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Comité Cicéron

Le Comité Cicéon est un groupe d’entrepreneurs, d’artistes et de fonctionnaires qui souhaitent introduire dans le débat public des idées nouvelles.

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  • Premier article le 08/12/2006
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Derniers commentaires



  • Comité Cicéron 16 février 2007 19:09

    Je voudrais signaler une chose : il y a 36 000 communes en France et autant de maire, + 100 conseils généraux + 22 régions + 570 députés + 600 et quelques sénateurs.

    Il est donc mathématiquement possible que 74 candidats à la présidentielle soient parrainés. Où est donc le déni de démocratie ? En contestant le système actuel, on fait le jeu de Le Pen et de tous ceux qui refusent la légitimité des élus, maires et parlementaires.

    En ajoutant que les maires n’ont pas changé depuis 2002, et donc qu’ils pourront soutenir les mêmes candidats, on peut s’attendre à une bonne floppée de candidats encore une fois. Mais au profit de qui ? oui, franchement, à qui profitent ces micro-candidats ? Quelle gloire y a-t-il à gagner 1% d’un électorat déboussolé et motivé uniquement par le ras-le-bol ?

    C’est la démocratie française qui se discrédite en refusant de se poser des questions de fond et en se concentrant uniquement sur des questions de personnes, ce que traduit bien le débat sur les « petits candidats ». LES FRANCAIS PREFERENT LES PETITS CANDIDATS AUX GRANDES IDEES.

    LIBRES A EUX MAIS QU ILS NE VIENNENT PAS SE PLAINDRE QUE LE FUTUR PRESIDENT SE REFUSE A S ABAISSER A DES MINI DEBATS SUR DES VISIONS A COURTE VUE.

    Il serait temps que la démocratie française se resaisisse et mette au panier, comme elle va peut-êre le faire, les pseudo-tribuns-vrais-petits-chefs qui ne pensent qu’à leur gloire personnelle et jamais à l’intérêt de leur pays.

    Il n’existe pas de démocratie sans bipolarité, la France serait stupide de se croire, dans ce domaine comme dans d’autres, une exception.



  • Comité Cicéron 12 février 2007 22:27

    Je trouve que depuis Twin Peaks (le film) Lynch nous refait Twin Peaks (la série) mais sur grand écran.

    Autant la série était exceptionnelle autant les films qui se succèdent depuis me paraissent par comparaison peu inspirés.

    Pourtant Elephant man, Eraserhead, Sailor et Lula, Blue velvet étaient vraiment bons ! Lynch me fait penser à Greenaway, génial au départ, et répétitif au bout d’un certain temps.



  • Comité Cicéron 12 février 2007 22:20

    Moi personnellement je ne regarde plus Lynch depuis Twin Peaks (le film). J’y ai emmené ma copine et elle a failli me larguer en se disant que j’étais vraiment bizarre.

    Plus sérieusement, Blue velvet et Sailor et Lula étaient vraiment de grands films, passionnés, étranges, mais depuis j’ai le sentiment que Lynch nous refait Twin Peaks (la série), qui est peut-être ce qu’il fit de mieux, et dont il cherche sans fin à retrouver l’inspiration.

    Mais sur grand écran ça ne marche pas je trouve.



  • Comité Cicéron 12 février 2007 22:05

    Bonne question !

    Il faut choisir entre réforme et grèves d’un côté (Sarko-Fillon), ou pas de grève mais des hausses d’impôt pour financer les retraites des cheminots (Ségo-Buffet).

    Et ce n’est pas le moindre des enjeux de cette élection !



  • Comité Cicéron 12 février 2007 21:17

    Le libéralisme est un faux problème : on parle du libéralisme en France d’après ce qu’il était avant la 2nde guerre mondiale.

    Mais en réalité le libéralisme d’aujourd’hui c’est beaucoup plus compliqué : c’est en partie les méthodes de gestion privée, et cela c’est vraiment une bonne chose poru l’emploi ; c’est aussi la libéralisation financière, qui est effrayante mais dont personne ne veut se priver sauf les puissances pétrolières.

    Et puis n’oublions pas que le libéralisme c’est aussi la liberté des moeurs, la liberté politique, la liberté de pensée.

    Mais ce qu’incarne le « libéralisme » en France, c’est l’échec du rêve selon lequel on pourrait travailler moins et gagner plus. On a eu ce rêve depuis Pompidou. C’était un mensonge de politiciens sans courage.

    Pour bien gagner sa vie il faut avoir reçu un bon enseignement (et si ce n’est pas le cas, recevoir des formations professionnelles bien orientées) et être prêt à faire certains sacrifices. C’est comme ça partout, et ça l’a été toujours. Dire le contraire a été une dangereuse idéologie, à laquelle plus personne ne croit, sauf quelques désespérés.

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