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cliquet

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  • Premier article le 23/03/2012
  • Modérateur depuis le 19/04/2012
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Derniers commentaires



  • cliquet 26 octobre 2013 18:45

    Depuis quand Neuilly et Paris sont-elles représentatives de l’opinion de main street ?
    Ces localités on toujours fait dans le « bien pensant » et le « surtout ne touchez à rien ».
    Regardez donc l’histoire de la monnaie sur you tube et vous vous poserez (peut-être) quelques questions.



  • cliquet 6 octobre 2013 09:51

    La democratie apparait comme une sorte de panacée des regimes politiques. Une simple question ; la démocratie est-elle unique dans sa forme ou bien peut-elle revêtir différents aspects ?
    La seule vraie démocratie serait celle qui donnerait en permanence la souveraineté au peuple, sans délégation d’aucune sorte. Il faudrait donc réunir tout le monde en permanence et les faire voter sur tout « à main levée ». Cela paraît difficile dès que le nombre des participants dépasse quelques centaines.
    Il faut donc trouver une autre forme d’exercice de la démocratie et les dangers arrivent.
    On prête à de Gaulle le propos : « La démocratie, c’est les plus nombreux, et les plus nombreux, c’est les c..s ! » C’est malheureusement une réalité. il faut donc trouver quelque chose qui soit conforme aux aspirations du peuple et qui permette néanmoins à l’éxécutif d’assurer ce qu’on appelle les « fonctions régaliennes »
    Trés difficile, surtout dans une période ou l’argent est devenue la valeur universelle. L’argent permet de s’approprier les médias qui fabriquent l’opinion tout en désignant les futurs élus.
    A partir de là, le système est perverti. La constitution de la Vème république essayait d’éviter ces écueils, mais les amendements récents l’on rendu inefficace dès lors que le Parlement peut les voter sans passer par un référendum.
    Quant à la démocratie américaine, elle est constamment bafouée depuis 1913, date de la loi portant sur la Réserve Fédérale et son système occulte.



  • cliquet 29 septembre 2013 13:54

    Pauvre Fillon, écartelé entre un positionnement politique « centriste » contraire à sa nature et à ses antécédents, posture nécessaire pour avoir été 1er ministre de Sarkosy, et ses convictions affichés jusqu’en 2005, par fidélité à son mentor Ph Seguin.
    Il aurait pu jouer une carte maîtresse en réitérant son engagement gaulliste , donc nationaliste et souverainiste et participer ainsi à la naissance d’un grand parti de « salut public » (le terme bonapartiste ayant une connotation péjorative) J’ai peur que celà se fasse sans lui, pour n’avoir osé franchir le pas. S’il revient, je suis presque sûr que Sarkosy n’hésitera pas une seule seconde, sauf si son fort tropisme atlantique l’en empêche.



  • cliquet 29 septembre 2013 12:45

    Démosthène, j’ai peur que vous soyez victime de la « pensée unique » qui nous est, je vous l’accorde volontiers, assénée de toutes parts et en tous lieux.
    Je ne vois pas, pour ma part, ce qui pourrait nous empêcher de retrouver notre liberté et notre souveraineté si nous le décidons. Quelles représailles craignez-vous ? Les chars allemands ou l’aviation italienne ? Le problème de la dette est constamment agité par ceux qui veulent qu’on continue à payer jusqu’à ce que mort s’ensuive les intérêts générés par cette dette.
    Une simple question : d’où vient l’argent de la dette ?
     De nos économies pour une faible part et des marchés financiers pour la plus grosse part.
    Ou ces marchés financiers trouvent-ils l’argent pour nous le prêter ?
    Des banques centrales qui le créent « ex nihilo » par impression des billets (monnaie fiduciaire) ou des banques « commerciales » qui le créent également ex nihilo via une ligne d’écriture (monnaie scripturale).
    Une fois la dette remboursée, que font ces organismes de la monnaie qui leur est restituée ?
    Elles la détruise !
    Seuls les intérêts perçus alimentent leurs bénéfices. On voit bien que la chose qui les motive est de nous faire payer des intérêts « ad vitam eternam ».
    Leur seule peur est que, en cas de défaut, du fait qu’elles ont créé une quantité invraisemblable d’argent en raison de leur immense cupidité, avec des effets de leviers délirants, une perte de quelques % seulement de leurs ressources les conduisent à la faillite par comparaison du bilan aux fonds propres.
    Que vous le vouliez ou non, cela va se produire car le concept du « too big to fail » posséde une limite. Pourquoi croyez-vous que la BCE va émettre un nouvel LTRO de 1000 mds d’euros ?
    Plus vite nous quitterons ce navire désemparé, plus nos chances de survie économique seront grandes.



  • cliquet 21 septembre 2013 18:40

    Malika, on a du vous dire un jour que la chose la plus detestable au monde était le nationalisme et que celui-ci ne pouvait être que d’extême droite. Je vous conseille de lire « L’empire éclaté » d’Hélène Carrère d’Encausse. Vous y apprendrez (peut-être) qu’ils existe au moins 2 types de nationalisme. Le premier est celui auquel vous vous réferrez probablement , qui est le « nationalisme de conquête. Ce sont les nationalismes japonais, allemands, celui des grandes invasions armées. Le second est un nationalisme de défense, qui est souvent une réponse au premier. Il correspond aux peuples qui se sentent opprimés et qui veulent retrouver leur liberté et leur souveraineté. Cela a été le cas des peuples colonisés. Quant au vocable extrème droite, il est devenu (et pas par hasard) synonyme de »nazisme« , »fascisme" , bref tout ce qui est détestable. Je crois que l’amalgame est un peu osé car ni le nazisme, ni le fascisme de Mussolini, ni les mouvements de rébellion contre les oppresseurs colonialistes n’étaient réellement de droite et encore moins d’extrême droite.
    Il faut donc, pour analyser la situation actuelle, aller au delà des poncifs et des slogans.
    La perte de souveraineté des peuples européens, asservis par leurs dettes publiques galopantes, est manifeste et il n’est pas anormal de constater l’eveil de mouvements nationalistes de défense. La droite et la gauche (extrêmes ou non) ne sont plus une ligne clivante (cf référendum de 2005) . Le clivage actuel serait plutôt entre mondialistes et souverainistes.

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