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Daniel Roux

Daniel Roux

La direction d’Agoravox m’interdit de commenter les articles de "Christelle Néant" :
« En raison de signalements pour non respect de la charte, vous ne pouvez plus réagir sur cet article. »
La direction d’Agoravox n’a pas répondu à ma demande d’explication.
Je réfléchis sur l’intérêt de participer à un média « citoyen » pratiquant une censure sélective, en donnant de plus en plus de visibilité à la propagande.

Tableau de bord

  • Premier article le 23/08/2007
  • Modérateur depuis le 15/05/2008
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Daniel Roux Daniel R 27 janvier 2008 13:47

    Dommage que vous ne répondiez pas aux questions.

    Sans vouloir mettre en doute votre qualité d’expert, je ne suis pas convaincu par votre explication sur la couverture.

    Votre exemple couvir Renault avec Peugeot est un peu bizarre. Renault peut baissé mais Peugeot aussi, d’autant qu’ils sont dans le même compartiment d’activité. Votre couverture est trouée et vous allez prendre froid.

    La couverture d’une position doit couvrir un risque. Il peut s’agir d’un réserve de liquidité en pourcentage du total engagé. Il peut également s’agir d’une prise de position inverse à terme.

    Exemple, Airbus vend ses avions en dollars. Les sommes sont importantes et l’avionneur doit se couvir contre le risque d’une baisse éventuelle du dollar entre la date de signature du contrat et celle du paiement. Il achetera donc, à terme, des dollars à leur valeur du jour du contrat.

     



  • Daniel Roux Daniel R 27 janvier 2008 13:09

     @ michel maugis

    "Empêcheur de tourner en rond, je combats dans les forums les tautologies et autres sophismes de ces partisans de la "liberté" dont la mauvaise foi est le principal moyen d’argumenter."

    C’est ainsi que vous vous présentez. J’admire l’ampleur et l’ambition de votre mission. Je me permettrai cependant de vous faire quelques observations qui faciliteront notre dialogue.

     

    Par exemple, le mot "idéologie" que j’emploie à propos des divers "ismes". Il semble poser un problème de sens. Je vous propose de prendre le « Petit Robert » comme arbitre.

    Idéologie : Science qui a pour objet l’étude des idées (sens étymologique) ; Analyses, discussions sur des idées creuses (sens péjoratif) ; Ensemble des idées, des croyances et des doctrines propres à une époque, à une société ou à une classe (sens marxiste). "Ces biens bourgeois que sont par exemple, la messe du dimanche, la xénophobie, le bifteck-frites et le comique de cocuage, bref ce qu’on appelle une idéologie" (Barthes).

     

    Le Capitalisme et le Communisme sont dans leur sens restreint, des modes de production mais ils sont aussi des idéologies, dans le sens marxiste du terme.

    Concernant les Hommes, le mot « intelligence » est à prendre dans le sens, capacité d’abstraction, de prévoyance, d’analyse et de synthèse. Je ne voulais certes pas me prétendre "intelligent" dans le sens "plus intelligent que..".

    Quant à la cupidité humaine, elle est évidente et largement démontrée à travers l’histoire des guerres et les razzias, de l’accumulation des richesses au-delà de toute raison par quelques-uns uns. C’est un trait humain qui a probablement eu son utilité lorsque nous vivions comme des animaux, un peu comme le stockage des graisses mais qui, à notre époque moderne, se révèle, tout comme le gras, nocif.

    Dans un commentaire déjà long, il n’est pas possible de développer ses idées. Concernant ce défaut originel de cupidité, je pense qu’il peut être contrôlé comme l’agressivité, la cruauté ou les pulsions sexuelles. Des hommes ont montré l’exemple, comme le Christ, Saint François d’Assisse ou Bouddha. Il serait absurde de prétendre que tous les hommes sont des faibles. Mais il serait tout autant absurde de prétendre que la cupidité et les autres pulsions sont éradiquées et n’ont plus de conséquences sur l’Humanité et sur la planète.

     « Malheur aux vaincus », « L’Histoire est écrite par les vainqueurs », ces deux affirmations courantes permettent de comprendre pourquoi le communisme, en tant qu’antithèse du capitalisme, est condamné par les tenants de ce dernier. Les crimes politiques ne sont l’exclusivité d’aucune idéologie. Les massacres qu’ils soient faits au nom du progrès, de l’avancée de la civilisation ou de l’ouverture de nouveaux marchés, ne remettent jamais en cause le Capitalisme, ni n’entraînent sa condamnation. Qui pourrait le faire d’ailleurs ? L’ONU ? Les Eglises ?

    Je ne partage pas du tout votre avis sur un archéo-communisme supposé des hominiens des temps obscurs. Il s’agissait d’êtres au seuil de la conscience, dont les structures sociales et productives étaient encore celles des animaux. C’est comme si vous prétendiez que les chimpanzés sont communistes parce qu’ils chassent en bande et se partagent le butin (sophisme ?).

    Et si l’esclavage pur et dur a disparu au profit du salariat, c’est parce qu’il n’était, économiquement et socialement, plus tenable. Mais comment appeler autrement le statut de ces salariés, des enfants parfois, travaillant pour des salaires misérables, 7 jours sur 7, 12 heures par jour, dans des usines polluées et dangereuses, pour fabriquer les produits de consommation courante revendus par les multinationales dans nos pays développés ?

    Je terminerai cette réponse par une remarque sur le culte de la personnalité. Avez-vous remarqué qu’il s’agit d’une constante des pays totalitaires quelque soit leur idéologie ?

     Il suffit de regarder autour de nous. Il s’agit d’une perversion commune aux sociétés, plus ou moins bien contenue par des dispositifs constitutionnels et institutionnels. La séparation des pouvoirs est l’un des moyens imaginés par les démocrates pour contenir les effets de la mégalomanie mais nous voyons bien que tout cela est très fragile que ce soit aux USA, en France ou à Cuba.

    Cordialement



  • Daniel Roux Daniel R 25 janvier 2008 18:13

    Le Capitalisme est une idéologie assez proche du fonctionnement de la Nature comme par exemple la sélection des espèces.

    En gros, les plus forts mangent les plus faibles, ceux qui s’adaptent le mieux prospèrent le plus et occupent l’espace..etc..

    Le Communisme est, à l’inverse, une idéologie utopique applicable uniquement dans le monde des idées où vivent les êtres parfaits, donc pas chez nous.

    Notre bonne vieille Terre est peuplée d’une espèce intelligente mais cupide, se souciant majoritairement plus de son seul intérêt que de l’intérêt général. Ce qui explique le succès du Capitalisme et l’impossibilité du Communisme (a ne pas confondre avec les sanglantes dictatures qui s’en réclamaient).

    Ce qui est pathogène dans le système actuel, c’est à mon avis, l’utilisation qui est faite de la monnaie. Cette dernière n’est à l’origine, qu’un moyen. Des coquillages, des graines de cacao, des morceaux de métaux précieux par exemple, servaient de référentiels pour faciliter l’échanges de marchandises.

    De fil en aiguille, des "génies" ont construit des outils permettant de transformer ce moyen en marchandise. Marchandise très demandée puisque, CHAQUES JOURS, des centaines de milliards de dollars sont échangés, dont seulement une infime partie correspond à des échanges de marchandises.

    Au début, l’invention du crédit a été un formidable outil de développement :

    La banque m’avance l’argent pour acheter une maison avec une hypothèque sur le bien, puis soit je lui rembourse le capital en 20 ans plus une prime qui représente son salaire, soit elle se rembourse en vendant la maison.

    Puis ça s’est compliqué, les banques se sont prêtées de l’argent sans garantie. Puis elles en ont prêter à des spéculateurs pour un mois, pour une semaine, pour une heure. Des centaines de milliards se sont mis à circuler sur la planète. Les spéculateurs jouaient sur les matières premières, sur les guerres, sur le dumping social, sur les monnaies, sur des rumeurs, sur du vent (la bulle internet par ex).

    Un génie a inventer les obligations pourries (junks bonds) qui servaient à acheter des entreprises prospèrent afin de les dépecer et de revendre les plus beaux morceaux en jetant les restes, précipitant des milliers de salariés dans la misère.

    Un autre de ces génies a inventer la merveilleuse titrisation des dettes. Les dettes devenaient des titres comme les autres. Puis on a mélangé dans un même titre les bonnes dettes rentables et sans risque, avec des mauvaises dettes très rentables mais risquées. Puis on les a vendu à tout le monde et tout le monde en voulait, non pas des risques mais de la forte rentabilitée.

    Et puis tout explose, la baisse de l’immobilier entraînent la baisse des garanties, la hausse des taux d’intérêt font exploser l’endettement et conduit de nombeux emprunteurs à la faillite, et tout le monde s’affole car personne ne sait plus où sont les risques, ni quels sont les montants en jeu. Les banques perdent des fortunes, les crédits s’assèchent, l’économie réelle manque de financement, la recession menace, des hommes vont perdre leur emploi, la misère va progresser.

    Et si ces produits pathogène, purement financiers et spéculatifs, étaient définitivement interdits ? Et si la monnaie n’était utilisée que pour les échanges réels et les crédits garantis ? Et si les hommes politiques faisaient leur boulot dans l’intérêt général au lieu d’être seulement les représentants du grand capital.

    Et s’ils en profitaient, par la même occasion, pour supprimer les paradis fiscaux symboles du blanchiment d’argent sale, de la grande fraude fiscale et de la corruption publique et privée ?

    Incorrigible, me voilà reparti dans le monde des idées.

     

     

     

     



  • Daniel Roux Daniel R 25 janvier 2008 17:19

    Donc vous êtes un expert.

    D’après vous, un important volume de positions prises au début de l’année n’a pas fait l’objet de couverture.

    Pourriez-vous expliquer le dispositif de couverture ? S’agit-il d’une règle, d’une obligation, d’un choix au cas par cas ? Quels sont les moyens de se couvrir ? Sur quels supports ou assurances ? Existe t-il un rapport entre la notation d’une entreprise par les sociétés spécialisées et d’éventuelles primes d’assurances ?

    Vos super correspondants se sont inquiétés auprès de vous, cela veut-il dire que ces couvertures sont publiées et disponibles par les acteurs économiques ?

    Merci d’éclairer ma lanterne et celle de vos lecteurs.

     

     

     



  • Daniel Roux Daniel R 23 janvier 2008 23:24

    Je crois savoir que l’Afrique est un continent.

    Ceci étant éclaici, les pays africains sont assez nombreux et disparates économiquement. L’Afrique du Sud est le pays le plus développé mais le nigéria est le plus riche.

    Cependant la grande majorité des pays est faiblement équipé en infrastructures et moyens de production, hélas pour la population. Les caprices du climat détruisent peu en valeur dans ces pays et ne génèrent donc que peu de PIB.

    Cordialement

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