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Les commentaires de maltagliati



  • maltagliati maltagliati 22 août 2012 14:44

    Une nouvelle (et dernière ?) fois
    Temps de misère pour le rédacteur dont le billet une nouvelle fois été faisandé de commentaires ineptes par une compagnie de pingouins qui n’ont jamais pensé et pour lesquels l’horizon ultime du développement humain se situe (quelles que soient les nuances entre eux) dans un despotisme égalitaire ... et propre !! (écolorobespierriste... !) sur lequel ils se masturbent à débattre. Tout ce qui échappe à leur sauce ialisme, ils le baptisent sommairement d’ultralibéralisme.



  • maltagliati maltagliati 4 août 2012 15:44

    C’est ce qu’on appelle une attaque personnelle et non une réaction susceptible de nourrir un débat. Je devrais replier votre insulte et le ferai si vous ne vous expliquez !



  • maltagliati maltagliati 4 août 2012 15:38

    Je vous remercie de ce complément instructif. J’ai simplement parlé de « subterfuge ». Depuis le discours de super Mario Draghi la semaine dernière, nous savons officiellement que nous pouvons nous attendre à TOUT.



  • maltagliati maltagliati 29 juillet 2012 14:52

    @ fcpgismo
    Pauvre enfant martyr... tu aurais été vachement plus heureux à tapoter sur ton ordi ! Le mot d’ABRUTI est celui que tu as le mieux choisi. Tout comme celui de FABULEUX d’ailleurs, car tout le prodigieux essor de notre vie moderne est bien du domaine de la FABLE.
    Sans rancune



  • maltagliati maltagliati 21 juillet 2012 12:24

    @mac & biglop
    Réglementation, réglementation...
    La déréglementation n’est pas une cause, mais un effet. Effet accélérateur certes. C’est gentil de me recommander des ouvrages. Lisez le mien. Vous verrez au moins qu’il n’y a pas que la dénonciation des ABUS du système, il y a aussi la possibilité d’une réflexion sur ce qu’est ce système.
    Jorion propose de restaurer le système sur des bases saines. Je montre en quoi le système est une véritable attaque massive menée contre l’humanité par nos élites politico-financières, QUI NE FONT QU’UN. A quoi bon réglementer l’une (la phynance) par sa comparse (l’Etat). Comme ses comparses Jorion n’est qu’un rigolo qui a su créer un effet médiatique pour se faire passer pour prophète.
    Par contre je vous recommande les analyses de François Leclerc sur le blog de Jorion. Je ne partage pas toujours son point de vue, mais c’est un gars qui bosse. S’il n’était pas sur le blog de Jorion, il y a longtemps que sa fréquentation serait ce qu’elle doit être...
    MALTAGLIATI



  • maltagliati maltagliati 21 juillet 2012 12:07

    @kiouty qui « avoue ne pas trop comprendre on veut en venir l’auteur. »

    Merci de votre « aveu ». Je crois de fait que ma position est très difficilement compréhensible, la plupart des analystes -dont le « pôvre » Jorion - s’attaquant aux ABUS et dysfonctionnements, alors que je cherche la RACINE de nos maux. A défaut d’une telle attitude cependant, on retombe - comme le pôvre Jorion - dans l’ancien monde, et on se fait le promoteur pour « sortir » de la crise d’une politique « keynesienne » qui est une des principales locomotives du système économique depuis un siècle... et donc de la crise. Jorion ne propose que de relancer la même machine mais sur des bases « saines » et en accroissant le pouvoir régulateur de l’Etat. Je le dénonce fermement comme un ennemi public.

    Si vous voulez suivre ma réflexion, mon ouvrage de 2000 est très imparfait, certes, mais il ouvre des pistes dans de nombreux domaines.

    Merci de votre réaction.



  • maltagliati maltagliati 14 juillet 2012 18:17

    J’ai rédigé une suite à cet article. « Curieusement » elle n’est pas publiée. C’est évidemment dû à la note finale que je maintiens et resigne.

    Ras-le bol de ces commentateurs. Que les gérants de la plate-forme prennent leurs responsabilités

    Voici donc contre ma volonté cette suite insérée en commentaire.

    _________________________

    Au lendemain de la publication de mon article du mardi 10 juillet, je trouve un billet de Fabio Rafael Fiallo sur Atlantico à propos de la situation de la France qui vient d’emprunter à des taux d’intérêt négatifs. En voici les meilleurs extraits, qui esquissent un lien très intéressant entre la nouvelle politique hollandaise et la situation actuelle de la France sur le marché obligataire.

    [L’attaque contre les obligations françaises au lendemain de l’élection de François Hollande n’a pas eu lieu. C’est une situation inverse qui semble se présenter.]
     
    " La France a emprunté lundi 9 juillet à des taux négatifs pour des obligations à 3 et 6 mois, ce qui signifie que les investisseurs paient le gouvernement pour lui prêter de l’argent. Une situation qui représente une fuite des investisseurs des titres espagnols et italiens pour des obligations de meilleures qualités. Mais comme l’a prouvé la crise des subprimes de 2007, tout peut changer du jour au lendemain.
     
    Tout krach, que ce soit boursier, monétaire ou obligataire, est précédé d’une embellie des titres concernés. Au début des années 90, juste avant l’effondrement du serpent monétaire européen, les marchés s’étaient mis à privilégier la lire italienne. Non que l’économie italienne fût à l’abri de tout danger, mais les marchés préféraient acheter des obligations italiennes plutôt que celles de pays à plus haut risque, tels le Portugal, la Grèce ou l’Irlande. Cela n’empêcha pas l’Italie de se faire attaquer à son tour, amenant à la dégringolade de la lire qui – avec celle de la livre sterling – culmina dans la mort du serpent.
     
    Aujourd’hui, la France se trouve, dans le marché des obligations, dans une situation qui rappelle celle de l’Italie dans le marché des monnaies à l’époque de la crise du serpent monétaire européen. Pour le moment, les marchés achètent des obligations françaises pour deux raisons : d’abord parce que, contrairement à l’Espagne et à l’Italie, la France n’est pas en récession ; ensuite, parce que les marchés donnent au gouvernement français le temps de tenir son engagement de réduire le déficit budgétaire à 3% du PIB en 2013. Mais c’est justement cette double situation, avantageuse pour la France, qui pourrait soudain voler en éclats.
     
    Une série d’études tendent en effet à prouver que, pour réduire le déficit budgétaire, la hausse d’impôts a des effets plus négatifs sur l’économie d’un pays que la baisse des dépenses publiques. Or la hausse d’impôts est la voie choisie par la France pour réduire son déficit.
     
    Qu’arrivera-t-il si le ralentissement de l’économie française, avec la baisse des recettes fiscales que cela implique, met les objectifs pour 2013 hors de portée ? Le gouvernement persistera-t-il sur la voie de la hausse des prélèvements, ce qui l’amènera à plomber davantage encore la compétitivité et l’économie de la France ? Ou se décidera-t-il à tailler massivement dans les dépenses publiques, au risque de mettre les syndicats et les mouvements de gauche dans la rue ?
     
    Confronté à ce choix cornélien, les autorités françaises pourraient sortir de leur poche une solution de rechange, que voici : décider de ralentir la résorption du déficit budgétaire en mettant la réduction de celui-ci à 3% du PIB pour après 2013. Le fait que le ministre de l’Économie et des Finances, Pierre Moscovici, se soit empressé de se réjouir du délai supplémentaire accordé par Bruxelles à la résorption du déficit espagnol, montre qu’une telle idée fait son chemin à l’Élysée et Matignon. Forte du précédent espagnol, la France pourrait se croire en mesure de s’accorder, le moment venu, un délai plus long pour atteindre les objectifs initialement fixés pour 2013. C’est alors que, percevant le spectre d’une récession et les promesses de réduction de déficit budgétaire non tenues dans le temps, les marchés pourraient sévèrement attaquer les obligations de l’État français, réclamant des taux d’intérêt étouffants. Voilà donc, malgré les taux d’emprunts négatifs d’aujourd’hui, le scénario d’un futur krach obligataire français."
     
    J’aurais bien posté le présent complément en « commentaire » à mon article précédent, mais les commentaires sur Agoravox sont plus que trash, colonisés par une petite bande de bavards sans intérêt qui étalent leur suffisance et leur ignorance aux frais des auteurs. Je vous invite à ne jamais y mettre le pied. Quand je le fais, c’est uniquement pour essayer d’éviter les abus.
     
    Le site aurait beaucoup à gagner à se débarrasser de cette boue infâme.
     
    MALTAGLIATI


  • maltagliati maltagliati 10 juillet 2012 22:02

    Je HAIS la fonction publique, racine de notre servitude. Un jour j’ai passé un entretien sans savoir quel poste était à la clé. Quand je me suis rendu compte qu’il s’agissait d’entrer au service de l’Etat, j’ai mis fin à l’entretien par quelques réponses appropriées.
    Je n’ai pas besoin de vos références. La maladie de la gauche, c’est l’État, sous « prétexte » de dénonciation du libéralisme. De Charybde en Scylla.
    Et ne me prenez pas pour un sous-développé, je suis l’éditeur des Œuvres politiques de Jean-Paul MARAT. Je me passe allègrement de vos lectures !!!



  • maltagliati maltagliati 8 juillet 2012 13:23

    Le Monsieur qui signe JL me poursuit de ses outrances et passe à la calomnie pure. J’ai donc replié ses « commentaires »... qu’il aille déverser sa bile ailleurs !
    Je signe Maltagliati depuis plus de dix ans, il suffit de voir mon site.
    Fondamentalement j’attaque la gauche réactionnaire dont il se fait le promoteur non d’un point de vue néo-libéral, mais « révolutionnaire » (si ce mot a encore un sens).
    Ce qu’il ne peut supporter c’est qu’on s’en prenne à l’ETAT. C’est son problème, ce n’est pas une raison pour me traiter de tous les noms d’oiseaux.



  • maltagliati maltagliati 2 juillet 2012 12:35

    « La télévision privée serait plus ouverte et libre que la télévision publique ? »
    Je vous défie de trouver ça dans mon article.
    Par contre c’est vous qui affirmez que l’intox Radio-France, Arte, RFI etc, « je suis pour qu’on continue à maintenir cela » (je vous cite)
    Ou l’art d’introduire une connerie en douce en prétendant que l’autre en a dit une.
    J’ai dit une seule chose : l’audiovisuel (donc le privé et le public) TUE la pensée. Libre à vous de vous avachir devant Arte plutôt que devant TF1. Ou devant des vidéos youtube.
    Bon lavage de cerveau.



  • maltagliati maltagliati 30 juin 2012 07:48

    tout à fait d’accord, jef ! victoria confond tout. Sa critique de Voltaire est la critique classique des robespierristes qui se gardent bien de critiquer les lumières sur le fond. Ils pratiquent la confusion intentionnelle en citant Rousseau qu’ils haïssent.
    L’histoire de la Révolution est aujourd’hui la « propriété » des communistes etc qui sous la houlette de Jaurès lui ont donné sa couleur guerrière (car Jaurès est un des responsables et non une victime d’août 14) et sous le drapeau de Robespierre lui gardent sa teinte « lumières populaires » c’est-à-dire sa vénération de l’ETAT-Dieu.
    Jean-Jacques n’a rien à voir avec tout cela... !!!



  • maltagliati maltagliati 29 juin 2012 10:55

    Pauvre Jef, t’es pas tout seul..

    Peut-être un jour comprendra-t-on que la seule manière dont Jean-Jacques a cru pouvoir s’en sortir des ENORMITES qu’on (Voltaire, Condorcet et autres larbins) ont répandues sur son compte, c’est de surenchérir, de se faire lui-même l’auteur de son propre discrédit ! Une tentative de parade à l’univers médiatique auquel nul n’échappe. Et quand je dis cela, je dis bien que Voltaire et consort, c’est du niveau de GALA !
    L’histoire des enfants abandonnés entre dans ce genre de débats.
    C’est la clé de lecture des Confessions : je m’accuse tellement que peut-être cela vous forcera à arrêter !

    Signé Un autre « farfelu »

    ps argumente bien de ce que dit ton prof, et puis tel autre, etc. ... et oublie surtout de réfléchir !



  • maltagliati maltagliati 18 juin 2012 17:38

    Pfff ! Quelle bêtise !



  • maltagliati maltagliati 18 juin 2012 15:51
    Ministère de l’Intérieur second tour
    http://elections.interieur.gouv.fr/LG2012/FE.html - donc sans les circonscriptions où le candidat est passé au 1er
    Il manque le chiffre de départ « en âge de voter » mais on sait que environ 15% ne s’inscrivent pas
    soit ici sur environ 50 millions on tombe à moins d’1 Français sur 2 susceptible de voter qui a voté :

    Inscrits 43 234 000

      Abstentions19 276 406 44,59 Votants23 957 594 55,41 Blancs ou nuls928 411 2,15 
    Exprimés23 029 183 53,27 


  • maltagliati maltagliati 18 juin 2012 11:53

    J’avais mis en note de mon article éco de la semaine dernière (semaine de transition) :

    Je n’irai pas voter.
    Le système est tel qu’il débouche forcément sur l’élection d’une assemblée non représentative. Il n’y a qu’un système : la proportionnelle intégrale sur l’ensemble du pays. Cent députés – c’est bien suffisant – les sièges étant attribués nationalement pour chaque centième des suffrages exprimés diminués des votes ne constituant pas une entité de 1%. Comme l’exécutif est élu de son côté, il faut bien sûr empêcher l’assemblée de renverser l’exécutif, sauf procédure exceptionnelle d’atteinte aux Lois et à la Sécurité. Sinon on retombe dans un système proche de la IVème République.

    J’adore les commentaires de ces républicains qui justifient l’injustifiable, car sinon il y aurait des députés d’extrême droite (! !!) Si on ne veut pas que les « autres » soient représentés, il ne faut surtout pas se gêner.
    Il n’y a bien sûr AUCUN espoir de porter remède à ce vice de la constitution dans le cadre du système, mais celui-ci est bien en train de vaciller sérieusement, il y a donc de l’espoir !

    MALTAGLIATI



  • maltagliati maltagliati 13 juin 2012 09:38

    Voyez plutôt tout récemment sur Agoravox La psychanalyse et le silence
    Dommage de traiter des sujets de réflexion dans un contexte sensationnaliste. Cela ne fait pas avancer le schmblck. Uniquement le médiatique !



  • maltagliati maltagliati 23 mai 2012 09:13

    Excellent exemple : dans ce cas précis, c’est la voiture en elle-même qui est une m... !!! elle a beau mieux fonctionner aujourd’hui qu’il y a 20 ans, vous n’expliquez pas pourquoi on s’est dirigé vers ce produit de m... !



  • maltagliati maltagliati 22 mai 2012 10:38

    Toute diatribe de M.JL1 reste pour moi un éloge. Adversaire de toute pensée (qualifiée de « s’écouter parler » ou « couper les cheveux en 4 »...) M.JL1 est un grand propagateur des mots d’ordre de Big Brother, le père du peuple dont il annonce le grand soir !



  • maltagliati maltagliati 22 mai 2012 09:03

    « compléter », facile facile : ma réflexion n’a rien à voir avec ce genre de platitudes extrêmement bien qualifiées par le terme de « partir » de Marx... sans espoir de retour !



  • maltagliati maltagliati 19 mai 2012 08:39

    merci. courage, ça viendra !