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Les commentaires de Jean



  • Jean 29 juin 2010 07:52

    Tous ces profiteurs sont grassement payés avec notre argent et il faut que ça cesse.

    C’est parce que la Vème République est devenue peu à peu une monarchie qui ne dit pas son nom dans laquelle la nouvelle noblesse frétille autour du monarque et n’a qu’un but obsessionnel, s’en mettre plein les poches.
    Aujourd’hui les élus ne se font pas élire pour servir mais pour se servir.
    Le problème , c’est de savoir qui élire président en 2012 puisque la gauche traîne autant de casseroles que la droite. Bayrou ? Mais il a tellement de mal à articuler une pensée claire qu’on ne sait pas où il en est au juste !
    A propos de « conseillers au cabinet du ministre », il y en a TRENTE dans celui de Chatel (liste sur le site du ministère de l’éducation nationale). Cela en fait du monde grassement rémunéré ! Sous Darcos, ils étaient , je crois une douzaine. On admire la progression !


  • Jean 22 juin 2010 11:02

    C’est ce que je dis, Traroth ! Il y a visiblement une complicité des médias et des politiques pour faire croire au bon peuple que le football est le problème national le plus important.

    Alors, à qui profite toute cette mise en scène grotesque ? L’intervention de Bachelot, ridicule pour toute personne qui réfléchit, mais visiblement faite pour accentuer la pagaille et pour dramatiser l’affaire un maximum, pour faire pleurer dans les chaumières de façon à faire oublier les difficultés économiques et les scandales, me fait penser à l’affaire de la grippe A, où elle avait déjà fait tout son possible , pour mettre de l’huile sur le feu et servir les puissances d’argent.



  • Jean 22 juin 2010 07:59

    Toute cette agitation autour de l’équipe de France de football vient à point pour détourner l’attention des Français des problèmes épouvantables qui les étranglent et des scandales qui se multiplient !



  • Jean 24 mai 2010 12:58

    Eh oui, personne n’ira défiler le 27 mai sur vos mots d’ordre ! 


    Alors, avec un pseudo comme le vôtre (Etre Realiste) vous devriez en prendre acte, faire preuve de réalisme et de pragmatisme et au lieu d’essayer vainement de remuer des foules sceptiques voire indifférentes, vous tourner vers l’action politique que nous permet (encore) notre république, comme nous y appelle fort justement Bob. 

    Les élus sont ceux que NOUS avons choisis ! Si à l’usage ils ne nous conviennent pas, il faut voter pour d’autres la prochaine fois !


  • Jean 24 mai 2010 12:22

    Tout à fait d’accord, bob, on a les dirigeants qu’on mérite.

    Cela dit, même si nous élisons, pleins d’espoir, des gens en qui nous avons une parfaite confiance, le crash de Smolensk nous rappelle ce qui peut arriver à un gouvernement qui ne suivrait pas la ligne. La ministre de la Santé polonaise n’avait-elle pas refusé, elle seule parmi tous les ministres de la Santé européens, la logique absurde de la fausse pandémie, de la campagne de vaccination mensongère et des achats pharaoniques de vaccins et antiviraux inutiles... ?


  • Jean 22 mai 2010 22:38

    « La quiétude de l’enseignement »...


    Excusez-moi, mais vous dites n’importe quoi ! 
    Je vous conseille d’essayer de faire cours devant une trentaine de collégiens, ne serait-ce que pendant une heure, a fortiori pendant toute une année, et vous verrez si vous oserez encore évoquer la « quiétude de l’enseignement ». Car instruire une classe est quelque chose de difficile même si vous n’avez aucun problème de discipline. Passionnant certes, hautement gratifiant, mais difficile.

    Par ailleurs, quelqu’un évoquait ici la prétendue réussite exemplaire de l’école finlandaise. 
    Mais cette « réussite » correspond aux caractéristiques et aux exigences de la société finlandaise, qui n’est pas la nôtre. Nous avions, nous, une école de masse faite pour cinquante millions d’habitants et qui fonctionnait aussi bien que faire se peut jusqu’à ce que nous nous acharnions nous-mêmes à en saper les fondements. Nos enseignants eux-mêmes se sont acharnés à contester leur propre autorité, ont épousé les théories pédagogiques les plus délirantes au nom de l’esprit frondeur qui est celui des Français. L’idée même de contrainte imposée aux enfants, « centres du système », était devenue insupportable aux yeux mêmes des « pédagogues ». Et pourtant, là où des principes simples, clairs et de bon sens continuent d’être appliqués, on trouve des établissements scolaires qui marchent bien, des professeurs qui professent et des élèves qui étudient.


  • Jean 22 mai 2010 16:11

    « La meilleure école possible », comme vous dites, Chalot, c’est celle où tout enfant peut acquérir les bases des connaissances qui lui sont nécessaires pour se préparer à une vie professionnelle et personnelle future la plus épanouie possible.


    Pour cela, il faut que deux conditions soient remplies, et deux seulement : 

    1) que les professeurs transmettent des connaissances solides et précises, autrement dit qu’ils fassent de bons cours au lieu de faire perdre leur temps aux élèves avec des méthodes pédagogiques vaseuses et improductives comme les « séquences » en français par exemple. Meirieu et ses disciples portent de ce point de vue une large responsabilité dans la déliquescence de l’enseignement ;

    2) que les classes ne soient pas constamment perturbées par des élèves qui détestent étudier et le font savoir en mettant la pagaille. A cet égard, le communiqué de presse du Ministre de l’Education publié au lendemain du colloque sur la violence à l’école et qui déclare que les élèves qui perturbent un cours pourront en être éloignés aussi longtemps que nécessaire marque un réel progrès et permet d’espérer pour bientôt la fin du « bordel » dans les classes de collège.

    Ces deux conditions peuvent être réunies dans un collège de ZEP aussi bien que dans un collège bourgeois.

    Si elles ne sont pas remplies, vous pourrez baptiser « ambition réussite » tous les collèges que vous voulez, ce ne sera qu’un mot creux.




  • Jean 1er mai 2010 10:21

    Comme Ministre de l’Education nationale, Allègre a énoncé au moins deux vérités :


    1ère vérité : « Il faut dégraisser le mammouth. » Il voulait dire qu’il faut débarrasser les bureaux administratifs de l’E.N. des inutiles et des parasites qui s’y sont multipliés, et non pas diminuer le nombre de professeurs comme on le lui a fait dire à tort. Il avait vu juste. Mais au lieu de l’écouter, on a continué à faire le contraire.

    2ème vérité (je résume) : « Le langage des chercheurs en pédagogie est un charabia pédant, insupportable et inutile. » Il avait parfaitement raison. Il suffit de lire quelques lignes de ceux qui, au lieu d’enseigner, ont fait profession de discourir sur la pédagogie (par exemple, Meirieu) pour s’en convaincre.


  • Jean 18 avril 2010 11:57

    Tiens, une déclaration conjointe de Mme Bachelot et de Mme Jouanno, selon lesquelles il n’y a « aucun risque sanitaire » avec le nuage volcanique ! 


    Si c’est comme avec la vraie fausse « pandémie ».... 


  • Jean 17 avril 2010 15:06

    Rien compris à ce que vous écrivez, Francis Pisani !

    Pourriez pas vous exprimer clairement ?


  • Jean 15 avril 2010 17:52

    Contrairement à ce que vous dites, absolument personne ne s’attendait à « passer un long hiver avec la grippe » du cochon, sauf ceux qui n’avaient pas assez de cervelle pour se rendre compte que tout cela n’était qu’un coup monté. Les quelques naïfs qui sont allés benoîtement se faire piquer ont simplement joué à dérégler, bêtement et inutilement, leur système immunitaire. 



  • Jean 15 avril 2010 13:53

    A qui appartient donc Libération ?

    Si l’on en croit le site www.theflucase.com, la campagne de vaccination grippe A continuerait dans beaucoup de pays du monde et la propagande de l’OMS n’aurait pas désarmé.
    Si la campagne de vaccination n’a pas pris en France, pour le plus grand dépit de la mère Bachelot, c’est parce que les gens qui avaient deux doigts d’esprit critique ont compris tout de suite que le prétendu péril de la grippe du cochon était une fiction, que toute cette agitation puait à plein nez la manipulation. Et comme le bon sens, comme le dit Descartes, est la chose du monde la mieux partagée, si BigPharma veut remettre ça, il aura encore plus de mal à nous imposer ses saloperies, même en étranglant internet.


  • Jean 12 avril 2010 00:00

    La seule mesure qui soit nécessaire aujourd’hui pour remettre tout ce petit monde au travail, c’est un sérieux tour de vis.

    Comme vous le dites très justement, srobyl, ce n’est pas une question de nombre d’élèves par classe, mais de discipline imposée aux élèves dans tout l’établissement, et donc dans les classes.
    Vous pouvez avoir dix élèves par classe, et un bordel monstre à chaque cours. Comme vous pouvez en avoir quarante dans un collège fermement dirigé et qu’on entende une mouche marcher !
    L’éradication des fausses « sciences de l’éducation » est le corollaire de la mesure précédente. Le problème, évidemment, ce sera quoi faire des inutiles bavards qui peuplent ces instituts et qui sont proprement bons à rien dans l’enseignement secondaire puisqu’ils n’ont en général ni Capes ni agrégation ?


  • Jean 11 avril 2010 16:11

    Pourquoi les défenseurs d’une école qui continue d’instruire solidement les élèves sont-ils incapables de définir une stratégie efficace ? demandez-vous.

    Eh bien, si, ils en sont capables, et le SNALC et la Société des agrégés ne cessent d’adresser au Ministre de l’Education leurs observations sur les mesures envisagées et leurs suggestions sur les mesures à prendre, et croyez-moi, c’est du solide. Mais nous sommes minoritaires dans le corps enseignants, où, comme partout ailleurs, les démagogues ont toujours plus facilement la cote que ceux qui promettent que demain on rasera gratis.
    Mais allez sur les sites du SNALC et de la Société des agrégés, et vous reprendrez espoir dans le corps enseignant.


  • Jean 11 avril 2010 14:54

    @ Leonid Bronstein

    Vous avez raison quand vous dites qu’une partie des enseignants ont, en honnissant l’élitisme, scié la branche sur laquelle ils étaient assis et ont encouragé de fait la bordélisation du système, soutenus par les fumeux chercheurs en fausses « sciences de l’éducation » et les syndicats à la botte. Il faut voir , en effet, les tronches catastrophées et les haut-le-coeur de mes collègues quand, chaque année, je propose de rétablir une distribution des prix de fin d’année ! Cela dit, allez sur le site du seul syndicat non bien-pensant de l’E.N., le SNALC, deuxième syndicat de l’enseignement secondaire, et vous verrez que tous les professeurs en sont pas complices des pédagos iufmisés, loin de là. Allez voir aussi sur le site de la Société des agrégés (8000 adhérents, tous agrégés par concours), et vous découvrirez que l’idéal d’un enseignement qui apporte à chacun le maximum d’instruction dont il est capable est encore partagé par beaucoup de professeurs du public.
    Pour vous donner une idée concrète de ce qui peut encore se faire dans certaines classes de collège public aujourd’hui, dans mon petit collège, j’enseigne à tous mes élèves la grammaire traditionnelle des natures et des fonctions, (la seule utile parce qu’elle a des retombées concrètes dans l’apprentissage des langues vivantes et anciennes, et les élèves s’en rendent compte) et je leur explique des pièces de théâtre complètes : Le Cid, L’Avare, Le Médecin malgré lui, Knock, Le Malade imaginaire, Les Femmes savantes, etc. , et ça leur plaît. De même la lecture en classe in extenso, avec le minimum de commentaires, d’un chef d’oeuvre absolu tel que Le Tour du Monde en 80 Jours a révélé à beaucoup de mes élèves le plaisir de la lecture.


  • Jean 11 avril 2010 11:54

    Il faut « rendre à l’exclusion de la classe son caractère exceptionnel.


    Ce sont exactement les termes de la Circulaire Royal de 2000, dite »Circulaire félonne" !
    Autrement, dit, on a bien progressé !


  • Jean 11 avril 2010 11:48

    Il y a dans le Communiqué de presse du 8 avril une phrase absolument capitale qui pouvait laisser croire que le Ministre avait compris le problème :


    « Les élèves perturbateurs pourront être sortis de la classe et placés dans des structures adaptées, aussi longtemps que nécessaire. »

    Bravo ! On applaudit, car c’est ça le seul et unique problème urgent de l’E.N, ces petits cons qui mettent le bordel dans les classes en toute impunité et empêchent les élèves sérieux, qui sont en majorité, d’étudier.

    Le hic, c’est que dans le Discours du même jour, qui est beaucoup plus développé que le Communiqué de presse, on lit la phrase suivante :

    il faut « rendre à l’exclusion de la classe ou son caractère exceptionnel. »

    Aïe ! Il y a là une petite, ou plutôt une dramatique contradiction. 
    Car qu’est-ce qu’il faut croire ? Qu’on pourra désormais renvoyer de cours tout perturbateur qui vous empêche de faire cours ? Ou qu’il faudra le garder en classe coûte que coûte puisqu’il « a droit à l’éducation » (c’est ce que les principaux de collège sortaient jusqu’ici la bouche en cul de poule aux professeurs qui renvoyaient un élève !).
    Autrement dit, est-il permis d’espérer que dorénavant, si les perturbateurs sont aussitôt exclus du cours, tous les collèges vont se remettre au travail après une quinzaine d’années de bordélisation galopante et de baisse du niveau qui s’ensuit ? Ou est-ce que la pagaille générale va se poursuivre et s’aggraver ?

    Question à Monsieur le Ministre.



  • Jean 3 avril 2010 18:52

    Il est clair que le rythme de cinq jours de classe (lundi, mardi, jeudi, vendredi et samedi) avec une coupure le mercredi pour s’occuper à sa guise, faire des activités dans des clubs, ou simplement pour jouer, est de loin le plus équilibré et le meilleur pour l’enfant. 



  • Jean 3 avril 2010 09:12

    Le fait que des scientifiques fassent appel au pouvoir politique pour faire taire des confrères est déjà fort suspect. Cela rappelle l’Eglise romaine faisant appel au bras séculier.

    Sur le fond, je ne me prononcerai pas, n’étant pas spécialiste, quoique ayant tendance à penser, par intuition, qu’Allègre et Courtillot ont raison.
    Il me plaît en tout cas de rappeler que le protestant Allègre ne manque pas une occasion de protester, par exemple lorsqu’il a déclaré que les bureaux administratifs de l’Education nationale étaient bourrés d’inutiles (c’était ça le sens exact de son « il faut dégraisser le mammouth »), ou quand il disait que les chercheurs en pédagogie (la bande à Meirieu) parlaient un sabir incompréhensible.


  • Jean 31 mars 2010 17:44

    La seule et unique motivation à se faire élire député ou sénateur aujourd’hui pourrait bien être l’argent... Quand on voit les multiples avantages financiers dont ils bénéficient, par exemple pour leurs soins dentaires, ou pour leur retraite même s’ils n’ont pas exercé longtemps, on comprend pourquoi ils se jettent sur ces postes et sont prêts à promettre n’importe quoi à tout le monde pour y arriver...