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Les commentaires de baska



  • baska 19 décembre 2012 17:51

    Il est interdit de prononcer le nom du CHRIST dans les maisonnées juives car selon leur loi Jésus avait commis un blasphème en déclarant être le Messie. Le Sanhédrin réuni sous l’autorité du grand prêtre Caïphe l’a condamné pour avoir contesté leur autorité et leur loi. Caïphe et ses amis n’avaient pas apprécié que le CHRIST ait pu dénoncer la forme de culte religieux qui se pratiquait en Judée à son époque, plus connu aujourd’hui sous le nom de « judaïsme » (terme inventé par Flavius pour le distinguer de l’Hellénisme). Dans l’Épître au Yémen, Maïmonide affirme que le CHRIST était « un faux prophète et un réfractaire. Et c’est à titre qu’il fut jugé par les Anciens ». 

    Il est dit à la fin du « Traité des Pères » : « Qu’y a-t-il de commun entre les disciples de notre patriarche Abraham et les disciples de Balam l’impie » (Traité des Pères v, 24). Balam étant le prophète des gentils, Leibowitz qui est considéré comme le plus grand penseur contemporain du judaïsme reconnaît que « Balam est, dans nos textes, le cache-nom de Jésus ». Ses disciples sont des « gens sanguinaires et fourbes », la Michna nous apprend , dans ce passage, qu’ils hériteront de la géhenne : « Et toi, Dieu, fais descendre en un puits profond, ces gens sanguinaires et fourbes, qu’ils ne dépassent pas la moitié de leur existence, et moi je place ma confiance en toi » (psaumes, LV, 24).


  • baska 10 décembre 2012 17:50

    Vous qualifiez l’héritière de « copine de l’AIPAC », c’est plutôt son rêve le plus absolu, elle qui fait depuis un bon moment le pied de grue devant le puissant relais de l’entité sioniste.

    Il est vrai que, pendant la campagne présidentielle, elle est bien allée chercher l’adoubement du puissant lobby pro-israélien, l’aipac, ce qui est d’ailleurs un passage obligé pour toute personne aspirant à un destin national ou postulant à une place de responsabilité très importante . Elle a rencontré en Floride un cadre de ce lobby, un certain william diamond qui, en dehors de son travail de lobbying, dirige une synagogue ( la Palm Beach Synagogue). 

    Lire le compte rendu de son escapade chez les yankees ici : 

    http://droites-extremes.blog.lemonde.fr/2011/11/08/etats-unis-le-mysterieux-interlocuteur-de-marine-le-pen-en-floride/.

    Ce que peu de gens savent, c’est la tentative de rapprochement de son père avec ce même lobby. Le vieux menhir a effectué, lui aussi, un voyage aux États-Unis dans le but de rencontrer le lobby pro-israélien. La rencontre entre Le Pen et les responsables de la communauté juive s’est déroulée à New York en juin 1987 en présence du président du congrès juif de l’époque, Edgar Bronfman. Cette rencontre a eu lieu dans un restaurant appartenant à la famille de ce Bronfman, le « four seasons ». Selon Olivier Guland auteur du livre "Le Pen, Mégret et les juifs", outre M.Bronfman, ont assisté à cette soirée :

    - la plupart des caciques du judaïsme américain,

    - un conseiller d’Itzhak Shamir,

    - l’ambassadeur d’israel aux nations unies, un certain Benyamin Netanyahu (actuel premier ministre de l’entité sioniste),

    - Abraham Foxman, numéro deux de l’ADL Anti-Defamation League (aujourd’hui n°1).

    La réunion a duré une heure, après un petit exposé de 20 minutes où le vieux menhir a insisté sur son soutien indéfectible à Israël qualifié de « rempart du monde libre » et flatté ses nouveaux amis qu’il considère être « à l’avant garde du combat anti-terroriste », il a répondu à une dizaine de questions portant sur la sécurité d’israél. A la fin de sa prestation, Jean-marie a eu droit à un standing ovation.

    Après la réunion, Le Pen s’est envolé pour Washington et a pris le même avion que Israel Singer, le sécretaire général du congrès juif mondial, et Jacques Torszyner, l’organisateur de la réunion.



  • baska 10 décembre 2012 17:26

    Bonjour Arianne !

    L’héritière de la pme familiale le pen a-t-elle percé le « kyste » ? Pas vraiment. Avantage plutôt à l’espagnol qui donnait l’impression d’avoir dominé le débat, l’opposant à fifille. Surtout, lorsqu’il l’a accusée de « démagogie », d’être « dans le calembour » et de véhiculer une image de la France « rabougrie », ce qui n’est d’ailleurs pas faux. 
    Dans ce genre d’émission, l’invité vedette choisit la personnalité avec qui il veut débattre. En acceptant comme adversaire du jour l’héritière, 10 ans après le face-à-face sarko/jean-marie, Valls espère de refaire le coup de Mitterrand (favoriser la droite extrême) tout en caressant le doux rêve d’avoir le même destin que le fils de Mallah. L’héritière n’a pas besoin de coup de pouce comme son père à l’époque (le vieux menhir devait sa notoriété à Mitterrand, qui avait ordonné son passage à la TV), elle est déjà la coqueluche de la presse mainstream, mais elle espère bénéficier de l’appui tacite de l’appareil socialiste.
    Les auteurs du livre « la main droite de Dieu : enquête sur François Mitterand et l’extrême droite » ont très bien expliqué cette stratégie du « coup de pouce », il suffit juste de remplacer le nom du vieux menhir par celui de sa fille :

    "François Mitterrand a du phénomène Le Pen une vision bien particulière. Le président de la République ne perçoit pas le leader du Front national comme un véritable danger, mais simplement comme un instrument tactique. Lorsque, au cœur de l’hiver 1984, le porte-parole du gouvernement vient à s’inquiéter de la médiatisation croissante de Jean-Marie Le Pen et demande au chef de l’État de freiner cette dérive, il s’entend répondre : “ Ne vous en faites pas, Le Pen, je le connais, c’est rien, c’est un notable ! ” "



  • baska 7 décembre 2012 13:43

    Cette non-affaire du père noël s’inscrit dans le cadre de la politique de bouc-émissairisation. D’après le journal local, « la république du centre », tout est parti d’un mail anonyme dénonçant la volonté « d’une poignée de mères de famille musulmanes » d’empêcher la venue du père noël à l’école de maternelle du Grand-clos, à Montargis. Une simple rumeur colportée par des personnes malfaisantes se transforme en une affaire portant atteinte à la sacro-sainte laïcité, incriminant bien entendu les français de confession musulmane. S’en suit une agitation du fameux spectre de l’islamisation, en avant les amalgames globalisants et autres stéréotypes.

    En réalité, la raison de la non-venue du père noël est tout autre et n’a rien à voir avec une quelconque pression de « mères de famille musulmanes » : selon l’inspection d’académie de Montargis Est, la décision de pas faire venir le mythique personnage a été entérinée par le conseil d’école et ce pour des raisons financières, décision prise le 26 octobre dernier.
    Voici la source originelle avant que les faits ne soient travestis par une agence en voie de liquidation (la Sipa pour ne pas la nommer) :
    Noël sous tension dans une maternelle ;
      
    Ecole du Grand-Clos : suite et fin de l’affaire du Père Noël ?
     


  • baska 6 décembre 2012 22:20

    Le petit jonas espère berner les gens avec sa propagande débile à un shekel, pauvre agent hasbarique !

    Il ne sait même pas que sa patrie, l’entité sioniste, a reconnu la responsabilité du criminel sharon dans le massacre de Sabra et Chatila. En effet, il a été mis en cause par la commission kahane qui a été chargée d’enquêter sur les circonstances de cette boucherie sans nom, l’obligeant à démissionner de son poste de ministre de la défense. Cette sanction symbolique ne l’a pourtant pas empêché de revenir au pouvoir. A sion, on aime récompenser les criminels, même les plus crapules : les shamir, begin et autres ben gourion après avoir collaboré avec le 3ème Reich, pactisé avec le diable, sont devenus des dirigeants de premier plan de cet entité.

    Les dernières révélations du New York Times, un journal peu suspect de sympathie envers les palestiniens montrent de façon accablante "qu’Israël était bien à l’origine d’un massacre pour lequel il a bénéficié, une fois encore, de la complicité des États-Unis« . Source, lire ici : http://www.humanite.fr/monde/massacres-de-sabra-et-chatila-trente-ans-d-impunite-505042.




  • baska 6 décembre 2012 17:24

    Je ne vais pas m’attarder sur l’affaire dite « mérah », une opération barbouzarde ou une false-flag made in sion (" Je considère que le lobby juif, pas seulement en ce qui me concerne, est capable de monter des opérations qui sont indignes, et je tiens à le dire publiquement.« dixit l’ancien premier ministre Barre). 

    Lorsque François Hollande souligne que son parti a toujours été philo-sioniste, il n’a pas tort du tout. La gauche de l’entre-deux guerres pétrie de culture colonialiste avait apporté un soutien sans faille au projet sioniste du »foyer national juif« en Palestine mandataire, et celle de la 4ème république entretenait, quant à elle, une relation fusionnelle avec l’artefact colonial qu’est l’entité sioniste. Guy Mollet incarnait cette politique pro-sioniste. Il suffit de lire la presse socialiste de l’époque pour savoir à quel point ils étaient acquis aux idées sionistes, même les plus immondes. Dans le journal de la SFIO, le populaire, on accréditait par exemple le mythe du »pays désert«  : »Beaucoup de ces colonies ont réussi à transformer profondément les cultures et le sol même, avant stérile ou marécageux« pouvait-t-on lire dans le populaire du 27 juin 1936. Sauf que ces philo-sionistes feignent d’oublier que la Palestine n’a jamais été une »terre sans peuple", encore moins une terre aride comme le montre ce témoignage d’un sioniste de la première heure, un certain Asher Guinsber, qui a visité la Palestine en 1891 : "A l’extérieur, nous sommes habitués à croire que Eretz-Israël est aujourd’hui quasi désertique, un désert sans cultures, et que quiconque désire acquérir des terres peut venir ici s’en procurer autant que son coeur désire. Mais en vérité il n’en est rien. Sur toute l’étendue du pays, il est difficile de trouver des champs non cultivés. Les seuls endroits non cultivés sont des champs de sable et des montagnes de pierres où ne peuvent pousser que des arbres fruitiers, et ce, après un dur labeur et un grand travail de nettoyage et de récupération".
    Ce sont les sionistes qui, pour effacer jusqu’au souvenir de l’existence de la population agricole palestinienne, ont rasé au bulldozer des centaines de villages avec leurs maisons, leurs oliveraies et même leurs cimetières. Et ce dans le but d’accréditer le mythe du « pays désert ».  


  • baska 5 décembre 2012 16:55

    Qui est à l’origine de cette gigantesque manipulation ? Comme pour les deux guerres en Irak (souvenez-vous du « pillage des couveuses de la maternité de Koweit » en 1990 et de la terrifiante expression de 2002 « armes de destruction massive »), ce sont toujours les amis de l’apartheid qui relaient ces propagandes. Cette fois-ci, ils nous refont le coup de la menace chimique, en précisant tout de même que « si l’existence d’armes de destruction massives n’était qu’une supposition en Irak, en Syrie, il n’y a pas de doutes sur leur possession ». On ne change pas une méthode qui marche. Trop forts les gars !

    L’affaire de l’arsenal chimique syrien qui serait utilisé contre la population civile est révélée par un officiel américain anonyme travaillant pour la CIA, ce mystérieux agent a réservé l’exclusivité de l’info à Wired’s Danger Room, une officine dirigée par Noah Shachtman et Spencer Ackerman qui comme par hasard sont de fervents partisans d’Israël
    En 2002, c’était une autre officine qui avait joué le rôle venimeux, elle était plus prestigieuse car elle officiait secrètement au sein du Pentagone : le Bureau des plans spéciaux (Office of Special Plans, OSP). L’OSP a été créé après le 11 septembre 2001 par M. Paul Wolfowitz, un néocon ultra-sioniste qu’on ne présente plus.


  • baska 3 décembre 2012 23:58

    Joel Peters a expliqué, dans son livre « israêl and africa », la raison de la sympathie de certains potentats africains envers l’entité sioniste : ils croient dur comme fer que « les juifs contrôlent les institutions financières et qu’il est important d’obtenir leur soutien ». Soit, ces potentats africains ont lu « les protocoles des sages de sion », auquel cas ils devraient être considérés comme des « antisémites », soit cette assertion découle de l’observation de la triste réalité (la mainmise de la finance par qui l’on sait), leur soumission est alors dictée à la fois par l’appât du gain facile et la recherche d’un protecteur puissant. Pas vraiment cons, ces autocrates !

    Ce parrainage a tout de même un prix : la soumission totale. Interdiction de faire la moindre contestation, encore moins de dénoncer la politique criminelle de l’entité !
    Après l’annexion totale de la Cisjordanie, en 1967, les états africains ont cessé de s’identifier à Israël et lui ont tourné le dos, lui préférant la cause palestinienne. Ils ont par la suite voté massivement, en 1975, la résolution onusienne assimilant le sionisme à « une forme de racisme et de discrimination raciale », ce qui a provoqué le courroux de la « terre promise ». Les dirigeants sionistes les ont tout de suite qualifiés de « primitifs qui descendent des arbres », s’interrogeant même comment « des primitifs pourraient-ils avoir une opinion qui leur est propre ». Dur racisme à l’état pur !
    On peut comprendre leur réaction, ils ont sûrement été influencé par le guide de Maïmonide : « Les noirs et ceux qui leur ressemblent sous nos climats, leur nature est semblable à celle des animaux muets. Ils n’atteignent pas au rang d’êtres humains ; parmi les choses existantes, ils sont inférieurs à l’homme mais supérieurs au singe car ils possèdent dans une plus grande mesure que le singe l’image et la ressemblance de l’homme ».
    Ou par la presse juive du 19e siècle, notamment le jewish record où on pouvait lire ceci : « Il est inconcevable de comparer l’israélite et le nègre. Les mots mêmes ont des sons radicalement opposés, l’un désignant tout ce qu’il y a d’inférieur et de dégradé dans une barbarie irrémédiable et six mile ans de paganisme ; l’autre l’époque où Jéhovah a conféré à nos pères la glorieuse égalité qui a permis à l’éternel de parler avec eux et de les laisser jouir de la communion des anges. Ainsi, en voulant abolir l’infériorité qui est imprimée sur l’africain, pour en faire le pair du peuple élu de Dieu, y compris dans sa servitude, les fanatiques dévoyés insultent au choix de Dieu lui-même. Il n’est pas de comparaison possible entre de telles races. D’un pôle à l’autre, l’humanité tout entière en frémirait. L’hébreu était libre dès l’origine et c’est le créateur lui-même qui a inspiré la charte de sa liberté. Le nègre n’a jamais été libre et on s’est contenté de reproduire cette servitude en l’atténuant lorsqu’on a importé ici. Tous les hommes de bon sens sur la terre admettent que reconnaître l’égalité de l’africain avec les autres races serait une farce qui obligerait les conservateurs civilisés du monde à protester contre l’outrage ». 
    Qui a parlé de « communauté de souffrance entre Juifs et Noirs » ?




  • baska 3 décembre 2012 20:17

    Il est utile de rappeler que l’entité sioniste mettait en avant, dans les années 50/60, une soi-disant « communauté de souffrance entre Juifs et Noirs ». C’était juste une énorme escroquerie pour s’implanter en Afrique, j’en veux pour preuve la déclaration de Golda Meir, la dame qui nia l’existence du peuple palestinien, expliquant tranquillement que l’intérêt de son pays pour les nouveaux états africains est purement stratégique et n’a rien à voir avec une quelconque « communauté de souffrance ». Elle a déclaré ceci : « Si nous sommes allés en Afrique, n’était-ce pas parce que nous voulions nous assurer des voix aux nations-unies ? Naturellement oui, c’était l’un de nos mobiles, et parfaitement honorable. »

    Si cette idée de « communauté de souffrance » était réellement sincère, comment expliquer que cette entité n’aie pas soutenu les mouvements africains qui lutaient pour l’indépendance. Au lieu de soutenir le peuple africain qui voulait se libérer du joug colonial, elle s’est rangée du côté des puissances impérialistes en formant avec elles une « alliance tacite ». Elle s’est transformée en « fer de lance de l’occident », contribuant à atténuer les effets des indépendances et voire même à les empêcher. Pierre Péan explique tout cela dans son livre, plus précisément dans le chapitre « Israël devient un important acteur néo-colonial sur la scène africain ». 


  • baska 3 décembre 2012 19:53

    Bonjour Allain Jules, merci de lever un peu le voile sur les ingérences de l’entité sioniste en Afrique meurtrie. Vous savez que, dès 1966, la conférence de solidarité tri-continentale, qui s’est tenue à la Havane, a émis une virulente résolution dénonçant l’ingérence de cette entité criminelle comme « une nouvelle forme d’impérialisme ». 

    Pierre Péan a écrit un livre très intéressant « carnages » sur les guerres sécrètes que mène cette entité en Afrique, il y expose très clairement son rôle trouble dans les conflits africains :
    - elle a soutenu le FPR de Kagamé dans le conflit qu’il opposait au régime de Habyarimana, en formant par exemple leurs commandos en Palestine historique occupée au début de l’année 1993. On soupçonne même qu’elle a formé le commando qui a abattu l’avion présidentiel, en avril 1994, formation qui se serait déroulée selon des témoins oculaires au nord de l’Ouganda ;
    - par l’intermédiaire d’un lobbyiste louche, un certain Roger Winter, et des agents du Mossad, elle participe fortement à l’installation du chaos dans les pays du grand lac. Sûrement pour piller les ressources inestimables de cette contrée ;
    -Outre Kagamé et Museveni, elle a placé à la tête de ce grand pays qu’est le Congo un homme venu de nulle part, l’insignifiant Kabila qui n’est même pas congolais ;
    - Conformément au plan de Yinon, elle a réussi à dépecer le Soudan, avec l’aide des yankees et de ses puissants relais zuniens de confession juive (l’AIPAC entre autres) ;
    - etc.
      


  • baska 30 novembre 2012 19:00

    Deneb le khazar, quand on lit vos conneries (obsession monomaniaque du nazisme) on ne peut que donner raison à Jack Bernstein, un juif ashkénaze, qui a noté la particularité du mot « nazi » et a suggéré qu’il serait dérivé du mot « ashkenazi » (ashke-nazi).



  • baska 30 novembre 2012 18:45

    L’entité sioniste ne fait pas le jeu des extrémistes, elle est extrémiste tout court. Sinon, comment nomme-t-on une entité qui colonise, s’approprie des terres qui ne lui appartiennent pas, martyrise toute une population sans défense, impose un blocus implacable à un peuple embastillé dans une immense prison à ciel ouvert tout en le bombardant de temps en temps au phosphore blanc, génocide à petit feu les pauvres palestiniens, détient dans ses sinistres geôles des enfants ou des femmes innocentes, etc. C’est une entité hors-la loi, criminelle et colonialiste qui doit être mise au ban de la communauté internationale. Ses dirigeants doivent être poursuivis par la justice internationale pour les nombreux crimes de guerre et crimes contre l’humanité qu’ils ont perpétré. 



  • baska 29 novembre 2012 23:53

    La secte au cadavre, dites-vous !

    Je ne sais pas pourquoi mais je vous imagine bien parmi les valets présents dans la maison du grand-prêtre où Jésus était en état de séquestration, ceux qui Le maltraitaient comme l’a rapporté Saint-Luc : « ceux qui tenaient Jésus se moquaient de lui en le frappant ; et lui donnaient des coups sur le visage, et l’interrogeaient en lui disant : devine qui est celui qui l’a frappé ? Et ils disaient encore beaucoup d’autres injures et blasphèmes ». Ou parmi la foule qui vociférait : « crucifiez-le ; tolle, tolle, crucifige », celle qui demanda la grâce de Barrabas et la destruction de Jésus.



  • baska 29 novembre 2012 23:38

    Monsieur le colon, c’est fait ! La Palestine vient d’être reconnu par l’assemblée générale de l’onu comme état observateur. Un vote historique acquis à une majorité de 138 pour, seuls les yankees et sept petits vassaux ont voté contre. Un véritable camouflet pour l’entité sioniste !

    Un petit tour au mur des lamentations ? 


  • baska 29 novembre 2012 19:38

    RECTIF. Un petit passage a sauté :

    On peut aussi citer Sand, auteur de "l’invention du peuple juif", qui a remis en cause le mythe de l’exil, il a affirmé que les romains n’ont jamais expulsé massivement les populations juives. Il postule que les descendants des anciens hébreux sont les palestiniens. Ben Gourion dit exactement la même chose dans son livre « eretz israel dans le passé et le présent » : "Les judéens se sont convertis au christianisme et ensuite à l’islam. Les fellah palestiniens étaient les véritables descendants des juifs".



  • baska 29 novembre 2012 19:16

    Talion, vous avez bien tapé dans le mille ! Le colon oublie que le sionisme fut un mouvement colonialiste du 19e siècle créé par de juifs européens d’origine khazarie, les ashkénazes.

    Les ashkénazes qui constituent près de 90% des juifs d’aujourd’hui ne peuvent se réclamer d’un seul ancêtre ayant foulé le sol de la Palestine pendant l’ère biblique. Ils ne peuvent donc être des sémites, ils sont en fait les descendants directs des khazars. 

    koestler a écrit un livre sur les khazars, « la 13e tribu, l’empire khazar et son héritage », et dans la conclusion de ce livre on peut lire ceci : « J’ai rassemblé les preuves historiques qui indiquent que la grande majorité des juifs est d’origine turco-khazarde, plutôt que sémitique ». Citons aussi l’italien Louis Gallico qui a publié une longue étude intitulée « un peuple introuvable » : « Il n’est plus possible de contester le fait que les juifs de l’Europe orientale aient comme origine la dispersion et le mélange des khazars avec d’autres populations ». Pierre Stambul de l’union juive française pour la paix reprend les thèses de ces historiens et affirme que « les juifs sont majoritairement descendants de convertis berbères, khazars, romains ».

    Qui sont réellement les Ashkénazes qui revendiquent la Palestine historique, et d’où viennent-ils ? 

    La plupart des historiens sérieux s’accordent sur le fait que les ashkénazes sont les descendants directs des khazars, peuplade d’origine turco-mongole qui établit un empire entre la mer noire et la mer caspienne du VIIe au Xe siècle de notre ère. 

    Dans l’encyclopaedia judaica, source que les thuriféraires de l’entité sioniste ne peuvent contester, les khazars sont décrits en ces termes : « peuple d’origine turque qui embrassa la religion juive à la fin du VIII e siècle. Ce fut Obadiah, l’un des successeurs de Bulan, qui régénéra le royaume et renforça le judaïsme. Il invita des érudits juifs à s’installer sur son territoire, et il fonda des synagogues et des écoles. Le peuple était instruit dans la Mishna et le talmud »Selon l’encyclopaedia universalis, les khazars étaient un « peuple apparenté aux turcs qui établit un empire entre la mer noire et la mer caspienne du VIIe au Xe siècles ».
    Pour la petite histoire, notons que l’empire des khazars fut détruit par les russes et sa population dispersée dans toute l’Europe de l’Est. Après la destruction de leur 
    empire, les khazars se faisaient appeler « les populations yiddish » en référence à leur langue. Il faut préciser que le yiddish parlé par la tribu khazarie n’avait rien à voir avec l’hébreu.

    On peut citer Sand, auteur de »l’invention du peuple juif" qui="qui" a="a" remis="remis" en="en" cause="cause" le="le" mythe="mythe" de="de" affirmant="affirmant" que="que" les="les" romains="romains" jamais="jamais" massivement="massivement" populations="populations" il="il" postule="postule" descendants="descendants" sont="sont" ben="ben" gourion="gourion" dit="dit" exactement="exactement" la="la" chose="chose" dans="dans" son="son" livre="livre" israel="israel" et="et">"Les judéens se sont convertis au christianisme et ensuite à l’islam. Les fellah palestiniens étaient les véritables descendants des juifs".

    En somme, les ashkénazes n’ont aucun lien historique avec la Palestine et aucune goutte de sang sémite ne coule dans leurs veines.


    L’exil est un mythe car les romains n’ont jamais expulsé massivement les populations juives. C’est plutôt la religion juive qui s’est dispersée et non le peuple. Le judaïsme fut à l’époque une religion très prosélyte comme l’atteste la judaïsation des khazars et des tribus païennes du Yémen ou de l’Afrique du nord. Sand pense que le judaïsme ne concernerait que quelques irréductibles sans la conversion de ces populations païennes.

    En définitive, contrairement à la propagande sioniste les squatteurs de la Palestine n’ont aucun lien historique avec ce qu’ils nomment « la terre promise ». Ils n’ont donc aucune connexion historique à la Palestine et dans la mesure où leurs ancêtres n’ont jamais foulé la terre dite promise, il ne peut être question de retour. De ce fait, ces squatteurs de la Palestine historique n’ont aucune légitimité.



  • baska 29 novembre 2012 18:46

    Déclaration de chrétiens et de responsables d’Église Sur la situation à Gaza

    Coalition Nationale d’Organisations Chrétiennes De Palestine, mercredi 28 novembre 2012

    Dans l’esprit qui imprègne cette terre de sacré et de sainteté et fidèles à notre foi et à ses enseignements, nous appelons tous ceux qui, partout dans le monde, aiment la paix à travailler avec leurs gouvernements et leurs concitoyens à mettre fin à la destruction et au carnage qui se poursuivent à Gaza. La situation actuelle de détresse dans la Bande de Gaza est le résultat de l’impasse dans laquelle se trouve le processus politique et de l’absence de paix.

    Nous sommes profondément convaincus que la cause de tout cela est la poursuite de l’occupation israélienne, du blocus et des restrictions imposées par les autorités israéliennes à la Bande de Gaza et à ses 1,6 million d’habitants. La politique israélienne d’assassinats ciblés, qui a déclenché l’épisode actuel de combats, est moralement condamnable.

    Elle provoque aussi des émotions fortes qui alimentent une volonté de vengeance et de poursuite d’un cycle ininterrompu de confrontations. Le spectacle d’enfants pales­ti­niens innocents tués dans le bombardement de maisons familiales, diffusé largement sur internet, provoque des émotions incon­tro­lables non seulement contre ceux qui en sont res­pon­sables en Israël mais aussi contre l’Occident et d’autres puis­sances et gou­ver­ne­ments qui sou­tiennent Israël dans ses actions contre la Bande de Gaza. Cela accroît encore davantage la division entre reli­gions et natio­na­lités avec le risque d’une montée en flèche de la vio­lence au détriment de tous et de chacun d’entre nous qui avons été créés à l’image de Dieu. Nous sommes fer­mement convaincus que l’option mili­taire peut être arrêtée s’il y a un effort véri­table et sérieux pour aboutir non seulement à une trêve mais à une solution juste et durable qui répon­drait aux aspi­ra­tions de notre peuple pour un État Pales­tinien vivant en paix et en bon voi­sinage dans cette région. Israël, en tant que puis­sance occu­pante avec ses arme­ments écra­sants et sa puis­sance mili­taire devrait prendre la res­pon­sa­bilité de faire en sorte que des négo­cia­tions avec les Pales­ti­niens soient engagées immé­dia­tement sans créer des situa­tions sur le terrain qui empêchent de telles négo­cia­tions d’aboutir avant même qu’elle ne s’engagent, par l’expansion des colonies illé­gales et d’autres mesures qui signi­fient l’annexion de ter­ri­toires sup­plé­men­taires en Cis­jor­danie et l’étranglement de Jéru­salem Est palestinienne.

    Les efforts intensifs du gou­ver­nement israélien pour empêcher d’aboutir la demande légitime des Pales­ti­niens de devenir un État non-​​membre de l’Assemblée Générale des Nations Unies est aussi un signe de courte vue. Nous devons tous nous sou­venir que, lorsqu’Israël a été admis comme État-​​Nation aux Nations Unies en 1948, il n’y a eu aucune demande de sa part pour obtenir l’approbation des états arabes par des négo­cia­tions : les Nations Unies en ont tout sim­plement pris la décision. Il revient à notre peuple de bénéficier du même traitement.

    NCCOP (Coalition d’organisations chrétiennes de Palestine)

    Et autres signa­taires dont : Sa Béa­titude le Patriarche latin Émérite Michel Sabbah SA Grâce l’évêque grec orthodoxe Atallah Hanna Son Excel­lence Ex-​​ Ministre Khou­lould Deibes Son Excel­lence l’Ambassadeur et ex-​​Ministre Hind Khoury Son Excel­lence l’Ambassadeur Afif Safieh …

    Jeru­salem • Groupe de scouts catho­liques arabes • Société orthodoxe arabe - Jéru­salem • Caritas-​​ Jeru­salem • Dépar­tement de ser­vices aux réfugiés pales­ti­niens – Conseil des

    Églises deu Moyen Orient • Quatre foyers de misé­ri­corde • Asso­ciation grecque catho­lique Sayedat AlBi­shara • Comité inter­na­tional chrétien • Comité du laïcat de Terre Sainte • Asso­ciation chré­tienne nationale • Mission pon­ti­ficale Palestine • SABEEL – Centre Oecu­mé­nique de théo­logie de la libé­ration • Union du club orthodoxe arabe - Jeru­salem • Asso­ciation chré­tienne des jeunes gens –YMCA • Asso­ciation chré­tienne des jeunes femmes –YWCA

    Gaza Conseil des Églises du Proche Orient

    Bethléem (NCOB) Réseau des orga­ni­sa­tions chré­tiennes de Bethléem •YMCA de Jéru­salem Est /​ Section de Beit Sahour • L’Institut d’éducation arabe • Holy Land Trust (Orga­ni­sation huma­ni­taire de Terre Sainte),

    Bethléem • Centre Wi’am, Beth­lehem • Société assy­rienne Saint Afram • Societé Ain Karem, Beth­lehem • Société orthodoxe arabe Al-​​Ihsan, Beit Jala • Club orthodoxe arabe, Beit Sahour • Club orthodoxe arabe, Beit Jala • Club orthodoxe arabe, Beth­lehem • La société de charité orthodoxe arabe, Beit Sahour • College Biblique de Bethléem • Centre Siraj d’études de Terre Sainte • Société de logement orthodoxe arabe, Beit Sahour • Groupe de tou­risme alter­natif, ATG, Beit Sahour • Societé de Charité des pesonnes agées • Centre de for­mation à l’environnement, Beit Jala • Société de charité Saint Vincent, Beit Jala • Societé des enfants des bergers, Beit Sahour et KAIROS PALESTINE



  • baska 29 novembre 2012 18:41

    Article sur la Palestine écrit par Guylain Chevrier, ancien membre de l’officine anti-laïque, riposte talmudique, qui est sponsorisée par la loge judéo-maçonnique b’nai b’rith et l’union des patrons juifs de France, de la propagande sioniste !

    Après avoir applaudi la récente boucherie orchestrée par « l’armée la plus morale du monde », il s’interroge comme le criminel netanyahou sur l’utilité d’une reconnaissance onusienne d’un état palestinien. Notez également comment il essaye de transformer la nature du conflit : pas question de l’examiner à la lumière du droit international, le conflit de nature territoriale devient religieux. Orientation délibérée puisque cela permet d’occulter la colonisation, l’occupation brutale de l’envahisseur, l’accaparement des terres, la Nakba, le génocide à petit feu des palestiniens, le blocus inhumain, les checkpoints, etc. Quelle shutzpah ! Je crois que notre histrion, pardon « historien », mérite bien ses galons d’agent hasbarique.



  • baska 27 novembre 2012 15:28

    Les deux guignols qui s’auto-interviewent sont les idiots utiles de la clique sioniste qui mène un tout autre combat. Cette clique, vraie propagatrice de la haine anti-musulmane, chapeaute la nébuleuse islamophobe et a constitué un véritable réseau de bailleurs de fonds et d’organisations visant à appuyer la mouvance anti-musulmane. En France, il n’a échappé à personne que ceux qui entretiennent la diabolisation des Arabes et la haine des musulmans sont pratiquement tous des amis de l’apartheid, l’entité criminelle qui génocide à petit feu les palestiniens. Le but de cet acharnement anti-musulman est d’arriver à nous faire admettre l’occupation illégale de la Palestine, faire accepter l’apartheid et la discrimination envers les Arabes palestiniens. D’où la banalisation de l’islamophobie actuelle. Il ne faut pas oublier que le ciment idéologique de tout cela est la défense de l’entité sioniste contre la « menace palestinienne ». 



  • baska 27 novembre 2012 15:16

    Le « musulman d’apparence de service » fait la promo d’un certain Véliocas. De qui s’agit-il ? Il le présente comme un écrivain et cite même ces deux « ouvrages ». Le premier a été publié, dit-il, chez Godefroy et le second par « tatamis », sans plus de détails. Il passe sous silence la ligne éditoriale de ces obscures éditeurs : la première maison d’édition est gérée par un certain Richard Haddad, un proche des phalanges libanaises (milices créées sur le modèle fasciste, financées et armées par l’entité sioniste, et qui ont perpétré le massacre de Sabra et Chatila sous le commandement du criminel Sharon, tuant de milliers de palestiniens). Ancien conseiller général à la mairie du 16 arrondissement de Paris, mairie tenue par le plus philo-sémite de nos politicards Goasguen, il travaille main dans la main avec les amis de l’apartheid. Sa maison d’édition revendique ouvertement leur ligne éditoriale islamophobe. Quant au deuxième éditeur, il s’agit de Jean Robin, un petit agitateur qui s’est récemment illustré en intervenant dans une église orthodoxe extrémiste de Belgique pour inciter au choc des civilisations et à la guerre contre l’islam. Voici la vidéo de la prêche haineuse de ce sioniste notoire :

    /www.dailymotion.com/video/xjhl96_islam-discours-de-jean-robin-devant-le-pere-samuel_news">http://www.dailymotion.com/video/xjhl96_islam-discours-de-jean-robin-devant-le-pere-samuel_news.