@Aita Pea Pea
L’éolien en mer offre de grandes possibilités... et ce n’est qu’un exemple.
Un général a déclaré qu’un pays nucléarisé n’était pas défendable.
@Mellipheme
Empêcher la prolifération avec des « micro-réacteurs modulaires », c’est une mission impossible.
Une des bases de la radioprotection est la justification des doses. Vu qu’il y a des alternatives au nucléaire, il faut l’arrêter.
C’est grâce à des hommes comme Giulio Andreotti que la mafia a pu s’installer d’une façon permanente dans le nord de l’Italie et y devenir, avec le temps, la mafia des cols blancs... celle qui allait offrir ses services à Silvio Berlusconi.
http://tueriesdubrabant.1fr1.net/t2807p25-andreotti-giulio?highlight=Andreotti
Le roi Léopold II de Belgique était un pédophile notoire.
Dans la même famille, le prince Albert (futur roi Albert II) a été cité dans le « dossier Pinon ». Voici ce que Michel Libert, qui a vu ce dossier, en dit :
Vous citez le document suivant attribué à William Westmoreland (un proche de John K. Singlaub et Robert K. Brown) :
U.S. Army Field Manual 30-31B
Certains affirment que c’est un faux.
Il en va de même d’une lettre d’Alexander Haig (alors SACEUR, c’est-à-dire patron de la branche militaire de l’OTAN, le SHAPE) à Jozef Luns, affirrmant que les Européens devraient être « jolted » (« secoués ») pour voir où est leur intérêt.
A mon avis, ces deux documents sont authentiques. Ils cadrent en tout cas bien avec les personnes citées et avec les autres éléments découverts depuis.
Il y a aussi une citation de Brian Crozier, un anticommuniste acharné, disant qu’il fallait faire peur aux Européens pour qu’ils se rapprochent des USA.
Il n’y a en tout cas plus d’historiens sérieux qui croient que les attentats des « années de plomb » ont été l’oeuvre de communistes...
Les recherches historiques montrent que des gens comme André Moyen, Albert De Vleeshauwer, Paul Van Zeeland, Félix Morlion, William Donovan, Robert Murphy, Robert Solborg, Douglas MacArthur II, Paul Vanden Boeynants, David Dubinsky, Félix Przedborski... étaient en contact.
Je ne serais d’ailleurs pas étonné que l’ambassadeur des USA en Belgique Robert Murphy ait été lié à l’assassinat de Julien Lahaut (18 août 1950) organisé par André Moyen.
Les liens ont continué avec la génération d’Arnold Van Zeeland et de son beau-frère Arnould de Briey (tentative de coup d’Etat de 1973).
Ces gens avaient aussi de nombreux liens avec l’étranger et avec le monde de l’industrie et de la finance. Milpol de André Moyen, par exemple, a été financé par Brufina et la Générale. Paul Van Zeeland a quitté la politique pour le monde des affaires en tant qu’administrateur, Félix Morlion - via Pro Deo - était proche des patrons italiens, Robert Solborg a été président de la Chambre de Commerce américaine en France...
« L’hydre criminelle » touchait tout le monde occidental.
L’explication actuelle des tueries du Brabant ? Les enquêteurs reviennent à concevoir une sorte d’organisation criminelle complexe à plusieurs niveaux imbriqués de rouages de commandement et d’exécutants, chaque rouage n’ayant pas forcément compris le rôle qui lui était attribué. Dans cette explication d’une « hydre criminelle », des acteurs appartenaient à des services officiels de type police, gendarmerie, etc., et ceux-ci ont à tout moment pipé les dés et englué l’enquête en la manipulant.
En ce qui concerne la Belgique, il ne faut pas oublier le témoignage récent de Joël Lhost qui met directement en cause la Defense Intelligence Agency (DIA), le service secret de l’armée américaine... qui avait déjà recruté Paul Latinus. La DIA avait une grande influence sur le service secret militaire belge et donc sur la gendarmerie qui, à l’époque, faisait partie de l’armée.
En ce qui concerne les « tueries du Brabant » (28 morts au minimum), les deux éléments les plus récents sont :
Il semble bien que la DIA (créée sous Lyman Lemnnitzer ... celui de l’opération Northwoods) était l’élément moteur et donnait des instructions au SDRA (renseignements militaires belges) dont une partie contrôlait un réseau « stay-behind » (SDRA8). Il se peut d’ailleurs que le SHAPE (OTAN) ait développé son propre réseau en Belgique.
Ce matin (11 février 2016), il y a un long article de Libération sur AREVA.
Pour rappel, sur le même sujet :
http://www.franceinter.fr/emission-affaires-sensibles-uramin-le-scandale-cache-d-areva
l’émission du mardi 9 février 2016
Uramin : le scandale caché d’AREVA
et
https://fr.wikipedia.org/wiki/UraMin
En page 5 de Libération, il est question de la société « Swala », que je ne connaissais pas.
Sur internet :
http://www.liberation.fr/france/2016/02/10/swala-un-exploitant-d-or-au-coeur-des-operations_1432506
Swala, un exploitant d’or au cœur des opérations
Par Emmanuel Fansten — 10 février 2016 à 20:31
(...)
James Mellon et Stephen Dattels sont deux des principaux actionnaires d’Uramin, cette coquille vide vendue 1,8 milliard d’euros à Areva. Rappelons que dans ce dossier, Mellon et Dattels négociaient directement avec Daniel Wouters. Au-delà des soupçons de conflit d’intérêt, leur présence dans l’actionnariat de Swala soulève de nombreuses questions. Depuis quand les trois hommes se connaissaient-ils ? Daniel Wouters a-t-il sciemment dupé Areva en échange d’une rétribution ? Et sinon, pour quelle raison Mellon et Dattels ont-ils investi dans Swala ? L’intéressé devra très certainement s’en expliquer devant les juges d’instruction.
(...)
_ _ _
http://www.oldmasters.net/journal/jim-mellon-interview-spears-wms-magazine-issue-no-13/
‘Jim Mellon interview,’ Spears WMS magazine, Issue No. 13
(...)
My father is from Glasgow but my mother is from Edinburgh and I was born here and have always felt an affinity with the city. I have been coming to the ‘Fringe’ for about 15 years. I like the energy and enjoy good stand-up comedians.
Are you related to the Pittsburgh Mellon banking dynasty ? A distant cousin. At the time of the potato famine in Ireland, I think around 1830, the Mellons left Ireland. They went to America and we came to Scotland. I used to correspond with the late Paul Mellon.
Your father is the retired diplomat, Sir James Mellon, who was Ambassador to Denmark, High Commissioner in Ghana and Consul General in New York. Do you think the constant moving explains your lifestyle now ?
Probably. I like to stay on the move and never spend more than a couple of weeks in one place. Where is home then ? I have houses scattered around, St Anton, Brussels, Edinburgh, but Ibiza and Isle of Man would have to be home.
(...)
_ _ _
https://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_Mellon
https://en.wikipedia.org/wiki/Mellon_family
« Gulf était l’un des instruments principaux de la fortune de la légendaire famille Mellon ; Gulf ainsi que la Mellon bank avait leur siège à Pittsburgh en Pennsylvanie ».
_ _ _
https://fr.wikipedia.org/wiki/Richard_Scaife
(...)
(Richard Mellon) Scaife est particulièrement connu pour son soutien financier aux milieux conservateurs et libéraux et libertariens des États-Unis ainsi qu’à des organisations politiques d’extrême-droite durant les vingt dernières années. Il a apporté l’assistance financière à des causes conservatrices ou libérales aux États-Unis, surtout par des fondations privées, à but non lucratif, qu’il contrôlait : la Sarah Scaife Foundation, la Carthage Foundation et l’Allegheny Foundation et jusqu’en 2001, la Scaife Family Foundation, maintenant contrôlée par ses enfants, sa fille Jennie et son fils David. Scaife a aussi aidé à financer l’Arkansas Project, qui a entrainé la procédure d’impeachment du président Bill Clinton.
(...)
_ _ _
La famille Mellon a financé l’ISC de Brian Crozier.
_ _ _
Sur Brian Crozier :
http://tueriesdubrabant.winnerbb.com/t2517-brian-crozier?highlight=crozier
Voir aussi :
V... : Enquête sur l’affaire des « avions renifleurs »
Par Pierre Péan
Brian Crozier a conseillé à Camus (OTAN) : « une campagne qui donnerait la frousse aux Européens pour resserrer leurs liens avec les Etats-Unis »
Il y a des choses qui bougent en ce qui concerne les réseaux « Stay-behind » (dont Gladio)... L’enquête sur l’attentat de l’Oktoberfest à Munich vient d’être réouverte et une nouvelle commission d’enquête a été créée en Italie au sujet de la mort de Aldo Moro (c’est notamment l’occasion de s’intéresser à un certain Steve Pieczenik). Intéressant aussi, en Belgique : un nouveau témoignage d’un dénommé Joël L. : il a travaillé pour la DIA (Defense Intelligence Agency, le service secret de l’armée américaine) qui lui a demandé de faire office de « voiture ouvreuse » pour conduire les tueurs du Brabant jusqu’à l’aéroport de Chièvres (SHAPE - OTAN). Nous savions déjà que Paul Latinus (WNP) travaillait pour la DIA, un service créé par Lyman Lemnitzer, le responsable de l’opération Northwoods.
Il faut noter que Mohammed Atta a notamment suivi des cours de pilotage chez Kemper Aviation, une école où a travaillé un certain Buslik bien connu en Belgique puisqu’il a été le complice de Robert Beijer et de Madani Bouhouche. Buslik est un agent de la CIA.
Il est frappant de constater que les terroristes du 11 septembre ont étudié sur au moins deux aéroports où la présence de la CIA était importante.
Très intéressant article... notamment l’allusion aux Tueurs du Brabant qui me semble tout-à-fait pertinente.
Parmi les amis de Degrelle (Stefano delle Chiaie, Robert Wellens - proche de Elio Ciolini - et bien d’autres), il ne faut pas oublier Martial Lekeu ... un personnage important dans ces affaires.
Cela vaut aussi la peine de se renseigner sur Guillaume Vogeleer, impliqué dans les trafics de drogue du commandant François et dans ce qui suivra ... Il y a une vidéo sur lui sur Youtube :
Un extrait du livre de Antonella Beccaria sur Elio Ciolini (« Il facciendiere »), page 204 :
(...) Nel curriculum di questo strano faccendiere, ci puo entrare poi una storia del 2005, quando fu indicato come l’estensore di un prospetto legato a una richiesta inviata a un ufficio di Bruxelles per ottenere una trentina di milioni di euro con cui finanziare presunte attivita paramilitari. (...)
Une note renvoie à l’article suivant :
Dssa, la galassia di destra a caccia di fondi
(...) Al broker ex deputato arriverà in fretta e furia un prospetto redatto da Elio Ciolini, personaggio torbido, « superteste » di professione condannato più volte per calunnia, depistaggio e truffa. Non proprio la carta vincente per « sfondare » a Bruxelles. (...)
_ _ _
Pour mieux comprendre :
Un commando fasciste italien rêvait d’enlever Battisti
Laure STEPHAN 5 juillet 2005 à 02:51
Un projet d’enlèvement de Battisti en France par des barbouzes italiens ? L’hypothèse est réelle. Et vient de prendre corps avec une série de révélations dans la presse italienne. L’enlèvement de Cesare Battisti, membre des Prolétaires armés pour le communisme, aurait été ainsi préparé par le Département d’études de stratégie antiterroriste (DSSA), « bureau » d’extrême droite fondé en mars 2004. Avant que le projet soit abandonné à l’automne après la fuite de l’écrivain. C’est ce qu’a rapporté dans son édition de dimanche le quotidien italien Corriere della Sera, tandis que l’autre grand titre de la Péninsule, La Repubblica, indiquait de manière lapidaire que le DSSA, un « groupe de néofascistes [...] nourrissait l’espoir d’arrêter le terroriste en fuite Cesare Battisti ».
Fantasmes. Un espoir plus qu’un projet concret, à en croire Marco Imarisio, journaliste du Corriere et auteur de l’article sur le rapt envisagé de Battisti : « Le DSSA aurait eu deux fois le projet d’enlever Battisti. D’abord, alors qu’il était encore à Paris, ses membres ont voulu mettre sur pied un commando ; et ensuite alors qu’une rumeur laissait penser qu’il se cachait en Corse. Mais on ne peut pas parler de plan véritable, les membres du DSSA fantasmaient plus qu’autre chose », explique-t-il. Il n’empêche, le DSSA aurait compté 150 personnes : ses deux dirigeants, Gaetano Saya et Riccardo Sindoca, qui se réclament tous deux de « filiation fasciste », sont aux arrêts domiciliaires depuis vendredi.
Le Corriere della Sera livre quelques extraits des documents de l’enquête préliminaire, reprenant notamment une conversation téléphonique du 14 septembre 2004 entre l’un des dirigeants du DSSA, Riccardo Sindoca, et un agent de police pénitentiaire, Marco Campidani : il est question de « Bruno Rossi », nom de code pour indiquer les Brigades rouges et désigner également Cesare Battisti, aussi surnommé « le Porc » ou « le Porc rouge », « prêt à être enlevé ». Battisti est alors en fuite depuis le 21 août. Les membres du DSSA avaient-ils des informations sérieuses sur la localisation de Battisti ? Selon Marco Imarisio, la conversation téléphonique interceptée coïncide avec la parution d’un article dans le Giornale, quotidien italien, selon lequel Cesare Battisti était alors en Corse. Mais dans les conversations, les membres du DSSA parlent aussi de contacts. Les éclaircissements sur le degré de préparation du rapt de Cesare Battisti seront sans doute donnés par les premiers interrogatoires qui doivent avoir lieu mercredi à Gênes.
Pour autant, les ambitions principales du DSSA semblent avoir été d’abord d’« éliminer le terrorisme islamique et protéger le pape ». Dans le but de lutter contre le terrorisme, la structure organise ainsi des filatures, elle surveille des lieux soupçonnés d’être des couvertures et filme plusieurs individus.
C’est au milieu de ces activités qu’émerge le projet Battisti. Ce qui semble incongru à certains. Sa réussite aurait pourtant, selon la presse italienne, permis de légitimer les activités du DSSA, qui cherchait des appuis aussi bien politiques que financiers. « Les membres parlaient souvent de Battisti en l’insultant, continue Marco Imarisio, il ne faut pas oublier que ce DSSA était formé de personnes d’extrême droite qui haïssent Battisti d’un point de vue idéologique. Mais c’était aussi le projet le plus ambitieux d’un point de vue de l’image, toute l’Italie parlait alors de Battisti. »
Police parallèle. Si le projet d’enlever Battisti risque peu d’émouvoir la Péninsule, la révélation de la formation d’un groupe de police parallèle crée, elle, un petit malaise. D’abord, parce qu’elle intervient alors que le gouvernement est en pleine polémique avec les autorités américaines. L’Italie dément formellement avoir été informé de l’enlèvement de l’imam Abou Omar par la CIA, en plein Milan, en 2003. Et les institutions italiennes affirment de nouveau ne pas avoir été au fait des activités du DSSA, ce que contredit pourtant l’un des dirigeants de cette officine, Gaetano Saya.
Mais ,surtout, le ministère de l’Intérieur craint que d’autres groupuscules « parallèles » aient mis un pied dans les forces de l’ordre italiennes ; aujourd’hui, 24 policiers, gendarmes ou agents de la répression des fraudes sont mis en examen dans l’affaire du DSSA.
_ _ _ _ _ _
http://fr.wikipedia.org/wiki/Stay-behind_en_Belgique
(...)
En 1996, un article du quotidien Le Soir fit sensation en révélant qu’un plan de base de la défense militaire de la Belgique, composé en août 1995, déclarait qu’« il n’existe aucune menace ouverte en Belgique mais il existe bien une menace clandestine permanente » émanant des « communautés immigrées ». Le plan de l’ITC (commandement territorial interforces) prévoyait la constitution d’un réseau d’espionnage afin d’infiltrer la société civile, pour empêcher des actions de subversion d’« agents ou sympathisants » issus « des milieux diplomatique, culturel, commerciaux et religieux » étrangers en Belgique. Confrontées aux accusations de racisme, les autorités militaires belges ont par la suite affirmé qu’elles modifieraient le plan.[réf. nécessaire]
Tout comme l’affaire du Département d’études stratégiques antiterroriste (DSSA) en Italie, ce plan de 1995 incline à croire[Qui ?] que les réseaux stay-behind n’ont pas été complètement démantelés depuis la révélation de Giulio Andreotti. Il est certain que la Belgique reste, comme au temps de la guerre froide et du fait de sa situation géographique et de sa position au cœur de l’Europe, une porte d’entrée et une fenêtre béante pour tous les subversifs étrangers. l’OTAN et la Commission européenne sont conscients des dangers qui les menacent autant que de l’efficacité et de la nécessité de l’emploi de moyens qui ont fait leurs preuves. Cependant, à la suite du scandale Gladio les réseaux stay-behind n’ont été officiellement dissous dans leur totalité qu’en Belgique, ou plutôt, la Belgique a déclaré ne plus avoir de service SDRA 8. Mais rien n’empêche et même tout pousse la Belgique à avoir (re)créé des réseaux stay-behind. Les anciens membres du SDRA 8 n’ont pas perdu leurs récentes motivations et il doit en être de même dans d’autres pays. En Italie, c’est en juillet 2005 que la presse[Qui ?] apprend l’existence du DSSA, une « structure de police parallèle » mise en place par deux dirigeants de l’Union nationale des forces de police (Unpf), un syndicat présent dans chaque service des forces de l’ordre. Les deux chefs, Gaetano Saya et Riccardo Sindona, ont affirmé être d’anciens membres de Gladio. Apparemment, Fabrizio Quattrocchi, assassiné en Irak après avoir été pris en otage, était là-bas « pour le compte du DSSA », selon le site internet - désormais fermé - du DSSA. Selon les enquêteurs, le DSSA tentait de se faire reconnaître internationalement afin d’obtenir des financements pour ses activités parallèles.
_ _ _
D’où la question : Elio Ciolini était-il un membre des réseaux Stay-behind ?
http://www.slate.fr/story/78042/assassinat-jfk-dallas-oas#linkreact
Vous pourriez être intéressé par des liens inattendus avec cet article.
Selon l’écrivain Steve Rivele, le président aurait été assassiné par des Marseillais commandités par la Mafia américaine.
http://www.members.optushome.com.au/tnorth/lexpressarticle.htm
http://spot.acorn.net/jfkplace../09/fp.back_issues/08th_Issue/misc.html
Dans son livre, Rivele mentionne Charles Masy.
Un grand ami de Charles Masy était Guillaume Vogeleer.
Pour en savoir plus à leur sujet :
http://tueriesdubrabant.winnerbb.com/t2402-guillaume-vogeleer-jimmy-le-belge
http://www.youtube.com/watch?v=ikpa3a7I8xg&feature=youtu.be
Charles Masy est présent sur le schéma de Paul Latinus, le chef du WNP, une association secrète d’extrême-droite très fortement suspectée dans les Tueries du Brabant des années 1980 en Belgique. Paul Latinus a affirmé travailler pour la DIA (Defense Intelligence Agency).
La DIA a été créée vers 1960 par Lyman Lemnitzer. Ce général est celui qui a présenté l’opération Northwoods au président Kennedy. L’opération Northwoods consistait à tuer des citoyens américains et à faire porter le chapeau aux Cubains afin que l’opinion publique des USA accepte une invasion militaire de Cuba. Kennedy a refusé et a éloigné Lemnitzer en le nommant Saceur au Shape (en France puis en Belgique). En France, Lyman Lemnitzer a été proche de la GLNF. En Belgique, il a eu pour assistant le Belge Guy Weber.
Lyman Lemnitzer et Guy Weber étaient de farouches anti-communistes et étaient proches de l’ex-roi Léopold III. Guy Weber était aussi un grand ami de Yves du Monceau de Bergendal, suspecté dans l’affaire des Tueries du Brabant (IEPS).
A mon avis, le rôle de Lyman Lemnitzer dans l’assassinat de J-F Kennedy devrait être étudié de façon approfondie. Il avait la motivation et les moyens nécessaires. Il faut par ailleurs noter que c’est lorsque Lyman Lemnitzer et Guy Weber étaient au Shape qu’il y a eu le coup d’Etat des colonels en Grèce.
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