@Gasty
Ce lien mène au teaser de Hold Up 2 (sortie prévue le 15/02), qui se penchera, entre autres, sur ces fameuses insertions d’acides aminés (séquence 680 du génome)... Ca a l’air très intéressant, et l’intervenant être de grande qualité quant à sa connaissance et sa maîtrise du sujet.
Aller sur votre lien m’a permis de découvrir, posté par le seul commentateur, une vidéo assez remarquable nommée « les improbables mutations du SARS Cov 2 », d’une durée de 49’47, mise en ligne le 17/09/2020 par Stéphane GUAY (Mediainfocite.TV).
https://www.youtube.com/watch?v=ge97kED72_U&feature=youtu.be
@Bernard Dugué
J’aimerais avoir votre avis sur cette vidéo-ci, que le profane que je suis a jugé passionnante, car ce qu’il y est dit à propos des travaux de Li-Meng YAN (affirmant que le SARS Cov2 a été créé à partir du virus militaire chinois ZC45), puis ce qu’il développe de lui-même sur les particularités « remarquables » constatées dans SARs Cov 2, ne sont pas contestables selon l’argumentation utilisée ici pour réfuter de façon trop « sachante » toute remarque s’éloignant du cadre de votre article.
Une (éventuelle) réponse se devra d’être mieux formulée, et s’appuyer sur une réfutation sourcée...
Quant à la critique formulée par vous sur la « qualité » de France Soir, est-elle liée au fait que les articles de Bio Moon (vous avez beaucoup échangé ensemble au printemps dernier sur Agoravox : provotella, etc...) y ont été repris (avec son accord) : https://www.francesoir.fr/prevotella-et-covid-19-la-science-appartient-tout-le-monde-par-bio-moon
parce que pas mal d’articles qui y paraissent valent le coup d’être lus, et leur très longue étude (publiée en « feuilleton », non encore terminé) « L’histoire du covid19 » est une mine d’information (rédigé par Valère Lounnas et Gérard Guillaume).
Chapeau, l’auteur !
Un des meilleurs articles en français sur ce sujet que l’on puisse trouver en ce moment sur la Toile : documenté, très lucide, avec de surcroît une écriture d’une telle qualité que ce long texte en devient dès l’entame un réel moment de plaisir pour celui qui le parcourt jusqu’au bout...
J’espère que vous toucherez le plus de lecteurs possibles, et pas seulement ici sur Agoravox, que je félicite toutefois pour l’avoir publié.
Merci beaucoup !
Il eut été préférable que cet article, daté par son auteur du 19/04, n’attende pas le 30/04 pour être publié.
En effet, tout va tellement vite dans cette histoire que même si l’article est bien « charpenté », certains des faits cités datent un peu, et se sont fait un peu « recouvrir » par d’autres plus récents et tout autant significatifs.
"Pour rappel, ceTTE (référendum) REVOLUTION est illégitime. La seule source de légitimité c’est la volonté du peuple. Et le peuple c’est l’ensemble des citoyens, pas seulement une partie. En l’occurrence le peuple concerné ici était les citoyens d’Ukraine, englobant (la Crimée)/KIEV et non pas seulement les citoyens de (Crimée)/KIEV. Car évidemment les ukrainiens perdent une partie de leur territoire dans l’opération et donc une partie de leur souveraineté, ils sont donc tout autant concernés que les citoyens qui vivent (en Crimée)/à KIEV.
C’est donc seulement une partie du peuple qui a été interrogé et qui force la main à tous les autres. On ne peut pas parler de démocratie dans ces cas là."
Pour avoir lu çà et là sur la Toile, entre ma 1ère réaction à cet article et maintenant, quelques nouvelles fraîches sur les événements liés à la crise en Ukraine, j’en reviens effrayé !
L’étau se resserre sur la Russie, apparemment, et de plus en plus : mouvements de matériels, de troupes - Etats ou contractants privés -, manoeuvres militaires tout terrain dans tous les pays limitrophes, déclarations et menaces toujours plus belliqueuses, couverture du 20 heures français - Pujadas en l’occurence - légitimant dans une obséquieuse condescendance et à dessein les nationalistes du Pervy Sektor et autres Svoboda qu’ils interviewent soudain, histoire de démonter les accusations portées par les Russes sur leur véritable nature et leurs motivations, en les noyant dans un sirop suave dont ils sont passés maîtres dans l’art d’abreuver l’auditeur lambda... Je ne suis pas Poutine, ni même citoyen russe membre de l’appareil, mais je le sens mal, là : trop de forces se mobilisent contre un seul pays pour qu’il puisse continuer ne serait-ce qu’à attendre le référendum de Crimée du 16 prochain en ne faisant que maintenir son attitude de (très bon) joueur d’échec !
Puisse le ciel faire en sorte que les Russes détiennent vraiment des preuves sur qui était vraiment derrière le 11/09/2001, comme il le fut dit un temps, et qu’à présent, ils balancent tout à la face du Monde, aujourd’hui, et tant pis pour les conséquences ! Sinon, le monde est mal barré...
Heureux d’apprendre par votre article que Russia Today ne l’a malgré tout pas congédiée, cette journaliste ma foi très honnête et fidèle à ses convictions dans sa courageuse dénonciation en direct...
Comme quoi, et vous l’indiquez justement, RT diffère du milieu des chaines d’info continue de langue anglaise (même si elle émet aussi en espagnol et en arabe, et qu’on trouve sur le Net sa version en russe).
Al Jeezera avait fait illusion lors de la guerre d’Irak (un de ses bureaux s’est même fait bombardés par les USA, avec morts à la clef, fut un temps...), mais les objectifs de ses sponsors qataris se sont vite découverts ensuite dans le rôle tenu par la chaine sur l’effet boule de neige et vite orienté des « printemps arabes »...
RT est toujours là, elle, fidélisant quand même du monde, partout, et la couverture qu’elle a choisi d’avoir sur des tas d’événements internationaux, telle la Syrie par exemple, est particulièrement intéressante parce que rare, et accessible à tout un chacun.
Ceci dit, et honnêtement, je pense quand même qu’avant l’histoire, dénoncée par Abby Martin qui en reproche une focalisation trop unilatéralement faite par RT, d’une « présence plus prégnante » en Crimée des Russes qui, en y ayant une base militaire stratégiquement très importante, ont réagi très vite en fonction tant de leurs intérêts que du timing des événements, quitte à ce que RT soit peut-être « utilisée » pour en forcer le trait, nous avons pu observer auparavant le déroulé des opérations dans l’autre Ukraine, à savoir Kiev (mais aussi dans l’Ouest russophobe, d’où venaient l’essentiel des premiers manifestants en Novembre pour atterrir et ensuite « squatter » l’espace Maidan)... Les Russes ont cette chaine TV émettant en partie des USA, avec de très bons journalistes dont beaucoup d’américains du Nord, et ils s’en servent comme ceux d’en face le font sans que personne dans ces dernière n’en démissionne en direct.
Quant à son engagement en faveur de la réouverture de l’enquête sur les événements du 11/09/2001, je l’apprends aussi ici, et j’en suis, moi, ravi : elle n’aura jamais lieu, sans doute, mais combien d’entre nous, vigilants aujourd’hui quant au déroulé de « la marche du monde » et peu enclins à nous taire et soucieux de nous exprimer, devons tant à ce « combat pour la vérité » que votre association Reopen911 a eu le mérite de développer en France ? D’où, merci du focus apporté aujourd’hui, même si « c’est par la bande » (au sens du billard s’entend...) !
Qui est ce « nous », unique sujet du post ?
Votre texte est loin d’être faux, en ce sens que pour avoir un proche à Kiev (jeune, et français, qui y travaille et y réside, parlant couramment l’anglais et se débrouillant en russe), beaucoup de ce que vous dîtes est aussi dans les propos qu’il m’oppose, parce que, c’est vrai, moi, je ne vois pas les choses ainsi, mais je suis conscient de ne pas vivre là-bas, et m’oblige donc à tenir compte de ce qu’il me dit.
Par contre, vous commettez des erreurs :
de quels tirs sont morts les 16 policiers, ou furent blessés les 130 autres qui l’ont été par balle ?
Si nous remontons la chronologie des morts et des blessés, ceux dont je parle l’ont été avant les 75 morts du 20/02. Vous oubliez de dire que Ianoukovitch a toujours refusé de faire appel à l’armée, même si autour de lui certains préparaient ce genre de plans...
Dans un état de droit, est-il normal de justifier les comportements violents de manifestants hyper organisés (la touche du Saint Esprit de la Révolution Juste qui les aurait doté subitement de sa Grâce d’être ainsi subitement efficients ?) ? Le peuple de Maidan, je veux bien, mais ce n’est pas lui qui, du 17/11/13 au 20/02/14 a porté les coups contre les forces de l’Etat, lesquelles ne faisaient que le travail de défense de l’ordre pour lequel elles existent et ont été crées, comme elles existent partout ailleurs, de plus, là-bas,sous les ordres d’un Pouvoir qui n’a pas pris, lui, les coups qui pleuvaient dans les rues. Il les ont pris par la suite, c’est vrai, lors de ce grand moment de démocratie que fut le vote de destitution du Président élu au Parlement...
Quant à Ianoukovitch, et sa disparition suite à l’accord extorqué à l’aide des 3 Ministres européens venus là pour la Caution, aussitôt bafoué, ce n’est pas à Donetsk que nos fiers insurgés l’ont retrouvé, mais à Kiev la nuit-même, et à l’aide d’armes automatiques sur tout son convoi, histoire de fêter en parfait démocrate ce moment historique ! Etonnez-vous peut-être que par chance épargné, il courut se mettre à l’abri (où exactement, on s’en fout d’ailleurs), et gaussez-vous en tant qu’il vous plait, mais imaginez si ce sort-là incombait un jour à unes de nos édiles si empreintes de démocratie et d’exigence d’intégrité territoriale, et extrapolez à votre aise... Un BHL au bout de la visée d’une Kalachnikov, et le sachant : sûr qu’il se retournerait en direction du tireur pour le haranguer... Itou un Fabius, un Hollande, un Obama, un Kerry, une Nulan, un Donald Tusk... alors fi de vos vaticinations quant à ce qui causa une absence qui de toutes façons, qu’elle soit définitive ou temporaire, n’était que le but recherché...
Quelle justification peut-il exister au support apporté sans nuance des politiciens US ou UE au déroulement sans cesse plus insurrectionnel des événements ? Ce ne sont surement pas les « braves gens » de Maidan qui peuvent y répondre, ni même d’ailleurs qui s’en sont souciés...
Je pense que la manipulation a été bien active en Ukraine ces 3 derniers mois, et ces « braves gens de Maidan » auront, c’est mon avis, un réveil très désenchanté.... si réveil il y a, parce qu’il semble bien aussi que la Propagande ne se soucie plus à présent de l’impasse dans laquelle elle s’est engouffrée : de toutes façons, ceux qui La manipulent s’en contrefoutent, car il semble bien qu’ils ne peuvent même plus faire marche arrière. Seule la Russie a la main, mais c’est notoirement insuffisant si elle seule l’a, c’est certain. J’ai très peur du futur.
Salam, Salah !
Excellent article, très bien rédigé, et très bien documenté...
Merci, et faîtes bien attention à vous :
la puissance masquée de cet adversaire-là est très perverse et multiforme, d’autant qu’il a tant « arrosé » qu’il ne peut plus faire marche arrière...
Partie 2 :
Certes, pour les natifs d’après 1948 (les sabras) il s’est greffé à la culture des kibboutz celle de la Shoah, fort instrumentalisée, à dessein.
On ne peut pas toujours en dire ce que l’on souhaite (notamment en France où la loi Gayssot s’est ajoutée tout au sommet de la pyramide législative, celle-ci préalablement née pour empêcher tout accroissement d’un antisémitisme de mauvais aloi).
Il faut pour en parler rester dans les ornières de l’Histoire, pourtant plus lénifiante sur quelques uns de ces aspects qu’évolutivement enrichissante (quand les Alliès eurent connaissance des camps de concentration ? qu’en était-il exactement des accointances germano-anglosaxonnes dans les financements et le management des landers industriels du Reich, voire de certains de leurs projets – recherches « médicales », marché unique, sciences aérospatiales,…- , qui perdurèrent pourtant sous d’autres noms après 1945 ? qu’est-ce qui motiva chez les alliés cet abandon à Staline de toute l’Europe orientale ?... )
Pourtant, des aspects de cette période, comme l’Accord de Transfert (le Haraatva), signé début 1933 entre le parti sionisme allemand et le IIIème Reich allemand, et d’autres accords moins célèbres mais eux aussi contractés ultérieurement dans d’autres pays européens sous joug nazi, éclairent d’une autre lumière l’évolution de l’idéal sioniste.
Tout comme l’histoire d’un autre Accord, non signé celui-là, voulu par Eichmann – nous sommes en 1944 - lors de l’invasion de la Hongrie, qui contacta en ce sens l’émissaire hongrois de l’Agence Juive, Yoel Brand, pour lui proposer un deal (exfiltration de 100 000 juifs hongrois en Palestine contre achat de marchandises allemandes) : il l’envoya alors mander l’accord auprès de l’état major de l’Agence Juive basé en Palestine, que celui-ci n’obtint non seulement pas, mais qui lui valut d’être intercepté en Turquie, puis nterrogé de nombreuses semaines par les services anglais mandataires, pendant que s’opérait concomitamment le nettoyage ethnique des juifs de Hongrie par les nazis… Notre représentant sioniste hongrois (Yoel Brand), arrivé quand même en terre de Palestine quelques semaines après sa détention aux fins d’interrogatoire par les anglais, découvrit que nul là-bas ne se chargea dans l’intervalle de faire vivre le projet proposé ; mieux, même, il fut promptement enterré, y compris dans les poubelles d’un Israël naissant quand vint le procès d’Eichmann en 1953, où notre Yoel Brand voulut dévoiler sa version des faits vécus, et se retrouva en butte à toutes les persécutions possibles pour le faire taire (séduction, menaces, etc…), ce qu’ils ne parvinrent toutefois pas à faire totalement, les livres écrits ne s’étant pas « envolés » (juste remisés dans l’arrière boutique de l’histoire…).
/www.dailymotion.com/video/x90umq_theodore-herzl-le-cote-antisemite-d_news#.UKPkIeSCCQI" target="_blank">http://www.dailymotion.com/video/x90umq_theodore-herzl-le-cote-antisemite-d_news#.UKPkIeSCCQI
Pour en revenir à l’Accord de Transfert germano-sioniste, un de ces volets, outre l’aspect économique « émigration contre achats de marchandises allemandes, par ailleurs boycottées dans le monde », aboutit à ce que dès 1933, les sionistes allemands obtinrent du Reich le droit de construire des camps d’entrainement pour les futurs kibboutzim (une quarantaine de camps, au départ), cela sur le sol allemand même. Le drapeau sioniste flottait en toute légalité sur ces camps situés en territoire allemand. L’un deux existait encore en Mars 1942…
L’auteur (Edwin Black, juif américain) du livre en traitant, interviewé ici par un rabbin, lors d’une émission littéraire américaine récente (2009), en relate mieux que moi les différents aspects.
/nemesistv.info/video/BNDGUK829XW2/interview-edwin-black-1-2-le-contrat-de-transfert-vostfr-the-transfer-agreement" target="_blank">http://nemesistv.info/video/BNDGUK829XW2/interview-edwin-black-1-2-le-contrat-de-transfert-vostfr-the-transfer-agreement
Les motivations que prête Edwin Black aux sionistes signataires du Haavara peuvent s’admettre.
Il est toutefois permis d’en envisager d’autres que celle, choisie par lui, d’avoir agi « avec préscience, tels les seuls visionnaires de ce qui était en train de se jouer, avec la sensation de surcroît de devoir agir avec un révolver sur la tempe ».
Car, en effet,
· Quand on apprend que le signataire du traité, début 1933, était Haim Arlozoroff (juif allemand d’origine russe né en 1899, émigré en 1905 à Berlin) – assassiné quelques mois plus tard, en juin 1933 à Tel Aviv), sans qu’on n’ait jamais su par qui, mais avant la promulgation de cet Accord intervenue le 10 août 1933 - , lequel dans ses jeunes années (1917/18) eut une liaison passionnée avec la future Madame Magda Goebbels (mariage en 1931), alors amie de lycée de sa sœur ; déjà imprégné de l’idéal sioniste, il parvint à lui inculquer son enthousiasme, tant et si bien qu’elle faillit même se convertir au judaisme…
· Quand on apprend que Rudolph Eichmann, en charge plus tard de la « solution finale », parlait lui-même l’hébreu, qu’il avait appris, connaissait parfaitement l’œuvre de Theodor Hertzl, et voyait dans cet idéal de race juive « nouvelle » tel qu’abondé par les sionistes un projet digne d’admiration…
· Quand on lit des textes publiés dans les journaux sionistes allemands de l’époque de la promulgation des lois de Nuremberg, en 1935, trouvant dans ces dernières le terreau pour convaincre leurs coreligionnaires en confession d’adhérer à ce sionisme d’où le mariage mixte et l’assimilation étaient fortement bannies, en prévision de la création d’une race future de nouveaux juifs en terre de Palestine…
On ne peut totalement ignorer ces convergences d’alors entre le sionisme et l’idéal aryen qui naîtra en Allemagne dans les années ayant suivi le traité de Versailles de 1918…
La finance juive diasporique ne pouvait elle non plus ignorer tous ces états de faits…
N’auraient-t-ils pas, conjointement, délibérément laissé supprimer ces millions de victimes juives européennes, non sionistes, comme le prix à payer pour la réussite du projet sioniste :
un :
élimination des parias et des « pouilleux » – propres termes d’Hertzl, puis de Jabinotsky en 1945, à l’encontre de ces hébreux traditionnalistes et rétrogrades qui vivaient dans les communautés et ghettos d’Europe- qui risquaient de contaminer les pionniers kibboutzim
deux :
les survivants de cette tentative nazie d’extermination, délestés par la force de leurs anciennes attaches européennes, produiront le flot notoire et nécessaire à l’implantation définitive du peuple juif en terre de Palestine
Je sais bien combien ma conclusion est accusatrice.
Mais toute l’histoire, de la création du sionisme à nos jours, tend à corroborer ce vol de la vraie histoire des Juifs (incluant la conversion des Khazars au VIIème siècle chère à Arthur Koestler - car il faut appeler un chat un chat, et il n’y a pas de honte à ce qu’une communauté religieuse s’agrandisse par la conversion -, ou le nettoyage ethnique de la Palestine en 1947/48 tel que l’a amplement illustré Illan Pape – ) au profit d’une secte : les sionistes, lesquels ont perverti l’esprit des Israëliens nés là-bas depuis 1948, voire nés ailleurs aussi pour nombre de sympathisants appelant Aliya un colonialisme d’un nouveau genre, « démocratiquement » inique et barbare à l’encontre de tout ce qui n’adhère pas à leur vision historique mensongère…
Le monde de demain sera celui où les juifs sincères et réellement empreints des valeurs hébraïques se soulèveront contre le paganisme sioniste qui les a peu à peu soumis à ses diktats en modifiant leur conscience…Puisse le futur y parvenir (même si malheureusement, j’en doute…)
Patie 1 (sur 2) de mon commentaire, trop long pour être posté d’une traite !
Pas certain que cette histoire n’ait commencé qu’en 1917...
Lord Balfour écrivait alors à Lord Rotschild, lequel avait déjà entrepris ses acquisitions immobilières en terre de Palestine auprès de l’empire ottoman finissant, lequel les avait récemment « cadastrées »...
D’où venait cette famille, anoblie en Angleterre depuis peu ? D’Allemagne... Et depuis quand, historiquement parlant, celle-ci débuta son ascension (Amshel Bauer, le fondateur de la dynastie, juif allemand de la Judestrasse de Francfort, prêteur puis financier du Lander de Hesse, et ses 5 fils tous fondateurs des branches des banques européennes, sans compter ses filles, mariées aux fils des familles des autres grandes banques européennes - Montefiori, Worms,...-) : depuis la fin du XVIIIème siècle...
Le sionisme, à l’origine de cet actuel Etat israëlien, né en Europe (Bielorussie, Pologne, Ukraine, Allemagne...) du fruit des réflexions d’intellectuels dont beaucoup se calquaient socialement dans le moule des élites des pays où ils vivaient (influencés par « Les Lumières »...,), moule fort différent des préceptes de vie rabbiniques qui perduraient dans leurs communautés d’alors, ne serait rien sans ces financements d’origine...
On cite souvent les pogroms (russes sous Alexandre III puis Nicolas II - dont l’Ukraine et la Biélorussie actuelles -, mais aussi parfois polonais) de la fin du XIXème siècle comme étant à l’origine : un, de l’antisémitisme, deux, du développement de l’idée majeure du retour à Sion chez les intellectuels juifs européens (voire américains quand nombre d’entre eux y immigrèrent), mais le volet « financier » de la communauté juive européenne fut bien plus précoce à travailler sur ces visées-là que les activistes sionistes eux-mêmes (en 1897, au 1er congrès sioniste de Bâle, les clans se divisaient quant au territoire où devait être créé cet Etat Nation seul espoir d’un développement durable dans un monde de Nations pour ces communautaristes juifs sionistes : la terre de Palestine n’était pas le seul territoire où il était alors envisagé de s’établir...on parla d’Argentine, d’Ouganda...).
Cette alliance initiale entre financiers juifs et activistes sionistes (incluant les intellectuels) fut ce qui donna consistance à ce mouvement revendicatif du retour et de l’établissement au Moyen Orient.
La grande majorité de la (des ?) communauté juive européenne (askhénaze parlant yiddish), mais aussi séfarade d’Afrique du Nord ou de Perse, voire mizrahie (communautés établies déjà en Palestine) n’étaient nullement séduites par ce projet d’un retour de tous à Sion.
Les propos qu’un Hertzl, et d’autres aussi de cette époque, purent tenir et dont il reste trace aujourd’hui, manifestaient souvent d’un profond dédain pour la partie de sa communauté qui se perpétuait dans une Tradition que lui-même (Hertzl) jugeait rétrograde, peu évolutive, et condamnée à devoir encore et toujours subir brimades et vexations si rien ne venait à la changer en profondeur... Hertzl fut l’archétype du Juif non religieux : son projet, non religieux, méritait-t-il vraiment d’être appelé Juif ?
En parallèle à ce petit rappel historique, il ne faut pas non plus occulter les évènements russes de 1917 (et même dès avant, en 1905) : le bolchevisme naissant (autre théorie fameuse, aux visées de libération Internationaliste du monde ouvrier du joug du capital, de l’aristocratie, et des bourgeois), où d’autres intellectuels de confession juive (il y avait certes aussi des russes, ainsi que des militants des pays alors satellites de la culture russe comme la Géorgie, une partie de la Pologne, des tchèques, quelques allemands, etc... Les archives historiques de l’époque attestent cependant que les juifs composaient 65 à 80 % au moins de tous les Conseils décisionnels divers créés à la suite d’Octobre 1917).
Quand Trotsky s’envole pour New York dans les années fin 1910/début 1920, c’est en partie pour trouver des financements, et il y parvient... Là aussi, l’influence de la partie « financière » de la communauté juive mondiale (ici, américaine) a une incidence majeure sur la marche future des choses : quid de cette Union soviétique socialiste républicaine sans cette manne, dans une Europe dont les pouvoirs alors établis voient d’un très mauvais oeil cette chienlit-là... ?
L’idéal bolchevique est-il d’obédience juive religieuse, avec sa lutte de classes et son désir de l’internationaliser, ou n’est-il, à l’instar de l’idéal sioniste, qu’une idée laïque développée par des individus laïcs, ces deux idéaux ne devant leur existence qu’à l’apport initial d’une finance juive diasporique elle-même par nature plus laïque que religieuse (en tous cas au sens des valeurs hébraïques anciennes, tel que celle condamnant la soumission au Veau d’Or…) ?
Alors, certes, à présent, il y a ces quelques millions d’individus juifs israëliens qui vivent sur cette terre de Palestine, qui y ont développé un pays au summum de la modernité dans tout un tas de domaines, comme l’agronomie et l’agriculture, les nano-technologies, l’informatique de pointe et les communications, le développement d’armes hautement technologiques, la finance, l’hydrologie, le nucléaire (civil ?), … Le tout mu et structuré autour d’institutions très efficaces, avec plus ou moins le consentement et l’apport de toute la communauté juive israélienne (voire arabe israélienne pour quelques uns de ceux qui y résident, et bénéficient des bienfaits que leur apportent ces acquis-là).
Ne pas oublier non plus ce livre-là, publié sous son nom d’emprunt :
http://www.amazon.fr/Cagoule-noire-carte-blanche-Villach/dp/2750406323
livre relatif à Human Bomb, et une théorie sur les événements de la maternelle de Neuilly de 1993 très très originale...
Bonjour Hicham
Je pense qu’il serait utile de lister, compte tenu de ce que l’on dispose aujourd’hui comme informations, toutes les incohérences de cette affaire,
celles d’avant le 15/03/12 (voyages, passeport(s ? ), obtention de visas, itinéraire « public » et « privé » de ces dernières années...),
et celles d’après, notamment la mise en équivalence de toutes les déclarations « officielles » vues et entendues dans les médias, relatives à :
- la découverte (voire l’existence !) de la vidéo qui aurait été filmée par une caméra GoPro sanglée sur le thorax : confiée par une proche chez qui elle aurait été déposée, trouvée dans l’appartement après l’assaut, trouvée dans un véhicule loué garé à proximité de la rue Vigié...
- le montage de cette vidéo (quand ? )
- l’envoi de cette vidéo (voire sa réelle existence ! ) au bureau parisien d’Al Jeezera (quand ? comment ?)
- le témoignage de « Martine » lors du 2ème assassinat à Montauban (signes physiques distinctifs non concordants : corpulence, tatouage ou cicatrice sur la joue), qui, bousculée par le tireur après son geste, ne parle pas d’une caméra qui aurait été sanglée sur son thorax, malgré la proximité (contact physique) qui fut sienne et qui aurait dû à tout le moins lui faire remarquer la chose
- la communication téléphonique donnée 11 minutes durant à la journaliste de france24 à 1 h 00 du matin la nuit du mardi 20 au mercredi 21/03, d’une cabine téléphonique publique, à opposer aux éléments racontés sur la localisation, puis la présence, de Merah dans son appartement dès l’après midi du 20 par la police, et dont le contenu supposé s’avère pourtant être un des seuls supports - sur trois - d’une revendication « djihadiste » des assassinats
commis, les 2 autres étant la revendication de l’émir taliban, posthume et récente, et la conversation à « bâtons rompus » rapportée entre Merah et la police au début du siège (2 variantes : à travers la porte d’entrée - pourtant salement abimée très tôt par la 1ère et vaine tentative du Raid de la défoncer -, ou bien via un talkie walkie soit-disant fourni par la police en échange d’une de ses armes, comme par hasard de calibre 11’43)
- la nature du gilet pare balles porté par Merah (modèle utilisé par la police)
- les diverses affirmations du RAID et autres sur l’assaut, en les opposant aux éléments factuels dont on dispose aujourd’hui (photos, plans, vidéos BFM pour le son lors des tirs et leur minutage, ...) qui les rendent sujettes à caution
- les divers éléments intervenus durant les 32 heures de siège (1ère tentative de pénétration dans l’appartement, échange (?) de tirs le matin du mercredi, ...)
La liste n’est pas exhaustive...
Savoir ensuite qu’est-ce qui est vrai dans divers éléments cités dans la presse étrangère :
Les passeports (source journal Libre Algérie) : avait-il réellement 2 passeports, l’un français, périmé depuis 2008 car non renouvelé, l’autre algérien, valide au jour du décès ? si oui, les a-t-on récupéré après l’assaut, ce qui permettrait de savoir quels visas y figurent, et sur quel passeport figurent quels visas ?
Les voyages au Proche Orient (sources Il Foglio), et les éventuels services de renseignements, français ou autres, qui auraient pu les faciliter : quels voyages sont effectivement avérés (notamment celui peu probable en Israël) ?
Les vidéos en possession de l’avocate algérien du père de Mohamed Merah sont-elles réelles ? Pourquoi à ce jour (info du 1er avril...) rien n’a encore filtré (possible connivence entre services de pays « complices » ?) sur leur contenu, présumé explosif et contradictoire aux éléments officiels ?
Compte tenu de l’intervention médiatique de Bernard Squarcini « fonçant » voir Le Monde pour s’y épancher, lui qui n’opère jamais ainsi, préférant le retrait :
Pourquoi cet interview ? Sur quelles zones périphériques aurait-il pu vouloir influer ? Quelles contradictions déjà dévoilées aurait-t-il pu vouloir « corriger » par sa version des faits ?
Comment Merah a-t-il su, du Pakistan où il était, qu’il devait se rendre à une convocation de l’antenne régionale de la DCRI en novembre 2011 ? Comment connaissait-il le numéro de téléphone de cette antenne ? De quel cybercafé pakistanais a-t-il téléphoné ? Il paraît, dixit Squarcini, que ses services se sont assurés, via la géolocalisation, de l’authenticité de l’appel comme émanant bien de cette zone-là... Skype ou téléphone cellulaire ? Si oui au second, lequel ? celui de sa mère (écouté de mars à novembre 2011...), dont on nous a dit qu’il l’utilisait plutôt que d’en disposer d’un sien propre... ?
Quand toutes ses réponses auront été données, peut-être alors pourrons-nous faire le tri entre le vrai et le faux : tant qu’elles ne seront pas fournies, cette histoire a tout du storytelling si cher à nos puissants, qu’ils soient d’ici, de l’autre côté de l’Atlantique, ou d’ailleurs...
J’attends l’article d’Oumma sur la commission sénatoriale récente avec impatience...
Morice,
désolé de citer le Réseau Voltaire : je ne le fais pas pour le mettre en avant (les liens entre Meyssan et le pasteur Doucet ne m’intéressent pas, même s’il m’est arrivé d’en lire un peu là dessus).
La partie intéressante de leur article, lu à l’époque où Médiapart sortit l’info au sujet du docteur Grosskopf et au mémo rédigé par Jean Charles Brisard quant aux rétrocommissions sur les marchés libyens agencés par Ziad Takieddine, était celle relative aux enregistrements audio des entretiens « sensibles » s’étant tenu à Tripoli, que Bachir Saleh aurait gardé précieusement ...
"... Cependant, dans les cinq semaines qui précédèrent la chute de Tripoli, le gouvernement libyen décida de réunir des éléments matériels relatifs à cette affaire et à plusieurs autres (la vente d’un avion par Michèle Alliot-Marie en Tunisie, les vacances de collaborateurs de François Fillon en Égypte, le détournement de 400 millions d’euros au profit de Cécilia Sarkozy lors de la libération des infirmières bulgares, et le programme d’expérimentation médicale du docteur François Sarkozy au Tchad et au Soudan)....
Concernant le financement de la campagne électorale de 2007, il n’existe pas de preuve écrite reliant les versements à leur destinataire, mais principalement des enregistrements audio réalisés systématiquement lors de chaque réunion...
... Les différents éléments collectés par le gouvernement libyen ont été
conservés par le très habile Bashir Saleh Bashir, chef de cabinet de
Mouammar el-Kadhafi. Arrêté par les Français lors de la prise de
Tripoli, il a rapidement été libéré et s’est provisoirement installé
dans un grand hôtel parisien. En décembre 2011, il a quitté la France,
puis a été nommé conseiller spécial du président du Niger, Mahamadou
Issoufou. Il bénéficie désormais d’un statut diplomatique qui lui
interdit de répondre à un juge d’instruction français."
Au moment où cet article fut mis en ligne, c’était plutôt le calme plat
sur le sujet du financement éventuel de la campagne 2007 de Sarkozy, et
en lisant l’article du Canard Enchainé d’hier, ça m’a fait « tilt »...
Peut-être que les entretiens tunisiens de l’été dernier avec De Villepin ont tourné autour des clefs du coffre fort libyen, mais pourquoi n’auraient-ils pas également tourné autour de la récupération de quelques enregistrements possiblement compromettants.... ? Tel était le but de mon intervention, à la suite de votre excellent article...
Morice,
Sur le même sujet (l’article du Canard d’hier, et les liens avec le financement libyen éventuel de la campagne 2007 de Sarkozy), j’avais posté un petit commentaire à Imhotep sur son article d’aujourd’hui...
Je n’avais pas encore découvert le vôtre, très bien documenté...
Je poste quand même de nouveau le lien avec l’article du Réseau Voltaire sur Bachir Saleh, car s’il s’avère vrai (daté du 13/03/12), il pourrait peut-être apporter un complément d’information intéressant...
http://www.voltairenet.org/Nicolas-Sarkozy-a-neutralise-les
Imhotep, désolé !
Je viens seulement de tomber sur l’article de Morice
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/depenses-de-campagne-la-methode-113997
qui détaille tout cela beaucoup mieux que moi...
Enfin, 2 précautions valant mieux qu’une....
Imhotep, bonjour !
Toujours sur la brèche, je vois... C’est bien ! Bonne info dont je n’avais pas encore eu connaissance.
Ne disposant pas de beaucoup de temps libre en ce moment, et connaissant votre réactivité et votre disponibilité (plus grande que la mienne propre), je vous soumets vite fait un nouveau sujet d’intérêt lié au financement possible de la campagne de 2007 de Sarkozy par Khadafi.
Quand Médiapart a relancé il y a peu la « machine », via son article sur le docteur Grosskopf (ancien médecin de Ziad Takieddine, l’ayant accompagné de longs mois depuis qu’il le soignât suite à l’attentat de l’ile Moustique, et témoin de beaucoup de tractations...) et la note de synthèse rédigée à ce propos par Jean Charles Brisard (qui l’a certes démenti depuis, mais ces propos tenus aux journalistes de Médiapart - entretiens téléphoniques - ayant sans doute été enregistrés par eux par prudence, son démenti n’équivaut pas ses aveux : « Didier Grosskopf m’a cité 2 contrats dont les rétrocommissions ont servi à ça... C’est ultra sensible. J’ai un classeur. Il y a des montants, des noms, des pays, des dates précises... »), seule la « sortie » de Laurence Ferrari sur TF1 osant questionner Sarkozy sur cette accusation nouvelle relayée par Médiapart a fait l’objet d’articles journalistiques nouveaux, nullement la révélation elle-même (ou si peu...).
J’ai trouvé à l’époque, en furetant dans les news s’y rapportant, cet article du Réseau Voltaire
http://www.voltairenet.org/Nicolas-Sarkozy-a-neutralise-les
au sujet d’un financement possible de la campagne française par la Lybie, et d’un Salah Bachir Saleh, qui détiendrait les seules preuves existant sur ces tractations « sensibles » (celle-ci, comme beaucoup d’autres...), constituées d’enregistrement audio (il semble qu’il ait été tout fait pour ne pas laisser de traces écrites), qu’il se serait chargé de convoyer en lieu sûr, obtenant depuis pour cela l’immunité diplomatique au Niger où il a endossé un nouvel habit de conseiller de la Présidence, habit taillé semble-t-il tout exprès...
Le lien sur cet article, à cette heure, renvoie à une erreur « 503 »... mais il fonctionnait bien hier...
Or, dans le Canard Enchainé d’hier mercredi 4/04, page 3, figure un article bien détaillé sur notre monsieur Bachir Saleh (« Le caissier de Kadhafi câliné par Guéant ») où, s’il n’apparaît rien de précis quant au rôle joué par lui tel que décrit dans l’article du Réseau Voltaire, il est par contre donné moult détails sur le personnage, et sur les conditions de sa venue en France après sa courte incarcération en Lybie (via les réseaux Françafrique).
Plutôt que de voir cette information se perdre dans l’anonymat, et sachant que vous êtes très organisé, j’avais envie de vous en faire part...
And, in this article, the second explanation was :
’The other explanation could be that Sarkozy doesn’t want Dati as an enemy.
’Some say she has damaging information about him dating back to when both worked in the Hauts-de-Seine department.’
Sinon, article d’Ariane très agréable à lire... comme souvent.
On aurait aussi pu extrapoler jusqu’au : Zorah va-t-elle finir par être enfin reconnue « officiellement » ?
Ca fait certes people, mais pour qui se rappelle les photos de la barque à Wolfborrow, où notre Rachida (de la « race des seigneurs », ne l’oublions point...) tentait de se cacher des objectifs des paparazzi en se couchant au sol..... venue là par un vol « non officiel », services de l’ Elysée dixit ....
Comparer de l’immatériel numérisé (CD, film et toute retranscription audio/video) à des prestations matérielles fournies (coiffeur et son temps de travail pour la coupe, boucher et la revente d’une viande qu’il dégraisse et conditionne individuellement, pour vous citer...) est un sophisme.
Comment vivaient les musiciens, voire les comédiens, avant l’invention du support de diffusion ?
Sur quoi se base le principe d’ayant-droits « héritiers » ? La propriété est une invention humaine, pas une réalité terrestre... L’héritage permet de perpétuer la caste des propriétaires. Laquelle ne sait qu’en vouloir toujours plus...
Et pourtant, tout le monde meurt, et s’en va sans rien conserver : la postérité, posthume par nature, est une invention de l’égo humain pour se projeter plus loin que la réalité constatée qui le gêne. L’héritage en est une de ses formes.
Enfin, il reste la satisfaction au grain du sable que je suis, si petit, et pourtant si unique dans cette immensité, de toujours pouvoir venir enrayer vos engrenages l’espace d’un instant...
Le nucléaire, c’est le summum de la connerie humaine.
Faim énergétique qui le justifierait ? moi, individuellement, je n’ai pas faim de cette énergie-là : seulement, tout seul, je ne peux rien inverser, rien corriger ; que mon propre comportement. Mais je ne fais pas corps avec les autres humains qui m’imposent le leur, et ses néfastes conséquences.
L’ homme scientiste, si fier des produits de son intelligence au point de révérer le summum qu’elle a produit, ce nucléaire-là, s’invente à coup d’arguments d’une raison dévoyée des justifications permanentes et sans cesse auto-ajustées pour continuer à toujours vanter ce qu’il croit être une marche en avant, quand elle en est l’inverse.
« Vanité, tout est vanité », disait un roi ancien
« Connais-toi toi-même »,disait un autre ancien
Mais non, cette approche de la vie doit être trop ennuyeuse....
Notre monde n’a promu que les cons.
Faîtes-donc, messieurs, faîtes-donc...
Développez toujours plus avant vos sciences de la gestion humaine, vos systèmes économiques imbéciles, lovez-vous dans le sillon de votre évolution suicidaire, accumulez vos richesses illusoires, gérez vos guerres d’épuration de toute contradiction, enfantez les imbéciles de demain que vos écoles structureront à votre image.
Il est bien trop tard pour vous en empêcher, car des siècles se sont accumulés derrière les empreintes de vos pas, et votre sillon est désormais trop profond pour pouvoir être comblé.
Il est même à douter, bien que certains l’espèrent, qu’un sage puisse naître ici et se faire entendre, réveillant la sagesse enfouie en chaque être : la terre ne nous a jamais appartenu, et la compréhension du mécanisme qui la meut, elle et nous, se trouve dans nos têtes bien avant que nos pensées y prennent naissance ; le mystère se résoud en observant ce que l’on est de l’intérieur, pas en le quittant pour en quêter l’explication à l’extérieur.
Nul besoin de livres pour y répertorier une Histoire illusoire, simple accumulation d’une suite perpétuelle de Présents.
Mais la sagesse est ennuyeuse pour nos esprits modernes.
Tant pis...
Merci à vous, Frida, pour relayer l’info... Elle le mérite assurément...
Mais à voir le peu de réactions à votre article, la saillie médiatique de Monsieur Guéant dans le JDD de ce dernier dimanche, à propos d’une fiche qui lui aurait rappelé qu’un certain Monsieur DSK eut jadis fait l’objet d’un rapport de police pour avoir été contrôlé sur les lieux du bois de Boulogne un certain « soir » de 2006 , semble avoir plus accaparé l’univers médiatique que nos bars colombiens Nibar et Nichon...
la précision du « soir » venant du Sieur Guéant, qui n’était pas obligé d’être ainsi si précis.... mais rien de ce qu’il fait, dit, écrit, ou auquel il participe, ne provient du hasard : la Préfectorale les formate pour la vie, et ce monsieur, ma foi, semble l’archétype même de sa gent... formatage de surcroît très « made in » 92, où Monsieur servit de bonne heure Sieur Pasqua, puis plus tard Sieur Sarkozy ... Ne le contrarions pas, mais ce Monsieur pense toujours en son for intérieur qu’il a ainsi servi l’ Etat : un jour, j’espère, nous confronterons son ressenti au questionnement étayé d’un procès judiciaire, en n’omettant pas les primes instants de sa haute carrière, où son statut de haut fonctionnaire, alors débutant, lui fit tenir la permanence du Ministère de l’intérieur un certain soir d’Octobre 1979 (nuit du 29 au 30) durant lequel fut assassiné Robert Boulin : que de « poubelles » de l’histoire lui ferons-nous alors ouvrir pour qu’il nous en précise par le détail les tenants et les aboutissants qu’il eut alors la chance de voir défiler sous ses yeux... Une telle mémoire, ça doit servir à la République dont il a toujours prétendu être le Serviteur...
Ah ! Sacré parti que le sien où l’on possède encore la mémoire de fiches « blanches »... 5 ans plus tard ! Le sens de l’Etat, vous dis-je.....
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