@InAbysso
Bonjour,
Je suis d’accord avec vous que les investissements, et autres charges, sont aussi couteux chez les fournisseurs d’accès télécom que chez les compagnies de transport aérien.
Mais, je n’ai rien oublié, tous ces paramètres ont été comptabilisés dans les chiffres d’affaires des uns et des autres fournis par les sociétés citées et retenus par moi pour la comparaison.
Je pense que vous n’avez pas bien compris mon résonnement en chiffres, qui parlent pourtant d’eux-mêmes, les pourcentages seront plus parlants, cette année-là :
10 % du chiffre d’affaires en résultat net pour France Télécom.
20 % du chiffre d’affaires en résultat net pour SFR
0.6 % du chiffre d’affaires en résultat net pour Air France
0,4 % du chiffre d’affaires en résultat net pour EasyJet
Il est normal pour une entreprise de faire des bénéfices, mais dégager 10 à 20 % en bénéfice, pour moi cela voulait dire que les abonnements que l’on payait à l’époque étaient surévalués pour ne pas dire autre chose.
Cet article date maintenant, et je ne pense pas avoir été dans l’erreur, car les abonnements des fournisseurs télécom ont considérablement chuté depuis, les ramenant à un plus juste rapport prix/services.
Bonsoir,
Vous avez des consultations gratuites d’avocat dans toutes les communes, demandez dans votre mairie l’adresse de la maison du droit et de la justice. Prenez rendez-vous et vous pourrez expliquer votre problème directement à un avocat. Précisez que c’est un problème administratif, pour être reçu par un avocat dont c’est la spécialité, le jour de sa permanence. Emmenez tous les justificatifs que vous avez.
Si vous êtes en région parisienne, à Paris, au Tribunal de Grande Instance de Paris, vous avez tous les jours des consultations gratuites d’avocat spécialisé (civil, administratif, famille, etc.). Allez-y avant l’ouverture pour avoir un ticket. Il y a, ou il peut y avoir beaucoup de monde.
Mais pour avoir fait l’expérience de la justice française, y compris administrative, sans connaitre votre problème, selon moi, vous avez peu de chance de gagner, ce n’est qu’une instance supérieure qui ne désavoue que très rarement les décisions « confraternelles » prises en amont
Vous avez plus de chance de gagner au loto que dans un tribunal d’injustice française.
Si vous ne me croyez pas, allez faire un tour sur mon site pour vous en convaincre.
Ma Pétition pour changer la justice de ce pays. Mais là encore, je suis utopiste, car dans ce pays, tous se satisfont de cette justice incompétente et corrompue.
Bonne chance !
@alinea
Élu, greffier, juge, magistrats, procureur, policier, médecin, avocat, notaire, huissier, c’est du pareil au même, la parole de ces assermentés, menteurs, aura toujours plus de valeur que celle du simple citoyen qui dit la vérité.
@ddt99
Pour les sceptiques, autre précision, l’article L3213-1 du code de la santé publique autorise les autorités administratives à interner qu’à la vue d’un certificat médical circonstancié. Or dans mon cas l’arrêté a été rédigé avant le certificat d’hospitalisation d’office. Un procès-verbal de la police le confirme. Et c’est cet horaire rédactionnel des actes administratifs et médicaux qui a conduit la Cour administrative d’appel de Paris à annuler l’arrêté.
Ne vous méprenez pas, cette inversion de procédure, arrêté/certificat médical, au lieu de certificat médical/arrêté, prouve que leurs intentions étaient bien de me priver de liberté individuelle arbitrairement et donc criminellement.
@pemile
Non, non ! C’est bien ce que vous lisez qui est le motif de l’internement, mon site est en construction et je n’ai pas eu le temps de mettre tous les documents liés à cette affaire. Et ils sont nombreux à démontrer les incohérences absurdes employés par les agents de l’État pour commettre l’irréparable.
Sachez qu’il a fallu trois arrêtés pour me faire interner.
Le premier qui n’était pas conforme pour d’autres « erreurs de plumes », date ne naissance et date de certificat obsolète, écrivait ce que vous avez supposé.
Un deuxième arrêté fut fait pour corriger les dates, rien ne fut changé sur la motivation.
Puis un troisième fut rédigé, le définitif où il est écrit ce que vous avez lu « …manifesté par des idées différentes… » C’est donc bien le motif de l’internement.
Combien même, cela aurait été une erreur de plume, ce vice de forme, à lui seul aurait dû conduire à l’annulation de l’arrêté, ce qui ne fut pas le cas. C’en fut d’autres.
Et si vous voulez savoir le pourquoi de cette motivation très surprenante, c’est tout simple, le certificat du « médecin » que j’ai rencontré décrit mon comportement de la façon suivante : « calme, coopérant, propos cohérents. »
Le préfet constatant qu’il ne pouvait y avoir « des idées délirantes » chez quelqu’un qui a « des propos cohérents » a trouvé ce subterfuge pour confirmer son arrêté, un acte devenu illégal depuis que la Cour administrative d’appel de Paris l’a annulé.
Et comme ce « médecin » rencontré ne pouvait rédiger de certificat d’hospitalisation d’office, car non inscrit à l’ordre des médecins, un autre médecin généraliste, que je n’ai jamais rencontré a fait un faux certificat pour suppléer au premier.
Que dire de ces individus incapables de rédiger un document administratif sans faire d’erreurs et qui devaient décider de ma de santé mentale ?
Trois arrêtés et deux certificats médicaux irréguliers en la forme et dans le fond, fabriqués de toutes pièces pour me priver de liberté individuelle.
N’est-elle pas belle la France des droits de l’homme violés et bafoués ?
@alinea
Je ne connais pas personnellement l’auteur !
Au cours de mes pérégrinations sur le net je suis tombé sur son injustice et j’ai correspondu un peu avec lui.
Je suis d’accord avec vous, il aurait pu correspondre avec lecteurs d’AV et apporter des précisions.
C’est ce que je fais pour mes articles, je défends « mes idées différentes » par des échanges avec les lecteurs d’AV.
Pour ceux qui ne sont pas au fait de mes déboires avec l’autorité française, j’ai été interné pour avoir « …manifesté par des idées différentes… » ce qui est un droit fondamental garanti par la constitution et par des textes de droits fondamentaux est une pathologie mentale pour le préfet du Val-de-Marne, nécessitant l’intervention immédiate de l’autorité administrative.
C’est bien connu, impossible n’est pas français.
@alinea
Rien ! Je suis un citoyen model, pas même une contravention impayée. Mais cela n’arrête pas tous ces criminels qui s’ignorent, quant-il n’y rien à reprocher, pour s’autoriser à agir, ils inventent de prétendues « menaces et actes d’intimidations contre un élu de ». C’est tellement facile pour eux d’accuser sans preuve, la seule fonction fait foi. Consulter mon site vous aurez les informations dont vous aurez besoin pour vous faire une idée de la situation.
@Fergus
Il y a eu une coupure de ma phrase, la phrase complète était :
Mais c’est vrai, suis-je fou, le gouvernement de Vichy n’était pas celui de la France.
@Fergus
L’ignorance à bon dos, et elle est souvent invoquée pour se fermer les yeux et ne pas agir, c’est aussi ce que les Français ont invoqué après la guerre de 39/45 pour se défendre des exactions commises par le gouvernement de Vichy en leur nom. Nous ne savions pas ! Mais c’est vrai, suis-je fou, le gouvernement de Vichy n’était pas celui de
Tous les Français sont comptable des morts qu’il y a eu entre de 1939 à 1945 et tous les Français sont comptables des injustices commises, toujours en leur nom, par des agents de l’État, dont la fonction est de protéger les citoyens pas de les interner ou juger arbitrairement.
@Fergus
La règle générale ne doit pas être l’exception. Or vu mon cas, il semble que l’exception soit la règle générale dans ce pays.
Vous trouverez ici toutes les informations sur mon, ou plutôt sur mes affaires, elles sont simples, j’étais inconnu des services de police et psychiatrique, il a suffi d’une dénonciation calomnieuse perpétrée par un élu de la république pour que je subisse un internement arbitraire et illégal, préfet et consorts ont fabriqué des documents administratifs pour commettre l’abjecte privation de liberté individuelle. Ensuite au lieu de me rendre les scellées, mes deux carabines 22LR, ma propriété inaliénable, selon la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789, le Procureur et le juge d’instruction décidèrent de me renvoyer devant le Tribunal de Grande Instance de Créteil sur un décret-loi abrogé deux ans auparavant. Et toutes les cours de justice n’ont fait que valider les abjectes décisions prises en amont.
Si vous n’avez pas peur de découvrir que ce pays est un État criminel, consulter mon site et revenez vers moi pour me dire que j’ai tort.
@ L’auteur
Avant tout, je tiens à vous remercier d’avoir signé ma pétition.
Je suis heureux de voir qu’au moins je vous ai convaincu d’une chose, celle d’utiliser ce média pour exprimer votre indignation.
Et à voir les commentaires, je ne pense pas m’être trompé sur ce que je vous ai écrit par courriel.
Pour ne citer qu’une chose, nombre de lecteurs et commentateurs d’AV auraient aimé consulter l’arrêt dans son intégralité afin de pouvoir se faire une opinion propre.
Je pense que vous devriez mettre l’arrêt en fichier PDF sur votre site, masquez les noms, si tel est votre désir, mais si vous ne le mettez pas en libre consultation, et cela ne regarde que vous, il subsistera toujours un doute sur vos dires.
@Fergus
Qu’essayez-vous de me dire, que j’aie été victime d’un quota
d’erreur judiciaire autorisée ou tolérée.
Non ! Je n’ai pas été victime d’une erreur judiciaire, mais bel et bien d’un crime judiciaire !
Je fais le distinguo entre l’un et l’autre ! Lorsqu’il y a erreur judiciaire, elle est reconnue par une autre cour. Moi aucune cour n’a voulu reconnaitre l’erreur, donc c’est bien un crime judiciaire qui fut commis, dont l’arme utilisée cotre moi fut le Code pénal et l’institution judiciaire.
Que l’audience soit collégiale n’enlève rien à la gravité de l’acte judiciaire arbitraire perpétré, mais bien au contraire, c’est un facteur aggravant, car si les trois juges confirment cet acte arbitraire, c’est que l’arbitraire à une place officielle au sain de notre justice. Qui n’est donc plus une Justice digne de ce nom, mais bien une justice criminelle. Et dans ce cas, arrêtons de nous tromper, affirmons clairement que nous vivons dans un État criminel, comme cela nous, citoyens, prendront nos dispositions pour assurer notre propre défense et rendre notre propre justice.
Dans un État dit de droit, il n’y a aucune excuse à un acte arbitraire, La Constitution l’interdit expressément, par son préambule :
La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789
Article 7
Nul homme ne peut être accusé, arrêté ou détenu que dans les cas déterminés par la loi et selon les formes qu’elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la loi doit obéir à l’instant ; il se rend coupable par la résistance.
Vous dites que vous soutiendrez une action contre un déni de Justice, j’ai indéniablement été victime, non pas d’un déni de justice, mais de très nombreux, suivez le lien de ma pétition pour voir si vous êtes en adéquation avec ce que vous dite.
En ce qui me concerne tout acte arbitraire, même s’il est unique, signe la mort de la démocratie.
@Fergus
Vous avez une vision candide de l’honnêteté des magistrats
et des juges, sur leur respect des Lois et des règles pour le rendu de leurs
décisions, qui sont toujours motivées, bien ou mal, selon le but recherché.
Le 21 juin 2007, j’ai été renvoyé devant le Tribunal de Grande Instance de Créteil sur le Décret-loi de 1939, abrogé par l’Ordonnance n° 2004-1374, article 5 § 34, et donc, c’est par l’application d’un texte caduc, pour deux objets, non prohibés, qui étaient ma propriété, et vous savez comme moi que la propriété est un droit fondamental, pas un délit. Il n’y avait rien de sensible dans mon affaire, si ce n’est pour la Justice d’affirmer son autorité.
Le Juge ou le magistrat est souverain, dans son prétoire il est dieu, il peut tout décider, même ce qui est en dehors du cadre légal. Qui le contrôlerait ? Qui le contredirait ? Et qui le sanctionnerait ?
Je parle en connaissance de cause ! Personne !
Si l’auteur n’a pas fourni une copie intégrale de l’arrêt, allez voir sur mon site toutes les décisions qui ont été rendues en dépit du bon sens, pour ne pas dire une fois de plus de façons criminelles, car, en ce qui me concerne, un juge ou un magistrat qui ne respecte pas la Loi commet un crime qui devrait être jugé comme tel.
Il n’y a de Justice que si elle est vraiment équitable, impartiale, etc., mais aussi, et avant tout, elle doit être juste ! Autrement, ce ne sont que des décisions judiciaires prononcées par des États criminels qui font croire qu’ils sont démocratiques.
La Justice d’un État dit de droit, qui se respecte, doit respecter les Lois de son pays, si elle ne le fait pas, cet État n’est rien d’autre qu’un État criminel qui s’ignore. C’est mon opinion et je le prouve :
Le Tribunal correctionnel de Créteil qui m’a jugé et condamné pour la détention de ma propriété, un droit fondamental garantie et protégé par la Convention européenne des Droits de l’Homme et par la Déclaration des droits de l’homme placée en préambule de la Constitution française, qui plus est sur un Décret-loi abrogé par Ordonnance deux ans avant les faits, n’a pas prononcé une décision de Justice, mais bel et bien une décision judiciaire criminelle qui satisfaisait l’autorité, mais pas la Justice.
Bien que je partage votre avis, globalement, je remarque que dans votre billet, vous ne citez que des hommes et femmes d’État étranger, aucun français ! Est-ce par chauvinisme ou par ce que, comme dit le proverbe ; « on voit la paille dans l’œil de son voisin, mais pas la poutre dans le sien. » qu’il n’y a pas de Jacques Chirac, pas de Nicolas Sarkozy, pas de François Hollande ?
Trois présidents de la République française constitutionnellement garants des institutions, tous trois informés des crimes judiciaires dont j’ai été victime, qu’ils ont laissé faire et perdurer. Or qui ne dit mot consent !
Mon cher anthrax, lorsqu’il s’agit de défendre votre profession, si toutefois c’est bien votre profession (zéro article publié sur AV), vous êtes comme tous les autres membres d’une corporation soumis à une déontologie, vous êtes aussi virulent que votre homonyme biologique, mais êtes vous aussi virulent comme journaliste que comme commentateur.
Selon moi, il y a deux facteurs dans la diffusion d’une information et nul besoin d’avoir arpenté longtemps les rédactions pour rapporter une information ; certes, le journaliste en est une, mais avant tout il y a l’événement qui doit être rapporté. Et si effectivement, je n’ai pas « hanté les rédactions », j’ai vécu des événements qui méritaient d’être diffusés. Or aucune rédaction digne de ce nom n’a jugé bon d’informer les Français sur les très graves violations des droits fondamentaux dont j’ai incontestablement été victime.
Donc, si je n’ai pas passé de temps à « hanter les rédactions », j’ai mon vécu qui me permet de m’exprimer comme je le fais.
Et nul besoin, non plus, de « hanter » les prétoires de justice pour savoir lorsqu’une injustice a été commise.
Si vous êtes aussi pro que vous le prétendez, vous trouver ici les infos dont il est question.
Faites votre travail de journaliste et je n’aurais pas à le faire à votre place et ainsi je n’aurais pas à critiquer votre profession, mais je doute que vous fussiez journaliste et encore moins rédacteur en chef, pour me faire « prendre la porte à coup de pied dans le fion ».
Je pense plutôt que vous êtes de ceux qui sont forts en gueule, mais pas de ceux qui agissent. Écrivez-nous un article que l’on puisse juger sur pièce.
Désolé pour la grosse faute d’orthographe à « caractérise ».
Le journaliste d’aujourd’hui est une personne comme les autres qui ne pense plus qu’à son confort et à son emploi, et qui sélectionne arbitrairement l’information qui peut ou doit être divulguée.
Celles qui dérangent sont automatiquement autocensurées, déclarées diplomatiquement inintéressantes.
Oubliée la déontologie ! L’information pas plus que l’investigation ne sont plus vraiment ses maîtres mots.
Quasiment tous les journalistes vont puiser leur source auprès des agences de presse comme l’AFP ou de Reuters et pondent un texte qu’ils signent de leur nom.
Il manque quelque chose d’important dans votre article, l’autocensure journalistique !
Mise à part l’information événementielle, plus aucun pouvoir n’a peur des medias, à mon sens, ce qui caractérisent les médias d’aujourd’hui sont la propagande et l’autocensure.
@Rensk
Bienvenu au club des victimes de la « Justice » française.
S’il n’y avait que la lenteur, on pourrait s’en contenter, mais c’est toute la « Justice » qui est bafouée par des magistrats qui ne tiennent pas compte que des Lois, des faits et des preuves, mais privilégient bel et bien la fonction et la notoriété.
En ce qui concerne la Cour européenne des Droits de l’Homme, n’ayez aucun regret, car votre dossier aurait été, probablement, rejeté sur la forme, comme tous les miens, bien que mes droits fondamentaux aient été clairement violés et bafoués.
Les droits de l’homme et la Cour européenne des Droits de l’Homme ne sont qu’une illusion destinée à maintenir les peuples dans une croyance perverse d’attente de quelque chose qui ne s’applique pas à eux, mais à une élite triée sur le volet. Pour le commun des mortels, ce sont les Codes qui s’appliquent, notamment le Code pénal.
La Cour Européenne des Droits de l’Homme croule sous les dossiers et les élimine aussi arbitrairement que les instances nationales nous privent de nos droits, sans aucune motivation de rejet, en violation de la :
Convention européenne des Droits de l’Homme
Article 45 – Motivation des arrêts et décisions
1. Les arrêts, ainsi que les décisions déclarant des requêtes recevables ou irrecevables, sont motivés.
Le changement ne viendra jamais du législateur, car il s’auto satisfait de son travail, seule une jurisprudence produisant un véritable électrochoc judiciaire changerait les choses dans ce pays, mais cela ne risque pas d’arriver, car personne dans ce pays ne soutiendrait une action qui mettrait à mal le système judiciaire actuel.
@pemile
Quel que soit l’exemple que nous prenions, nous serons d’accord sur le premier point :
1) Au delà des cas particuliers, les cas sont beaucoup trop nombreux pour les ignorer
2) Ils ne parlent pas en faveur des institutions trop souvent défaillantes lorsqu’il faut agir
3) Et trop souvent zélé comme lorsque l’État s’est occupé de moi à tort arbitrairement et illégalement. Si cela vous intéresse, suivez le guide.
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