SCIENCE SANS CONSCIENCE N’EST QUE RUINE DE L’ÂME !
" Dans un consensus écrasant, la communauté scientifique reconnait que le changement climatique est réel. Les gaz à effet de serre ont nettement augmenté et sont une conséquence de l’activité humaine ", a encore souligné Rajendra Pachauri. »
On vient donc nous expliquer une fois de plus que le GIEC, qui rassemble des scientifiques dont la compétence parait indiscutable, fonctionne par « consensus ».
Selon le dictionnaire Larousse, un consensus est un accord de consentement du plus grand nombre.
Ceux que l’on appelle les climato sceptiques préfèrent la démarche qui comme le préconise Descartes doit mettre en doute toutes les connaissances qui nous semblent évidentes pour établir un fondement scientifique inébranlable dont sera déduit tout le reste.
Pour le GIEC le consensus, accord de la majorité sur des points que l’on ne met pas en doute, relève peut être de la science puisqu’il est pour partie le fait de scientifiques, mais il relève surtout de la politique et pourrait être obtenu par vote, par référendum et pourquoi pas par sondage.
« Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Notre bon François Rabelais aurait-il accepté de faire partie du GIEC ou d’en cautionner les oukases et autres conclusions péremptoires ?
Est-il possible et raisonnable en effet, ainsi que le fait le GIEC, de mélanger sans risque science et politique ?
Non ! Loin de moi l’idée de sous entendre que la politique se fait au plus grand mépris de la conscience, mais enfin ! Il y a quand même des arrangements, et l’exemple d’Albert Einstein dont les découvertes ont été utilisées aux fins militaires que l’on sait, et qui en a terriblement souffert, montre bien que les politiques sont parfois loin de considérer que pour être véritablement au service de l’Homme, la science doit être liée à cette conscience morale qui caractérise les vrais scientifiques, et peut-être pas toujours ces mêmes politiques.
On objectera certes que ce sont les tenants et conservateurs de l’ordre moral, qui s’opposèrent aux travaux de la première dissection humaine que fit à Montpellier, Rabelais, le célèbre curé de Meudon.
Ce sont les mêmes qui firent que Galilée condamné à la prison à vie par la Congrégation du Saint-Office aurait murmuré dans sa barbe, le 22 juin 1633 : « Mais pourtant elle tourne ! ».
C’est vrai ! Mais après tout n’y avait-il pas chez ces inconditionnels de la conscience morale un soupçon de comportement politique lié au fait qu’il faillait ménager la chèvre et le chou, en l’occurrence faire en sorte que l’école de médecine de Montpellier ne soit pas trop en avance sur les autres ; ou que les partisans du géocentrisme ne soient pas trop brutalement ridiculisés par Galilée.
Il a fallu la ténacité de Louis Pasteur pour que son vaccin de la rage passe outre le consensus du monde médical dont il avait le tort de ne pas faire partie.
Sans vous inviter Messieurs les scientifiques du GIEC à faire preuve d’un peu de conscience dont on ne veut pas croire que vous êtes dépourvus, pussions nous par contre vous inviter à un peu plus de modestie, en ne considérant pas, comme le firent les géocentristes, que la terre est le centre de l’Univers, et que les petits cirons que nous sommes sur cette terre ont tout pouvoir pour régenter cet Univers et notamment agir de façon irréversible sur les facteurs qui gouvernent le climat.
Pour en revenir à la conscience et afin que la science ne devienne pas ruine de l’âme, il serait bon que cette science dirigeât ses recherches, non plus sur les actions sans doute très marginales que l’Homme pourrait avoir sur le changement climatique, mais sur les conditions dans lesquelles l’humanité peut s’adapter à ce changement sur lequel de plus en plus d’entre nous, et surtout de grands scientifiques consensuso-sceptiques croient que ne pouvons que peu de choses.
N’oubliez pas que de cette adaptation au réchauffement, entre autres, dépend l’espoir que nous avons tous que ne meurent plus de faim ces malheureux petits dont des dizaines ont disparu dans le monde depuis que vous avez commencé à lire ce commentaire.
Mars 2012
La grande majorité des scientifiques sérieux, démontrent que les émissions de CO2 ne sont pas la cause du réchauffement climatique.
Dans son remarquable ouvrage : « L’innocence du carbone », François Gervais cite notamment page 30 cette déclaration signée par 31 478 scientifiques :
« Il n’y a pas de preuve scientifique convaincante que les émissions anthropiques de dioxyde de carbone provoquent ou provoqueront dans un futur envisageable un réchauffement catastrophique de l’atmosphère et un dérèglement du climat de la terre. En outre il y a des preuves scientifiques substantielles que l’accroissement de la teneur en dioxydes de carbone atmosphérique produit des effets bénéfiques sur la flore et la faune terrestres ».
François Gervais et les 31 478 scientifiques, seraient-ils moins sérieux que les rigolos du GIEC ?
SCIENCE SANS CONSCIENCE N’EST QUE RUINE DE L’ÂME !
» Dans un consensus écrasant, la communauté scientifique reconnait que le changement climatique est réel. Les gaz à effet de serre ont nettement augmenté et sont une conséquence de l’activité humaine " a="a" encore="encore" rajendra="rajendra">i>
On vient donc nous expliquer une fois de plus que le GIEC, qui rassemble des scientifiques dont la compétence parait indiscutable, fonctionne par « consensus ».
Selon le dictionnaire Larousse, un consensus est un accord de consentement du plus grand nombre.
Ceux que l’on appelle les climato sceptiques préfèrent la démarche qui comme le préconise Descartes doit mettre en doute toutes les connaissances qui nous semblent évidentes pour établir un fondement scientifique inébranlable dont sera déduit tout le reste.
Pour le GIEC le consensus, accord de la majorité sur des points que l’on ne met pas en doute, relève peut être de la science puisqu’il est pour partie le fait de scientifiques, mais il relève surtout de la politique et pourrait être obtenu par vote, par référendum et pourquoi pas par sondage.
« Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Notre bon François Rabelais aurait-il accepté de faire partie du GIEC ou d’en cautionner les oukases et autres conclusions péremptoires ?
Est-il possible et raisonnable en effet, ainsi que le fait le GIEC, de mélanger sans risque science et politique ?
Non ! Loin de moi l’idée de sous entendre que la politique se fait au plus grand mépris de la conscience, mais enfin ! Il y a quand même des arrangements, et l’exemple d’Albert Einstein dont les découvertes ont été utilisées aux fins militaires que l’on sait, et qui en a terriblement souffert, montre bien que les politiques sont parfois loin de considérer que pour être véritablement au service de l’Homme, la science doit être liée à cette conscience morale qui caractérise les vrais scientifiques, et peut-être pas toujours ces mêmes politiques.
On objectera certes que ce sont les tenants et conservateurs de l’ordre moral, qui s’opposèrent aux travaux de la première dissection humaine que fit à Montpellier, Rabelais, le célèbre curé de Meudon.
Ce sont les mêmes qui firent que Galilée condamné à la prison à vie par la Congrégation du Saint-Office aurait murmuré dans sa barbe, le 22 juin 1633 : « Mais pourtant elle tourne ! ».
C’est vrai ! Mais après tout n’y avait-il pas chez ces inconditionnels de la conscience morale un soupçon de comportement politique lié au fait qu’il faillait ménager la chèvre et le chou, en l’occurrence faire en sorte que l’école de médecine de Montpellier ne soit pas trop en avance sur les autres ; ou que les partisans du géocentrisme ne soient pas trop brutalement ridiculisés par Galilée.
Il a fallu la ténacité de Louis Pasteur pour que son vaccin de la rage passe outre le consensus du monde médical dont il avait le tort de ne pas faire partie.
Sans vous inviter Messieurs les scientifiques du GIEC à faire preuve d’un peu de conscience dont on ne veut pas croire que vous êtes dépourvus, pussions nous par contre vous inviter à un peu plus de modestie, en ne considérant pas, comme le firent les géocentristes, que la terre est le centre de l’Univers, et que les petits cirons que nous sommes sur cette terre ont tout pouvoir pour régenter cet Univers et notamment agir de façon irréversible sur les facteurs qui gouvernent le climat.
Pour en revenir à la conscience et afin que la science ne devienne pas ruine de l’âme, il serait bon que cette science dirigeât ses recherches, non plus sur les actions sans doute très marginales que l’Homme pourrait avoir sur le changement climatique, mais sur les conditions dans lesquelles l’humanité peut s’adapter à ce changement sur lequel de plus en plus d’entre nous, et surtout de grands scientifiques consensuso-sceptiques croient que ne pouvons que peu de choses.
N’oubliez pas que de cette adaptation au réchauffement, entre autres, dépend l’espoir que nous avons tous que ne meurent plus de faim ces malheureux petits dont des dizaines ont disparu dans le monde depuis que vous avez commencé à lire ce commentaire.
Mars 2012
Ah oui c’est vrai que ces imbéciles confondent égalité de traitement avec égalité de comportement ce qui est criminel et vise à faire de nous des lombrics, des petits vers de terre.
Mais résumons la sinistre théorie du genre :
Si mon oncle en avait elle ne serait plus ma tante !
Résumons :
Ah si mon oncle en avait elle ne serait plus ma tante !
SCIENCE SANS CONSCIENCE N’EST QUE RUINE DE L’ÂME !
» Dans un consensus écrasant, la communauté scientifique reconnait que le changement climatique est réel. Les gaz à effet de serre ont nettement augmenté et sont une conséquence de l’activité humaine " a="a" encore="encore" rajendra="rajendra">i>
On vient donc nous expliquer une fois de plus que le GIEC, qui rassemble des scientifiques dont la compétence parait indiscutable, fonctionne par « consensus ».
Selon le dictionnaire Larousse, un consensus est un accord de consentement du plus grand nombre.
Ceux que l’on appelle les climato sceptiques préfèrent la démarche qui comme le préconise Descartes doit mettre en doute toutes les connaissances qui nous semblent évidentes pour établir un fondement scientifique inébranlable dont sera déduit tout le reste.
Pour le GIEC le consensus, accord de la majorité sur des points que l’on ne met pas en doute, relève peut être de la science puisqu’il est pour partie le fait de scientifiques, mais il relève surtout de la politique et pourrait être obtenu par vote, par référendum et pourquoi pas par sondage.
« Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Notre bon François Rabelais aurait-il accepté de faire partie du GIEC ou d’en cautionner les oukases et autres conclusions péremptoires ?
Est-il possible et raisonnable en effet, ainsi que le fait le GIEC, de mélanger sans risque science et politique ?
Non ! Loin de moi l’idée de sous entendre que la politique se fait au plus grand mépris de la conscience, mais enfin ! Il y a quand même des arrangements, et l’exemple d’Albert Einstein dont les découvertes ont été utilisées aux fins militaires que l’on sait, et qui en a terriblement souffert, montre bien que les politiques sont parfois loin de considérer que pour être véritablement au service de l’Homme, la science doit être liée à cette conscience morale qui caractérise les vrais scientifiques, et peut-être pas toujours ces mêmes politiques.
On objectera certes que ce sont les tenants et conservateurs de l’ordre moral, qui s’opposèrent aux travaux de la première dissection humaine que fit à Montpellier, Rabelais, le célèbre curé de Meudon.
Ce sont les mêmes qui firent que Galilée condamné à la prison à vie par la Congrégation du Saint-Office aurait murmuré dans sa barbe, le 22 juin 1633 : « Mais pourtant elle tourne ! ».
C’est vrai ! Mais après tout n’y avait-il pas chez ces inconditionnels de la conscience morale un soupçon de comportement politique lié au fait qu’il faillait ménager la chèvre et le chou, en l’occurrence faire en sorte que l’école de médecine de Montpellier ne soit pas trop en avance sur les autres ; ou que les partisans du géocentrisme ne soient pas trop brutalement ridiculisés par Galilée.
Il a fallu la ténacité de Louis Pasteur pour que son vaccin de la rage passe outre le consensus du monde médical dont il avait le tort de ne pas faire partie.
Sans vous inviter Messieurs les scientifiques du GIEC à faire preuve d’un peu de conscience dont on ne veut pas croire que vous êtes dépourvus, pussions nous par contre vous inviter à un peu plus de modestie, en ne considérant pas, comme le firent les géocentristes, que la terre est le centre de l’Univers, et que les petits cirons que nous sommes sur cette terre ont tout pouvoir pour régenter cet Univers et notamment agir de façon irréversible sur les facteurs qui gouvernent le climat.
Pour en revenir à la conscience et afin que la science ne devienne pas ruine de l’âme, il serait bon que cette science dirigeât ses recherches, non plus sur les actions sans doute très marginales que l’Homme pourrait avoir sur le changement climatique, mais sur les conditions dans lesquelles l’humanité peut s’adapter à ce changement sur lequel de plus en plus d’entre nous, et surtout de grands scientifiques consensuso-sceptiques croient que ne pouvons que peu de choses.
N’oubliez pas que de cette adaptation au réchauffement, entre autres, dépend l’espoir que nous avons tous que ne meurent plus de faim ces malheureux petits dont des dizaines ont disparu dans le monde depuis que vous avez commencé à lire ce commentaire.
C’est la semaine du DÉVELOPPEMENT
durable !
« Bonjour ! Vous êtes sur le serveur du développement durable, du commerce
équitable et de la micro finance, si vous voulez bénéficier d’une aide
internationale appuyez sur la touche « étoile »… si vous avez faim tapez 1… si
vous avez soif tapez 2… si vous êtes malade tapez 3… ».
« Jean-Pierre Canot Apprends-nous plutôt à pêcher ! ».
C’est sans doute la première fois dans l’histoire de l’humanité qu’une notion
dont on ne sait dire s’il s’agit de philosophie, de religion, de règle de vie
ou d’ensemble de techniques, se répand avec une extrême rapidité dans les coins
les plus reculés du monde, et se trouve mise à toutes les sauces constituant la
tarte à la crème du moment.
Le terme durable, que l’on commence ça et là à remplacer par soutenable, est
plein d’ambiguïtés, il résulte d’une traduction lamentable de l’Anglais «
sustainable » dont on retrouve la racine dans sustentation : ce qui caractérise
un corps maintenu au dessus d’une surface sans contact avec elle. Il faut donc
ajouter à la notion de durée celle d’autonomie ce qui implique un principe de
respect d’un environnement où l’on puise en permanence les éléments permettant
cette sustentation.
Il serait donc déjà plus raisonnable de parler d’un développement autoporteur
en ne confondant toutefois pas les buts et les moyens de ce développement comme
on le fait allègrement avec celui qualifié de durable.
Le développement dit durable dans son acception actuelle a trois composantes
qui dans l’ordre d’importance qui leur est donné sont : l’économique,
l’environnemental, l’humain. L’Homme ne vient donc qu’en troisième position,
s’il en reste ! alors qu’un développement autoporteur bien compris devrait
avoir un but : le plein épanouissement de l’Homme, celui-ci pour y parvenir
utilisant l’outil économique dans le respect indispensable et absolu de son
environnement.
Le développement dit durable outre le fait qu’il confond l’objectif qu’il
poursuit avec les outils de sa mise en œuvre est donc pervers dans l’inversion
des priorités qui fait que l’Homme vient bien après l’économique et
l’environnemental, le résultat est doublement dramatique :
- Ce sont les crises économiques que nous connaissons de façon de plus en plus
fréquentes, qui tiennent à ce que la croissance économique forcenée que nous
recherchons conduit à la création de fausse monnaie comme on l’a vu dans
l’affaire des « subprimes » ou comme on le constate chaque fois que salaires et
rémunérations ne sont pas les contreparties normale d’un acte économique et se
trouvent donc en infraction par rapport au principe fondateur de la monnaie : «
Tu mangeras ton pain à la sueur de ton front ».
- Ce sont de façon peut-être moins certaine les désordres qu’entraîne la
surexploitation des ressources naturelles sur notre environnement. Il n’est pas
sûr en effet que le « petit Homme » soit responsable de toutes les dégradations
qui selon certains devrait aboutir à une situation que la vaste nature a connu
par le passé après des millénaires de lente dégradation.
Il reste que même si la faculté d’adaptation de l’Homme doit lui permettre de
faire face à tous les désordres qui interviennent dans la nature il lui
appartient de ne pas gaspiller les ressources naturelles qui lui sont
nécessaires et de faire en sorte que leur renouvellement ou le recyclage des
déchets qui résultent de leur exploitation, se fassent dans les meilleurs
conditions possibles.
Il faut constater que dans la grande foire au développement durable où se
démènent des acteurs de toute nature, le « syndrome du thermostat » joue à
plein qui veut que, comme dans l’utilisation de cet instrument dont nous nous
acharnons à ne connaître que les positions extrêmes, nous ne sachions appliquer
que le principe du « tout ou rien » quant aux idées et lois qui régissent ce
développement dit durable.
C’est donc ou le tout environnemental au plus profond mépris de l’économique,
ou le tout économique au mépris cette fois de l’environnemental, dans les deux
cas il n’est bien entendu pas tenu compte de l’Homme qui doit se soumettre aux
lois de l’économie désormais mondiale dans le respect le plus strict d’un
environnement que la soumission servile aux lois économiques le pousse par
ailleurs à transgresser.
Lorsque Madame le Ministre du Développement dit durable laisse autoriser des permis de recherche de schistes bitumineux, on peut se demander à quoi rythment ses serments qu’il n’y aura jamais d’autorisations d’exploitation. Pourquoi alors autoriser la prospection ?
Lorsque le Président de la République clame haut et fort et sans discussion possible que la politique nucléaire de la France ne sera pas remise en cause, on est en droit de se demander s’il ne serait pas plus judicieux au nom du développement dit durable de tirer les leçons des catastrophes du Japon , en recherchant notamment des méthodes plus sures d’exploitation de cette énergie et de limitation de la durée de vie des déchets.
L’entêtement est d’autant plus navrant que maints savants prétendent voire démontrent qu’il existe des solutions plus sure que celles que nous entendons maintenir coute que coute.
Gageons que la semaine du développement dit durable ne traitera pas de tout cela , pas plus que du nombre de ces petits enfants qui meurent de faim toutes les minutes à travers le monde, et qui ne connaitront donc pas un développement durable, parce que nous sommes incapables d’utiliser efficacement les sommes colossales que nous consacrons à l’Aide Publique au Développement.
Madame le Ministre du développement dit durable, encore elle, dans un déplacement en force en Tunisie annonçait une coopération couteuse dans ce pays et dans des domaines qui n’apporteront aucune solution à la pauvreté et à la faim des populations.
L’agriculture secteur primaire est semble-t-il une des composantes essentielles du développement dit durable, mais on oublie partout que la priorité des priorités pour les populations affamées est le développement de ce secteur agricole de façon à ce que l’on arrive à l’autosuffisance alimentaire.
Avril 2011
JE NE SUIS PAS CELLE QUE VOUS CROYEZ !
Au sein du Meilleur des mondes de HUXLEY, se côtoient alphas et bêtas, en manque d’intelligence, et gammas, deltas et epsilon parfaits, représentant bien le nouvel humanoïde : à la fois révoltés soumis et béats, asexués, Absalon dans le combat et Yul Brynner dans la défaite, végétariens, ne buvant pas d’alcool, mais bardés de certitudes sur les pouvoirs que leurs maîtres ont sur la nature, le climat, l’environnement où les valeurs millénaires sur lesquelles repose le bonheur de l’Homme.
Et voilà que les « théoriciens du genre », élite de brutes, nouveaux alphas et (grands) bêtas entendent démontrer que ces nouveaux humanoïdes sont bien ces êtres asexués décrits par HUXLEY.
Vous ne comprenez donc rien disent-ils à leurs esclaves, il n’y a pas de différence entre l’homme et la femme.
Non non et non ! les attributs sexuels auxquels vous attachez tant d’importance ne sont que des illusions, des mirages, générés par vos rêves et désirs pervers.
Soyez donc prudents si vous rencontrez un personne ou une individu arborant un gros ventre, ne lui demandez pas « C’est pour quand ? », il risque de vous jeter à la figure « Mais je ne suis pas celle que vous croyez ! ».
Ah diront certains, si mon oncle en avait, il ne serait plus ma tante !
Ceci étant la théorie des genres est un excellent outil pour les bouffeurs de curés qui entendent mettre à bas les fondations ( non je n’ai pas dit les fondements !) millénaires de notre culture.
Il serait plaisant n’était-ce dramatique de constater que notre Ministre de l’Éducation Nationale entend remettre la morale à l’honneur dans le primaire, ceci au moment même où il laisse démanteler cette morale dans le secondaire avec l’affaire de la théorie du genre..
On peut encore espérer qu’il n’a pas parfaitement perçu que c’étaient les fondements mêmes de notre culture millénaire au travers de ses aspects moraux qui étaient remis en cause, voire sérieusement ébranlés.
Ceux qui ont cru voir dans cette affaire un moyen « d’écraser l’infâme » oublient que les règles morales qui nous régissent ont certes été il y a bien longtemps codifiées par les religions, mais qu’elles étaient le résultat de cette jurisprudence millénaire qui découle des lois et règles incontournables que la nature nous impose.
La Laïcité est infiniment respectable et doit être défendue coûte que coûte, mais nous aurions tort de considérer qu’elle peut édicter des lois morales pouvant remplacer celles qui existent depuis l’origine de l’humanité.
Il serait navrant que le principe de Laïcité soit ainsi bafoué en cherchant, pour régler un compte à la religion, à remettre en cause dans une attitude négationniste des principes moraux essentiels dont l’abandon ne saurait conduire qu’à la décadence.
JE NE SUIS PAS CELLE QUE VOUS CROYEZ !
Au sein du Meilleur des mondes de HUXLEY, se côtoient alphas et bêtas, en manque d’intelligence, et gammas, deltas et epsilon parfaits, représentant bien le nouvel humanoïde : à la fois révoltés soumis et béats, asexués, Absalon dans le combat et Yul Brynner dans la défaite, végétariens, ne buvant pas d’alcool, mais bardés de certitudes sur les pouvoirs que leurs maîtres ont sur la nature, le climat, l’environnement où les valeurs millénaires sur lesquelles repose le bonheur de l’Homme.
Et voilà que les « théoriciens du genre », élite de brutes, nouveaux alphas et (grands) bêtas entendent démontrer que ces nouveaux humanoïdes sont bien ces êtres asexués décrits par HUXLEY.
Vous ne comprenez donc rien disent-ils à leurs esclaves, il n’y a pas de différence entre l’homme et la femme.
Non non et non ! les attributs sexuels auxquels vous attachez tant d’importance ne sont que des illusions, des mirages, générés par vos rêves et désirs pervers.
Soyez donc prudents si vous rencontrez un personne ou une individu arborant un gros ventre, ne lui demandez pas « C’est pour quand ? », il risque de vous jeter à la figure « Mais je ne suis pas celle que vous croyez ! ».
Ah diront certains, si mon oncle en avait, il ne serait plus ma tante !
Ceci étant la théorie des genres est un excellent outil pour les bouffeurs de curés qui entendent mettre à bas les fondations ( non je n’ai pas dit les fondements !) millénaires de notre culture.
Il serait plaisant n’était-ce dramatique de constater que notre Ministre de l’Éducation Nationale entend remettre la morale à l’honneur dans le primaire, ceci au moment même où il laisse démanteler cette morale dans le secondaire avec l’affaire de la théorie du genre..
On peut encore espérer qu’il n’a pas parfaitement perçu que c’étaient les fondements mêmes de notre culture millénaire au travers de ses aspects moraux qui étaient remis en cause, voire sérieusement ébranlés.
Ceux qui ont cru voir dans cette affaire un moyen « d’écraser l’infâme » oublient que les règles morales qui nous régissent ont certes été il y a bien longtemps codifiées par les religions, mais qu’elles étaient le résultat de cette jurisprudence millénaire qui découle des lois et règles incontournables que la nature nous impose.
La Laïcité est infiniment respectable et doit être défendue coûte que coûte, mais nous aurions tort de considérer qu’elle peut édicter des lois morales pouvant remplacer celles qui existent depuis l’origine de l’humanité.
Il serait navrant que le principe de Laïcité soit ainsi bafoué en cherchant, pour régler un compte à la religion, à remettre en cause dans une attitude négationniste des principes moraux essentiels dont l’abandon ne saurait conduire qu’à la décadence.
JE NE SUIS PAS CELLE QUE VOUS CROYEZ !
Au sein du Meilleur des mondes de HUXLEY, se côtoient alphas et bêtas, en manque d’intelligence, et gammas, deltas et epsilon parfaits, représentant bien le nouvel humanoïde : à la fois révoltés soumis et béats, asexués, Absalon dans le combat et Yul Brynner dans la défaite, végétariens, ne buvant pas d’alcool, mais bardés de certitudes sur les pouvoirs que leurs maîtres ont sur la nature, le climat, l’environnement où les valeurs millénaires sur lesquelles repose le bonheur de l’Homme.
Et voilà que les « théoriciens du genre », élite de brutes, nouveaux alphas et (grands) bêtas entendent démontrer que ces nouveaux humanoïdes sont bien ces êtres asexués décrits par HUXLEY.
Vous ne comprenez donc rien disent-ils à leurs esclaves, il n’y a pas de différence entre l’homme et la femme.
Non non et non ! les attributs sexuels auxquels vous attachez tant d’importance ne sont que des illusions, des mirages, générés par vos rêves et désirs pervers.
Soyez donc prudents si vous rencontrez un personne ou une individu arborant un gros ventre, ne lui demandez pas « C’est pour quand ? », il risque de vous jeter à la figure « Mais je ne suis pas celle que vous croyez ! ».
Ah diront certains, si mon oncle en avait, il ne serait plus ma tante !
Ceci étant la théorie des genres est un excellent outil pour les bouffeurs de curés qui entendent mettre à bas les fondations ( non je n’ai pas dit les fondements !) millénaires de notre culture.
Sacha GUITRY aurait en 1915 lancé la publicité de l’Eleska devenue « LSKCSKI ».
Ne dirait-il pas aujourd’hui : « DSKCSKI » ?
Mais sans doute ajouterait-t-il ce qu’il disait lorsqu’on l’accusa d’homosexualité : « C’est une histoire sans fondement ».
Elle ne sait que vendre des salades bio !
Ce ne’st pas le cas de ceux qui comme vous ne savent pas écrire en Français !
Mais rassurez-vous si mon message a été refusé sur AGORAVOX je le ferai passer ailleurs.
NON AU TERRORISME ALIMENTAIRE !
Le tour de France, l’affaire DSK, les tabloïds Anglo-Saxons, les bouchons sur les routes auxquels bison futé ne peut plus rien, les vacances foutues par manque de soleil ; que de sujets d’intérêt en cet été 2011 !
Pendant ce temps un drame horrible se joue dans la Corne de l’Afrique illustré par ces cadavres vivants d’enfants sur les routes de Somalie, par le témoignage bouleversant de cette maman qui avec ses cinq petits à parcouru cinquante kilomètres pour leur trouver un peu de nourriture, un garçon de trois ans est mort en route.
Il y a au bout de cette route de magnifiques structures d’accueil où l’on pourrait trouver quelques miettes indispensables, mais le gouvernement – si l’on peut dire – du coin refuse l’accès à ces étrangers qui risquent d’envahir le pays, qu’ils crèvent donc !
On cite (Le Point 26 juillet 2011) cet homme endimanché, en costume et chaussures cirées qui dans la poussière orange de huttes du nord du Kenya filme consciencieusement avec son Ipad la carcasse en décomposition d’une vache. La Directrice exécutive du Programme Alimentaire Mondial a elle-même posé près de la vache !
Ces sinistres simagrées sont-parait-il nécessaires pour définir les mesures à prendre d’urgence.
La FAO, dont le Directeur Général clame sans être entendu depuis des années que la priorité des priorités est de permettre à ces pays d’atteindre leur autosuffisance alimentaire, la FAO convoque d’urgence les pays développés pour apporter un aide immédiate à ces malheureux affamés.
D’urgence, cela veut dire pour les pays concernés en prenant son temps, afin qu’il en meure quelques milliers de plus, ça coutera moins cher !
Ce drame horrible, qui dépasse en gravité toutes les crises économiques que vivent les pays dits riches, a pour unique cause un véritable terrorisme alimentaire auquel se livrent depuis bien des années divers acteurs qui s’acharnent à en renvoyer la responsabilité au réchauffement climatique et à la sécheresse conséquente. Notre irresponsabilité d’émetteurs de CO2, ou celle de nos bovins émetteurs de pets et rots méthaniques serait selon eux la seule cause du drame.
Ce terrorisme alimentaire est dû :
- De façon très directe à l’action de milices et bandes armées, sous la coupe d’organisations fanatiques qui entendent soumettre les populations par la faim, en empêchant au besoin l’acheminement de l’aide alimentaire.
- Moins directement à la politique menée dans les pays en développement où, au-delà du détournement contant de l’aide internationale au profit de politiciens véreux, les choix de développement qui ont été faits ne peuvent conduire qu’à la catastrophe.
Le funeste ajustement structurel prôné pendant des années par le FMI et la Banque Mondiale, conduit au nom d’une bien vaine recherche d’indépendance financière à privilégier des cultures industrielles pour l’exportation, dont le prix ne permettra pas d’acheter aux pays dits riches l’alimentation de base que l’on aurait dû produire en priorité.
L’Organisation Mondiale du Commerce a ici une très grave responsabilité, dans la mesure où le prix de l’alimentation de base, est fixé mondialement, non pas en fonction du coût de production, mais en fonction de la loi de l’offre et de la demande, la demande des pauvres ne pouvant pas être satisfaite par l’offre, hors de prix, des riches.
Ce terrorisme alimentaire tient surtout au fait que nous avons étés incapables dans la mise en œuvre de l’Aide Publique au développement, de tirer les leçons des erreurs politiques précitées, ce qui conduit à engloutir des sommes énormes dont il ne peut rien sortir de positif.
« En Afrique les projets de Lutte contre la pauvreté appauvrissent les populations ! ».
C’est une femme admirable qui le dit. Une Sénégalaise qui depuis Saint-Louis œuvre inlassablement pour aider les femmes de la vallée du fleuve Sénégal à faire renaître l’agriculture de la région. Les hommes eux sont, contre l’avis des femmes et au péril de leur vie, partis en Europe pour essayer de gagner quelque argent…
« Ne pas avoir peur de dire aux Africains qu’on veut les aider, mais qu’on veut aussi que cela nous rapporte…/… ».
C’est un homme qui le dit, un Français, le Secrétaire d’État à la coopération, le même qui ajoutera un peu plus tard, sans rire, qu’il faut créer un loto pour financer l’aide publique au développement ! ».
Alors oui, il faut absolument aider de toute urgence, en cessant les palabres inutiles, ceux qui attendent quelques bouchées pour survivre. Il ne faut pas des semaines de grimaces et de facéties de personnages politiques parfaitement endimanchés pour débloquer quelques centaines de millions de dollars – au point où nous en sommes tous de la dette ! – qui permettront de sauver bien de malheureux enfants.
À l’heure où l’on dépense 11 milliards d’euros pour l’organisation de jeux olympiques parfaitement inutiles, on peut se demander si une telle décision n’est pas au-delà d’une discrimination - quant aux acteurs et spectateurs- que personne ne dénonce un nouvel élément du terrorisme alimentaire, compte tenu des productions que permettrait une telle somme.
Il faut arrêter de vouloir mettre en place chez ces malheureux affamés, nos modèles économiques actuels, qui montrent d’ailleurs leurs limites par la disparition de l’agriculture et l’avènement de l’économie virtuelle et de la fausse monnaie. Il faut arrêter les sinistres et lamentables facéties et simagrées du développement dit durable, du commerce prétendu équitable ou de la microfinance, première étape du modèle coopératif que nous sommes incapables de dépasser.
Il faut arrêter de considérer que la limitation des naissances dans ces pays est la priorité des priorités, elle est indispensable, mais ne pourra être mise en œuvre efficacement que lorsqu’un minimum de conditions de vie décentes permettra à ces malheureux de ne pas être soumis dans les périodes de danger de sa disparition, au seul instinct de conservation de l’espèce.
Il faut dans ces pays où l’argent apporté à flots, ne pourra rien, aider ces malheureux à développer le secteur agricole par le modèle que nous avons-nous-mêmes mis en place il y a plus de cent ans lorsque notre agriculture était dans la même situation que la leur aujourd’hui.
« Quand un homme a faim, mieux vaut lui apprendre à pêcher que de lui donner un poisson. »
CONFUCIUS.
27 juillet 2011
NON AU TERRORISME ALIMENTAIRE !
Le tour de France, l’affaire DSK, les tabloïds Anglo-Saxons, les bouchons sur les routes auxquels bison futé ne peut plus rien, les vacances foutues par manque de soleil ; que de sujets d’intérêt en cet été 2011 !
Pendant ce temps un drame horrible se joue dans la Corne de l’Afrique illustré par ces cadavres vivants d’enfants sur les routes de Somalie, par le témoignage bouleversant de cette maman qui avec ses cinq petits à parcouru cinquante kilomètres pour leur trouver un peu de nourriture, un garçon de trois ans est mort en route.
Il y a au bout de cette route de magnifiques structures d’accueil où l’on pourrait trouver quelques miettes indispensables, mais le gouvernement – si l’on peut dire – du coin refuse l’accès à ces étrangers qui risquent d’envahir le pays, qu’ils crèvent donc !
On cite (Le Point 26 juillet 2011) cet homme endimanché, en costume et chaussures cirées qui dans la poussière orange de huttes du nord du Kenya filme consciencieusement avec son Ipad la carcasse en décomposition d’une vache. La Directrice exécutive du Programme Alimentaire Mondial a elle-même posé près de la vache !
Ces sinistres simagrées sont-parait-il nécessaires pour définir les mesures à prendre d’urgence.
La FAO, dont le Directeur Général clame sans être entendu depuis des années que la priorité des priorités est de permettre à ces pays d’atteindre leur autosuffisance alimentaire, la FAO convoque d’urgence les pays développés pour apporter un aide immédiate à ces malheureux affamés.
D’urgence, cela veut dire pour les pays concernés en prenant son temps, afin qu’il en meure quelques milliers de plus, ça coutera moins cher !
Ce drame horrible, qui dépasse en gravité toutes les crises économiques que vivent les pays dits riches, a pour unique cause un véritable terrorisme alimentaire auquel se livrent depuis bien des années divers acteurs qui s’acharnent à en renvoyer la responsabilité au réchauffement climatique et à la sécheresse conséquente. Notre irresponsabilité d’émetteurs de CO2, ou celle de nos bovins émetteurs de pets et rots méthaniques serait selon eux la seule cause du drame.
Ce terrorisme alimentaire est dû :
- De façon très directe à l’action de milices et bandes armées, sous la coupe d’organisations fanatiques qui entendent soumettre les populations par la faim, en empêchant au besoin l’acheminement de l’aide alimentaire.
- Moins directement à la politique menée dans les pays en développement où, au-delà du détournement contant de l’aide internationale au profit de politiciens véreux, les choix de développement qui ont été faits ne peuvent conduire qu’à la catastrophe.
Le funeste ajustement structurel prôné pendant des années par le FMI et la Banque Mondiale, conduit au nom d’une bien vaine recherche d’indépendance financière à privilégier des cultures industrielles pour l’exportation, dont le prix ne permettra pas d’acheter aux pays dits riches l’alimentation de base que l’on aurait dû produire en priorité.
L’Organisation Mondiale du Commerce a ici une très grave responsabilité, dans la mesure où le prix de l’alimentation de base, est fixé mondialement, non pas en fonction du coût de production, mais en fonction de la loi de l’offre et de la demande, la demande des pauvres ne pouvant pas être satisfaite par l’offre, hors de prix, des riches.
Ce terrorisme alimentaire tient surtout au fait que nous avons étés incapables dans la mise en œuvre de l’Aide Publique au développement, de tirer les leçons des erreurs politiques précitées, ce qui conduit à engloutir des sommes énormes dont il ne peut rien sortir de positif.
« En Afrique les projets de Lutte contre la pauvreté appauvrissent les populations ! ».
C’est une femme admirable qui le dit. Une Sénégalaise qui depuis Saint-Louis œuvre inlassablement pour aider les femmes de la vallée du fleuve Sénégal à faire renaître l’agriculture de la région. Les hommes eux sont, contre l’avis des femmes et au péril de leur vie, partis en Europe pour essayer de gagner quelque argent…
« Ne pas avoir peur de dire aux Africains qu’on veut les aider, mais qu’on veut aussi que cela nous rapporte…/… ».
C’est un homme qui le dit, un Français, le Secrétaire d’État à la coopération, le même qui ajoutera un peu plus tard, sans rire, qu’il faut créer un loto pour financer l’aide publique au développement ! ».
Alors oui, il faut absolument aider de toute urgence, en cessant les palabres inutiles, ceux qui attendent quelques bouchées pour survivre. Il ne faut pas des semaines de grimaces et de facéties de personnages politiques parfaitement endimanchés pour débloquer quelques centaines de millions de dollars – au point où nous en sommes tous de la dette ! – qui permettront de sauver bien de malheureux enfants.
À l’heure où l’on dépense 11 milliards d’euros pour l’organisation de jeux olympiques parfaitement inutiles, on peut se demander si une telle décision n’est pas au-delà d’une discrimination - quant aux acteurs et spectateurs- que personne ne dénonce un nouvel élément du terrorisme alimentaire, compte tenu des productions que permettrait une telle somme.
Il faut arrêter de vouloir mettre en place chez ces malheureux affamés, nos modèles économiques actuels, qui montrent d’ailleurs leurs limites par la disparition de l’agriculture et l’avènement de l’économie virtuelle et de la fausse monnaie. Il faut arrêter les sinistres et lamentables facéties et simagrées du développement dit durable, du commerce prétendu équitable ou de la microfinance, première étape du modèle coopératif que nous sommes incapables de dépasser.
Il faut arrêter de considérer que la limitation des naissances dans ces pays est la priorité des priorités, elle est indispensable, mais ne pourra être mise en œuvre efficacement que lorsqu’un minimum de conditions de vie décentes permettra à ces malheureux de ne pas être soumis dans les périodes de danger de sa disparition, au seul instinct de conservation de l’espèce.
Il faut dans ces pays où l’argent apporté à flots, ne pourra rien, aider ces malheureux à développer le secteur agricole par le modèle que nous avons-nous-mêmes mis en place il y a plus de cent ans lorsque notre agriculture était dans la même situation que la leur aujourd’hui.
« Quand un homme a faim, mieux vaut lui apprendre à pêcher que de lui donner un poisson. »
CONFUCIUS.
27 juillet 2011
« Est-ce à moi que ce(s) discours s’adresse(nt) a envie de dire l’auteur de l’article original en ajoutant pour rester dans le théatre classique : »Je vis de bonne soupe et non de beau langage« .
Je suis particulièrement satisfait du ton courtois et civilisé qu’a déclenché ce débat que j’ai initié, malgré que bien des intevenants soient en opposition formelle entre eux ou avec moi. Je n’ai pas eu besoin ni envie de »replier" des réactions comme l’autorise Agoravox.
J’ai certes été parfois dépassé par le niveau très élevé du débat philosophique d’où la référence à Molière, mais il est bon que tout un chacun exprime ses opinions.
J’en resterai donc là quant à moi en remerciant, quelles que soient leur opinion ou convictions sur le sujet, tous les intervenants de la participation à ce débat.
Cher Gérard Luçon,
Merci de votre message. Vous avez tout à fait raison si l’on considère, ce que j’ai eu le tort de faire dans un article trop rapide que les différences énormes entre la situation économique de notre pays et celle des pays de l’Est, la Roumanie notamment, n’ont d’incidence que sur les Roms.
Ce que je pense sincèrement c’est que ces populations sont dans tous les pays considérées par certains comme étant en marge de la société, ce qui n’est pas acceptable même si l’on est parfois excédé par leur comportement cela m’arrive, et je reconnais que je dois me forcer pour ne pas faire de discrimination.
Étant en marge, ils sont sans doute les premiers à aller chercher ailleurs ce que la société dans leur pays, leur refuse en le refusant un peu moins aux autres.
Il y a d’ailleurs chez ces malheureux qui viennent de Roumanie autant de non Roms que de Roms mais l’attention est sans doute plus attirée sur ces derniers que sur les autres, qui s’intègrent sans un (tout petit) peu plus que les Roms.
Je n’ai jamais effectivement eu connaissance de programmes PHARE s’appliquant aux Roms, je n’ai jamais considéré que les programmes auxquels j’ai participé qui concernaient l’agriculture avaient quoi que ce soit à voir directement avec les Roms. Ce que j’ai voulu exprimer est que l’immigration que nous constatons, au sein de l’Europe, est due à ce niveau économique extrêmement faible que l’Union Européenne n’a pas su relever malgré les sommes englouties. Dans le domaine agricole notamment, qui est essentiel dans toute économie naissante ou renaissante, le niveau – combien bas- de la période communiste, n’a pas été maintenu.
Ceci est d’autant plus dramatique pour l’Union Européenne que la monnaie unique, thermomètre de l’économie, même si elle n’est pas généralisée, devrait constater un niveau de développement économique de tous les pays.
Je vous précise que mes activités de consultant se sont déroulées à temps très partiel pendant ma retraite et que je les ai cessées depuis maintenant cinq ans, ce qui ne m’empêche pas de suivre attentivement les problèmes dont j’ai eu connaissance à l’époque.
Conscient que j’avais été incomplet, ce qui justifiait les remarques que vous faites, j’ai rédigé hier un nouvel article que vous pourrez trouver sur AGRAVOX : « Roms et immigrés même problème »où j’ai essayé d’élargir le débat, bien conscient que tout le monde ne saurait être d’accord sur tout.
Très cordialement
Cher kiouty.
Il est permis à tout un chacun d’avoir des convictions et de les affirmer, ce que je fais, mon point de vue étant que l’Homme n’a aucune influence sur les changements climatiques.
N’étant pas un scientifique, j’ai modestement étudié diverses sciences et ma conviction précitée reposait à l’origine sur une intuition liée à la taille de l’Univers comparée à celle de notre petite terre. Songez que l’on mesure la taille de cet univers en années lumières dont je vous laisse le soin de calculer ce que cela fait en kilomètres.
L’intuition n’est cependant pas suffisante, pas plus que le consensus pour établir une vérité scientifique. Je m’en remets donc aux scientifiques qui me semblent les plus sérieux pour me confirmer cette intuition, ce qu’ils font en laissant comme tout scientifique subsister une petite part de doute, ce que ne font pas les tenants du consensus qui établissent une certitude absolue à partir de ce qui ressemble à un vote.
Lisez entre autres « CO2 un mythe planétaire » de Christian Gérondeau, il démontre avec une précision scientifique remarquable qu’il y a de fortes probabilités que les émissions de CO2 ne soient pour rien ou que pour très peu de choses dans le réchauffement.
Personne ne parle de ce livre, j’ai eu beaucoup de mal à le lire compte tenu du niveau scientifique, mais il est d’une rigueur que l’on ne retrouve pas dans les assertions qui ne souffrent pas de discussion des membres du GIEC.
Sur ce que vous n’avez pas bien compris, sans doute me suis-je mal exprimé. Je nie bien le rôle de l’Homme dans le changement climatique et ne saurais donc accréditer ce rôle.
Je ne suis pour autant absolument pas un climato sceptique, pas plus que les scientifiques qui nient ce rôle de l’Homme, mais qui ne peuvent bien évidemment pas nier les modifications climatique et le réchauffement auquel il nous appartient de nous adapter.
Ce que j’ai voulu exprimer est qu’il est dommage compte tenu que nous n’y pouvons rien que l’on consacre beaucoup d’énergie à chercher à agir sur le climat, plutôt qu’à chercher à s’adapter à ces changements, ce que les espèces vivantes ont toujours fait au fil des millénaires au travers notamment du processus d’évolution.
Bien cordialement.
Cher JOWURZ,
Je me suis sans doute très mal expliqué mon intention n’étant pas de conseiller aux Roms de mettre les voiles n’y de les y obliger.
Je considère pour tout immigré quel qu’il soit, qu’il a le droit imprescriptible de vivre où bon lui semble, à la seule condition de se soumettre aux lois et règlements du pays où il vit.
Le problème est que la grande majorité des immigrés et des Roms nouveaux venus préfèreraient et de loin vivre dignement dans leurs meubles, c’est à dire dans leur pays d’origine. Ils ne viennent chez nous que chercher ce qu’ils ne trouvent pas chez eux pour faire vivre dignement leur famille et ceci est parfaitement compréhensible voire respectable.
Ce qui ne l’est pas c’est que nous ne fassions rien, depuis les indépendances ou la chute du communisme pour que ces pays connaissent un développement normal qui arrêterait cette fuite - au passage des plus utiles dans leurs pays - et que nous acceptions en outre que ces malhereux soient exploités chez nous par des esclavagistes qui en prime créent ainsi de graves problèmes sociaux du fait de la dégradation de l’emploi.
Quant au fameux traité de Lisbonne je pense avoir été clair.
Cordialement
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