islamisation de l’Europe peut-elle être arrêtée ?
On vient de le constater : si on s’oppose à l’islam une situation de guerre devient inévitable.
D’un coté les peuples européens sont-ils prêts à combattre ? D’un
autre coté les paroles
célèbres de Winston Churchill résument l’alternative : « Vous avez voulu
éviter la guerre au prix du
déshonneur. Vous aurez le déshonneur et vous aurez la guerre ».
L’article et les commentaires évoquent certaines vérités mais n’abordent pas le cœur du problème.
Car pour défendre l’islam on tient des discours que l’on peut résumer par la phrase : « l’islam est une religion comme une autre ». Ensuite on cherche à égarer la raison on disant qu’il faut savoir lire le Coran, en sélectionnant soigneusement les sourates « halal » et en éliminant les sourates « haram ». Puis on peut toujours discuter de ce qu’ont fait les gens au fil des siècles au nom de telle ou telle religion …
Mais pour savoir si une religion peut ou ne peut pas prétendre
au titre de « religion de la bonté » il faut se poser d’autres
questions.
Pour y voir clair à propos de l’islam, pour faire une comparaison correcte avec les autres religions, en l’occurrence avec la chrétienté, il y a un moyen incritiquable : la comparaison de la vie des prophètes fondateurs de la chrétienté et de l’islam.
Cette comparaison montre des divergences profondes : quels messages, quels enseignements pour leurs adeptes, ont laissé Jésus et Mahomet par les exemples-mêmes de leurs vies ?
Intéressons nous donc aux faits de leur vies.
Jésus prêchait la tolérance et la bonté envers tous sans distinctions ; il n’a jamais appelé à propager par la force la religion chrétienne. Alors que Mahomet a appelé à l’intolérance envers ceux qui n’obéissent pas aux règles qu’il a édictées : il a personnellement propagé l’islam par la guerre, par la violence. L’enseignement de Mahomet, l’exemple qu’il a donné, contient une dose certaine d’incitations à la haine.
Certains rétorqueront que la chrétienté a aussi été souvent imposée par la violence. À cela il faut répondre que ceux qui ont utilisé la violence pour propager la chrétienté sont seuls responsables de leurs actions : ils n’ont pas agi en accord avec les enseignements de Jésus, le prophète chrétien. Par contre ceux qui cherchent à imposer l’islam par la violence sont en accord avec la doctrine qu’enseignait Mahomet et même avec les actions guerrières, avec la violence, avec le vol que pratiquait personnellement, le sabre à la main, Mahomet, le prophète de l’islam.
La violence est ainsi inextricable de l’islam car dès ses origines la violence a imprégné l’islam.
Les religions ne se valent pas, l’islam n’est pas une religion comme une autre.
Qui sont les vrais musulmans : ceux qui se comportent en suivant l’exemple donné par Mahomet, le fondateur de l’islam, ou les autres ?
Pour défendre l’islam on tient des discours que l’on peut résumer par la phrase : « l’islam est une religion comme une autre ». Ensuite on cherche à égarer la raison on disant qu’il faut savoir lire le Coran, en sélectionnant soigneusement les sourates « halal » et en éliminant les sourates « haram ».
Pour y voir clair à propos de l’islam, pour faire une comparaison correcte avec les autres religions, en l’occurrence avec la chrétienté, il y a un moyen incritiquable.
La comparaison de la vie des prophètes fondateurs de la chrétienté et de l’islam montre des divergences profondes : quels messages, quels enseignements pour leurs adeptes, ont laissé Jésus et Mahomet par les exemples-mêmes de leurs vies ?
Intéressons nous donc aux faits de leur vies.
Jésus prêchait la tolérance et la bonté envers tous sans distinctions ; il n’a jamais appelé à propager par la force la religion chrétienne. Alors que Mahomet a appelé à l’intolérance envers ceux qui n’obéissent pas aux règles qu’il a édictées : il a personnellement propagé l’islam par la guerre, par la violence. L’enseignement de Mahomet, l’exemple qu’il a donné, contient une dose certaine d’incitations à la haine.
Certains rétorqueront que la chrétienté a aussi été souvent imposée par la violence. À cela il faut répondre que ceux qui ont utilisé la violence pour propager la chrétienté sont seuls responsables de leurs actions : ils n’ont pas agi en accord avec les enseignements de Jésus, le prophète chrétien. Par contre ceux qui cherchent à imposer l’islam par la violence sont en accord avec la doctrine qu’enseignait Mahomet et même avec les actions guerrières, avec la violence, avec le vol que pratiquait personnellement, le sabre à la main, Mahomet, le prophète de l’islam.
Les religions ne se valent pas, l’islam n’est pas une religion comme une autre.
Qui sont les vrais musulmans : ceux qui se comportent en suivant l’exemple donné par Mahomet, le fondateur
de l’islam, ou les autres ?
Pour cerner la nature véritable de l’islam, et pour montrer les differences avec la chrétienté, cet article évoque notamment les faits historiques de l’islam des origines.
La comparaison de la vie des prophètes fondateurs de la chrétienté et de l’Islam montre des divergences profondes : quels messages, quels enseignements pour leurs adeptes, ont laissé Jésus et Mahomet par les exemples-mêmes de leurs vies ?
Intéressons nous donc aux faits de leur vies.
Jésus prêchait la tolérance et la bonté envers tous ; il n’a jamais appelé à propager par la force la religion chrétienne. Alors que Mahomet a appelé à l’intolérance : il a personnellement propagé l’islam par la guerre, par la violence. L’enseignement de Mahomet, l’exemple qu’il a donné, contient une dose certaine d’incitations à la haine.
Certains rétorqueront que la chrétienté a aussi été souvent imposée par la violence. À cela il faut répondre que ceux qui ont utilisé la violence pour propager la chrétienté sont seuls responsables de leurs actions : ils n’ont pas agi en accord avec les enseignements de Jésus, le prophète chrétien. Par contre ceux qui cherchent à imposer l’islam par la violence sont en accord avec la doctrine qu’enseignait Mahomet et même avec les actions guerrières, avec la violence, avec le vol que pratiquait personnellement, le sabre à la main, Mahomet, le prophète de l’islam.
En résumé nous pouvons retenir que la violence est au
cœur-même de l’islam.
Affirmer que « l’islam est une religion comme une autre » c’est un préjugé délibérément répandu en France et en Europe.
Contrairement à ce genre de préjugés, que l’on répand notamment à travers les programmes de l’enseignement public obligatoire, il faut retenir que toutes les religions ne se valent pas.
Intéressons nous aux messages qu’ont laissé Jésus et Mahomet par les exemples-mêmes de leurs vies.
Intéressons nous donc aux faits de leur vies.
Jésus prêchait la tolérance et la bonté envers tous ; il n’a jamais appelé à propager par la force la religion chrétienne. Alors que Mahomet a appelé à l’intolérance : il a personnellement propagé l’islam par la guerre, par la violence. L’enseignement de Mahomet, l’exemple qu’il a donné, contient une dose certaine d’incitations à la haine.
Certains rétorqueront que la chrétienté a aussi été souvent imposée par la violence. À cela il faut répondre que ceux qui ont utilisé la violence pour propager la chrétienté sont seuls responsables de leurs actions : ils n’ont pas agi en accord avec les enseignements de Jésus, le prophète chrétien. Par contre ceux qui cherchent à imposer l’islam par la violence sont en accord avec la doctrine qu’enseignait Mahomet et même avec les actions guerrières, avec la violence, avec le vol que pratiquait personnellement, le sabre à la main, Mahomet, le prophète de l’islam.
Dans le même ordre d’idées, voici un article publié par le magazine belge
Le Vif :
Des fous qui n’ont rien à voir avec
l’islam ?
L’auteur de cet article belge n’est certes pas un érudit, un expert de l’islam, ses arguments n’ont pas la puissance des arguments de M. Christian Labrune, mais il formule des vérités que peuvent constater tous ceux qui ont les yeux ouverts.
Un extrait de cet article publié par le magazine belge
Le Vif :
"Hélas, l’histoire nous montre
que chaque fois qu’un pays a connu une forte implantation musulmane, les
religions locales ont généralement fini par être évincées. Certes, il y
eut des exceptions : en Espagne avec la reconquista ou - récemment - au
Sud Soudan où chrétiens et animistes finirent par se révolter contre la
charia qui leur était imposée. Mais ce fut au prix de longues guerres.
Alors comment agir pour éviter de répondre à la violence par la violence
? On peut collaborer avec les islamistes. C’est la voie que choisissent
certains politiciens et intellectuels belges qui sont prêts à toutes les
concessions et compromissions avec l’islamisme."
Un extrait des commentaires :
"Qu’on le veuille ou non, il n’y
a pas de modérés dans l’islam. Lorsqu’on entend des gosses de primaire
dire « c’est bien fait, ils n’avaient pas à se moquer du prophète »,
c’est un signe. Et qu’on ne me dise pas que tous ces gosses viennent de
familles de radicaux ! Non, ils viennent de familles dites « modérées »
et ne font que répéter ce qu’ils entendent chez eux... Alors comme le disait
leur représentant (menacé depuis), soit ils s’adaptent, soit ils dégagent.
Et ça n’a rien de raciste. C’est une question de survie pour nous."
Et si le problème était dans le fait que l’islam n’est pas une religion comme les autres ? Car la violence est au cœur-même de l’islam.
Affirmer que « l’islam est une religion comme une autre » c’est un préjugé délibérément répandu en France et en Europe.
Contrairement à ce genre de préjugés, que l’on répand notamment à travers les programmes de l’enseignement public obligatoire, il faut retenir que toutes les religions ne se valent pas.
Intéressons nous aux messages qu’ont laissé Jésus et Mahomet par les exemples-mêmes de leurs vies.
Intéressons nous donc aux faits de leur vies.
Jésus n’a jamais appelé à propager par la force la religion chrétienne. Alors que Mahomet a appelé à l’intolérance : il a personnellement propagé l’islam par la guerre, par la violence. L’enseignement de Mahomet, l’exemple qu’il a donné, contient une dose certaine d’incitations à la haine.
Certains rétorqueront que la chrétienté a aussi été souvent
imposée par la violence. À cela il faut répondre que ceux qui ont utilisé la
violence pour propager la chrétienté sont seuls responsables de leurs actions :
ils n’ont pas agi en accord avec les enseignements de Jésus, le prophète
chrétien. Par contre ceux qui cherchent
à imposer l’islam par la violence sont en accord avec la doctrine qu’enseignait
Mahomet et même avec les actions guerrières, avec la violence, avec le vol que
pratiquait personnellement, le sabre à la main, Mahomet, le prophète de l’islam.
L’auteur suggère de bruler le coran. L’UE a mis en application des directives, que les États membres ont transposé en textes de droit national. Suite à ces directives et à ces lois nationales, en France aussi, depuis quelques années, « l’incitation à la haine » est une dénomination juridique très commode pour museler toute expression « critique envers un groupe » qui déplairait au système. Face à la loi française, appeler à bruler le coran c’est risquer une inculpation et un procès médiatisé …. Face aux musulmans le risque est plus grand, comme l’on montré les évènements récents…
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