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Betov

Je me présenterais volontiers comme un mystique athée si la phrase “ceci n’existe pas” ne commençait pas par poser un “ceci“.

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  • Betov 15 septembre 2011 15:12

    Renaissance, réincarnation, âme, ce sont toujours des mots vides de sens attendant qu’on veuille bien les définir. A loisir.

    Seule importe la méthode et, à ce niveau là, le Zen - partie à peu près intelligente du bouddhisme -, en est notoirement dépourvue. Aucune théorie de la perception. Aucune description des masques de l’auto-perception. Pas même l’explicitation de ce qu’est le corps-montagne, et encore moins de ce qu’est la mer d’huile ou le pétale de lotus. Rien, si ce n’est, parfois, l’allusion pour bobos-culcul-bizounous qui prendront aisément la forme pour le fond.

    La seule méthode réellement explicite est l’occidentale.



  • Betov 15 septembre 2011 13:28

    Guy, cette réponse me fait penser aux reproches qu’il est de bon ton de faire aux « traiders », comme s’ils étaient responsables du système qui les fait exister. Sans vouloir déresponsabiliser les individus, c’est confondre la cause et l’effet.

    Les religieux sont comme les exécutants d’une mafia à laquelle ils appartiennent. Ils ne sont pas pas la cause de départ. A l’origine de tout, il y a la prétention inouïe à l’enseignement d’autrui, typique de tout prosélytisme. Seule la voie occidentale, pour des raisons historiques très particulières, a totalement échappé à cette perversion et n’est jamais devenue une religion. Cela démontre qu’il est possible de ne pas verser dans l’abject et de maintenir la mystique vivace, sur des siècles - quatre siècles, en France -, sans la détruire par la perversion religieuse.

    Par certains côtés, je me considérerais moi-même comme bouddhiste, si le bouddhisme n’était qu’une méthode et pas du tout une religion. Le simple fait de méditer en groupe, vêtus de façon identique est juste... ridicule et totalement inacceptable. Pour le mystique réel, être un... c’est déjà un de trop. La mystique réelle a pour objectif de n’être rien et le trajet vers ce rien est une expérience qui ne se partage pas. Éminemment pas. Les monastères sont des lieux de perdition au sens très usuel du terme.



  • Betov 15 septembre 2011 11:03

    Les religions sont des perversions criminelles de la mystique. Les deux choses sont totalement incompatibles. Soit on plonge dans l’expérience et on s’abstient de toute dérive sociale, soit on glisse dans la perversion.

    http://betov.free.fr/wordpress/



  • Betov 9 septembre 2011 10:44

    Je ne sais pas exactement ce que l’auteur entend pas « spiritualité » mais, comme cela vient en critique de la perversion religieuse, je suppose qu’il fait allusion a la mystique. Si c’est le cas, oui, tikhomir. Évidemment, aucune réelle mystique ne peut être socialement organisée. La mystique est une expérience éminemment privé. La religion est un crime social.

    Les deux n’auraient strictement aucun rapport entr’eux... si, dramatiquement, la religion ne dérivait pas de la mystique avec une belle régularité. A l’origine de toute religion, toujours, il y a un mystique qui dérape.

    Chez nous, en Occident, la mystique s’est abritée de cette perversion par la méthode de transmission alchimique, comme je le développe sur mon blog :

    http://betov.free.fr/wordpress/



  • Betov 7 septembre 2011 10:38

    Le problème est que les croyants n’ont aucune intention de foutre la paix aux gens normaux, Robin. Ils ne l’ont jamais fait dans toute l’histoire connue. Les croyances des uns et des autres n’ont rien à voir avec la raison.

    Pour la période courante (ou corante, au choix), il est évidemment nécessaire pour eux de prier dans les rues, exactement pour les mêmes raisons que les cathos de mon enfance faisaient des processions dans les rues, quand ils leur restait une parcelle de pouvoir.

    Le crime religieux ne peux pas survivre à l’indifférence. Le crime religieux DOIT provoquer, se montrer, s’étaler... parfois au sens propre du terme.

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