Les commentaires de lisca

@sophie
C’est jouer sur les mots. La Vologne coule dans une vallée... de montagne
https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/lepanges-sur-vologne-un-village-des-survivants

Ses romans sont construits comme un problème de logique ou de mathématiques. Il s’agit de philosopher.

Si bien qu’on peut s’en fatiguer.

Si bien que les personnages, souvent abstraits, ne sont pas toujours crédibles, et même répétitifs. Surtout les personnages féminins, bien plus simples ou pas aussi simples, dans la réalité.

 D’excellentes trouvailles, belle écriture. La Plaisanterie... Des nouvelles décrivant avec exactitude et férocité la logique de la foule, de la plèbe, des masses dès qu’elles ont un peu de pouvoir. On l’a vu lors de la folie covid.

Merci pour ce rappel, rosemar ;

Joli article, poèmes, illustrations. 

Encore une histoire de gens fort ennuyeux qui ne ressemblent à rien ni personne.

Rendez-nous Tristan et Yseut la blonde, Tchekhov, Tourgueniev, Apollinaire etc.

Un peu de variété dans l’inspiration des scénarios, please. Puisez, puisez, l’eau est bien fraîche.

Le marais, le chant des grenouilles, c’est bien, mais pas tout le temps.

Précision : cette civilisation-là (locomotive) d’avant 1950-60 n’a évidemment plus grand chose à voir avec le cauchemar actuel. Elle a été subvertie, détournée de sa fonction, « desalmada » (privée de son âme) de façon très perverse, diabolique.
Il en reste assez cependant pour un renouveau. Espérons !
Oui la civilisation dite occidentale (l’Ouest, le Nord) fut une locomotive ; les faits sont là.
Non, toutes les civilisations et/ou cultures ne se valent pas. Tant pis pour ceux qui se croient plus égaux/ego que les autres.
Oui le « Nord collectif » pourrait la régénérer, notre Europe. Non le Nord collectif n’est pas l’OTAN.
Oui, vive mes ancêtres qui se retournent dans leur tombe en voyant ce qu’ils voient, entendent ce qu’ils entendent, de là-haut.

@Ouam (Paria statutaire non vacciné)
Les femmes ne sont pas comme les hommes. Elles font plus attention à ce que les autres pensent d’elles. D’où un conformisme plus répandu.
Elles ont aussi envie de s’occuper d’un petit. C’est la nature qui le veut.
Bien sûr qu’ensuite, le petit devient grand, coûteux, ingrat, indifférent, voire pénible.
C’est sa nature. Il n’empêche, les femmes en général, sauf certaines qui sont heureuses dans la vie, belles, entretenues et admirées comme des gosses, ont besoin dans leur jeunesse de câliner un tendre rejeton. Un petit les aimera toujours, quelles qu’elles soient : grosse ou maigre, moche ou belle, blonde ou brune. Ce qui motive plus d’une à « se coller un marmot ».
Les hommes qui ne travaillent pas de leurs mains ont souvent été assez faiblement motivés par le mariage. Chez les bourgeois plus ou moins actifs, il fallait les payer pour qu’ils épousent. Par ici la dot ou... rien. Les entrepreneurs, les ouvriers et les poètes ont, eux, absolument besoin d’une femme à leur côté.

@placide21
A propos du lien : Le premier objet de la maison auquel tient Serge, une fois entendu le discours angélique de sa compagne : un squelette pendu au mur !
Mon Dieu la pauvre, quel décor au quotidien !

Au centre de la photo, l’épouse de Zel, en bleu, zyeute Macron. Il pense à Brigitte, pourtant, très exactement en parallèle de Zel qui, lui, n’y pense pas. La ministresse d’un tout petit pays balte tente de raisonner la femme de Zel :

— Allons, petite, fais-toi une raison. Même si on ne la voit plus nulle part sauf le 14 juillet, Brigitte est restée chère au coeur de Manu.

— Oui mais moi, je suis mieux et je mets des robes longues, c’est quand même plus présentable. Mon Zel, personne n’en veut plus. Toutes ses maisons vont être réquisitionnées. Que faire ? il me faut du confort. Manu, lui, il lui reste Brégançon !

— Sûr qu’il gagnerait au change, mais crois-moi, ton Zel n’est peut-être pas une si mauvaise affaire. Tu t’en apercevrais vite !

— Oh toi alors, comme briseuse de rêve ! C’est pas que je l’aime, c’est qu’il me le faut !

L’Occident, dit « l’Oxydant », c’est un terme impropre. Il inclut le Japon, l’Australie... qui ne sont pas des terres du soleil couchant...

Une nouvelle locution est apparue : « l’Occident collectif » pour désigner plus ou moins les pays sous parapluie flingueur otanesque, sommés tenus de marcher au pas.

Et une autre : le « Nord collectif ».

J’aime bien cette locution-là. Elle inclut la Russie, la neige, la blancheur des vrais sommets, la blondeur des blés, celle de Marieke... Ah Marieke, Marieke, je t’aimais tant, de Bruges à Gand...

"Je suis occidental, je n’en tire ni orgueil ni honte. Simplement descendant de la civilisation dont les réalisations firent entrer l’humanité dans la modernité. « 

Ah que ces temps-là reviennent.

 »Faut-il qu’il m’en souvienne
La joie venait toujours après la peine"

Ne tirer ni orgueil ni honte d’une civilisation motrice (locomotive) ? Moi, je suis plutôt bien fière d’appartenir, quelque part dans la brume du souvenir, à cette civilisation-là. Et bravo les ancêtres !

@Jonas
Merci pour ces précisions. Et vive la justice !

@cevennevive
Euh... Pour se faire taper dessus ?

Elle a servi de modèle à une génération de femmes-enfants, a été bien abusée, entraînée aux substances dangereuses et trompée à tire-larigot par son Gainsbourg même pas beau, l’a laissé se conduire de façon pas très appropriée avec sa propre fille, celle qui fut (un peu trop) choyée. L’autre, l’aînée, victime des années soixante-dix, a disparu happée par le vide, un soir de dépression.

Ah la gadoue, la gadoue. On s’y embourbe assez vite, à l’âge d’or de Hollywood.

Jane a été bien jolie, avec le charme frêle des petites Anglaises d’autrefois (elles ont grossi depuis), au teint de rose. Elle a rejoint sa fille, tant mieux pour elles deux. Malgré le conformisme intéressé de Jane, malgré sa lemon de fille Gainsbourg, elle laisse le souvenir d’une femme souriante, presque innocente, un peu victime. Requiest in pace.

Ce bonhomme, avec sa tête ronde de bande dessinée, son prénom comique et son nom pas franchement franchouillard, est tout aussi improbable comme ministre en France que Emm. Macron comme président.

Par contre, comme emblème de la Déséducation par Multinationales, il fait bonne figure. Bon, il a été mis là, comme d’autres, pour y attendre une excellente retraite, prise à la petite cinquantaine, après s’être bien chauffé les pantoufles aux chenêts de la France qui flambe.

Il lit son texte avec application, ne pense ps un mot de ce qu’il lit, met ou a mis sa progéniture à l’école privée (j’imagine), la fait conduire par des gardes du corps, et prend sur ses épaules robustes toute la colère des gens lésés. Ah vivement la retraite, se console ce Pip-Pap-Pop. En fait, les histoires de culottes le gonflent.

@Lynwec
Et surtout quand Nice n’est pas loin.
Ah Nice... Sa promenade des Anglais, ses camions, ses petits enfants qu’on retrouve ensuite, mais pas tout à fait entiers...

@Pauline pas Bismutée
Gregory aussi vivait dans un endroit montagneux.

Cette histoire pourrait être un test, réalisé à grande échelle. Un prétexte à entrer chez les gens, faire des repérages, lancer une énorme enquête sur un endroit peut-être stratégique. Il y aurait une « secte » (prudence sur ce terme) à proximité. Un avion est tombé par là il y a quelques années, son pilote accusé ou soupçonné par les médias officiels d’être une sorte de junkie (impossible pour un pilote, très surveillé et testé, à moins qu’il n’eût été vaxxé, ce qui n’était pas encore le cas) ou de suicidaire voulant mourir en tribu serrée (pas crédible, témoignages d’amis, collègues et parents contredisant cette hypothèse).

Un petit Yanis avait disparu dans la région, il y a longtemps déjà.

Il y a peut-être une volonté venant du haut d’en finir avec certains réseaux ?

J’espère que c’est le cas, et que le petit chou de la photo est sain et sauf quelque part , avec son sourire d’explorateur invétéré, encore si confiant dans l’être humain.

@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Les femmes, les femmes...
On va dire les bourgeoises.
Les autres veulent le beurre, c’est meilleur sur le pain sec, mais très souvent elles triment de leurs douces mains et petits petons pour pouvoir l’acheter deux fois ce qu’il coûtait l’an dernier.
En fait tout le monde voudrait le beurre, l’argent du beurre, la belle vie... Les hommes y ajoutent le sourire de la crémière (et + si affinités). Le sourire du crémier, pour les femmes, est devenu aussi rare que sa crémerie. C’est la caisse enregistreuse, maintenant.

@I.A.
Quelle masculinité ? Quand les « transitionnés » favorisent-ils et favorisent-elles la bravoure, les cheveux courts, le paiement des factures de la famille par le dur travail, l’énergie du chasseur/pourvoyeur (donner de soi-même toujours) etc. ?
Ce n’est pas la féminité qui souffre de nos jours ; c’est la masculinité.
L’image de la femme (maman ou amante) reste bonne et appréciée. L’homme ne peut en dire autant.

Un homme transgenre ?!!! Elle ?!

Mais elle est (était) femme jusqu’au bout de la cravate !

Et la barbe alors ?!!!

Ce fut une idée folle. Qui a bien pu la lui mettre en tête ?

Et les copines, ça ne les faisait pas rire, de telles prétentions à les courtiser un jour  ? Un peu de moquerie à l’âge tendre l’aurait pas mal aidée à relativiser ses envies.

Il y a une guerre authentique contre l’humour dès la maternelle. Ne riez pas ! Ne vous moquez pas !

Alors que la France est (fut) le pays des moqueurs et des Jean de La Fontaine, pour son plus grand bien.

@I.A.
Et il promeut le wokisme ou est forcé de le faire, sauf pour...
sa progéniture, élevée dans les règles classiques, avec latin-grec peut-être ; chez les riches, dans la vieille pierre, où tout est plus vert, plus beau, plus français ou plus suisse, en tout cas pas en cité chez les ignares chahuteurs,
protégée financièrement dans les règles bourgeoises, haut-bourgeoises, petites-bourgeoises, moyen-bourgeoises : les enfants d’abord, ensuite les neveux, ensuite les gens de sa sorte (caste) avec lesquels troquer, échanger, comploter, mais n’allez pas le répéter ni en faire autant : vous serez fort maltraités,
avec héritage à la clé, avant mort, pendant mort, après mort du père Noël, à tout instant de la vie de la progéniture,
Et nos petits Mozart qu’on assassine baillent aux corneilles en classe, sommés d’écouter une pauvre folle parler de soi en se pourléchant. Ils finiront à la casse, c’est le but ; leurs condisciples se ridiculiseront, dégraderont et damneront pour un sac de marque ou deux-trois liasses et une livrée de laquais, quelque part chez les amis proche-orientaux de la famille.
Enfin n’exagérons pas non plus. iI faut une élite véritable, et autant avoir des riches bien élevés que de l’enrichi brutal et pas dégrossi.
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