Du MOX au MIX : Vers un nouvel avenir énergétique
Polémiquer sur l'avenir énergétique de la France en opposant le « nucléaire » aux « énergies renouvelables » est une démarche désormais stérile et inadaptée. Les deux peuvent être complémentaires. Mais sur une période de 20 ans, car tout dépendra de la transition souple du MOX vers le MIX, le combustible des dé-centrales éco-énergétiques. Le MOX, est un combustible composé à 93% d’uranium appauvri et à 7% de plutonium. Mélangé à de l’uranium enrichi, il alimente 20 réacteurs nucléaires en France. Le MOX sera à 100% le combustible de l’EPR en construction. J'appelle « MIX » l'ensemble interconnecté des énergies renouvelables directes et des sources d'énergie indirectes, incluant les économies d’énergies, l’efficacité énergétique et les moyens de stockage. Ce sont aussi des sources d’énergie - de « négawatts » - car toute énergie non consommée correspond, « en creux », à une source de production, une « négasource ». La Terre reçoit en permanence du soleil 120.000 térawatts d’énergie. Soit en une heure - si cette énergie était totalement récupérable (sous forme photovoltaïque, thermique, éolienne ou de biomasse) - les besoins énergétiques mondiaux d’une année entière. Notre mode de vie actuel utilise 18 térawatts, dont les deux tiers sont gaspillés. Le MIX comprend dix principaux composants : 1-Le solaire photovoltaïque ; 2-le solaire thermique (CSP, solaire à concentration)1 ; 3-la biomasse (granulés de bois, déchets agricoles, déchets urbains) ; 4-le biogaz (fermentation de déchets organiques) ; 5-la géothermie ; 6-l’éolien (offshore, terrestre, urbain) ; 7-l’hydraulien (turbines sous-marines utilisant l’énergie des courants marins) ; 8-l'hydroélectrique (turbines dans une rivière, barrages et chutes d’eau) ; 9-l'énergie des marées et des vagues ;10-l’énergie thermique des mers (ETM) (différence de température entre la surface et l’eau des profondeurs). S'ajoutent à ces sources directes, l'amélioration de l’efficacité énergétique (rendement des moteurs), les économies d'énergie (matériaux isolants, pompes à chaleur, puits canadien…), les compteurs intelligents, et les moyens de stockage de l'énergie : pompage éolien d'eau dans des réservoirs en altitude pour faire tourner des turbines en l'absence de vent ; le stockage souterrain de l'air comprimé fourni par des éoliennes (CAES - Compressed Air Energy Storage) ; silos de batteries lithium-ion ; ou hydrogène comprimé provenant de l’électrolyse solaire de l’eau (l’hydrogène peut être considéré comme de l’énergie solaire « en conserve »).
Le MIX produit principalement de l'électricité, à condition que les différentes sources et « négasources » mentionnées, soient connectées à une grille intelligente de distribution et de stockage, capable de s'adapter à l'offre, à la demande, au jour, à la nuit, à l’été, à l'hiver et aux différentes zones géographiques. Un « Internet de l'énergie », une « smart grid ». Avec cette grille intelligente, toute forme d'électricité produite devient compatible : le photovoltaïque, l'éolien, l’électricité fournie par des voitures électriques en stationnement (V2G, vehicle to grid), les mini-centrales hydroélectriques. Des sources qui, aujourd'hui, perturbent le fonctionnement du réseau de transport d’électricité passif. A noter que le nucléaire n'est pas absent du MIX et de la grille intelligente. Plutôt que des mégas centrales de 1.600 MW ou des EPR, il sera possible de connecter à la grille des petits réacteurs modulaires (Small Modular Reactors ou SMR) de 300 MW, enterrés et sécurisés. Les futures centrales nucléaires utilisant un nouveau combustible, le thorium, pourraient également être reliées à la grille intelligente.
Les choix vont être décisifs pour les 50 prochaines années, comme l'ont été ceux des années 50 pour le « tout nucléaire ». La France va-t-elle investir des dizaines de milliards d'euros pour assurer à la fois la sécurité des anciennes centrales, construire des centrales géantes fonctionnant au MOX et démanteler les anciennes, tout en poursuivant le retraitement des combustibles et le stockage des déchets ? Ou bien, va-t-elle investir aussi, et dès maintenant, dans le MIX et la grille intelligente pour sortir progressivement et en souplesse du tout nucléaire ? Une telle stratégie conduirait à une nouvelle ère, à une véritable mutation sociétale : l’avènement d’une démocratie énergétique. Avec la création massive d'emplois dans les différents composants et modules du MIX, la responsabilisation des citoyens, la vente d'électricité en P2P (entre particuliers ou pair à pair), l’essor d’une éco-énergie 2.0, analogue au Web 2.0, avec la participation des usagers et l’association de petits producteurs énergétiques dans une « longue traine » de l’énergie. Le mariage du numérique et de l'énergétique s'ouvre vers ce que j'appelle l'écomobilité. Grâce à l'automobile, l'automobilité a révolutionné le XXe siècle. Grâce au Smartphone, (équivalent numérique de l'automobile), l'infomobilité participe à la construction de la société du XXIe siècle fondée sur de nouvelles formes de relations humaines. Pourtant, nous sommes encore des citoyens passifs et assistés face à l'énergie. Comme jadis, face à notre téléviseur, lorsque qu’avec l’ORTF nous ne disposions que d’une seule chaîne. Les lobbys nucléaires et pétroliers nous répètent : « Payez au compteur ou à la pompe, nous nous occupons du reste ». Le « retour à la bougie », la perte de compétitivité industrielle, les suppressions d'emploi, la délocalisation des usines, les prix exorbitants de l’électricité, sont mis en avant par certains leaders du monde politique et industriel. Le Président de la République a récemment rappelé : « Le nucléaire (…) c'est la France. ». On pourrait compléter cette déclaration par la suivante : « le MIX, c'est le monde ! ».
Faisons confiance à la démocratie énergétique. Soyons les « Indignés » de l'énergie « prescrite ». Assurons la promotion et le développement de l'écomobilité. Construisons une société de l'échange, du partage, de la solidarité, de la créativité et de l'innovation énergétique. Et non une société soumise au pouvoir de quelques-uns, politiques ou industriels. La révolution énergétique c’est maintenant. Elle n'est pas technique mais citoyenne. L'avenir de nos enfants c’est le MIX, pas le MOX.
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1 Des miroirs focalisent l'énergie sur le sommet d’une tour comportant un capteur solaire et une turbine à vapeur, avec conservation de la chaleur 24h/24 grâce à des sels fondus.
115 réactions à cet article
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Cet article est très interessant car il ne rentre pas dans la polémique stérile des pro et anti-nuke. Il prend en compte la réalité mais ne la simplifie pas. C’est à dire que les contraintes de consommation sont remises en cause et l’évolution du mix énergétique prends en compte le facteur temps.
Le discours habituel des pro-nuke est de défendre coûte que coûte le nucléaire en avançant qu’il n’est pas remplaçable à l’instant T car il faudrait des milliers d’éoliennes....
Il est évident qu’écologiquement et financièrement, il faut travailler sur les énergies renouvelables et qu’il faut surtout travailler sur l’efficience (isolation, rendement, stockage...)
Il y a juste une amélioration que j’aimerai apporter à l’article.
Je pense qu’il faut aussi travailler sur les mentalités. Celles des consommateurs et aussi celle des fournisseurs d’énergie. Aujourd’hui, tout est fait pour inciter à une forte consommation.
Prenont l’exemple d’une facture EDF d’un particulier. Une grosse part de la facture est liée à l’abonnement. Le tarif du kWh est donc dégressif. En résumé, plus vous consommez et moins vous payez du kWh. C’est aussi vrai pour les entreprises. Or, ce n’est pas cohérent dans un monde où la production d’énergie est limitée, chère, polluante et risquée.
Une mesure qui serait très efficcace rapidement et qui ne couterait rien au états serait d’imposer aux distributeurs une facturation progressive. L’état pourrait aussi amplifier la progressivité en appliquant une taxation elle même progressive (un TVA à 5,5% pour les premier kWh et à 19,6% ensuite).
Les consommateurs réajusteraient leurs comportements et pourraient faire des économies motivantes. Les polleurs seraient les payeurs et l’état gagnerait de l’argent qui pourrait être investi dans les économies d’énergie ou dans la recherche.
Cette mesure coûterait donc beaucoup moins chère que toutes les niches liées aux installations des panneaux et autres éoliennes.
Merci pour votre article plein de bon sens-
Constant danslayreur 29 novembre 2011 13:03Bonjour je vous cite
« Une mesure qui serait très efficace rapidement et qui ne couterait rien aux états serait d’imposer aux distributeurs une facturation progressive. L’état pourrait aussi amplifier la progressivité en appliquant une taxation elle même progressive (un TVA à 5,5% pour les premier kWh et à 19,6% ensuite).
Les consommateurs réajusteraient leurs comportements et pourraient faire des économies motivantes. Les pollueurs seraient les payeurs et l’état gagnerait de l’argent qui pourrait être investi dans les économies d’énergie ou dans la recherche. »Pas si simple, la mesure est déjà appliquée en Algérie, au tout début l’idée était d’assurer l’accès des plus modestes à l’énergie électrique, concrètement (dans le tarif le plus attribué), les 125 premiers kWH du trimestre sont bradés et au-delà, le kWH coûte beaucoup plus cher.
Résultat des courses, tout le monde en profite (à hauteur des 125), mais ça n’a jamais incité personne à réduire sa consommation. Quand votre foyer consomme ses 500 kWH et plus trimestre, ce n’est pas parce que c’est moins cher dans la première tranche que vous risquez de réduire votre consommation à 125 max. Dit autrement les personnes seules avec très peu d’équipements électriques (les seules qui faisant des « efforts » pourraient rester sous la barre), resteraient les seules à pouvoir être « incitées » or quel impact sur le tout, peuvent avoir ces personnes ? Aucun.
Et en fait les plus gros consommateurs n’étant pas les particuliers, une telle mesure serait catastrophique pour l’industrie comme pour les dépenses publiques, et pourrait même si le déraisonnable est franchi, pousser à l’autoproduction si le process le permet (présence de vapeur sous pression ou de chaleur par exemple) ou alors à opter partiellement pour des groupes électrogènes puissants. Pas sûr que ce soit un mieux ni l’objectif recherché.
En revanche d’accord avec l’auteur et vous sur l’efficacité énergétique partout et notamment dans le bâtiment, de nouveaux textes sur la vétusté des outils industriels très énergivores, ou encore une nouvelle norme voire une loi qui amènerait plus d’isolation par laine de roche par exemple dans tout bâti neuf, seraient autrement plus efficaces.
A l’auteur merci pour l’article
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Dans l’industrie, c’est le pique de conso qui est surtaxé car le réseau souffre de ça !!!
Et comment moinser Constant... C’est le bon sens à l’état pure quand il rappelle que, à moins de délocaliser complètement (courage vous y arriverez peut être, en contradiction avec ce qui nous a donné nos avancés sociales et permit le luxe de nous payer les normes ecologiques les plus strictes au monde), l’industrie demande de produire en quantité industrielle de l’électricité et qui peut le plus peut le moins malheureusement pour votre dogme.
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Je m’excuse d’insister mais si nous prenons l’exemple de la téléphonie, un bon moyen qui a été utilisé par les opérateurs pour doper la consommation a été soit :
- d’augmenter le prix de l’abonnement et de réduire le prix de la minute
- de créer des forfaits
Effectivement, le tarif progressif ne pourra pas tout changer à lui seul et peu vite devenir une usine à gaz.
Mais si je prends mon exemple :
Une facture annuelle de 200 € dont 80€ d’abonnement. Si je divise par 2 ma conso, je paierai 140€ dont 80€ d’abonnement. Ce n’est pas très motivant.
Si on commence par réintégrer le prix de l’abonnement dans le kWh, les économies d’énergie vont être 2 fois plus motivante. C’est légèrement pénalisant pour les gros foyers mais il faut aussi reconnaitre qu’aujourd’hui le tarif est très pénalisant pour les petits foyers et que ça ne choque personne. (la petite mémé qui vit toute seule dans son petit appart paye au final le kWh deux fois plus cher qu’une famille de 5 personnes).
Je ne comprends vraiment pas que l’on paye moins cher le kWh pour chauffer une piscine que pour chauffer un plat de pâte.
Mais c’est aussi un choix de société. Il est vrai qu’actuellement tout fonctionne comme cela. La remise sur quantité est un outil merveilleux pour celui qui vend.
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Mais pourquoi vous privez alors que l’industrie demande de toute façon une production constante énorme ?
C’est par haine de l’industrie ou masochisme (et je suis pas contre les économies d’énergies mais là comme même) ?
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Non mais vous imaginez l’horreur si on produisait nos produits (électroménager, textile,...) chez nous et que les trains seraient plus développé (+lignes, maglev,...) = on consommerait plus d’électricité !!!
maman.
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C’est notre façon de vivre, de consommer et de penser qu’il faut remettre en cause, car une société qui consomme toujours plus ne peut respecter l’environnement et épuise tôt ou tard les ressources essentielles à la vie. Il ne peut y avoir de croissance infinie sur une planète finie........
http://2ccr.unblog.fr/2011/01/03/de-quoi-avons-nous-besoin/
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Bonsoir à tous,
Merci à @Joël de nous proposer une synthèse sur les opportunités, moyens d’une énergie durable, renouvelable, écologique.
Mais plusieurs difficultés apparaissent, sans les hiérarchiser :
le modèle économique : nos « politiques » ont-ils la volonté de mettre en oeuvre une économie durable et écologique, donc une reconversion industrielle sur au moins 20 ans. Ils parlent tous de réindustrialiser la France en restant dans le système actuel, capitaliste financier et d’énergies fossiles avec une petite dose d’économie d’énergie, et de renouvelable.
Tout en sachant, que nous sommes bien loin des objectifs européens sur la part des énergies renouvelables.
Le comportement individuel et collectif : je pense que c’est l’objectif essentiel. La prise de conscience et de responsabilité de chaque individu et de chaque groupe social.
L’investissement individuel, collectif ne peut se faire que par l’information, l’adhésion à un nouveau projet de société, plus solidaire, responsable basé sur la satisfaction des besoins essentiels (logement, énergie, nourriture, éducation et culture, moyens de transports collectifs
...)
Mais aussi informer et responsabiliser sur la consommation de masse de produits et de services que l’on nous « vend » comme indispensables à notre « bonheur » quitte à nous endetter au-delà du raisonnable en sacrifiant des besoins primaires.
collectifs...)
Les « terres rares » : il s’agit d’un facteur limitant. Avec le progrès technique, l’utilisation de métaux rares : le scandium, l’Ytrium, les lanthanides, s’imposent dans le high-tech comme les piles, batteries, processeurs...La Chine possède une avance stratégique sur l’extraction de ces minerais par la concentration des ressources sur son territoire.
Bilan carbone/énergie : pour toutes les activités humaines, il est nécessaire d’inclure ce bilan
de façon à connaître à partir de quel seuil, il est rentable économiquement et écologiquement de produire un bien ou service avec les technologies existantes.Il faut développer l’habitat collectif 0% énergie, dans les nouveaux quartiers avec des immeubles autosuffisants connectés en réseau (immeubles économes, solaire, éolien, puits canadiens..) comme en Allemagne,notamment.
La mise en oeuvre d’une telle politique serait de la responsabilité des décideurs régionaux et locaux pour tenir compte des particularités naturelles avec un soutien de structures de conseil au niveau national.
Une modeste contribution pour un grand enjeu de société
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« Il ne peut y avoir de croissance infinie sur une planète finie........ »
Bon cette ineptie je commence à le voir répéter partout, et j’imagine qu’à force de le répéter vous allez vous prendre pour un érudit !!!
Par déduction vous n’êtes certainement pas un scientifique, mais passons.
Déjà, lorsqu’on parle d’économie d’énergie, c’est avant tout que le modèle ne marche plus dans le sens où les choix énergétiques ne conviennent plus ou n’ont pas assez évolué (les lobbies ?).
Le critère de sélection doit se baser sur la densité énergétique.
La seule limite de la Terre en relativité c’est sa superficie, aussi si on améliore notre densité énergétique par 10 par exemple on peut doubler la population mondiale sans que la Terre s’en émeuve et que personne ne se marche sur les pieds...
Pour illustrer mes propos, à l’antiquité et au Moyen-Age, la valeur énergétique de l’Homme était négative, à notre époque contemporaine elle est devenue positive, mais elle pourra encore augmenter, c’est ce qui déterminera le nombre de population future sur terre, sans tenir compte de votre slogan malthusien. -
Un très bon article qui fait le point sur la situation énergétique tout en parlant des solutions d’avenir dont la géothermie profionde ( pour faire de l’électricité ) et les futures centrales au thorium ( 25000 ans de réserves à l’heure actuelle selon une revue scientifique grand public ).
On devrait insister auprès des candidats aux élections pour savoir s’ils comptent débloquer des fonds pour au moins ces deux projets d’avenir, outre le stockage d’électricité sous forme d’hydrogène et son utilisation dans des piles à combustibles bon marché.
De plus, il s’agit de projets mondiaux qui intéressent tous les pays importateurs de carburants fossiles , Chine et USA compris, et qui semblent plus accessibles que le projet ITER qui reste plutôt du domaine de la recherche à long terme.
Dans les années 1930 aux USA ils ont relancé la machine économique par des grands travaux et nous serions bien avisés de faire la même chose en faisant des grands travaux qui nous assurerons notre autonomie durable et respectueuse de l’environnement en matière énergétique.
Il me semble que TOUS les candidat(e)s à la présidence seront d’accord avec une politique de ce genre, alors il nous incombe de les motiver pour qu’ils/elles persévèrent dans cette voie.-
pour l’instant la réalité , c’est çà :
http://fukushima.over-blog.fr/article-les-effets-de-la-catastrophe-de-fukushima-sur-la-sante-89854801.html-
Et bien sur le premier blog venue sur Fukushima fait figure de réference scientifique !!
Je pourrais moi même vous sourcer des propos de la secte Aoum, ça n’en fait pas des vérités !! Quand on voit que les statistiques portes sur des maladie comme le syndrome « Pied-main-bouche », dont le responsable, un enterovirus, est naturellement sujet à ce genre de de « pics » (comme les Rhumes en hivers). Ne parlons même pas des corrélation entre conjonctivite et nucléaire quand on sait que celles-ci explosent depuis bien des années à cause de la propension ridicule de certains à trop « profiter » du soleil !! (Mais bien sur, c’est beaucoup plus évident de le corréler à fukushima, voyons...)Et je ne parle même pas des différentes sources du sites qui vont sur d’autre site « fuku-parano », des sois disantes vérité montré sur Youtube sur Tchernobyl là ou aucune étude serieuse n’a pu chiffrer de victimes réelles (les dégats à long terme sont difficilement mesurables...)La vérité, c’est que même au Japon, vous avez beaucoup plus de change de mourir d’une maladie respiratoire due au tabagisme passif ou à la pollution que d’une maladie respiratoire due au nucléaire, que vous avez beaucoup plus de chance de mourir d’un mélanome que d’un cancer due au nucléaire, que vous avez plus de chance de mourir de maladie cardiovasculaire lié à nos habitudes sédentaires et à notre mode d’alimentation qu’à une maladie lié au nucléaire.....et je pourrais vous en faire des pages !!Alors oui, le nucléaire est très dangereux, mais malheureusement pour ceux qui voudraient toujours en faire un arguments de poids pour le contre, ses effets à long terme après décontamination ne sont pas si néfastes que ce genre de sites veulent le faire entendre !!Je préfère largement l’argument anti-nucléaire du stockage/traitement des déchets, qui est un véritable problème.SInon, bravo pour l’article qui évite tout les cliché habituellement débité sur ce genre de débat, et non, le nucléaire n’est pas incompatible avec le MIX... -
ezzeteban,
oui oui ! Quand on a découvert la radioactivité, on en mettait partout, et la grande mode était aux bracelets et colliers en radium. On disait que c’était un fortifiant. Je suppose que vos infos sur le sujet datent de cette époque ?
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illuminato 29 novembre 2011 12:05plutonium :50 ans d’élctricité ,500 000 ans de déchets .............
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Vu qu’on en a déjà consommé et qu’il va falloir le stocker, autant que le stock vaille la peine d’être surveillé.
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Que cela vous plaise ou non il existe d’ores et déjà des stocks de plutonium et il va falloir les gérer pendant très longtemps.
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Curieusement, mon commentaire a disparu,mauvaise manipulation sans doute ?
Je félicitais l’auteur de nous livrer un joli conte pour noel:Alice in powerland
l’auteur fait l’éloge et l’énumérations de tout une série de filières censées remplacer nos sources classiques.
C’est rafraîchissant de constater que certains rêvent :
Car par exemple, l’énergie des vagues est un concept tout à fait sympathique,et les joyeux qui ont réussi à se faire payer pour jouer avec ces gadgets ont toute mon admiration.
La géothermie profonde.Comme si on avait attendu nos petits hommes verts pour l’exploiter.22 % de l’électricité californienne vient de là,et sans pomper au passage l’argent du contribuable.Ce n’est faisable que dans certaines régions particulières, du moins pour la vapeur, pour le chauffage cela est exploité depuis très longtemps partout chaque fois que cela est économiquement faisable.
Les eaux froides des grands fonds:le principe a été évoqué dès le 19* siècle sans que l’on puisse le réaliser.
Le solaire et l’éolien:on est en plein dedans et les résultats sont très décevants
D’ailleurs expliquez-moi pourquoi un pays comme l’allemagne ,pourtant fer de lance de la « société verte » n’a pas fermé de centrales flamme, mais au contraire en met en chantier, des lignites et gaz, et en grand nombre.
Le stockage hydraulique:chaque fois qu’il a été possible de le pratiquer cela a été fait.Par exemple la centrale de Vianden à 50 ans.
Mais outre que les sites sont très limités, et que les petits hommes verts s’opposent à toute construction de barrages(ils vont même réussir à supprimer tous les moulins)les coûts ont été un frein à cette technique.
Le stockage à air comprimé.ne parlons même pas des coûts,la seule application de ce procédé sert à l’alimentation de l’étage compresseur d’une turbine gaz ,tout le reste est dérisoire et inapplicable.Mais une fois encore, je ne comprends pas ce raisonnement de vouloir agrandir le mix énergétique par des moyens coûteux, inefficaces,et incapables de se substituer à la configuration actuelle.
Le problème est le nucléaire, qui a fourni ces dernières 40 années la puissance suffisante à des coûts imbattables, et sans conséquences sur la santé des populations ni sur l’environnement.Alors si vous n"êtes pas d’accord sur cette affirmation, vous n’avez d’autre solution que de les fermer toutes, car ,il n’en resterait qu’une, que le danger serait toujours présent.
Et cela est faisable, mais malheureusement pas avec toute votre quincaillerie verte, mais avec du charbon et du gaz, comme le font les chinois, les indiens, et pratiquement tout le monde.Tout le reste tient de la fable, qui est très agréable à lire un matin où il fait gris
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Je pense que vous sous estimez le potentiel de la géothermie réellement profonde et contrôlée ( creuser jusqu’à 300 degrés par exemple et controler les flux entrants et sortants ) chaque puits serait l’équivalent d’un réacteur nucléaire sans devoir utiliser de l’uranium, juste de la flotte qu’on fait bouillir pour faire tourner une turbine.
Ce processus peut fonctionner tant que la terre existe et les 300 degrés ils sont partout sous nos pieds.
Le seul problème c’est de creuser le « trou » et ce à un prix abordable mais, à part le prix, c’est juste du chipotage d’ingénieurs en perspective. -
Par joletaxi (xxx.xxx.xxx.204) 29 novembre 12:29Je félicitais l’auteur de nous livrer un joli conte pour noel:Alice in powerland
joletaxi,lui, préfère rester dans la réalité de Mad Max, de Soleil vert, de Tchernobyl et Fukushima, des déchets radioactifs pour des dizaines de milliers d’années ; c’est sûr que pour Noël, ça le fait pas vraiment, sauf pour les enfants qui adorent les contes d’horreur...
l’auteur fait l’éloge et l’énumérations de tout une série de filières censées remplacer nos sources classiques.
C’est rafraîchissant de constater que certains rêventjoletaxi lui, ne rêve pas : il préfère le cauchemar ; on attend toujours son départ pour Fukushima ; ses vertes campagnes, ses riants cours d’eau, son atmosphère si pure et légère.... c’est pour quand, joletaxi ?
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Je pense que vous sous estimez le potentiel de la géothermie réellement profonde et contrôlée (
Je pense que vous sur estimez le potentiel de la géothermie réellement profonde et contrôlée (
c’est faisable et même économiquement,mais les zones propices ne sont pas légions, et pas spécialement facilement accessibles.
Si près de zones de fracture, les puits peuvent être limités à quelques centaines de mètres, dans une région « difficile » il faudra descendre à 5.000 voire 10.000 mètres
N’oubliez pas que l’on envoyait des hommes creuser pour le charbon à 2000 mètres.
Et lesproblèmes ne s’arrêtent pas là car en dehors des difficultés techniques du forage, des problèmes de corrosion, il ne suffit pas d’injecter de l’eau et de la pomer.Bref, il y a certes un potentiel mais qui reste limité
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On est au 21 siècle et on a des robots qui font le travail de mineur bien mieux que nous et le reste c’est du chipotage d’ingénieur - d’ores et déjà maîtrisé - comme je le disais, rien d’insurmontable.
La seule inconnue est le coût d’un puits de 10000 mètres de profondeur : peut on le comparer au prix du tunnel sous la manche ( 40000 mètres mais - nettement - moins profond ) ou est ce que ce serait encore plus onéreux ? -
L’exemple des puits de mine n’était là que pour vous faire comprendre que ,suivant l’endroit, à 2000 mètres,il fait 40 *
On a foré à 10.000 mètres mais le coût est astronomiqueUn forage est en cours d’évaluation pour le moment,on verra bien ce qu’il en ressort.
Notez aussi qu’un puit géothermique artificiel(quand il n’y a pas de source naturelle d’eau chaude) s’épuise assez rapidement.
Notez également que pour en accroître le rendement il faut avoir recours à la fracturation, interdite depuis par la magie verte.Bref,cela reste un potentiel limité à certaines zones géographiques
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Je disais 10000 mètres parce que c’est la distance qu’il faut pour atteindre les 300 degrés étant donné que la température s’élève de 30 degrés par 1000 mètres de profondeur.
Avec mon système, il s’agit d’injecter de l’eau dans une chaudière à 10000 mètres de profondeur qui fait bouillir de l’eau et l’envoie dans une turbine qui produit du courant
électrique, ensuite l’eau est récupérée pour être réinjectée dans le circuit ou utilisée à d’autres fins.
Evidemment, il faut tenir compte des paramètres de la pression et de la chaleur exercée sur les matériaux du puits, mais ce sont des éléments qui sont d’ores et déjà maîtrisés. -
Vous avez une vision très simpliste du procédé
Injecter de l’eau dans une chaudière à 10.000 mètres de profondeur ?
En réalité on injecte de l’eau dans une couche géologique perméable, et on l’extrait chaude à un autre endroit,le tout étant de permettre une perfusion suffisante d’un puit à l’autre,ce qui n’est pas évident.
C’est ce qui est fait dans le forage d’évaluation en cours.
Mais l’on comprend tout de suite que pour récupérer assez de vapeur que pour égaler une centrale, il faut injecter des quantités énormes d’eau, et ce faisant multiplier les puits.
Sauf à se trouver dans des conditions très favorables, cela reste économiquement suicidaire.Comme le sont d’ailleurs tous les autres jouets « verts »
hier dans un article sur l’emploi des filières énergie, on prônait lamultiplication des emplois verts dans le renouvelable.
On avoue donc clairement que cela va coûter très cher, car ces emplois ,il faudra bien les payer,et si ce n’est pas sur notre note d’électricité, ce sera par nos impôts -
"Le problème est le nucléaire, qui a fourni ces dernières 40 années la puissance suffisante à des coûts imbattables, et sans conséquences sur la santé des populations ni sur l’environnement.«
En parlant de fable...
Sinon il serait de bon ton de se renseigner, »sans conséquences sur la santé....«
quelques petits relevés afin de mesurer la merde que l’on respire depuis »l’incident" (non nucléaire bien sur...) de Marcoule... ???
http://www.criirad.org/actualites/dossier2011/marcoule/11-09-16-can84.pdfJe pense joeletaxi que vous êtes de ceux qui ont vu le nuage de Tcherno s’arrêter à la frontière franco/allemande... ???
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Attention à la précision Joe, il y a comme même 0,3% d’exposition au radiation en plus à cause du nucléaire civil !
Bon d’accord à coté des 6% de notre radiation interne c’est pas beaucoup mais il faudrait pas s’arranger avec la réalité comme les antinuk non plus !
Merci pour le point sur la géothermie. Il se trouve que je soutiens un mouvement politique (solidarité et progrès) qui n’y croit pas non plus.
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Ceci étant dit, on devrait tout de même faire quelques centrales géothermiques expérimentales pour voir ce que ça donne à moyen terme vu que c’est moins dangereux qu’une centrale atomique.
On sait qu’en Islande ça marche très bien mais là il ne faut pas creuser. -
Ce qu’il y a quand même de marrant avec Joeletaxi et avec rastapopoulo, c’est qu’ils descendent systématiquement toutes les alternatives au nucléaire.
Mais en admettant que vous ayez raison, que le nucléaire soit la source d’énergie la plus sûre et la moins chère. Etes vous au moins d’accord sur le fait que cette source est aussi épuisable et qu’elle est quand même (un tout petit peu) risquée. Et qu’il serait donc (quand même un petit peu) interessant de l’économiser.
J’attends vraiment impatiemment votre réponse. Car quand je vous lit, j’ai l’impression que vous êtes actionnaires d’EDF ou complètement endoctrinés.
Même si on pense que le nucléaire est la meilleure des énergies malgré les risques, les dêchets, le chaos dans les pays où on l’extrait, etc... comment peut-on ne jamais s’interesser aux économies d’énergies...
Le nucléaire existe depuis 50 ans sans grandes évolutions majeures au niveau du rendement des centrales. C’est une énergie qui a été bénéfique mais qui ne fait pas partie des énergie du futur, cette technologie est plutôt en fin de vie. Je précise que je parle des centrales à fissions de l’uranium ou du plutonium car je vois déjà les amalgames arriver avec la fusion et le thorium...
Comment ne peut-on pas miser sur les énergies d’avenir. ça m’étonne vraiment car vous avez souvent des propos de scientistes. En fait, vous êtes en pleine incohérence.. -
vous ne comprenez pas mon propos et ce n’est pas étonnant.
Je me fiche pas mal de savoir comment est produit le courant qui arrive à mon compteur.
Si vous me lisez, ce dont je vous remercie, vous aurez vu que ma conclusion est:pour le moment avec nos techniques, l’alternative à la fermeture des centrales est spécifiquement du fossile,comme vont le faire à une large échelle les allemands(ils ont paraît-il des gisements suffisants pour 400 ans,et le fait que des régions entières descendent littéralement de 50 mètres après exploitation ne semble pas déranger les petits hommes verts)
Lorsque l’on m’affirme que le renouvelable peut remplacer les autres sources, je dis foutaises,et quelques soient les études sur le sujet, elles me donnent raison.
Encore une fois, allez lire les conclusions de Mr. l’ingénieur Pellen sur le sujet.Et quand on a comme but de diminuer la part du nucléaire dans le mix énergétique je dis également foutaise.
Le nucléaire est capable de produire de façon pérenne et à des coûts imbattables.de plus les centrales sont amorties ,et encore capables de produire 30 ans.
Si l’on considère que c’est dangereux, que le problème des déchets est insurmontable(ils sont là de toute façon)que le démantèlement va coûter trop cher(il le sera dans 30 ans ,pendant lesquelles on aura pu faire des provisions),alors il faut tout fermer, et tout de suite,comme l’ont fait les allemands.... et construire des centrales classiques.
Mais quand on demande des fermetures partielles, compensées par du renouvelable, je prétends que l’on propose la plus mauvaise solution.Je ne suis plus dans les affaires, et j’ai des moyens pour payer le kw à 1 voire 2 euros,donc je m’en tape.
Mais je ne suis pas sur que c’est le cas de la majorité,il faut dire cela aussi aux gens. -
Vous ne répondez encore pas à ma question. Vous restez bloqué dans votre discours TINA.
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encore faudrait-il que je puisse cerner votre question.
Vous par contre, vous n’avez rien à répondre à ma démonstration.
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Croire que le nucléaire a stagné, c’est être naïf (version antinuk évidement) ou bien formaté à ne pas vouloir baisser les prix de l’électricité (ça c’est pour les compagnies électriques qui ne veulent pas non plus améliorer le nucléaire, des vrais amis des antinuk).
Déjà je suis pas d’accord avec Joe. Des nouvelles centrales seront plus sécurisé et encore plus économe. Du coté du retraitement, c’est simple, nous allons utiliser les déchets pour faire de l’énergie en les recyclant !!! C’est déjà possible en petite quantité et le projet Myrrha (qui va retraiter les déchets, donc les antinuk sont contre !!) va s’occuper des derniers composants qui n’ont pas été retraité en grande quantité. Ceci va améliorer le rendement entre 50 % et 100 % seulement avec la technique du projet Myrrha. Avec ça, les stock d’énergie via l’uranium sont de milliers d’années tout en ayant très peu de déchets.
Et puis il y a le thorium privilégié dès le début par les physiciens pour l’énergie civile mais qui posait l’inconvénient de ne pas pouvoir servir à la bombe... Présent partout dans le monde en quantité, faut arrêter de croire à la pénurie.
Plus globalement, c’est la densité d’énergie qui rend le nucléaire beaucoup plus écologique. Sans être CO2phobe, les chiffres désastreux du CO2 des pseudorenouvelables prouvent qu’ils demandent plus de matière que le nucléaire. Et dans les matières supplémentaires il y a du mercure (pire polluant selon moi), de la suie (pire polluant selon les biologistes) et d’autre polluants. Reste la radioactivité mais 1m² de photovoltahic = 30 000 becquerels via le charbon pour purifier le silicium dans les baignoires de quartz. Donc en acceptant de retraiter les déchets (oui ils faut que les antinuk l’accepte !!!!), le nucléaire relâchera moins de radioactivité au final.
C’est des calculs à la louche et je ne sais pas nommé individuellement les composants retraités mais c’est une image beaucoup plus fidèle à la réalité que le discours malthusien ambiant.
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@Antoinne R
Bonjour,
Je vous lis et m’étonne de vos remarques !
Le nucléaire n’est évidemment pas l’idéal, mais cela reste l’energie du futur !
Dans un premier temps proche de nous (une dizaine d’années) par les surgénérateurs ou régénérateurs (réacteurs à neutrons rapides) qui, combien de fois faudra-t-il le rappeler, consomme en « carburant » nucléaire, 100 fois moins, pour une energie produite identique.
Si vous préférez, ce que l’on met en 1 an comme combustible dans nos centrales et ce, tous les ans. Demain, ce sera 1 fois par siècle ! (c’est une image). Donc dire que le nucléaire manquera de combustible est faux. D’autant que les stocks de la France nous mettent à l’abri pour plusieurs siècles.
Dans un second temps dans X dizaines d’années, ce sera au tour de la fusion.
Alors, vos machins et autres trucs qui nous coûte (à tous les Français) la peau des fesses. Non merci !
En plus, sur ce site, on réinvente l’eau chaude !!!! Génial !!!
Une partie de la ville de Melun ( Seine-et-Marne) est alimentée par de l’eau chaude géothermique !!! plusieurs fois cette centrale a été arrêtée à cause des prix prohibitifs de la maintenance. Un des principaux problèmes de la géothermie, ce n’est pas les forages (on sait faire) mais la qualité des eaux que l’on récupèrent très souvent chargées en produits très corrosifs pour les tuyauteries et échangeurs !
Eh oui. C’est tout bête, un problème de métallurgie, mais voilà. Pour le moment, on ne sait pas encore le régler à des prix moindres que les énergies « habituelles ».
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Bonjour @Alois,
Un gros problème non résolu, l’usure rapide des canalisations par oxydation (composés chimiques présents dans l’eau, la vapeur) malgré les aciers spéciaux -
Pas seulement la vapeur, mais tout types d’acides !
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Pourquoi les pro-nuk sont contre les autres procédés ?
C’est très simple, car le nuk comme vous dites à une densité énergétique incomparable et largement la plus efficace à l’heure actuelle.
Mais qui dit pro-nuk ne dit pas forcément pro fissible.
Illustrons mes propos, car densité énergétique ne vous parle certainement pas !
Un porte-avion nuk de 5000 âmes avec de l’uranium 235 de la taille d’une balle de golf peut fournir de l’énergie pour ........... 13 ans sans ravitaillement à tourner autour de la planète. çà veut dire électricité, eau potable etc...
Vous pensez qu’avec du renouvelable comme les panneaux solaires ou les éoliennes vous aurez le même résultat ? -
La géothermie
Allez donc voir ce qu’il est advenu du seul cas de centrale géothermique notable branché sur la ville de Melun et qui avait été imaginé avec le concours de l’école des Mines de Fontainebleau, gens plutôt experts (ils évaluent entre autres l’acceptabilité des stockages souterrains)
Les dégâts dus à la corrosion par ces eaux chaudes chargées en sels sont une source permanente d’ennuis qui obèrent cette belle idée par des coûts de fonctionnement rédhibitoires
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Pour moi il y a une source qui a vraiment un potentiel au dessus des autres c’est la géothermie.
Par rapport aux autres sources je ne lui vois que des avantages.
Il faut miser à fond là-dessus.
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Vous oubliez une forme intéressante d’énergie libre, pas du tout utilisée jusqu’à présent : le magnétisme.
A voir, et à méditer si on sait qu’un aimant peut avoir une « durée de vie » de 400 ans :
http://www.dailymotion.com/video/xd0hk3_moteur-energie-libre-6000-tr-min_news
Chacun pourrait avoir sa petite centrale à domicile. Non polluant, durable, gratuit.
POURQUOI PERSONNE NE DEVELOPPE CA ?-
En effet, le champ magnetique terrestre, crée par des courants dans le métal en fusion au centre de la terre peut avoir un effet mécanique sur l’aiguille d’une boussole. L’enérgie exploité est faible, mais non nulle. Si on arrivait à commuter la polarité magnétique de l’aiguille de la boussole, en usant moins d’energie qu’il en faille pour la tourner, nous avons un moteur fonctionnant au champ magnétique. Je me suis toujours demandé si c’était possible.
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Combien coûterait un démonstrateur ?
Pas cher à mon avis et il est donc probable que ça ne marche pas d’autant plus qu’il y a vraissemblablement une ou deux universités qui doivent avoir expérimenté ce genre de bidules et que si ça marchait on en trouverait en vente dans les supermarchés.
Ceci étant dit, j’ai dit probable mais pas certain ... -
Pourquoi Tesla est si peu connu du grand publique,qui a intérêt a ne pas en parler ?
Cdt.
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Si les inventions de Tesla pouvaient fabriquer du courant moins cher les companies électriques le feraient parce que ce serait plus rentable que de cramer du charbon ou de construire des centrales nucléaires.
Ceci étant dit, conaissez vous des universités qui travaillent sur les découvertes de Tesla ? -
Ah, le « smart grid » , la transmission d’énergie à la façon de la transmission des dossiers en P2P.
On dirait du Jeremy Rifkin.
Sauf que les courants forts ce ne sont pas des courants faibles.. et il faut des lignes, des lignes de transport un peu partout.
Déjà en Allemagne ils ont des problèmes de déséquilibre du réseau avec de la production éolienne au Nord et de la consommation au Sud, mais pas les lignes de transport qui devraient aller avec. Ce qui induit des déséquilibres du réseau.Les habitants veulent bien des éoliennes mais ne veulent pas des lignes THT.. Ils vont bien arriver à mettre une partie du réseau européen par terre un de ces jours.
Si l’on veut faire du P2P d’énergie de n’importe quel point à n’importe quel point, il faut par exemple multiplier par 20 la capacité de transport HT avec l’Espagne.. Déjà que de passer une malheureuse ligne HT à travers les Pyrénées c’est un sport.. Alors parler du P2P électrique c’est une joyeuse plaisanterie pour bisous-nours.
@+
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Ah !
Voila le krolik qui dénonce les « joyeuses plaisanteries pour bisounours » !C’est vrai qu’en tant que propagandiste Areva, et sentinelle du nucléaire, il préfère les tristes réalités de dragonland...On n’avait plus eu l’heur de le lire beaucoup, depuis Fukushima, le krolik...Et sinon, pour les déchets, vous en prenez votre part dans votre jardin, krolik ? -
Je moins car j’en ai vraiment trop marre d’entendre cette expression : « bisounours ».
C’est vraiment le truc qui empêche de réflechir et de s’ouvrir à d’autres solutions.
dès que tu n’es pas entièrement d’accord avec les choix qui ont été fait tu es un bobo ou un bisounours.
Il faut que j’aille regarder TF1, comme ça je supporterai mieux ces commentaires vides de sens.
Je fais une petite liste pour me défouler et comme ça, vous n’aurez pas besoin de les réecrire :
Bisounours, Big brother, Bobo, Utopique, Developpement durable, Lady Gaga, Flexicurité, Pédalo, discrimination positive, croissance verte, crise, CO2, faineants de fonctionnaires, vivre au dessus de ses moyens, dette, agence de notation, AAA, croissance, la main des marchés, en Allemagne ils font ceci, en Allemagne ils font cela, démocratie, vote utile, 21 avril, 21 avril à l’envers, démagogie.... -
AntoineR : « Dès que tu n’es pas entièrement d’accord avec les choix qui ont été fait tu es un bobo ou un bisounours. »
C’est ben vrai ça !
Ou encore, faudrait encore les ajouter celles-là : « on pleurniche », « on est dans l’émotion » !!
Tiens, comme (« cette petite sotte de ») Matsuko ici :
http://groupes.sortirdunucleaire.org/Matsuko-japonaise-refugiee-en
Matsuko, japonaise, réfugiée en France : « Je voudrais que mon pays sorte du cauchemar nucléaire »
" Je m’appelle Matsuko, je suis rédactrice free-lance. J’habite dans la banlieue de Tokyo à Chiba, à 200 km de la centrale de Fukushima. Je suis venue en Europe pour passer des examens médicaux car je suis inquiète, et aussi pour faire une pause, loin de mon pays.
Est-ce que tu peux nous décrire le début de la catastrophe ?
A Tokyo tout le monde est descendu dans la rue, suite au tremblement de terre. Ma mère m’a avertie de rester à la maison car elle avait entendu parler d’une explosion dans une centrale nucléaire, mais peu de gens étaient informés. Les médias ne parlaient que du tremblement de terre et du tsunami. Plus tard, le discours officiel était « Ne vous inquiétez pas, tout est sous-contrôle ».
Début avril, le gouvernement a passé une loi et a créé une équipe en charge de « faire taire » les rumeurs sur internet. Les opérateurs de téléphonie et d’internet devaient prendre des mesures pour effacer les contenus portant atteinte « à l’ordre public et à la sécurité » [1].
Moins d’informations circulaient ; mais ce qui m’a vraiment surprise, c’est que beaucoup de Japonais ne veulent pas savoir : ils préfèrent se voiler la face car la vérité est trop effrayante.
Je fais partie de l’association « Radiations Defense Project », nous sommes 5.000 sur Facebook. Nous avons acheté des compteurs Geiger et demandé à un institut professionnel d’effectuer des mesures de radioactivité du sol dans plus de 130 endroits à Tokyo et en banlieue. Nous avons découvert des doses extrêmement préoccupantes, avec certaines mesures aussi importantes qu’à Tchernobyl.
Nous avons organisé une conférence de presse début août pour communiquer ces résultats ; ces informations ont été largement reprises par les médias japonais. Cela a incité le gouvernement a enfin entreprendre des mesures de décontamination, mais ces mesures ne concernent que la province de Fukushima. Nos résultats ont prouvé que la contamination touche aussi Tokyo et sa banlieue où résident 38 millions d’habitants, soit la métropole la plus peuplée au monde.
Comment vit-on au jour le jour dans ce quotidien nucléaire ?
Personnellement j’ai très peur et je porte constamment un masque. Je vis dans le centre mais j’achète des légumes venant de l’ouest du Japon. J’ai arrêté de manger de la viande, des œufs, de boire du lait. Je me posais des questions sur mon état de santé, alors j’ai décidé de partir, de passer quelque temps loin de la radioactivité. Grâce à des amis, j’ai effectué une anthropogammamétrie (Whole Body Counting, WBC) à Berlin. Les résultats ont montré une contamination au Cesium 137 trois fois supérieure à la norme [2]. Cela m’a vraiment effrayée car j’avais pris le maximum de mesures pour me protéger.Je suis ensuite venue en France et j’étais à Avignon [à 30 km, NDRL] quand a eu lieu l’accident nucléaire de Marcoule. J’ai eu le sentiment d’être poursuivie par cet enfer nucléaire. Je ne comprends pas qu’on nous ait imposé cette industrie si dangereuse.
Demain je repars au Japon la peur au ventre. Je vais déménager à l’ouest, qui est moins contaminé. Malheureusement, mon fiancé travaille à Tokyo et ne pourra pas me suivre. Nous devions nous marier en mars, ensuite avoir un bébé. Tout est remis en cause. Cette catastrophe nucléaire a causé la séparation de nombreux couples de Japonais, car les femmes veulent partir pour protéger leurs enfants et souvent, leurs maris ne comprennent pas, ou ne peuvent pas les suivre.
Mon projet est de créer un réseau afin d’aider les familles de Fukushima à déménager vers l’ouest pour protéger leurs enfants.
Je veux que mon pays sorte du nucléaire le plus rapidement possible. Le 19 septembre, 60.000 personnes se sont réunies à Tokyo pour demander la fin du nucléaire [3]. Nous ne pouvons plus continuer à vivre dans la peur !"
(Propos recueillis par Karine. Merci à elle !)
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@Anikoreh.
Un témoignage à faire pleurer dans les chamières !
A votre amie japonaise contaminée au césium, il faut lui demander comment elle se situe par rapport à cette courbe :http://i17.servimg.com/u/f17/12/17/43/12/cesium10.jpg parce que sans aucune valeur chiffrée, ça ne veut rien dire.
Si elle est 20 fois au delà du point le plus haut elle peut commencer à s’inquiéter réellement en dessous.. c’est pour l’esprit..
@+
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@ krolik
La séche froideur et le cynisme de votre commentaire ’antipathique’ (par opposition avec l’empathie que toute personne ressentirait en la circonstance) ne vous honore pas..
A votre place, j’aurai honte, voyez-vous. -
Maintenant, puisque vous tenez à le prendre sous cet angle, il vous sufit de cliquer à l’hyperlien 2 - Résultat de l’anthropogammamétrie - dans l’article ci-dessus. -
@Anikoreh.
Ecoutez, en lisant cet article et surtout les commentaires, il n’y a plus qu’à pleurer tout le temps.
Mais de pleurer ne fait pas avancer le problème. Comme disait Paracelse tout est une question de dose, je pourrais vous sortir des trucs sur l’hormésis des faibles doses aussi, comme par ici des vieux qui viennent respirer du radon dans une mine pour les effets bénéfiques !!http://i87.servimg.com/u/f87/12/17/43/12/montan10.jpg
Il y a comme cela des tas de trucs à faire pleurer le pompier dans son casque, par exemple cette photo abominable :http://i27.servimg.com/u/f27/12/17/43/12/hydroc10.jpg attribuée comme effet de Tchernobyl. Sauf qu’aucune information sur l’origine géographique de la gamine, en fait elle venait de l’Est ukrainien qui n’a pas été touché par Tchernobyl. (J’ai eu l’occasion personnellement d’enquêter en Ukraine à l’époque).
D’autre part des cas comme cela il en existe plein les bocaux du Musée Dupuytren rue de l’Ecole de médecine, des bocaux qui remontent aux 18ème’-19ème siècle, à une époque où il n’y avait pas de « nucléaire » dans le monde.
En France on ne voit plus ce genre de cas, car l’on passe un cathéter entre la base du crâne et le péritoine et cela évite la montée en pression de la boite cranienne, et finalement au bout de qq années on peut très souvent retirer le cathéter et la vie de la personne est pratiquement normale.
Donc qu’est-ce que je déduis de cette photo ? Une fois après avoir laissé tout le monde pleurer, et bien je conclu que la médecine Soviet sur ces cas de malformation génétique était nulle, et qu’ils avaient des progrès à faire.
@+
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@Anikoreh
Merci de m’avoir signalé le résultat de l’anthropogammamétrie !!
Vous n’avez pas l’impression d’être un peu ridicule ? avec les 25Bq mesurés corps complet comparativement aux valeurs que je vous ai données concernant les enfants, dont nous étions, à l’époque des essais atmosphériques.
Avez vous remarqué le chiffre le plus important ? Celui du potassium 40 naturel. : 2500Bq.
C’est une anthropogammamétrie mal faite : il manque le carbone 14 qui est forcément là.
D’autre part il manque le nom du sujet.. ou bien votre Japonaise veut que l’on s’intéresse à son cas et elle publie son procès verbal de mesure, ou bien elle veut simplement faire du cirque et publie un procès-verbal lambda.
Pourriez vous au moins une fois faire les choses un peu sérieusement et essayer d’analyser ?
@+
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Mr. Krolik
avez-vous remarqué que quand je demande pourquoi les allemands, qui sont pourtant impliqués à fond dans la lutte contre les réchauffement climatique,et qui sont très en avance (je sais cela prête à sourire) dans les filières renouvelables,pourquoi les allemands construisent, et dans l’urgence, 14 centrales charbon(et pas des petites, des méga ainsi que de très nombreuses centrales gaz,pour compenser la fermeture de leurs premiers réacteurs.
A noter que les régulateurs du réseau allemand n’excluent d’ailleurs pas un blackout.
Notez aussi qu’ils n’ont pas fermé une seule centrale flamme sinon des centrales obsolètes ,remplacées par des neuves.Moi ,cela ne me dérange pas que l’on ferme le nucléaire, mais il faut dire la vérité
ce sera remplacé par du fossile.-
un grand classique quand on a pas d’argument.
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Joletaxi,
La réponse à cette ’question’ en guise d’argument à votre compère Krolik - que vous entonnez à l’envi ces derniers temps - est bien simple cependant et, je n’en doute pas une seconde, vous devez l’avoir déjà devinée :
C’est que les Allemands - sans aucun doute en avance dans les filières innovantes du renouvelable, comme vous l’admettez - sont dès à présent persuadés d’arriver à développer et à maîtriser sur une large échelle (industrielle) les techniques de captage et de stockage du C02.
N’est-ce pas.. ?
Entretemps, un désastre sans précédent est malheureusement toujours en cours au Japon, ne vous en déplaise.. Alors, de la lecture (et pas qu’un peu), histoire de rester à jour :
http://fr.sott.net/articles/show/6164-Au-Japon-le-genocide-de-la-population-se-poursuit-Les-effets-de-la-catastrophe-de-Fukushima-sur-la-sante
Au Japon, le génocide se poursuit : les effets de la catastrophe de Fukushima sur la santé
Les mères de Fukushima avaient alerté le monde dès le mois de juin : les enfants avaient des saignements de nez, des diarrhées, de la toux, des thyroïdes enflées, etc. Elles n’ont eu cesse d’informer et d’agir pour que tous les enfants soient évacués de la région de Fukushima. Encore dernièrement, elles se sont mobilisées à Tokyo pour sensibiliser la population, mais en vain pour l’instant. Pourtant, l’actualité semble leur donner raison. Un grand nombre d’informations convergentes indiquent que, suite à la catastrophe nucléaire, l’état général de la santé des Japonais vivant dans une vaste région correspondant au moins à 8% du Japon est en train de se dégrader.
Tweet d’un habitant d’Ibaraki : « Je travaille dans un hôpital d’Ibaraki. Il y a eu des patients avec des saignements de nez perpétuels en avril. Il y en a eu sans raison avec de la diarrhée et de la fièvre en juillet. Maintenant même les membres du personnel de l’hôpital souffrent de diarrhée sans raison...Ça commence à craindre. »
Tweet d’un habitant de Fukushima : « Mon ami vit à Iwakashi. Il vient finalement de commencer à avoir de l’hématurie (sang dans les urines, NdT). Mes petits enfants ont des saignements de nez. Ils ne peuvent évacuer parce qu’ils n’ont pas assez d’argent. » (source)
Même si ces tweets n’ont aucune valeur statistique, ils se rencontrent de plus en plus souvent et sont à mettre en relation avec l’augmentation de certaines pathologies, visible sur ces graphiques mis en ligne par le gouvernement japonais : conjonctivites, pneumonies, et diverses autres maladies sont en nette augmentation en 2011.
On avait déjà remarqué chez les enfants de Fukushima que leur thyroïde avait été affectée. Un groupe de chercheurs, sous la direction du Professeur Satoshi Tashiro de l’Université de Hiroshima, avait contrôlé la glande thyroïde de 1149 enfants de la préfecture juste après l’accident, en mars, de la centrale nucléaire. De l’iode 131 avait été détecté chez environ la moitié des enfants. Les enfants, que l’on a affublés de dosimètres, semblent ainsi être devenus des sujets de recherche ! Chez les jeunes évacués, on avait aussi remarqué des dysfonctionnements de la glande thyroïde. Plus au sud, dans la préfecture de Gunma, 80% des patients atteints de problèmes thyroïdiens voient aujourd’hui leur état s’aggraver.
D’autres anomalies ont été remarquées pour ces enfants vivant en zone contaminée comme la perte de poids, le ralentissement ou l’arrêt de la croissance et même des attaques cardiaques, ce qui peut être mis en lien avec la grande toxicité du césium-137. L’ACRO, laboratoire français, a aussi fait des mises en garde à plusieurs reprises, à partir d’analyses effectuées sur l’urine des enfants de Fukushima : 100% des prélèvements révèlent la présence des césiums radioactifs. Ainsi, plus de 4 mois après les rejets massifs de radioactivité dans l’environnement, ils sont toujours contaminés alors que leurs parents font des efforts pour limiter cette contamination interne. Il est fort probable que cela soit dû à la nourriture.
Et pourtant, cette nourriture contaminée, on la vante et on en fait la promotion pour ne pas laisser tomber la région de Fukushima et son économie agricole. Mais... un présentateur vedette de la télévision japonaise, Norikazu Otsuka, qui mangeait des produits irradiés devant les caméras « pour montrer leur innocuité », a dernièrement été diagnostiqué par son médecin comme ayant contracté une leucémie aiguë.
Un autre promoteur et consommateur des légumes de Fukushima, l’empereur du Japon lui-même, vient également d’être hospitalisé, ainsi que deux autres membres de sa famille. Akihito souffre d’une pneumonie, la princesse Aiko a contracté une Mycoplasma pneumoniae, et la princesse Masako serait victime de fièvre et de toux : ils ont tous les trois des symptômes communs. Or la pneumonie, nous l’avons vu, est une maladie qui augmente fortement au Japon cette année ; Takeo Nishioka, Président de la Chambre des conseillers de la Diète du Japon est d’ailleurs décédé d’une pneumonie le 5 novembre 2011 à l’âge de 75 ans.
Même si les cas de l’empereur et de sa famille n’auront pas forcément la même issue, on peut s’interroger sur ces cas à répétition. En avril, on tentait d’expliquer l’augmentation des cas de pneumonies dans la région de Tohoku par l’ingestion d’eau de mer : au moins 11 personnes étaient mortes de la pneumonie et environ 150 avaient été hospitalisés dans la préfecture de Miyagi, le nombre de patients étant de cinq à six fois plus élevé que d’habitude. Mais aujourd’hui, comment expliquer cette augmentation ? Comme pour Tchernobyl, il est probable que les radionucléides, en contamination interne, provoquent ces maladies respiratoires.
Le problème, ce sont ces idiots qui se bousculent à la télévision pour faire croire aux gens que la situation n’est pas grave. Ainsi, d’après plusieurs scientifiques médiatisés, le plutonium ne serait pas si dangereux. La radioprotection pour tous n’est pas un concept avancé au Japon. Et la population, quand elle ne s’organise pas de manière autonome, en fait les frais. Une télévision alternative, OurPlanet-TV, informe de manière indépendante en diffusant des émissions sur le sujet même de la santé. Par exemple, en juillet dernier, l’émission ContAct a invité Mika Noro, présidente de l’association « Le pont pour Tchernobyl », qui a partagé son expérience : s’étant rendue au Bélarus en 1993 (pays le plus touché par les retombées radioactives de Tchernobyl), elle a éclairé avec lucidité et compétences les symptômes cliniques chez les enfants de Fukushima.
(suite de cet article ci-après) -
(la suite de l’article)
Après la catastrophe de Fukushima, Our Planet-TV a lancé une enquête pour savoir si les retombées radioactives avaient eu des effets sur la santé de la population. Suite à cet appel, ils ont été amenés à étudier plus de 500 cas. Cette enquête met ainsi en évidence que la radioactivité, même à faible dose, a des effets réels sur la santé, ce qui était déjà connu par ailleurs avec la reconnaissance de l’augmentation du risque de cancer.
Dans une vidéo sous-titrée en français, on voit entre autres le Dr Masamichi Nishio, chef du centre anti-cancéreux d’Hokkaïdo, commenter le livre de Yablokov et Nesterenko et témoigner que la CIPR (Commission Internationale contre les rayonnements) a renoncé à étudier les effets des radiations internes car cela aurait gêné le développement de l’industrie nucléaire.
Dans les écoles le problème est identique. Dans le même esprit de se persuader que tout va bien dans le meilleur des mondes, on continue de fonctionner comme si de rien n’était. Par exemple, on demande aux enfants de nettoyer une piscine contaminée sans protection, ou on leur demande d’aller ramasser les feuilles d’automne sans précaution particulière alors que l’on sait parfaitement qu’elles sont contaminées au césium. Pire encore, on force les enfants à boire du lait contaminé. Et gare à celui qui ne veut pas. Le 29 septembre 2011, Akira Matsu du New Komeito (parti politique japonais NKP) est intervenue sur ce sujet devant les responsables gouvernementaux japonais et notamment Yoshihiko Noda, 1er Ministre, Osam Fujumina, chef de Cabinet du secrétariat et Yukio Edo, Ministre de l’industrie et de l’économie. Elle a dénoncé le cynisme et la barbarie du gouvernement envers les populations contaminées de la région de Fukushima.
Un autre grave problème qui se pose d’ores et déjà dans la région de Fukushima est la fuite du personnel médical depuis la catastrophe. C’est ainsi, les personnes les mieux informées des dangers sanitaires et qui ont les moyens de déménager s’en vont. Les autres restent, alors que de toute évidence il faudrait au moins évacuer les enfants, plus fragiles aux effets de la radioactivité. Le problème est immense mais il semble que l’on veuille à tout prix l’ignorer. 8 mois après la catastrophe, on ne pourra plus dire qu’on ne savait pas, ou qu’on n’a pas eu le temps de trouver des solutions pour évacuer la population.
La contamination est massive, le gouvernement le sait depuis les premiers jours de la catastrophe. Les premiers touchés ont été les sauveteurs qui ont opéré dans les régions dévastées par le tsunami, comme le relate ce témoignage : l’un d’entre eux qui était intervenu dans les zones sinistrées d’Iwate et Fukushima est décédé le 26 octobre 2011 d’une défaillance de la fonction rénale, trois mois après avoir appris que lui et les membres de son équipe avaient subi une contamination interne par les radionucléides. La personne qui témoigne assistait à une conférence de de Taro Yamada lors du ’’Forum National des cantines scolaires’’ qui s’est tenu le 6 novembre 2011 dans la ville de Sapporo. Mais pour une personne qui parle, combien se taisent ? Quel est l’état de santé des autres membres de son équipe ?
Les personnes les plus touchées sont évidemment les « liquidateurs », ces ouvriers de la centrale de Fukushima Daiichi qui reçoivent des doses « héroïques ». Malgré l’assurance de Tepco qui affirme qu’il n’y a pas de décès liés aux travaux de décontamination et de maintenance de ce qui reste de la centrale, on constate un fort taux de mortalité pour les ouvriers de la centrale, ce qui est en contradiction avec l’espérance de vie des Japonais qui est la plus élevée au monde.
En l’espace de 5 mois, 4 employés sont morts de façon anormale et rapide : le 12 mai 2011, un sexagénaire employé par la sous-traitance s’est senti mal et est décédé 2 jours plus tard. Le 16 août 2011, un employé de la centrale nucléaire est mort d’une leucémie foudroyante. Il avait travaillé pour Tepco durant une semaine, affecté à la surveillance de points chauds. Le 6 octobre 2011, un autre travailleur employé à la centrale est décédé subitement. Enfin, dernier en date, le 11 octobre 2011, un employé d’une cinquantaine d’années est mort brusquement alors qu’il se rendait à son lieu de travail, la centrale de Fukushima Daiichi.
A ces décès, il faut ajouter tous ceux dont on ne parle pas : de nombreuses personnes, employées par la sous-traitance, ont disparu ainsi des décomptes de Tepco. L’agence de sûreté nucléaire, on se souvient, avait épinglé l’entreprise en juin car celle-ci avait « égaré » des listes d’employés vacataires qui étaient intervenus sur le site, empêchant tout suivi médical de 69 personnes contaminées.
Il n’en a pas fallu plus pour que des rumeurs circulent sur internet sur le décès effectif de ces ouvriers intérimaires, information impossible à vérifier à ce jour bien qu’un journaliste du Shukan Asahi, M. Imanishi, ait entendu que des ambulances arrivaient 10 fois par jour à la centrale. A qui étaient destinées ces ambulances, et pourquoi ni les employés de Tepco, ni les ouvriers hospitalisés, ni les médecins n’ont-ils pas le droit de parler ? Il est évident que si un jour un journaliste arrivait à prouver ce genre d’information, l’image du nucléaire serait ternie à jamais et anéantirait tous les efforts du lobby nucléaire pour cacher la vérité. Il est incroyable que la catastrophe de Tchernobyl n’ait d’ailleurs pas eu plus d’impact sur l’énergie nucléaire dans le monde. La raison en est que l’OMS, qui était la plus à même de prendre des mesures de protection des populations, s’est tue. Condamnée au silence par un vieil accord avec l’AIEA, elle est devenue une institution criminelle, laissant tomber malade les gens vivant dans les territoires contaminés, et niant les effets des faibles doses sur la santé humaine.
Il faut en effet savoir que Tchernobyl a généré un million de victimes, comme le rappelle Janette Sherman, biologiste américaine et spécialiste en toxicologie. Dans la vidéo ci-dessous, elle présente le livre déjà cité « Chernobyl. Consequences of the catastrophe for people and environnement » d’A. Yablokov et de V. et A. Nesterenko, édité en 2009 par l’Académie des Sciences de New York avec plus de 5.000 références scientifiques (et bientôt édité en français).
Les auteurs de ce livre estiment à 985.000 le nombre de décès survenus à cause de Tchernobyl dans le monde entier entre 1986 et 2001, chiffre qui a encore augmenté depuis cette date. Janette Sherman dénonce également l’accord entre l’OMS et l’AIEA, signé en 1959. L’OMS est théoriquement garante de la santé des populations dans le monde et fait autorité auprès des États membres. Elle devrait, conformément à sa Constitution, être indépendante de tout intérêt commercial. Pourtant le 28 mai 1959, elle a signé avec l’AIEA (Agence Internationale de l’Energie Atomique) un accord par lequel aucune de ces deux agences de l’ONU ne peut prendre de position publique qui puisse nuire aux intérêts de l’autre (accord référencé WHA 12-40). Or, l’AIEA a été constituée en 1957 pour faire la promotion du nucléaire civil...
Il est certain que la situation ne va pas s’améliorer au Japon, l’expérience de Tchernobyl le démontre. Le fait de laisser vivre des millions de personnes dans un environnement contaminé apportera son lot de problèmes et de souffrances. Une grande sagesse a fait fuir de cette zone dangereuse beaucoup de femmes enceintes, protégeant leurs futurs enfants des radiations. Mais qu’en est-il de celles qui sont restées ? Que doit-on déduire du non-dit du milieu médical, relevé par Keiko Ichikawa ? Si les médecins japonais cachent les malformations et les enfants mort-nés, comment de réelles statistiques pourront-elles être établies ?
On connaît déjà les dégâts épouvantables causés par l’uranium appauvri dus aux bombardements lors de la guerre en Irak, et on imagine avec effroi l’avenir des populations japonaises soumises à de fortes contaminations. La santé est un sujet difficile à aborder, le lobby nucléaire est très puissant dans le monde entier et cherchera à minimiser toutes les mauvaises nouvelles. Mais la santé n’a pas de prix et chacun doit se battre pour la conserver. Amis lecteurs, ce sujet est très grave, soyez vigilants et dénoncez toute désinformation, partout où vous le pouvez !
Merci à Etienne Servant pour ses infos en continu sur Fukushima Informations, à Kibo-promesse pour ses articles de qualité, à Véronique Ratel, de IndependentWHO pour l’aide apportée à la collecte des sources, à Jeep pour ses traductions sur aweb2u, à Hélios pour ses traductions sur Bistro bar blog, et à Kna60 pour la mise en ligne de nombreuses vidéos sous-titrées en français ! Sans toutes ces personnes bénévoles à la recherche de la vérité, cet article n’aurait pu voir le jour. -
Tchernobyl, Fukushima, et le reste à venir, c’est entièrement la responsabilité des krolik, des joletaxi, Sarkozy et consorts ; de tous ceux qui, depuis 50 ans, nous serinent le TINA du nucléaire, qui, depuis 50 ans, BLOQUENT tous les autres processus d’énergies propres, renouvelables, les petits lobbyistes d’EdF, d’Areva, qui, depuis 50 ans, ont empêché toutes les autres alternatives, qui, si elles s’étaient développées depuis tout ce temps, en seraient à un niveau de technologie, de diffusion, qui permettraient d’y avoir recours, sans danger, sans déchets, sans catastrophes, à un coût bien moindre.
Tous les fossoyeurs d’un progrès sain et durable, d’un avenir sans menace, les apprentis sorciers qui, mis devant le fait accompli de leur insondable nuisance, continuent à garder la tête dans le sac de leurs certitudes rances et néfastes, tous ceux à qui la vie n’apprend rien, jamais...Des êtres définitivement nuisibles, à qui il est plus que temps de supprimer leur pouvoir de nuisance, pour les siècles des siècles...Exigeons un référendum, et débarrassons nous progressivement, le plus vite possible, de la menace nucléaire. -
Maintenant, Jo, et pour en terminer avec votre question-bateau sur ces ’centrales flamme’ gaz, charbon des Allemands, qui doivent accompagner leur sortie du nucléaire, je ne vois pas trop ce qui vous ennuie au fond..
Ne raillez-vous pas également, sous d’autres articles, la théorie de l’origine anthropique du réchauffement climatique ? C’est-à-dire dû aux rejets de CO2 dans l’atmosphère ??
Faudrait savoir sur quel pied danser finalement..
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je vais vous faire l’avantage de considérer que vous êtes intelligent
C’est que les Allemands - sans aucun doute en avance dans les filières innovantes du renouvelable, comme vous l’admettez - sont dès à présent persuadés d’arriver à développer et à maîtriser sur une large échelle (industrielle) les techniques de captage et de stockage du C02.
en quoi cela diminue-t-il leur dépendance du fossile ?
Effectivement, le CO2 n’est pas un problème, et d’ailleurs les tentatives de séquestration du CO2 sont pour le moment abandonnées.
D’ailleurs les bilans de cette technique idiote sont très controversées.Si vous savez lire, et faites le calmement, je demande pourquoi les allemands très impliqués dans le renouvelable, et très équipés, y compris au point de vue de l’industrie, construisent des centrales flamme ?
Logiquement, si on croit que le renouvelable peut remplacer les filières classiques, ils devraient plutôt en fermer non ?
C’est donc, qu’ils ont compris, mais pas vous apparemment ,que s’ils ne veulent pas flanquer leur réseau par terre, comme ils l’ont fait il y a quelques années , du fait de l’aléas éolien(ils ne l’avoueront jamais)il leur faut avoir des capacités classique pour faire face aux brusques variations de ces sources.
Résultat, leur empreinte carbone, dont je me tape par ailleurs(mais pas eux, ils sont hystériques sur le sujet ce qui est paradoxal) ne fait que s’accroître, signe de leur consommation accrue de fossile.Si vous avez une autre explication, n’hésitez pas cela m’intéresse.
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Moi aussi, je vais donc vous le concéder, Jo, mais doublé d’un cynisme et d’une mauvaise foi inexpugnables, voilà..
(vous savez, le « Fukushima, zéro mort, zéro, la tête à toto »..)
Alors, vous écrivez ceci : « Logiquement, si on croit que le renouvelable peut remplacer les filières classiques, ils devraient plutôt en fermer non ? »
Ce n’est pas tout à fait ça.. A vrai dire (soyons précis c’est important), ce qu’ils ont conclu comme d’autres -, et vous le savez bien -, c’est que le renouvelable pourra remplacer la filière nucléaire.
C’est cette conviction qui les a conduit - comme d’autres - à la décision de quitter le nucléaire à court terme. Sachant pertinemment les efforts (technologiques), le coût, et le temps qui leur seront encore nécessaires pour mener à bien le démantèlement de leurs installations.. !
Dans cette période de transition, qui prendra quand même de (nombreuses) années, ils vont donc miser sur des centrales flamme améliorées, dotées de la meilleure maîtrise possible des rejets de CO2 (Europe oblige). Tout en même temps bien entendu, ils développeront les autres filières, renouvelables, en vue de réaliser rapidement le mix énergétique recherché.
C’est cette voie qui, dés à présent, leur a paru la plus sûre (Tchernobyl, Fukushima, etc., obligent).
Comme à d’autres..
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là, je révise mon jugement à votre sujet.
mais peut-être est-ce de la mauvaise foi,ce dont vous m’accusez,mais dont vous faites un brillant usage ici
les allemands construisent des centrales flamme,(et pas un peu) et des centrales gaz,pour faire face à la disparition des centrales nucléaires du réseau.
jusqu’ici vous suivez ?
Or, cet article, et la mouvance verte prétendent que le renouvelable peut remplacer le nucléaire.
Les allemands démontrent dans les faits qu’ils n’y croient pas.Toute votre prose ne peut empêcher de conduire à cette conclusion
Point à ligne.
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oui, j’oubliais
à ce jour, Fuku c’est zéro mort, zéro la tête à toto. -
1 - « Les allemands démontrent dans les faits qu’ils n’y croient pas. »
Bien, il faudrait peut-être cesser de jouer avec les mots.. Ils y croient au contraire, mais à terme. Un terme qu’ils vont tâcher d’accomplir le plus vite possible. Et ce, en recourant le temps nécessaire à un mélange de techniques - renouvelables et fossiles - parmi lesquelles des centrales flamme améliorées.
2 - « Oui, j’oubliais à ce jour, Fuku c’est zéro mort, zéro la tête à toto. »
Là bien sûr, vous basant sur les seules déclarations de Tepco, vous mentez encore et toujours avec aplomb. Mais cela nous le savons..
Si vous preniez la peine de consulter un tant soit peu d’autres sources, telles par exemple que celles reproduites dans l’article ci-dessus (deuxième partie), vous reconnaîtriez qu’il y a de sérieuses présomptions à ce que les décès de plusieurs des travailleurs / liquidateurs de Fukushima sont directement imputables à l’environnement radiatif et aux conditions dans lesquelles ceux-ci travaillaient.
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@Anikoreh
Et vous laissez tomber le coup de la japonaise contaminée au césium..
Vous commencez à comprendre l’arnaque.
C’est bien.
@+
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Par krolik (xxx.xxx.xxx.140) 29 novembre 19:01@Anikoreh
Et vous laissez tomber le coup de la japonaise contaminée au césium..
Vous commencez à comprendre l’arnaque.
Bien sûr : Fukushima, c’est rien qu’une grosse arnaque montée de toutes pièces par les anti-nucléaires !
En fait, il ne s’est rien passé à Fukushima
Pas vrai, krolik ?
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Effectivement Fukushima « zéro mort ».
Par contre le tsunami : 25 000 morts ou disparus, et ceux là on n’en parle plus.
Et puis le barrage qui a cédé lors du séisme relâchant 1,5km3 d’eau avec 18 mètres de hauteur de digue, il a fait seulement huit morts celui-là..
Mieux vaut habiter à coté d’une centrale nuc qu’en aval d’un barrage c’est une fois de plus vérifié.
Ce qui est surprenant c’est que personne n’ait demandé des « stress-tests » sur nos barrages à la suite du séïsme japonais.
Et les rizières contaminées.. les surfaces les plus importantes l’ont été par le tsunami qui a mis du sel dans les rizières qui sont devenus inexploitables pour un moment, mais de ces rizières inexploitables on n’en parle pas non plus.
@+
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1 - « Les allemands démontrent dans les faits qu’ils n’y croient pas. »
Bien, il faudrait peut-être cesser de jouer avec les mots.. Ils y croient au contraire, mais à terme. Un terme qu’ils vont tâcher d’accomplir le plus vite possible. Et ce, en recourant le temps nécessaire à un mélange de techniques - renouvelables et fossiles - parmi lesquelles des centrales flamme améliorées
vous êtes décidément des « enclumes », je l’ai déjà dit à propos de votre petit groupe.
Si le renouvelable est capable de prendre le relais du nucléaire,alors on ne construit pas des centrales flamme mais on fonce dans le renouvelable,à moins d’être crétin, ce qu’ils ne sont pas.
Et si on construit des centrales flamme(améliorées ou pas, sauf erreur c’est toujours du charbon, ici de la lignite une vraie merde) et bien c’est que l’on pense que le réseau ne pourra faire face à la demande avec des sources aléatoires.
Maintenant, j’ai entamé cette discussion avec vous car une fois de plus, je pensais que vous feriez preuve de rationalité, mais dans votre petit groupe, c’est un concept qui vous est étranger.Concernant les effets des « faibles doses », il est inutile de vous en parler, vos seules références sont des articles de propagande.
Et concernant mes sources, Tepco, je fais un peu plus confiance à des gens qui sont sur place, et qui analysent en continu la situation.
Si vous avez lu sur le site officiel ce qu’a déclaré leur directeur démissionnaire pour raison de santé, je pense que c’est une drôle de façon de cacher la vérité ou de vouloir mystifier les gens.Mais si vous faites plus confiance à gagaKuku....
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@ krolik
à un tel niveau de cynisme,ça donne froid dans le dos...vous avez de la chance d"être en France : au Japon, vous auriez à faire face à tous ceux à qui vous devriez rendre des comptes de votre négationnisme insultant et menteurTous ceux qui vont subir pendant des années et des années les dégâts de la contamination de l’eau, des sols, tous ceux qui vont développer des cancers, qui seront délogés d’une région définitivement condamnée.Vous n’hésitez vraiment devant aucune saloperie pour défendre votre petit intérêtVous faites la preuve de votre indignité absolueJ’aimerais pas être à votre place en vous regardant en face -
@Sysiphe.
Ce n’est pas du cynisme c’est du réalisme tel que j’ai voulu le montrer dans mes réponses à Anikoreth. Ca ne sert à rien de larmoyer et de tomber dans la commisération.
Les Japonais, ceux de Tepco et des organismes de contrôle ont été très mauvais. Il n’y avait pas de filtre sur leurs réacteurs, ce qui aurait permis de réduire par un coeff 100 les rejets extérieurs. Tous nos réacteurs sont équipés de tels filtres à sable depuis l’origine.
Une grande leçon tirée de TMI était qu’il fallait gérer l’hydrogène en cas de fusion de coeur. Tous nos réacteurs ont été équipés de « recombineurs d’hydrogène » catalyseurs inertes à nickel nanométrique. Il doit y avaoir dans les 90 recombineurs dans chacun de nos batiment réacteur. Si les japonais avaient été un peu attentif ils auraient aussi installé ce genre de matériel, ce qui aurait évité les explosion hydrogènes sur les réacteurs et mis une meilleure tête au chantier..
Et d’autre part ils n’auraient pas mis les diesels de secours dans des fosses inondables.
Ces trois raisons auraient réduit les conséquences de l’accident tsunami de Fukushima à rien du tout.
Et sur quoi voulez-vous que je pleure ?
Comme si le nucléaire français aurait été responsable des conséquences d’un tsunami au Japon !!
Vérifions nos barrages ! Pour le nucléaire nous sommes « clairs ».
@+
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krolik
ferme ta sale gueule ; chaque fois que tu la ramènes, c’est une souillure d’indignité et de cynismedégage ; tu irradies l’abjection -
@Sysiphe
Vous pourriez faire un effort et trouver des noms d’oiseaux, vous devriez reprendre la tirade du nez dans Cyrano d’E. Rostand ça pourrait vous donner des idées. Là c’est un peu court comme argumentaire.
@+
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Ouaaaa !!! c’est chaud !
Krolic... Je suis en total désaccord avec vous sur les responsabilités de l’accident de Fuku !
1) Il n’y a pas en France, de mode commun pour toutes les tranches d’une même centrale pour ce qui concerne l’arrivée d’eau de refroidissement ! (si une arrivée est bouchée, cela ne concerne qu’un seul reacteur.).
2) Sur nos réacteurs, il y a par tranches, des départs prévus (piquages en attente) pour alimenter en eau, d’autres tranches.
3) Jamais EDF ne se poserait la question : « est-ce que je refroidis avec de l’eau de mer et je perds mes réacteurs (leurs utilisations) ou j’attends (comme tep Co) un hypothétique redémarrage des GE de secours ».
4) Nos réacteurs sont équipés de sprinkler (équivalent de la lance incendie qui a évité que cette catastrophe de Fuku n’empire).
@Sysiphe.
Il est annoncé un tsunami de 20m au Tricastin et un 9,5 de Richter à Nogent sur seine !
Eh jo... c’est mieux que chez Cabanel ici !!!! Il faut prévenir Marco !
Je propose que Lübeck rentre dans notre club tres fermé des moinssés car il le vaut bien !
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@ Bupp,
Je ne suis pas aussi catégorique que vous sur l’absence de « mode commun » sur nos centrales. Dans les « stress tests » il est envisagé par exemple un mode commun simple : la disparition du Rhin... Problème qui se résout par le creusement de puits pour aller chercher de l’eau dans la nappe phréatique et pas dans le Rhin..
Ou bien sûr il y a le sprinkler, le circuit EAS, mais si les réacteurs sont en carafe ainsi que les diesels et bien il n’y a plus de courant pour faire tourner les pompes du circuit EAS, et c’est tout de même là que les recombineurs d’hydrogène deviennent utiles.
EDF a mis en place une force d’action rapide déplaçable en hélico pour ramener des sources d’énergie de secours dans des cas ultimes..Le tout c’est que le temps se prête au transport en hélico. Mais incontestablement c’est encore un pas vers plus de sûreté.
@+
-
@+ M. Krolic
J’ironisai un peu... Mais en même temps admettez que si l’eau du Rhin (ou du Rhone) venait à disparaître dans un temps inférieur à l’arrêt froid des réacteurs, on aurait bien d’autres soucis plus graves qu’un accident nucléaire majeur (pour ce type de réacteur. Ce qu’il faut donc relativiser ! ce n’est pas Tchernobyl ) !.
Quand je parle de sprinkler, je plaisante évidemment,, car ce n’est pas avec une sécurité incendie de ce type que l’on va refroidir une cuve non alimentée en eau de refroidissement ! juste un clin d’oeil pour les pompiers courageux de Fuku qui ont uilisé la lance incendie pour limiter les dégâts (si on peut dire).
Je pense quand même que le minimum après TMI et FUKU serait de mettre des sortes de chateau d’eau ou cuves en hauteur qui permette au moins un refroidissement partiel par gravité, le temps que la logistique d’intervention EDF se mette en place.
Il est clair que le laxisme d’EDF en matière de prévention d’accident exceptionnel est évident. Cela dit, je suis persuadé que si comme d’habitude, on ne sucre pas les budgets à d’autres fins, les ingés d’EDF ont moultes solutions pour augmenter la sécurité à un degré tel qu’un accident majeur, même s’il survenait, n’aurait pas les conséquences de TMI ou Fuku.
Reste à convaincre le patron d’EDF de ne pas acheter une fabrique étrangère de chaussures ou de radars autoroutiers !
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attention, on pourrait bien assister à un retournement de situation, regardez ce qui se passe pour les OGM.
Hier dans une émission du journal, on déclarait que les OGM étaient absolument sans danger pour la santé huamine.
Demain, on avouera sans doute, ce que tout le monde sait, c’est que la fracturation hydraulique est sans effets sur l’environnement(des dizaines de milliers de puits en exploitation aux USA) et si on exploite les shalegaz,le prix du gaz va s’effondrer, ce qui est le cas aux USA et qui est sans doute à l’origine de la campagne actuelle, où les écolos servent encore une fois d’idiots utiles -
@joletaxiQuelles preuves ce consultant de France2 a-t-il apportées pour justifier ses propos (« les OGM sont sans danger pour la santé humaine ») ? -
Je suis pour le bio comme priorité écologique et pronuk pour déverser le moins de mercure présent dans le charbon supplémentaire nécessaire pour produire les pseudorenouvelables. Un commentaire sans doute ?
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A propos des OGM cette fois, et de Monsanto, ça va sans dire..
« Prenez-en de la graine ! » Ici aussi il y a de quoi lire (et pas qu’un peu)
http://legauloisdechaine.blog.lemonde.fr/2010/08/09/sante-et-ogm-qui-est-vraiment-monsanto/
Edifiant !!! -
Hey joletaxi !Quels sont les arguments donnés dans le journal, prouvant que les OGM ne sont pas dangereux pour la santé humaine ? -
scusez ,j’avais pas vu
pas la peine non plus de m’engueuler
je n’ai pas les sources, c’était lors d’un journal TV ;
C’était tellement étonnant car à contre courant,sur un média habitué à répercuter tout le boniment écolo habituel,du genre c’est bon pour la planète, que je me suis tout de suite dit:il se passe quelque chose.
Mais si vous avez des doutes vous pouvez rechercher sur le net, ou aller voir là
http://laurent.berthod.over-blog.fr/
juste pour entendre autre chose
un jour ,ils diront que le climat est normal,ce qui sera très inquiétant
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Hey, Ho !J’engueule personne !Je crois savoir de quelle intervention propagandiste en faveur des OGM vous parlez. Si j’arrive à récupérer la vidéo je fais un article dessus dès demain.En même temps je ne sais pas si c’est vraiment étonnant de voir un pseudo expert venir racoler à la télé pour le lobby OGM... -
l’ action c’est ici :
info :
http://nkm-blog.org/le-mon810-toujours-pas/
pétition :http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/nouveau-moratoire-ogm-398.html
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pas possible ça, quasiment aucun aliment n’est sans danger...
il ne faut pas envisager les choses sous cet angle, mais toujours celui avantage /désavantage.Sauf votre respect la simple agriculture fut une catastrophe écologique avec une modification des écosystèmes à l’échelle mondiale..On n’a jamais hésité à cultiver des plantes provenant d’autres continents non plus...Et l’histoire m^me antique regorge de pays ou on a détruit les sols sans avoir besoin d’ogm ou engrais ou autre...On prend un risque...on prend toujours des risques , une petite remarque on est nombreux ..... -
lavabo 29 novembre 2011 15:21On remet un commentaire qui a ete supprime : article de propagande pur et simple rien est demontre tout est matraque, dans le monde des yaka fokon tout est beau tout est vert........
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Lavabo,venez parler de fracturation hydraulique ici,dans le nord de l’Hérault,entre le Gard et le Pic St Lou...
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Expliquez moi comment l’acier des zozo ou le silicium purifié des hics est tout d’un coup devenu renouvelable grâce au marketing ?
En même temps vous aurez réussi à expliquer comment produire plus de CO2 à cause deS quantitéS supplémentaireS de charbon en amont est renouvelable !
(Je ne lis pas les articles qui désinforme sur ce point avec blabla sur les rayons du soleil, dommage puisque vous avez eu le courage insensé de parler du thorium, sans doute suite au Science&Vie de novembre).
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Chez un particulier, l’électricité sert en grosse partie au chauffage de l’eau sanitaire ou au chauffage du batiment (45% des nouvelles construction sont chaufées à l’électrique).
Comment expliquez-vous que le solaire thermique ne se développe pas ? Il n’est pourtant pas polluant comme le photovoltaïque.
J’ai une réponse à cela : il n’est pas incité comme il le faudrait. Car les lobbies sont tout puissants. Les seuls moyens de productions aidés sont ceux qui ne font pas d’ombre à EDF car pas du tout rentable (photovoltaïque par exemple) et avec obligation de se raccorder au réseau.
Qu’est ce qui est le plus intelligent :
- une maison bien faite (orientation pour bénéficier des apports solaires gratuits, isolation, inertie, etc...)
- une maison de merde avec 20m² de panneaux photovoltaïque
D’après l’état, la mieux c’est la deuxième. Car c’est pour elle que l’état donne des subvention. Et si l’état fait ça, ce n’est pas par incompétence, c’est parce qu’EDF pousse derrière. -
Je n’ai jamais dit le contraire et je constate que personne ne serait capable de contredire nos 2 discours.
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@AntoinneR
J’ai été amené à faire une étude pour une maison solaire située dans l’hérault au niveau du Caylar (début du Larzac sur le plateau).
Pour une maison de 120m² aux normes de RT 2010, il faut 30m² de capteurs et un stockage de 9500 litres ! et même dans ce cas, on n’est pas forcément autonome, car on peut rester plus de 3 semaines sans soleil. Il faut donc complémenter avec une PAC. Cout de l’installation pour 120m² : environ 70 0 00€ (plancher chauffant inclus).
Par analogie, pour 120m² en convecteur (1KW/10m²) soit une installation 2400 €
Je n’irai pas au-delà mais le temps de retour sur investissement de l’installation solaire ne tiens par la route par rapport aux convecteurs.
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Merci pour vos précisions.
Mais vous prenez le cas de la recherche d’autonomie avec une seule source d’énergie : le solaire. Il faut donc un investissement énorme.
Moi je vous parle d’apports gratuit solaire pour diminuer la part des autres énergies (pas forcément de la remplacer). Actuellement les panneaux photovoltaïques ont des rendement de l’ordre de 10% alors qu’avec du thermique on dépasse les 60% et on peut monter jusqu’à 80% dans certains cas. Cela pourrait se comprendre si on utilisait l’électricité juste pour s’éclairer ou pour faire fonctionner des moteurs ou des ordinateurs. Mais une grosse partie de l’électricité sert à faire chauffer de l’eau (ECS ou chauffage). Alors il est logique d’utiliser un équipement moins cher qui est 6 fois plus performant et moins polluant, non ?
Mais le mieux encore dans ton ça reste le solaire passif, mais alors là, il n’y a aucune subvention..
C’est juste mon propos. -
Oui... c’est bien ce que je pensait ! Faites les calculs (si vous savez) et vous verrez bien !
dans le cas contraire, abstenez vous !
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Vous avez raison, c’est le défi des prochains 50 ans.
Et dans la conjoncture actuelle, il est idiot de distraire de gros moyens dans des filières qui finalement ne servent à rien.
On aurait pu, au lieu de gaspiller ces sommes colossales(on parle de 2.000 milliards d’euro pour arriver à 20 % de renouvelable en Europe) mener une politique énergique d’optimisation des logements,ce qui à coup sur aurait bénéficié à l’emploi local,aurait diminué la facture énergétique des ménages,et celle du pays au passage,et aurait valorisé un patrimoine.
Au lieu de cela on dépense des fortunes à faire tourner des moulins à vent,à garnir les toits des nantis de jolis panneaux chinois, alors que quelques millions de citoyens sont logés dans des clapiers à la limite de l’insalubre, quand ils ont un toit.Mais on peut toujours compter sur les verts pour avoir des idées géniales, qui coûtent une fortune, et qui ne servent à rien, quand elles ne finissent pas par tuer.
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je m’étais promis de ne plus relever vos idioties, mais là je romps cette règle car le sujet de l’énergie est trop important et il ne faut pas laisser la place aux farceurs dans votre genre.
d’abord, pour le moment en France le renouvelable hors hydro est de 3 %
et si je parle de 2000 milliards d’euros, ce n’est pas pour la france, mais pour l’Europe, et sa règle des 20 % de renouvelable imposée.
D’ailleurs, c’est ahurissant de constater que ces 20 % concernent seulement la puissance installée, ce que cela produit en s’en fout.
et avec 2000 milliards, cela représente 200 EPR, avec des grilles plaquées or,qui fourniront de façon stable et à un prix imbattable de la bonne électricité, avec laquelle les zozs verts pourront - écrire des articles vengeurs,bien au chaud à côté de leur convecteur. -
Cassino, vous racontez n’importe quoi !
Le MW électrique installé est à 1,5 millions d’€ en on-shore et 2,5 Millions d’euros en off-shore (prix moyens constatés par la majorité des apporteurs de projets).
Ou alors, vous parlez de matériel d’occase !
C’est quoi ses calculs d’apothicaire ?
règle N°1 une éolienne produit au maximum pendant 15 ans (1 EPR 60 ans)
règle N°2 une éolienne ne produit que le quart annuel du temps à 100%
règle N°3 L’energie Totale produite, en 2010, est de 550 Twh
règle N°4 L’energie produite, en 2010, par les éoliennes = 96 Twh soit, 1,7% du total.Vous oubliez quelque chose de fondamental, c’est que, lorsqu’une éolienne se substitue aux énergies « conventionnelles », c’est-à-dire RÉGLABLES, l’energie substituée n’est plus utilisée ! Or cette energie a un coût (cela va etre la problematique d’EDF pour les centrales à flammes en substitution de l’effacement des éoliennes... A qui va t’on imputer les couts de maintenance et gestion de ses centrales lorsqu’il y aura du vent et qu’elle ne fonctionneront pas ? Aux promoteurs éoliens ou à tous les Francais ???) !
Mon pauv Monsieur... La CSPE n’a pas finie d’augmenter !
http://planete.blogs.nouvelobs.com/media/00/01/1651947011.pdf
Merci de ne pas désinformer !
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Décidément, vos êtes systématiquement à côté !
C’est justement le démultiplicateur qui pose problème (actuellement, remplacé tous les 5 ans pour la majorité des éoliennes).
Quant au rotor.... De quoi parlez-vous ??? des roulements ? WOUARFFF
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Dire que l’auteur de l’article est « Conseiller de la présidence de la Cité des Sciences, prospectiviste, écrivain scientifique. »
Et qu’il doit être payé au moins sporadiquement par nos impôts, pour écrire ces bêtises.
Et en sus il ne vient même pas défendre son papier. le mépris le plus pur pour le cochon de payant !
@+
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Le problème, c’est qu’ils sont tous comme ça !
Il n’y en a pas un pour relever l’autre !
Ils se sont habitués aux méthodes énarques que j’appelle ENARQUERIE et qui consiste à utiliser un doute, une peur, un stress pour faire du fric !
Du CO2 dans l’air... Pas bon mon bon monsieur... On va vous mettre de l’éolien !!! justement mon frère (mon ami, mon copain, mon obeliance, etc.) construit des éoliennes pour pas cher ! et justement, le copain de mon copain (de mon frère, de mon ami, de mon obéliance) va créer une société pour vendre des éoliennes. etc... etc...
Ah bon ???? mon frère, mon copain, mon ami, mon obéliance sont énarques ????? sans doute ascendants francs-maçons ????? comme c’est bizarre ! Vous avez dit Bizarre ?
Si vous voulez, je vous fais la même avec les cabines radars !!! ou avec n’importe quoi !
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Il y a un grave problème logique dans cette idéologie du MIX.
L’idée est de prélever une multitudes de sources d’énergie infimes.
Mais prélever une multitude de sources d’énergie infimes, contraint à multiplier à l’infini les infrastructures...
Et c’est là le problème : pour multiplier ces infrastructures, il faut prélever tout autant d’énergie et de matière dans l’environnement.... Pire, les coût de maintenance sont voués à exploser.
Ces écolos sont vraiment des sophistes.
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Tiens, je vais profiter de ce sujet sur l’énergie pour parler de l’énergie d’une autre manière.
Avant 1800, en gros, il n’y avait pas 36 sources d’énergie. On faisait tourner les meules avec le vent et les rivières, on faisait avancer les bateaux avec le vent, on faisait sécher bien des choses au soleil et, plus spécialement, on utilisait le bois et le charbon.
Le principe d’une énergie alien aux bras et aux jambes était donc installé. Mais on remarquera déjà que les seules contrées à avoir accordé une grande place aux voiles et aubes étaient Méditerranéennes et Pacifiques. Je ne sache pas que les Incas ou Aztèques y aient beaucoup recouru qui boudaient jusqu’à la roue (La roue pose un problème de voies).
Au total, nos anciens recouraient certes aux énergies alien non musculaires m’enfin, le muscle est resté très prépondérant.
Quiconque, à l’époque, voulait réaliser un grand ouvrage, particulier ou collectif, devait forcément penser en termes de bouches à nourrir le temps de son chantier, voire de son entretien.
Bouches humaines et animales.
Rien de petit ou de grand ne pouvait se concevoir sans inclure nourriture, habillement et logement donc vie entière des ouvriers et bestioles afférentes.
Un menhir, une amphore, un bracelet, une muraille, un canal, une pirogue, tout objet tout projet, toute entreprise incluait automatiquement de la vie complète. Fallait voir la logistique des guerres anciennes ! Fallait voir comment ça grouillait de vies autour de la Grande Muraille. Pfiouuu, c’était des kilomètres de charrettes et de chariots remplis de casseroles, de poulets et de pinard qui suivaient les troupes.
Ce principe était encore très valable pour Austerlitz et Waterloo. Il fallait des hommes ,des hommes et encore des hommes. Il fallait donc les faire vivre.
C’était encore valable pour WW1 et WW2
Mais ça tend à basculer. Une guerre, comme celle que nous venons de livrer contre Kadhafi, n’est plus synonyme de bouches à nourrir ou de pieds à chausser. Encore un peu plus de drones pilotés à la maison et hop, nous aurons complètement basculé dans le OB. Il y avait toujours eu le O Killed, mais dans un siècle, il y aura le O Bed : la guerre dans lit, sans cantine, sans godasse, sans bière ni tabac à fournir.
C’est que depuis deux siècles, l’énergie non musculaire est devenue hégémonique. On ne se rase plus avec ses muscles mais avec de l’électricité. Alors on défonce des bunker avec de l’électricité et on réprime des manifestant à l’électricité. Alors les bourreaux recourent à l’électricité. Alors on jouit à l’électricité.
Depuis 1800 et progressivement, tout objet est fantasmé NB, No Bed. A part pour quelques produits dits artisanaux que certains caressent précisément parce qu’ils ne relèvent pas de la culture NB. Mais ce qui est épatant c’est que non seulement le produit est désormais fabriqué à l’électricité mais il doit être lui-même consommateur d’électricité ou de quelque pétrole. Un objet tel une brosse à dent, si ce n’est qu’un objet inerte, buerk. Il faut qu’elle bouge toute seule cette bestiole électrique.
Depuis 1800, l’ensemble machine + énergie non musculaire, est devenu créateur de miracle en ce qu’il rend obsolète toute la question de la bouche à nourrir. Du coup, le zéro bouche, d’effet induit, est devenu l’objectif de perfection. Parvenir à produire des milliards de Lego et à les vendre sans avoir le souci d’une seule bouche à nourrir, voilà l’objectif.
Jamais au grand jamais Alexandre ne visait le zéro bouche. C’était lourd d’assurer la vie de centaines de milliers de soldats mais pas un instant, même en pleine fièvre, il ne pouvait envisager d’effacer cette obligation.
Et voilà qu’à partir de 1800, il devint signe de performance d’aboutir au NB. Tout faire, tout obtenir sans avoir de bouches à nourrir, de lits à installer.
Cet objectif est devenu hyper central de toutes les stratégies tant militaires qu’économiques.
Alors, plus rien en dehors d’un vague besoin de maintenir une population nombreuse, ne soutien le concept, la nécessité de « bouches à nourrir ». Mais consommatrices, donc acheteuses ces bouches ouiiiiii, il en faut, plein, plein, plein.
Il n’est plus question d’avoir la charge de faire vivre des gens, mais il est désormais question de pousser les gens à acheter ce que les machines-énergies produisent.
Ca n’intéresse plus personne de se charger de masses à nourrir et à vêtir, mais ça intéresse tout le monde d’avoir plein de consommateurs.
Se pose alors le problème de l’argent et on a donc inventé le billet industriel et le crédit. « Tu ne peux pas payer cash ? Tu m’étonnes, c’est bien logique. Mais pas de problème ma poule, je vais te faire crédit et tu paieras plus tard ou tes enfants à ta place ». Ca ne pouvait que finir en catastrophe.
D’autre part, alors que l’obligation de nourrir les bouches stabilisait les relations (Napoléon a largement conservé ses soldats, conseillers et maréchaux survivants sur dix ans et il connaissait leur nom), le nouveau principe consistant à ne plus vouloir entendre parler de bouches à nourrir a cassé les liens et chacun est devenu interchangeable aux postes de surveillant ou approvisonneur de machines-énergies.
De WW1 et WW2 nous parvenons encore à citer quelques noms de héros (Moins qu’autour de Napoléon). Mais de nos guerres en Afrique centrale, en Lybie et en Afghanistan, ZERO.
Non seulement l’énergisme fossile a tué l’ancestrale préoccupation des bouches à nourrir mais il a aussi complètement dépersonnalisé les individus.
Ah ! Puisque cette conjugaison en « bouches à nourrir » nous renvoie forcément à Coluche, je vais en raconter un détail. Je vivais tout près de sa maison de vacances en Guadeloupe et comme les Français qui y maraudent constituent une tite communauté, j’ai vite entendu des choses sur notre comique. Par exemple, que chaque fois qu’il s’y rendait (ses copains y étaient plus souvent que lui) il remplissait de bifetons un vase placé dans l’entrée. Quiconque était coincé pouvait se servir sans être vu.-
Merci pour cet article !
Auteur j’aurais tendance à vous suivre sur cette idée, pourquoi ?
Par analogie ! (même si cela peut-être trompeur, il faudrait appliquer en fait une méthode plus analytique pour plus de précision exemple au hasard la MCR ?)
J’aurais tendance à choisir le petit chaudron pour l’énergie (donc plusieurs petits chaudrons interconnectés) comme cette révolution eut lieu dans le domaine informatique :
http://www.erudit.org/culture/nb1073421/nb1080667/1645ac.pdf
Je crois Auteur que vous avez croisé feu Bruno Lussato, et je pense que vous connaissez encore mieux que moi le farouche combat entre les partisans de de l’informatique centralisée et l’informatique des micro ordinateurs interconnectée...
Donc je me dis que le combat se rejoue dans l’énergie...
Bien cordialement..
PS : Krolik vous m’avez déçu avec votre attaque ad personam, sur le chapitre des idées je vous ai déjà vu plus inspiré...-
correction de celle qui me saute au yeux : « interconnectés »
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@Herbe
Il n’y aurait eu aucune attaque sur l’auteur s’il n’avait mis en évidence sa qualité pour donner de la crédibilité à ce qu’il écrit, et faire « acte d’autorité » en la matière.
D’autant qu’il n’est même pas venu défendre son texte dans les commentaires.. suffisance et mépris..
@+
-
@krolik, je comprends votre point de vue, en un sens, vous avez fait d’ailleurs de même, le choix du pseudo permet d’éviter le biais que vous dénoncez.
En même temps pour nous qui pratiquons le pseudonymat, nous devons éviter, amha, de donner des arguments faciles à ceux qui dénoncent de leur coté l’irresponsabilité et les attaques gratuites « à couvert » des anonymes (qui n’existe pas d’ailleurs dans l’absolu)
Bien cordialement... -
Bien vu Flying Zone ! Pour apporter de l’eau à votre « moulin » :
Pourquoi faire un MIX compliqué ?
(comme vous ne manquez pas de le démontrer)Quand on peur faire de la LENR* simple et prolifique :(* aussi appelé « fusion froide »)une société en Grèce, prête à produire :une autre en Suède liée à la vente du premier groupe de 1MW :Technologie issue dans les deux cas des travaux de l’Ing. Andrea Rossi et de co-inventeurs, chercheurs et développeurs. Voir aussi :Cette technologie est simple et peut commencer sa pénétration du marché au cours des deux ou trois années qui viennent. Loin des 50 ans de transition dont on parle ici. Pourquoi l’auteur n’est-il pas déjà au courant alors que bien d’autres sans aucune spécialisation le sont ? -
« Polémiquer sur l’avenir énergétique de la France en opposant le « nucléaire » aux « énergies renouvelables » est une démarche désormais stérile et inadaptée. Les deux peuvent être complémentaires. »
vous avez raison il ne devrait pas y avoir polémique, de toute façon même les écolosl’on bien compris, on n’a pas la possibilité de sortir rapidement du nucléaire, par le fait de la politique du tout nucléaire.ne pas en sortir rapidement ne veut pas dire qu’il ne faut pas en sortir du tout !si l’on écoute un certain joletaxi ou Krolik, il vaut mieux attendre d’etre au pied du mur.voir flamber le prix de l’uranium comme celui du pétrole, et miser tour sur le nucléaire pour finir dans la merde une fois au fond de cette impasse.il y a un virage à prendre et dès maintenant, meme areva va construire des quantités d’éolienes maritimes pour les allemands, (voir « le monde » de cette semaine).j’ai tout de meme un point d’accord avec joletaxie pour les grosses économie à réaliser dans la construction de logements basse consomation.mais si on a du retard la dessus c’est aussi la faute au lobby du tout nucléaire.-
C’est curieux, j’ai parfois l’impression de parler à des sourds.
Le dernier commentaire en est l’illustration
J’ai une connaissance qui vend des salons et il m’explique les petits trucs qu’il emploie pour « assaisonner le pigeon »
Chaque fois, je luis dis mon étonnement car ces trucs normalement ne devraient fonctionner qu’une fois.
Et bien non, non seulement cela marche à tous les coups, mais parfois même avec des personnes qui ont déjà donné.
Les « vampires » du renouvelable ont de beaux jours devant eux,il y a là dehors des millions de pigeons à plumer.-
Pourquoi BFS est il si peu connu ?
Bizarre ...
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Effarée par notre impact (AREVA) au Niger et celui à venir de l’exploitation des concessions diverses et variées (Chine, Inde...) sur le territoire des Touaregs qui risque d’être une catastrophe humanitaire dans les années à venir,
Amoureuse de la Bretagne, en particulier celle qui renferme la magie de ce territoire (on dit que la roche dont sont constitués les édifices religieux permet à ceux qui les fréquentent de se « recharger »),
ma question concerne l’extraction du thorium...fût-ce celles, en particulier, des quelques tonnes des Pierres Branlantes...
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l’ action c’est ici :
info :
http://nkm-blog.org/le-mon810-toujours-pas/
pétition :http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/nouveau-moratoire-ogm-398.html
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Pourquoi faire un MIX compliqué ?
(comme vous ne manquez pas de le démontrer)Quand on peur faire de la LENR* simple et prolifique :(* aussi appelé « fusion froide »)une société en Grèce, prête à produire :une autre en Suède liée à la vente du premier groupe de 1MW :Technologie issue dans les deux cas des travaux de l’Ing. Andrea Rossi et de co-inventeurs, chercheurs et développeurs. Voir aussi :Cette technologie est simple et peut commencer sa pénétration du marché au cours des deux ou trois années qui viennent. Loin des 50 ans de transition dont on parle ici. Pourquoi l’auteur n’est-il pas déjà au courant alors que bien d’autres sans aucune spécialisation le sont ?-
Le problème technique de base c’est le stockage. Silo de lithium, hydrogène ... c’est pas encore au point. Le bon choix politique serait de mettre le paquet dans ce domaine.
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L’auteur, toujours à la une, descendra-t-il enfin de son Olympe pour dialoguer avec le petit peuple ?
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Cet article a la beauté d’une utopie !
Le but est de dire qu’il sera indolore de se passer du nucléaire actuel et surtout du vilain MOX, aussi affreux qu’un moloch biblique.
Au passage une belle utopie, le réacteur au thorium, séduisant sur le papier, mais difficile à industrialiser, en particulier en raison de rayonnement Gamma à 20 Gev.
De toute façon, il est écrit qu’à la fin on brûlera du charbon et du gaz !-
Merci à « Mr Macroscope »
pour ses analyses élégantes et toujours courtoises pour toutes les parties
cependant il n’est plus temps pour nous de travailler sur des schémas théoriques, avec petits dessins comme vous aimezComme prétendre — ce n’est pas vous cette fois — qu’en bombardant des glaçons de tritium dans l’anneau du tokamak ITER on en retirera l’énergie du soleil à volonté
Les difficultés d’ordre technologique ou économique hélas sont là pour freiner nos utopies et il devient urgent de faire les bons choix avant que même le français moyen en vienne à avoir des difficultés pour simplement se chauffer ; quant aux plus pauvres ...
Sur les 10 énergies d’avenir citées combien sont-elles réellement envisageables ?
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Le troisième salon littéraire de Vaux le Pénilaura lieu
le dimanche 14 octobre 2012
http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/vive-le-troisieme-salon-litteraire-119603Ce serait avec plaisir que je vous y accueillerais
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