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Blé

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  • Blé 23 avril 2008 06:53

    Pourquoi parler de "nous", qui sont ces "nous" ?

    Les chômeurs ? les RMistes ? Les RSA ? les Précaires ?Les S.D.F. ?les sans toits ?les sans papiers ?les travailleurs pauvres ?les immigrés de la faim ?

    Avec leurs familles, ils représentent quelques millions de français qui ne rentrent pas dans le "nous" car ils ne sont concernés pas par ce que vous appelez "la bonne conscience". Ces catégories de citoyens ont certainement conscience de quelque chose mais pas ce que vous croyez. 

    Arrêter de "simplifier", si il y a une dette, cette dette rapporte à ceux qui nous gouvernent sinon, il y a belle lurette qu’il n’y aurai plus de dette.

    La vrai dette vis à vis des générations futurs se situe au niveau de l’environnement. Tout le reste n’est que du pipeau. L’eau, l’air, la nourriture ne se dépollueront pas à coup d’€ ou de $ mais en modifiant l’économie de marché qui étouffe plus certainement l’humanité qu’une dette monétaire.



  • Blé 16 avril 2008 17:19

    La parole des pauvres peut se faire entendre mais qui cela intéresse vraiment ?

    Je suis en contact permanent avec les personnes dites pauvres et je peux vous dire qu’un des premiers obstacles à surmonter, ce sont les personnes qui prennent la parole pour elles. Je veux parler de ces responsables d’associations qui veulent rendre la dignité à ces personnes.

    Pour ma part, je n’ai jamais compris pourquoi une personne pauvre perdait sa dignité. Quel est le critère sur lequel ces âmes dégoulinantes de bons sentiments se basent-elles pour dire que telle personne n’est plus digne parce que pauvre ? Je pensais qu’un criminel pouvait perdre sa dignité d’être humain parce qu’il a tué mais un pauvre ?

    Je pense que dans le même temps que la pauvreté s’étend en France, beaucoup de gens tombent dans la misère, ces gens sont en situation de survie, et révèlent un recul très net de notre civilisation.

    Quand j’ai voulu accompagner (je précise accompagner et non faire à la place) d’ un groupe de femmes pauvres qui voulaient se prendre en main pour maintenir des cours d’alphabétisation, je me suis fait virer de belle manière par les cadres de l’association pour laquelle je travaille. Oui, les pauvres ne peuvent pas avoir d’initiative, que deviendraient les marchands de soupes ?

    Les responsables d’associations ne peuvent pas tout faire, se battre pour sauver leur propre emploi et jouer le rôle de prestataire de service de l’ANPE ou du MEDEF. (Pour 9 salariés, il y a deux cadres, une coordinatrice, une secrétaire et deux voitures). Les bénéficiaires des prestations (les pauvres) pour lesquelles l’association a été financée se contenteront d’un service minimum avec une évaluation truquée pour faire plaisir à tout le monde mais principalement au financeur.

    Mais dans un pays vraiment démocratique et républicain, le sujet de cet article serait-il d’actualité ?

     

     



  • Blé 12 avril 2008 14:11

    C’est triste de constater qu’en 2008, ceux qui sont élus et payés pour préparer l’avenir ne font rien, économie de marché oblige.

    Dans les années 50, il était fréquent de voir des familles de 6 ou 7 personnes vivre dans une pièce, avec le lavabo et les toilettes sur le pallier.

    Je connais le cas d’une famille qui logeait dans ces conditions extrêmes, elle a mis les trois ainés en pension et les deux plus jeunes sont partis en aérium. Quinze jours plus tard,l’ un des deux enfants revenait dans un costume en sapin, dans un wagon spécial. L’enfant n’a pas survécu à la séparation d’avec sa mère.

    Il faut savoir qu’ à l’époque des trains entiers partaient des villes (surtout de Paris) vers les campagnes et bords de mer parce que la santé des enfants étaient déplorables pour cause de mauvais logement.

    Le logement c’est beaucoup plus qu’un toit, c’est le droit d’un enfant d’être traité comme une personne. Pour respecter ce droit la société a l’obligation de mettre tout en oeuvre pour que les parents, aient la possibilité de louer ou d’acheter un "toit" grâce à leur travail.(Ils ne demandent pas la charité)

    Quand j’entends la politique mise en place par le gouvernement, je ne peux pas m’empêcher de penser à cette époque. Aujourd’hui , en 2008, des enfants sont malades pour cause de mauvais logement.

     

     

     



  • Blé 11 avril 2008 07:17

    A chaque fois que le capitalisme se casse la gueule, et en ce moment on en parle moins mais c’est le cas, un conflit réordonne les cartes pour que celui-ci puisse continuer à s’imposer au monde. Les états ne font que gérer la misère nécessaire aux oligarchies qui nous gouvernent. Sarko nous montre tous les jours ce qu’est un "pantin" à qui on tire les ficelles mais on nous montre jamais ceux qui tirent sur ces ficelles.



  • Blé 9 avril 2008 09:11

    Grâce à votre article, je découvre avec stupéfaction que je suis une ennemie publique de l’économie de marché. Et bien cela me fait plaisir. Une autre chose qui me fait plaisir, c’est en pensant que nous devons être de plus en plus nombreux-euses.

    Je dois sans doute aggraver mon cas en allant acheter mes livres dans une vraie petite librairie dans la ville voisine et non sur internet. Sur celui-ci les livres y sont moins chers mais je trouve qu’une petite librairie avec des vendeurs sympathiques capables de vous conseiller ce n’est pas mal. Mieux, ces conseillers peuvent vous faire faire des économies en vous évitant d’acheter "des coquilles vides".

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