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daniel

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Principal de collège public honoraire, producteur et animateur d' émissions de jazz sur une radio locale havraise et deux radios en Ile de France.
Auteur du PARADOXE DE LA PRECOCITE INTELLECTUELLE. La troisième édition, mise à jour , vient de paraître aux Editions Bénévent.
Les éditions Bénévent ayant été mises en liquidation judiciaire, Le Paradoxe est devenu introuvable. Sauf en ligne sur : www.leblogduparadoxedelaprecociteintellec.blogspot.com
 

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  • Premier article le 21/02/2007
  • Modérateur depuis le 24/01/2009
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Derniers commentaires



  • daniel daniel 29 mai 2009 12:22

    S’il en est un qui ferait bien de se taire, c’est F.Bayrou, l’inventeur de la « sanctuarisation » restée sans suite et autres promesses tout autant restées en l’état.
    Les portiques dans tous les établissements serait ruineux et irréalistes. Les fouilles systématiques injustifiées et impraticables concrètement ;

    Les derniers actes de violence ont parfois des causes sans rapport avec la délinquance .

    La seule mesure, gratuite, et efficace est d’habiliter officiellement les chefs d’établissement à faire vider les sacs et les poches quand ils le jugent nécessaire. Jusqu’à maintenant, ceux qui le faisaient n’étaient pas sûrs d’être « couverts » en cas litige avec les familles.



  • daniel daniel 18 mai 2009 18:23

    French_car,
     la possibilité d’exclure temporairement sans conseil de discipline est en effet une prérogative du chef d’établissement. Il faut la prendre comme une mesure de retour au calme après des incidents que chacun doit « encaisser » avant de repartir comme avant.
    Il vaut mieux en faire usage avec modération. Le droit à la défense existe dans le bureau du principal où professeurs, cpe, ....et élèves disent ce qu’ils ont à dire et le chef d’établissement est -théoriquement -garant de la......justice. J’ai vu, une fois un avocat (un vrai) dans mon bureau. Mais c’est le responsable de l’établissement qui doit dire quelle est la faute et quelle est la sanction.
     Il doit motiver sa décision et risque à chaque fois de décevoir soit l’élève et sa famille, soit l’enseignant ou l’assistant d’éducation qui réclamait une sanction.
    Les exclusions n’arrivent en général qu’après plusieurs avertissements écrits.



  • daniel daniel 18 mai 2009 18:11

    Bon, je vois que tout le monde s’enflamme. Pour l’instant, moi je ne sais pas qui est cet élève. Les professeurs du collège parlent bien d’une ambiance un peu chaude (vandalisme, élèves provenant d’autres établissements après exclusion etc.) mais commune à beaucoup de collège (tel que celui que j’ai dirigé pendant plus d’une dizaine d’années et qui était , socialement, le plus favorisé du département. Il me fallait néanmoins affronter les bandes qui arrivaient en bus (sans payer), et j’ai parfois dû solliciter la caserne de CRS qui était notre voisine !)
    Sur l’élève, on ne dit pas qu’il avait déjà menacé qui que ce soit. On connaît des réactions impulsives d’autant plus violentes qu’elles explosent après une période plus ou moins longue de silence. Les meurtriers américains ou allemands qui ont massacré élèves et professeurs ces derniers temps avaient souvent été des souffre douleurs qui enduraient en secret avant de basculer.
    Quelques contributeurs présument que tout cela va faire le bonheur de l’enseignement privé et que c’est une volonté politique ( je n’y crois pas , bien que ma dernière I.A. ait fait le bonheur des institutions religieuses locales contre mon établissement, mais c’était plus par bêtise que pour obéir à un plan national) mais à Montigny les Metz, au lycée Jean XXIII, c’est un enfant sage qui a attaqué un professeur avec des ciseaux. Sur la violence contre les autres ou contre soi-même, chez les e.i.p ; j’en sais un peu plus. (je l’ai dit dans mon blog) .
    J’attends des précisions sur l’élève de Fenouillet avant d’en parler davantage. Mais, French_car, il y a beaucoup de chef d’établissement qui réfléchissent avant de parler. Et même des plus jeunes. 



  • daniel daniel 18 mai 2009 11:51

    L’administration serait, encore une fois responsable de cette malheureuse histoire ? Peut-être. Je ne connais pas le chef d’établissement et je sais qu’il en existe d’incapables et de lâches. Mais tous ne le sont pas. De même qu’il existe aussi des professeurs qui sont de véritables « pousse au crime ». j’en ai connu.
    ce qui est sûr c’est que Xavier darcos, parfois mieux inspiré, aurait pu s’abstenir de parler des détecteurs de métaux. Dans ce cas précis je ne crois pas que la réponse soit là. Si l’administration est aussi laxiste et perverse que le pense Paul Villach, il faut rappeler que les textes ne lui facilitent pas la tâche. J’ai déjà dit ici que j’avais désarmé dans mon bureau une élève, avec l’aide de la CPE heureusement présente, et attendu la police en maintenant l’élève au sol. Et lorsque je fouillais les sacs des « suspects » pour en extraire, briquets, bombes lacrymo, couteaux, et pistolets à air comprimé, j’étais dans l’illégalité. Les élèves ne manquaient pas de me le dire et moi de passer outre. Sans doute n’aurais-je man été couvert par mon I.A. (Inspecteur d’Académie). Les exclusions (même temporaires) décidées par conseil de discipline à l’unanimité peuvent être cassées par une commission d’appel rectorale si les parents ont un bon avocat. Etc. Les chefs d’établissement ne sont pas tous lamentables.
    Quant au collège de Fenouillet, il s’y passe des choses assez babales et auxquels n’échappent pas beaucoup de collèges ; vandalisme dans les toilettes ou déclenchement des alarmes. Sur ce dernier point, les commissions de sécurité qui sont sous la direction des pompiers compliquent énormément la vie scolaire. 



  • daniel daniel 3 avril 2009 11:20

    Ils ont beau se dire "indépendants", les journalistes et animateurs de France Inter sont peut-être indépendants du pouvoir, mais pas indépendants de leur culture, de leur formation, de leurs opinions.
    Sur France Inter ça se voit au moins autant qu’ailleurs. Val, l’ancien duettiste de "Font et Val", ne fait pas mystère de sa grille d’analyse, Daniel Mermet et Didier Porte non plus. On sait d’avance ce qu’ils vont dire.
    La radio publique, qui vit de notre redevance et semble l’oublier en permanence, serait moins suspecte si elle annonçait clairement la couleur, et plus "honnête" si elle équilibrait son recrutement.
    Chacun est libre d’écouter Radio Notre Dame ou TSF 89.9, il sait d’où vient le message. Mais il paie pour France Musique, même s’il péfère Radio Classique.
    Pour Val, je me demande s’il ne s’agît pas d’un poisson d’avril. Comment le désigner avant que le patron de Radio France ne soit en poste ? Si c’est confirmé, c’est encore plus grave que je ne le croyais. 

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