• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Les commentaires de LA MACHINE A ECRIRE



  • LA MACHINE A ECRIRE LA MACHINE A ECRIRE 9 février 2010 15:55

    @caleb irri : 

    votre projet me paraît totalement hors propos, même si je trouve votre désir tout à fait respectable et généreux. Un organe de presse, même collaboratif, n’a pas vocation à établir un programme politique. Ce n’est ni sa vocation, et encore une possibilité. La diversité des points ne crée aucun courant politique en soi, elle éclaire simplement le débat, permet aux uns et aux autres de se positionner et de confronter leurs points de vus et leurs sentiments. 

    Il me paraît que votre désir ne susciterait qu’un consensus mou et vain. C’est mon sentiment.



  • LA MACHINE A ECRIRE LA MACHINE A ECRIRE 28 janvier 2010 15:00

    Je comprend votre frustration, mais je pense vraiment que les sommes que vous pouvez faire gagner sont mille fois inférieures à ce que les traders peuvent faire gagner. Ce n’est pas normal, mais c’est comme ça. C’est d’ailleurs pourquoi les banques se battent pour échapper au contrôle des états, pour continuer à se gaver en spéculant sur les marchés au lieux de miser sur leur vrai métier, votre métier, auprès des entreprises.



  • LA MACHINE A ECRIRE LA MACHINE A ECRIRE 28 janvier 2010 14:55

    @zvalief :


    « j’ai un collègue qui travaille comme mécanicien dans une centrale nucléaire, cet homme est amené aussi à travailler dans des zones sensibles de cette centrale comme les pompes des circuits primaires, certaines de ses actions (ou de celles de ces collègues) si elles sont mal faites pourraient entrainer des catastrophes bien pires que tchernobyl. ces hommes qui touchent près de 100 fois moins que le grand boss n’ont-ils pas énormément plus de responsabilité que ce dernier. »

    Vous avez raison, cela démontre comme je le dis juste au-dessus que ce n’est pas le mérite qui est payé, mais la performance individuelle (au sens sportif du terme, c’est à dire la capacité de l’individu à dépasser les autres).

    Proglio et Thierry Henry ne se battent pas pour une entreprise ou un pays, mais pour leur intérêt propre, leur place personnelle. Il ne faut pas leur jeter la pierre, mais se la jeter à nous tous, confraternellement. Car nous sommes comme eux....


  • LA MACHINE A ECRIRE LA MACHINE A ECRIRE 28 janvier 2010 14:20

    Si c’est juste, malheureusement ; dès lors que les banques gagnent énormément plus en jouant sur les marchés financiers qu’en prêtant de l’argent pour faire vivre l’économie réelle.



  • LA MACHINE A ECRIRE LA MACHINE A ECRIRE 28 janvier 2010 14:18

    Je ne comprends pas bien votre raisonnement. Vous mettez en accusation les gains considérables de certains par rapport à leurs mérites réels. Or ce n’est pas sur la notion de mérite qu’il y a un problème. Ce fossé abyssal qui grandit toujours plus entre les grands gagnants du système et le commun des mortels est la conséquence directe de l’individualisme forcené dans lequel nous vivons, et que nous recherchons avec avidité. La compétence personnelle est valorisée, le profil, le charisme, la capacité à prendre des décision (prendre des risques sur les marchés, ou à jouer au foot, au tennis, au golf, etc...), la valeur des uns est mise en concurrence pour favoriser la performance des entreprises et du système capitaliste.


    Beaucoup se plaignent de cet écart dans les rémunérations, mais combien sont prêts à renoncer, à leur échelle, aux avantage de l’individualisme ? Avoir sa maison personnelle, sa voiture personnelle (voir deux !), son nouveau portable (qui change pour de nombreuses personnes tous les 10 à 18 mois) ? 

    Pendant ce temps là, à cause de notre soif éperdue de consommation, 90% de la population mondiale vit dans la pauvreté pour garantir notre richesse. Et cette richesse, comme la rémunération des patrons, s’accroît à mesure que le tiers monde s’appauvrit chaque jour davantage.

    C’est une mécanique sans fin, et nous en sommes, ici en occident, les prochaines victimes puisque depuis quelques années déjà, nous appauvrissons à notre tour pour engraisser le système capitaliste.

    Mais encore une fois, plutôt que de crier au loup au sujet des écarts de salaire, c’est davantage à la société dans laquelle nous voulons vivre qu’il faut s’attaquer. Veut-on être des consommateurs ou des hommes libres... 


  • LA MACHINE A ECRIRE LA MACHINE A ECRIRE 27 janvier 2010 12:25

    Franchement, votre article est à mes yeux, incompréhensible ! De quelle tempête, de quel naufrage parlez-vous ? Où voyez-vous de la panique là où il n’y a, de fait, qu’une instrumentalisation assez insupportable par Mr. Peillon. Celui-çi s’arroge le droit de décider seul que personne au PS n’ira s’exprimer sur le plateau de FT. Il a confisqué le débat, il a instrumentalisé la chaîne publique, Chabot, Besson pour se faire mousser. Et ensuite il tente d’en faire porter le chapeau aux autres. C’est nul et terrifiant. 

    Si Titanic il y a, il se trouve dans le cerveau de Peillon dont on se demande où est passé le capitaine !


  • LA MACHINE A ECRIRE LA MACHINE A ECRIRE 26 janvier 2010 12:05

    « Que faut-il pour construire une éolienne domestique » dites-vous.

    J’avoue que j’aurais préféré des détails sur la difficulté technique de cette construction. Réduire cette entreprise aux démarches administratives n’a pas beaucoup de sens à mon avis...



  • LA MACHINE A ECRIRE LA MACHINE A ECRIRE 13 janvier 2010 17:06

    Il serait peut-être temps, à la manière de la campagne « j’aime pas Olivier Martinez » qui avait submergé le net pendant des semaines, d’organiser ce type d’opération pour salir (ruiner) l’image de ce fleuron de l’industrie !


    Qu’en pensez-vous ?



  • LA MACHINE A ECRIRE LA MACHINE A ECRIRE 13 janvier 2010 17:03

    Cette attitude cynique et dénué de toute considération morale est un exemple frappant du monde actuel : ce capitalisme qui roule pour l’argent, qui ne connaît que le bénéfice et la marge brute, pour qui l’homme, la nature, le bien et le mal n’ont plus aucun sens (puisqu’ils n’ont pas « par nature » vocation à rapporter toujours plus.




  • LA MACHINE A ECRIRE le bec-troadec ch. 2 octobre 2009 18:56

    Votre réaction me semble parfaitement juste, vous mettez en avant les arguments les plus justes et qui font parfaitement ressortir le caractère insupportable de ce viol.

    L’attitude des milieux culturel et médiatique dans cette affaire à quelque chose de choquant et de méprisant. A les entendre défendre Polanski, on ne peut qu’être effaré de les voir réclamer sans aucune honte une justice particulière pour les « êtres d’exceptions » (c’est-à-dire, de leur milieux !).



  • LA MACHINE A ECRIRE le bec-troadec ch. 6 juin 2009 19:50

    Effectivement, les propos de Cohen-Bendit sont inacceptables, ils sont aussi écrits à une autre époque. Cela ne pardonne pas l’erreur, cela la relativise malgré tout.

    Aujourd’hui nous savons ce qu’est l’inceste, la pédophilie, l’ampleur du phénomène dans la société. Les victimes sont nettement plus nombreuses que nous ne le soupçonnions auparavant. Le bourreau est souvent domestique : un oncle, un père, un frère, un ami de la famille.
    J’avoue que j’ai du mal à croire à la démarche purement électoraliste de Bayrou. C’est un Dom Quichotte, avec un sens de l’honneur très fort, de vrais convictions. Il ne s’abaisserait pas à ce vil calcul. (enfin je l’espère...)



  • LA MACHINE A ECRIRE le bec-troadec ch. 2 avril 2009 16:08

    Je trouve dur avec le reportage récent diffusé sur M6. Ils ont présenté différentes voies. La yourte était présentée, il y avait aussi un habitant de Montreuil, une maison innovante. 

    Pour ma part, il se trouve que je fréquente de nombreux habitants de ces yourtes, que je connais à travers son blog et des échanges de message la personne filmée dans sa yourte sur M6. Vouds écartez ce mode de vie d’un revers de main, le relèguant à un 68 "vaguement méprisable". Je vous trouve bien dur. Ce mode d’habitat offre des qualités très intéressantes en terme de coût. Si vous passez 25 ou 30 à payer votre logement, c’est autant d’argent et de stress que vous n’utilisez par pour vous. Une yourte coute entre 3 et 7 000 euros, d’autres formes d’habitats très simples existent, il ne faudrait pas oublier que nombre de nos concitoyens n’ont simplement plus les moyens de se loger...

    http://www.reflex-vital.com/

    <script type="text/javascript" src="http://shots.snap.com//client/inject.js?site_name=0"></script> <script type="text/javascript" src="http://shots.snap.com//client/inject.js?site_name=0"></script>


  • LA MACHINE A ECRIRE le bec-troadec ch. 18 mars 2009 16:19

    Si je vous assure, le lecteur moyen a parfaitement compris. Il comprend que pour vous, donner des coups à sa compagne, ou être accusé de les donner, c’est forcément du dénigrement politique.

    Si cette jeune femme s’est effectivement pris les coups qu’elle semble avoir dénoncé, alors cela mérite justice. Que l’auteur des faits soit un jeune économiste brillant, un smicard, un comédien ou encore un truand alccolique fumeur de crack, ne change rien au droit à la justice !

    www.lachosenumerique.com

    <script type="text/javascript" src="http://shots.snap.com//client/inject.js?site_name=0"></script> <script type="text/javascript" src="http://shots.snap.com//client/inject.js?site_name=0"></script>


  • LA MACHINE A ECRIRE le bec-troadec ch. 17 mars 2009 17:46

    "Comme si on avait voulu le salir." , dites-vous !

    Je trouve cette expression en particulier et la teneur générale de cet article sacrément déplacée. Si la police a estimé, au vu des éléments et des témoignages, qu’il y avait matière à placer ce monsieur en garde à vue, alors il manquerait plus qu’on veuille protéger sa carrière au dépend de la victime (qui au passage est-elle aussi du sérail politique !)

    Vous parlez de "gachis" ! Comme si l’habileté d’un homme pouvait d’une certaine manière relativiser ou minimiser la gravité des faits.

    Lorsque Joe Starr frappe une hôtesse, j’entends peu de voix prétendre qu’on cherche à le salir, qu’il est dommage au vu de son talent de le traîner devant la justice.




    <script type="text/javascript" src="http://shots.snap.com//client/inject.js?site_name=0"></script> <script type="text/javascript" src="http://shots.snap.com//client/inject.js?site_name=0"></script> <script type="text/javascript" src="http://shots.snap.com//client/inject.js?site_name=0"></script>


  • LA MACHINE A ECRIRE le bec-troadec ch. 12 mars 2009 15:02

    Très bonne anlyse du commentaire précédent : "j’aime pas" ne saurait être un argument !

    <script type="text/javascript" src="http://shots.snap.com//client/inject.js?site_name=0"></script> <script type="text/javascript" src="http://shots.snap.com//client/inject.js?site_name=0"></script>


  • LA MACHINE A ECRIRE le bec-troadec ch. 10 mars 2009 13:57

    Excellente vision de la situation. Nous sommes dans une crise totale et systémique. C’est une crise de la démesure. Le capitalisme a tué son client !

    Personnellement, il me semble que solution viendra par le-bas (ou par la périphérie, la marge de nos sociétés. Ceux qui n’ont rien (ou plus rien) à gagner avec le système actuel.

    L’homme fait parti du monde, il doit en accepter l’horloge biologique, les rythmes lents et naturels. Cela passe par une économie tournée vers les besoins et non vers le profit : http://www.lachosenumerique.com/capitalisme-ou-cataclysme




  • LA MACHINE A ECRIRE le bec-troadec ch. 10 mars 2009 13:16

    Vous semblez parfaitement maîtriser voter sujet. Et il me semble que Sitting Bull avait parfaitement raison !



  • LA MACHINE A ECRIRE le bec-troadec ch. 28 février 2009 17:43

    Evidemment, nous sommes dans un Etat "d’exception". Cela signifie que le droit appliçcable habituellement ne l’est plus. Cela est insupportable et la rue risque fort de s’exprimer avec rudesse. A l’heure où j’écris ces lignes la place de la Nation (75011) bruisse des clameurs de la foule bigarrée et vivante des des "DOM_TPM" à quelques mètres moi. Ils manifestent et ils ont raison. J’espère (avec honte qu’il y aur des heurts, du feux et du sang) puisque c’est la seule manière de changer la donne. 

    La rue aura sûrement raison au bout du compte, mais à quel pris ?



  • LA MACHINE A ECRIRE le bec-troadec ch. 2 février 2009 17:39

    Mais il n’y a rien à désinfecter ni à recoudre, nous somme juste parvenus au terme de la logique du système capitaliste.

    A force de vouloir gagner plus, on est est contraint de baisser les prix ; pour baisser les prix, il faut augmenter les cadences, encore, encore et encore, puis on licencie, puis les "chanceux" qui restent voient leurs salaires baisser, puis enfin on délocalise les emplois : le capitaliste est enfin au nirvana du retour sur investissement !

    Mais les chômeurs que sont devenus ses anciens employés ne peuvent plus consommer !

    Le système s’est mordu la queue !

     smiley

    <script type="text/javascript" src="http://shots.snap.com//client/inject.js?site_name=0"></script> <script type="text/javascript" src="http://shots.snap.com//client/inject.js?site_name=0"></script>


  • LA MACHINE A ECRIRE le bec-troadec ch. 2 février 2009 17:32

    Les gauches n’ont jamais fait que suivre le mouvement de la société, les gauches sont, elles aussi, soumises au marché ! Elles ont le suivi le consommateur !

    <script type="text/javascript" src="http://shots.snap.com//client/inject.js?site_name=0"></script>