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Les commentaires de ndnm



  • ndnm 8 septembre 2008 14:44

    "c’est parceque je pense que le web 2.0 c’est pas vraiement du vent. A mon avis, ca cree un contrepouvoir politique, ca fait enfin debattre serieusement les gens, ca cree une intelligence collective."

    Ce qui est du vent, c’est de faire croire que c’est un concept nouveau, une idée révolutionnaire... 
    c’est surtout internet comme il est depuis le début mais en plus joli (des videos à la place d’un texte en blanc sur fond noir) et plus accessible à tout le monde (une connexion de base ne coutant plus 3 mois de salaire d’un cadre), y compris à ceux qui n’y comprennent rien et qui du coup redécouvre l’eau chaude toutes les 5 minutes...

    En revanche, que l’usage se devellope et recouvre des domaines de plus en plus variés est effectivement un phénomène nouveau et interessant.

    ensuite, qu’il y ait du monde pour en vivre, il y a toujours des "bon samaritains" pour vivre de la naiveté des pigeons... 



  • ndnm 8 septembre 2008 14:35

    mouais, chacun a sa définition du web2.0 ...qui est surtout un concept marketing fumeux avant d’être l’innovation technologique tant clamée... 
    Par ailleurs, et cela a déja été dit, les applications gérées par des servers et distribuées aux clients (avec un navigateur web ou une autre interface, peu importe) existent depuis les tous débuts d’internet (voire même d’arpanet.. à vérfier... ). Après on peut refaire l’emballage tant qu’on veut, refaire l’étiquette et tout ce que l’on veut : l’idée n’en sera pas plus neuve.

    Prise avec raison, cette idée de confier à des serveurs distants des applications qui se gèrent très bien sur les clients (comme la bureautique) n’a de vrai avantage que pour des google et consorts qui accroiterons la dépendance de leurs clients. Enfin, cela se justifie pour un nombre très limité et des types très particuliers d’applications mais pour la bureautique... c’est de la bétise à l’état brut. En effet, coté client, c’est surtout la promesse de soucis en cas de coupure du reseau : pas de connexion au server = pas de service = plus de traitement de texte ! bravo la belle idée moderne !
    Sans parler de la confidentialité des données... et vous pourrez brandir tous les cryptages du monde... un bon man-in-the-middle et le cryptage est parfaitement inopérant... 

    Et pour finir : linux 2.0 ?? c’est à dire, un nouveau noyaux de système d’exploitation ? Parce que, vu comme l’auteur semble "technique" il ne doit pas lui échapper que linux n’est pas un système d’exploitation, mais un noyau. Il ne doit pas non plus lui échapper que le concept d’application intégrée à des navigateurs n’a que faire du système d’exploitation ... ?



  • ndnm 8 septembre 2008 11:24

    Article interessant à plus d’un titre mais ...


    - 450 000 est un chiffre, soit. En réalité il suffit d’y penser plus d’une seconde pour réaliser qu’il s’agit d’une estimation dont on aimerait bien savoir qui l’a produite et de quelle manière.


    - L’argument principal des Majors pour se lamenter sur cette estimation est qu’ils le concoivent comme un manque à gagner. Encore une fois, il n’y a pas besoin de réfléchir bien longtemps pour se rendre compte que cette affirmation navigue entre la naiveté et le mensonge. Si, d’un coup, le téléchargement illégal était impossible, ces téléchargements ne se transformeraient pas tous (loin de là) en achat...

    dernière petite précison, le mot hacker n’est pas du tout l’équivalent de pirate. La traduction/notion correcte est "bidouilleur". Celui qui met un pot "ninja" sur sa mobilette est un hacker de mobilette. 



  • ndnm 3 septembre 2008 16:39

    calmos,

    c’est une sorte de menace bien étrange que vous proferez là ... non content d’être un imbécile sectaire vous etes en plus un dangereux raciste ?





  • ndnm 3 septembre 2008 14:02

    ."on" a dit que sous windows, pas de bug ni de spywares ni de problèmes.
    => On a surtout dit que ça dépendait du comportement de l’utilsateur. Pendant 2 ans mon pc a tourné sous winxp sans spyware ni virus et avec pas franchement plus de bug que sous mon linux actuel. 

    pour les virus et spywares, d’accord mais avec combien de "firewall" et autres antivirus
    => si vous etes derrière un routeur, le firewall ne sert à pas grand chose même sous windows.

     ? ? ? Aucun necessaire chez Linux (ce n’est pas pour rien que la majorité de la fonction publique est en train de migrer, notamentla DGSE !)
    => pour l’antivirus, c’est la faible part de marché de linux qui le rend dispensable. Linux a des failles et peut etre la proie de virus (et autres rootkit) comme tous les systèmes. Attention à ne pas croire qu’un système serait mystérieusement immunisé contre les virus... 

    Compatibilité du matériel sous windows... Tien ?! Et depuis quand ? ?!! Combien de jeux ne fonctionnant plus sour XP alors que c’était OK en W98 ? J’avais un volant à retour de force Microsoft (s’il vous plait !) Plus possible à utiliser avec le retour de force sous XP, il fallait en acheter un autre !!!
    => vous confondez materiel et logiciel ... et le volant a retour de force est plus qu’anedoctique.... par contre, sous linux il peut effectivement arriver que du materiel "standard" (certaines imprimantes notamment) ne fonctionne pas
    comme dit plus haut c’est souvent la faute du constructeur mais c’est un fait : linux prend en charge moins de matériel que windows.

    Je pense que ce n’est pas demain que vous rentrerez dans mon système Linux (qui est d’ailleurs obligatoirement sur une parttion à part des dossiers stockés, ce qui se fait tout seul lors de l’installation)
    => mefiez vous de ce genre de croyance,
    à distance, le bruteforcage marche très bien sur un linux out of the box...
    avec un accès physique à votre machine, vous seriez effrayé de voir comme il est facile de lire TOUTES les données de vos disques... (quelque soit l’OS) à moins que vous n’ayez chiffré vos disque ce dont je doute très fort...

    9. Et enfin, lors de l’installation de Ubuntu sur une partition libre de mon ordinateur, ça à été enfantin, et quelle surprise de constater que lors du premier lancement de Ubuntu TOUTES mes configurations de windows ont étées reprises par Ubuntu,
    => en fait, ubuntu n’a simplement rien fait du tout à windows... il n’a rien repris ... il n’y a pas touché ! et heureusement que lorsqu’on install un os sur une autre partition ca ne modifie pas le premier !! Vous auriez installé n’importe quelle distribution de linux que grub ou lilo (les chargeurs de démarage) auraient pris en compte la partition windows de la même manière... 

    y compris la photo qui me servait de papier peint !!!!! Trouvez mieux !!!!
    => là franchement, je suis désolé mais on touche le fond ... comment un OS installé sur une autre partition que votre windows aurait pu modifier le papier peint de votre windows... ? mystère et boule de gomme...

     



  • ndnm 1er septembre 2008 21:10

    Merci de l’avoir lu et d’avoir pris le temps de rebondir. 
    Dans mon raz-le-bol j’avais omis de dire que l’article a le très bon gout d’adopter un ton positif. Angle d’attaque bien plus malin que le dénigrement trop souvent adopté par "les deux camps" (microsft vs gnu).


    Certes, Ubuntu est la plus grande réussite "commerciale" des systèmes GNU/linux actuels . Les statistiques sont ce qu’elles sont mais il n’est pas déraisonnable de garder un esprit critique. Le nombre ne fait pas la qualité, sinon le paté de foie serait meilleur qu’un bloc de foie gra
    s ... Je ne nie aucune des qualités de Ubuntu et je ne dis pas non plus que le succès est purement commercial cependant, je pense simplement qu’il est sain de distinguer le succès commercial du succès technique.
    De même qu’il est plus sain d’éduquer les utilisateurs plutot que de les (sur)proteger.

    soyons honnètes, pour faire de la bureautique, s’ils sont aussi bien utilisés l’un que l’autre, windows ou linux ça fait peu de différence pour l’utilisateur. Tout se résume alors soit à un choix de conviction, soit au choix du "plus facile". L’histoire ci dessous, illustre bien vers ou la facilité peut tendre. Je pense aussi que mener la vie dure à la vente liée est l’une des clés majeures du developpement commercial des systèmes alternatifs chez les particuliers. cependant, sur ce point, passer de windows à linux requiert encore de plus ou moins grandes compétences en informatique. Certes la communauté fournis des manuels plutot clairs et précis, mais quand on voit qu’utiliser l’explorateur fichiers est encore un calvaire pour certaines personnes ... On se dit que tant que des machines pleinement fonctionnelles ne seront pas vendues, l’équilibre n’est pas près de s’établir.

    tchuss,
    ndnm



  • ndnm 1er septembre 2008 17:38

    En préambule : je suis moi-même utilisateur convaincu de systèmes GNU/linux autant en desktop que server.
    Mais.... je ne suis pas non plus disposé à lire n’importe quoi sous pretexte que c’est "pour défendre linux" sans réagir. Les faux arguments font plus de mal que de bien à GNU/linux.

    Utiliser un windows sans virus ni spyware, oui c’est possible et je le confirme cela dépend ESSENTIELLEMENT du comportement de l’utilisateur (j’ai longtemps utilisé xp, et depuis j’ai une machine sous vista qui n’a pas de problème d’infection ou de backdoor.... mais un ratio materiel/performence assez mauvais à cause d’un vista blindé de services inutiles... on pourrait dire que pour adapter vista à sa machine il faut une expertise plus grande que pour administrer un GNU/linux).

    Au risque de déplaire aux plus virulant ; effectivement il existe peu de virus linux en circulation sous linux mais cela ne tient pas au meilleur colmatage des brèches... Cela tient à la très faible proportion d’ordinateurs domestiques sous linux. Soyons lucides quelques secondes : si windows colmatait les failles systèmes au même rythme que linux et bien les virus muteraient plus vite, c’est tout. Au prix que valent les données personnelles et les botnets, les créateurs de vers et autres trojans ne sont pas prets de faire une croix sur le business... 
    Le jour (si ça arrive) ou les parts de marché seront plus équilibrés entre GNU/linux et windows j’installerais un antivirus sur mes machines... croire qu’il suffit de mises à jour régulières pour être protégé ou que linux est intrinsèquement immunisé aux virus c’est être bien naif... 

    Maintenant on peut faire quand meme des reproches à windows. En particulier au niveau des pratiques commerciales qui sont loin d’être élégantes. On peut même en critiquer le rapport qualité prix, on peut comparer les cycles de développement (qui sont à mon avis la vrai force du modèle open source) mais il convient de rester lucide et de ne pas tomber d’un exces dans l’autre pour être crédible. Microsoft utilise de faux arguments pour descendre linux, si les lunixiens font de même ils perdent à mon avis tout droit à la critique.

    Enfin, La notion de cout d’un OS est très largement différente pour le grand public et pour les entreprises. 
    Pour les entreprises : linux et windows sont dans les même gammes de prix mais avec un support bien plus efficace sous linux (ce support étant la seule chose que l’entreprise paie d’ailleurs ... ).
    Pour le grand public : linux est gratuit mais il faut savoir se debrouiller tout seul (savoir lire et un ordi connecté à iternet suffit normalement... ).



  • ndnm 1er septembre 2008 16:50

    "Après pour en revenir à certains puriste linux, et de la ligne de commande (fort pratique ceci-ci dit) il me semble y voir parfois une pointe de mépris, je ne trouve pas que vouloir démocratiser un système soit un crime en soi."

    démocratiser est un terme extrêmement vague...
    En répendre l’usage (c’est à dire en mode utilisateur) c’est très bien mais n’oublions pas que le plus gros défaut de stabilité et de sécurité de windows xp réside, non pas dans sa conception mais bien dans son utilisation... Windows a voulu faire croire pendant des années qu’il n’y avait pas besoin de compétences informatiques pour utiliser un ordinateur et c’est ce qui est la principale de l’instabilité de la plupart des pc/windows domestiques... 
    (mac contourne le problème en vérouillant le matériel et le logiciel... ).

     Si on n’a pas appris à s’en servir alors il ne faut pas attendre qu’il fonctionne correctement... 
    quand tous ceux qui cliquent partout sans savoir sur xp/vista auront migré sur GNU/Linux on aura une belle de recrudescence de machines GNU/linux instables.

    Du coup, apprendre aux utilisateurs un peu plus sur le fonctionnement de la machine avant qu’ils ne mettent les mains dans le cambouis (par ligne de commande ou gui, peu importe) est crucial... c’est ce qui me dérange avec ubuntu  : le marketing adopté aimerait bien faire croire qu’on peut administrer un OS (installer du matériel, des logiciels,... ) sans compétence informatique. Ce discours est objectivement faux (quel que soit le système) et nuisible à GNU/Linux ainsi qu’aux utilisateurs.

    "Vous en conviendrez aussi, que pour ceux-ci il trouveront leur bonheur du côté de Gentoo ou Red Hat, voir d’une Debian testing."
    et pas seulement les férus de la ligne de commande. Avez-vous récemment installé un distrib redhat-like ? c’est tout aussi facile à installer et a configuerer qu’une ubuntu. Gentoo est certes à part,... mais des distributions, il en existe tellement... et puis, rendons grâce à ubuntu qui n’a pas été jusqu’à supprimer la ligne de commande (quoi que le principe du sudo soit moisi... ).

    "La mosaïque des distributions Gnu/Linux c’est cela qui en fait sa richesse, et je trouve cela sain. Encore une fois chacun peut voir midi à sa porte.
    "
    Là j’adhère... mais pourquoi présenter Ubuntu comme LA distribution (resic) conviviale alors que c’est plus argument marketing de leur part qu’une réalité technique ... ?



  • ndnm 1er septembre 2008 16:26

    Merci youpi d’avoir remis un peu de réalisme dans ce flot d’argumentaire marketing. Marketing ? oui marketing !
    Car il est possible (preuve en est...) de faire du marketing avec quelque chose de gratuit.

    En dehors de ce dénigrement tellement à tout crin qu’il en est risible de windows (que pourtant j’utilise peu) il y a autre chose qui me frappe dans cet article et que l’intro de youpi illustre très bien : "je suis plus qu’excédé par les commentaires de personnes pensant avoir découvert l’eau chaude en Linux...".
    A titre personnel, j’ajouterai que j’en ai plein l’arrière train qu’on me rabbate les oreilles avec ubuntu qui est une distribution parmi tant d’autres... ni plus ni moins à la pointe en matière d’integration des drivers ou des paquets que plusieurs autres distribs, ni plus ni moins à la pointe en termes de convivialité pour l’utilisateur/l’administrateur, une communauté plus vivante que pas mal d’autre mais bien moins pertinente que certaines autres... 
    Donc, oui linux c’est bien, ça a fait plein de progrès mais un tel engouement pour une distribution en particulier c’est de la technique de propagande marketing ou je ne m’y connais pas ! Gratuite ou non, ubuntu est une marque commerciale. Un peu comme un type qui viendrait de découvrir les ordinateurs et qui dirait "ouais trop bien les HP " ou "Un dell c’est trop pratique..." etc... 
    Je ne cite volontairement aucun nom (je ne suis pas là pour faire de la promo) mais des distributions, j’en ait testé et j’en teste régulièrement d’autres encore... si on reprend les arguments avancés par l’article pour faire de
    Ubunbtu "LA" distribution à choisir (sic) et bien je vous dirais qu’il en existe plusieurs d’au moins aussi bien sur l’ensemble des points... avec d’autres avantages et inconvéniants, en dehors du champ de cet article.

    PS 1 : dire que "Le problème des périphériques n’est pas un probleme Linux, c’est un problème de constructeurs ne voulant pas s’ouvrir ou collaborer avec Linux" c’est de la mauvaise foi !
    C’est un problème linux qui ne vient pas de la conception ou de la qualité de l’OS c’est vrai mais c’est bien un problème spécifique à l’OS... d’ailleur ce sont ces problèmes d’integration des drivers à linux qui peuvent parfois être determinants dans le choix de la distribution (ubuntu ayant par exemple quelques difficultés avec certains chispet wifi que ne rencontre pas d’autres distributions...ce qui n’étonnera pas ceux qui savent que les noyaux ne sont pas identiques d’une distrib à l’autre ... ).

    PS 2 : et pourtant je suis utilisateur convaincu par la pratique du GNU/Linux...




  • ndnm 29 août 2008 15:40

    mais, mais, mais ... lerma... ?? voila qui me troue le dérrière ! Bravo (en toute sincérité) pour cet accès de lucidité !

    moyennant quoi, les erreurs (euphémisme inside) du président géorgien ne doivent pas conduire à blanchir la russie qui au final défend bien plus des intérêts qu’on esperait d’un autre âge que la liberté ou le droit d’un peuple. Les russes n’ont pas non plus parfaitement raison, ils mettent en oeuvre la représaille que poutine avait annoncé suite à l’épisode kosovar. En effet, par rapport au kosovo la situation est symétrique mais je ne crois pas qu’un "camp" ait de meilleures motivations que l’autre. hélas, trois fois hélas.

    PS :Puisque vous condamnez ce président élu démocratiquemnt à 98% vous vous engagez donc à ne plus jamais nous servir un 53% comme justification d’une idée stupide, dangereuse ou perverse d’un nain de jardin ? c’est vrai, c’est promis ?




  • ndnm 29 août 2008 11:05

    "Ce qui est remarquable c’est le changement de ton adopté par Medvedev qui apparait enfin pour ce qu’il est : un dure. Contrairement au portrait de toutou de poutine que l’on en faisait dans nos chers médias."

    Moui... enfin, le durcissement de ton n’empêche pas grand chose au contrôle de putin sur le gouvernement russe. C’est vrai qu’en France en matière de toutou on a surtout des incompétents comme Kouchner (dont la ressemblance avec Douste-Blazy m’effraie de plus en plus) alors ça fait drôle de voire une "voix de son maître" qui à l’air de "quelque chose" (aussi terrifiant que soit ce quelque chose). Mais, c’est juste une question d’habitude et surtout il n’y aurait rien de surprenant à ce que putin, lui-même, ait été au moins aussi dur dans ses positions... c’est quand même pas un tendre le vlad (un type qui gaze ses compatriote pour faire la nique à une poigné de "terroristes" c’est loin d’être un bisounours ou un fin diplomate...).





  • ndnm 28 août 2008 12:38

    Voltaire, votre réponse est pour le moins étonnante... 

    Vous dites donc, qu’en Georgie, des georgiens (qu’il est raisonnable, vous en conviendrez de distinguer socio-culturellement des ossétiens) ont été déplacés (par qui ? sous quelle autorité ?) de la province de l’ossétie au motifs qu’ils refusaient l’indépendance de la dite province ?

    Donnez donc plus de détail et plus de référence car en l’état votre propos semble bien confus et bien improbable.

    les faits sont que cette année un référendum a eu lieu en ossétie et que 90% des habitant de l’ossétie souhaitaient l’indépendance. Les faits sont qu’hélas, suite à la déclaration d’indépendance des georgiens ont fuit le territoire ossète, dans des conditions qui sont humanitairement regrettables (euphémisme) mais hélas classiques en ce genre de situation et que la communauté à toléré au kosovo.

    Le déplacement des geogiens aurait donc été organisé pour rendre majoritaire la volonté d’indépendance ? je répètre donc ma question : par qui et sous quelle autorité ?
    L’éventualité d’un gouvernement georgien qui vide un territoire pour laisser place à une situation conflictuelle car jugée intolérable par ce même gouvernement.

    si vous accreditez cette thèse, vous donnez du grain à moudre à ceux qui prétendent que le conflit fut planifier par d’aucuns... 



  • ndnm 26 août 2008 16:09

    "Tout sondage, toute mesure sur un échantillon statistique comporte ce qu’on appelle une marge d’erreur. Celle-ci est une propriété intrinsèque à la mesure"

    Je dirais plutot qu’il existe des marges d’erreurs. En statistique il existe deux manières pour une mesure d’être de mauvaise qualité :

    - la dispersion : qui indique les variations de différentes mesures sur une même population. (l’image classique est un groupe de flechettes courvant l’intégralité de la cible).

    - le biais : qui indique un décalage systèmatique entre les mesures et la réalité. (l’image classique est un groupe de flechettes très concentrées autour d’un point qui est pourtant bien éloigné du centre la cible).

    Ce sont effectivement des imprécisions inhérentes à la méthode fut-elle parfaite. Ces paramètres sont peu ou prou estimables pour peu qu’on utilise des méthodes scientifiques d’échantillonnage ce qui n’est en pratique pas le cas (la plupart des sondages sont basés sur la méthode des quotas qui n’a absoluement aucun fondement théorique).

    Il ne faut surtout pas oublier, cependant, de rajouter les imprécisions sondagières venant du peu de probité scientifique des-dits instituts dans la méthodologie d’enquête. Scientifiquement, la méthode des quotas n’a que peu de valeur. Empiriquement, on la dit aussi valable que la méthode aléatoire mais aucune étude scientifique de la chose ne le démontre (voire même le contraire)
    Quand bien même, cette fameuse méthode des quotas n’est bien souvent que très mal appliquée.... en particulier lorsque certaines cibles sont difficile à joinde ou à faire répondre il arrive souvent que les instituts aient recours à des méthodes médiocrement scientifique (intérogation de l’entourage, constructions d’échantillon au petit bonheur la chance et redressement atrocement distrodants)...

    Un autre facteur important est la neutralité de l’institut face au sujet d’étude.

    - Un sondage ne sort pas de nulle part. Il est commandé par un client à un prestataire. Le reflexe commercial de survi du prestataire conduit ce dernier à vouloir faire plaisir à son client. Si on prend en compte le fait que la pertinence scientifique n’est pas ce à travers quoi le client fonde sa satisfaction, on comprend aisément que les instituts ont un net interet à présenter des sondages dont les résultats sont flateurs pour leurs clients.
    Cela ne se traduit en général pas, dans la pratique, à un bidonage des chiffres (encore que... ) mais à une asymétrie à l’exament des résultats. Par exemple, le candidat C commande un sondage à l’institut I . Si les résultats (redressés etc... ) sont très défavorable à C alors I va les reverifier jusqu’a ce que le dernier espoir qu’il existe un erreur soit épuisée. Si les premiers résultats sont favorable à C, le nombre de controles est souvent réduit à néant. Au pire, le sondage ne sera pas publié et tout le monde l’oubliera.

    Ensuite, il y a ces fameux redressement. Les sondeurs professionnels disent pudiquement que c’est le "métier" qui permet de faire les bons redressement. D’autres moins pudiques parlent de "nez" (ça sent déja le pifomètre) . Les plus réalistes parlent de capacité d’enfumage... 
    Il y a effectivement une part de bon sens à se dire que certains electeurs du FN seront réticent à clamer leurs choix electoraux. Cependant, un esprit équilibré et connaisseur de ses compatriotes reconnaitra sans peine que certains autres clameront volontier voter FN pour provoquer une réaction (le fameux "vote contestataire" du premier tour). Seul un escroc pourrait prétendre, à une date donnée, savoir quel groupe est plus important que l’autre.

    Les sondages en sortie des urnes sont redressés, mais sur des données objectives. Deplus, ils présentent une énorme différence avec les autres types de sondage : on ne pose de question à personne ! On observe les résultats des dépouillements (sortie des bulletins de l’urne) et on peut ainsi en choisissant les bureaux de vote qui ont montré dans le passé la meilleure représentativité extrapoler le resutlat final. 

    = > leur résultat n’a aucun enjeux de communication ou commercial
    = > aucune question n’est posé mais un simple observation incontestable est faite
    = > leur redressement est fait de manière scientifique et non suivant un méthode secrete (dite du pifomère)

    dès que le reslutat du sondage a une influence sur la santé économique du sondeur (par l’intermédiaire du client)
    dès qu’il s’agit d’une réponse à une question (à la quelle on peut mentir)
    dès que les resultats bruts et la méthodologie précise d’échantillonage ne sont pas donnés ...

    on peut se dire qu’un sondage n’a comme valeur que les sous que l’institut à toucher pour le réaliser.



  • ndnm 26 août 2008 14:25

    Interessant éclairage... 
    il me semble que le fameux "l’important c’est de participé" est, de plus, une citation apocryphe ...

    Autre fait que l’on a porté à mon attention récemment et qui mérite, je pense, d’être diffusé : cette célèbre tradition de la flamme, pour autant qu’elle fût pratiquée dans l’antiquité, n’a été remise au goût du jour en 1936 ; parait-il dans une volontée de flater le régime nazi... 
    Certe la proposition de raviver la flamme chaque année était antérieure à l’accession du régime nazi au pouvoir (accession démocratique, rappellons-le à ceux qui font de la démocratie un gage ultime de qualité) mais "inaugurer une tradition" est un genre de symbole que l’intelligence aurait reservé à d’autres...





  • ndnm 14 août 2008 16:39

    Bel article, clair et concis...

    A tous les non-comprenant donc le raisonement se limite à voire trois lettres partout :

    L’objectif de l’article n’est pas de dire si la vieille peripatéticienne à eu raison ou tord de voter comme elle l’a fait.
    Ce qui est remis en cause dans l’article c’est honnêteté du sondage. En l’occurence ça n’est pas brillant. Cette technique de questionnement biaisé est très courante comme type de manipulation en amont. Cela s’appelle un choix forcé et il s’agit de l’arme favorite des sophistes de bas étage comme notre raz-du-sol. Pour ceux qui ont la mémoire courte : "vous preferez ma vision de l’immigration (choisie) ou que des hordes d’étrangers viennent égorger vos femmes, vos compagnes ... ?" ( à vomir et à pleurer que ça ait marché)

    En mathématique, et plus généralement en logique, lorsqu’une disjonction de cas n’envisage pas tous les cas possibles (par exemple et sans que cela soit exhaustif : que Lang ait participé à l’élaboration du texte puis voté son adoption par pure carrièrisme - dont il est coutumier) on dit à juste titre que le raisonement est nul et non avenu...

    Ce sondage est donc scientifiquement nul et non avenu ... il n’apporte aucune autre information que l’intention du sondeur.



  • ndnm 14 août 2008 16:19

    Lerma, une coquille s’est glissée dans ton commentaire :
    on lit "l"homme de droit qu’est Jack Lang" au lieu de "L’homme de droite qu’est Jack Lang"

    On te pardonnera cette fautre de frappe en même temps qu’on appréciera la référence à Claude Allègre, un homme dont le nom rime avec intègre par le pur fruit du hasard...
    Bon allez j’avoue, j’abuse un peu ... ce n’est peut-être pas un manque d’intégrité mais simplement une énorme carrence en intelligence.




  • ndnm 12 août 2008 16:08

    parlant de carpette le constat est fait par les pieds des permiers interessés :

    http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=88377





  • ndnm 12 août 2008 14:31

    "Simultanément, il n’est pas tombé dans le piège grossier qu’on lui avait tendu,  de se fâcher avec la Chine [...] "

     ?? vous avez un peu suivit l’actualité récemment ? vous savez comment les chinois se fachent ?
    J’ai un bon scoop pour vous : Sarkozy s’est déja fâché avec les chinois et les menaces on déjà volées .. à la chinoise ... " les conséquences seraient très graves etc ...". Quand un sarkozy menace pas besoin de paniquer il a un grande bouche mais un tout petit courage, quand un chinois vous dit ça c’est que les conséquences sont déjà très graves... eux ne sont pas des poltrons.
    C’est pour cela qu’il est ventre à terre, le nain : il en mouille son pantalon que les chinois lui fasse bouffer ses contrats.

    Il n’est peut etre pas tombé dans un pièges qu’oncque lui aurait tendu mais son populisme a tout crin a déjà envoyé un "message fort" aux chinois : "je suis une carpette et si vous montrez les dents je m’applati... ".

    Soyons serieux deux minutes ce roquet de bas-étage (no pun intended) est un vrai spécialiste de la dureté avec les faibles et le roi de la pompe avec les puissants (même remarque). Il n’a pas plus de courage que d’intelligence diplomatique.

    Comme il lui a déjà été fait remarqué : sur ce coup là (comme sur bien d’autre) il est minable.



  • ndnm 5 août 2008 17:46

    Marta à écrit :

    "Qui vous dit que l’on doit se ranger en "philo" ou en "anti" semites ?

    La question n’est pas la.

    Quand je fais la connaissance d’un con, je me moque de savoir s’il est juif. Et s’il me dit qu’il vient de se convertir a cette religion, alors son philosemitisme ne fait pas de moi un antisemite, meme si je persevere a le trouver tres con."


    Merci Marta !

    Merci de dire si simplement une évidence qui pourtant semble masquée par tant passions, un peu partout.
    Merci également de dénoncer au passage cette horripilante manie que les personnes de peu d’honnêteté ont de manier des pseudo-raisonement du type "vous n’est pas pro-machin c’est alors que vous êtes anti-machin".

    Non aux arguments fallacieux, oui à votre bon sens !

    ndnm.



  • ndnm 5 août 2008 15:30

    D’accord avec vous, bien que trouve le "servateur" légèrement superflu...
    Néo-con serviteur ... ? oui, ça colle mieux...