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daniel

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Principal de collège public honoraire, producteur et animateur d' émissions de jazz sur une radio locale havraise et deux radios en Ile de France.
Auteur du PARADOXE DE LA PRECOCITE INTELLECTUELLE. La troisième édition, mise à jour , vient de paraître aux Editions Bénévent.
Les éditions Bénévent ayant été mises en liquidation judiciaire, Le Paradoxe est devenu introuvable. Sauf en ligne sur : www.leblogduparadoxedelaprecociteintellec.blogspot.com
 

Tableau de bord

  • Premier article le 21/02/2007
  • Modérateur depuis le 24/01/2009
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Derniers commentaires



  • daniel daniel 25 mars 2009 18:07

    Senghor, Antillais ? c’est nouveau ?



  • daniel daniel 23 mars 2009 09:30

    Autres signaux réconfortants : les commentaires qui suivent la diffusion sure ARTE sont, eux , porteurs d’espoir. A la différence des commentaires des jeunes acteurs, des producteurs, des critiques (genre Télérama et France Inter) qui considéraient la situation dépeinte par Entre les murs comme symbolique du "dynamisme" des jeunes générations, un état de fait dont il fallait s’accomoder pour être "de son temps", les acteurs de la journée de la jupe, Isabelle Adjani et JP Lilienfeld considèrent que ce témoignage montre une réalité déplorable . Il y a, au moins, ici un refus de la résignation. Le beau rôle d’Adjani est le même que celui de l’enseignant qui "craque" dans la salle des profs d’ Entre les murs .
    Et le professeur d’espagnol de La journée de la jupe , lâche et démago, est l’équivalent du "héros" d’ Entre les murs joué par Bégaudeau. Les mêmes types de rôles portent des messages inversés.
    Sur France 2, hier soir, Laurent Delahousse m’a semblé bien faiblard devant les répliques d’Isabelle Adjani.



  • daniel daniel 22 mars 2009 23:33

    Merci à Paul Villach d’avoir annoncé la diffusion sur Arte et à Yohan d’avoir rapidement fait un bon commentaire.
    Beau succès du sujet sur Agoravox. On compare avec Entre les murs et là, au lieu d’être exaspéré par Bégaudeau, on souffre pour Adjani. Mais c’est tellement réaliste. Juste un regret (que je développe sur mon bloc-notes) : Le rôle donné à Jacky Berroyer donne encore du principal du collège une image désolante. Ce qu’il dit n’est pas faux, mais il ne faudrait pas croire, après ces deux films, qu’ils sont tous comme çà ;
    dj



  • daniel daniel 17 mars 2009 12:07

    Cher Paul,
    merci d’attirer notre attention sur un film que je n’ai pas encore vu mais que je vais regarder de près. Ce que vous en dites me rappelle un fim américain, il y a plus de vingt ans mais il était prophétique : Le Proviseur (titre de la version française). L’idée était que lorsque la violence des gangs est entrée dans l’école, la seule solution est de l’affronter et d’être le plus fort. François Bayrou voulait sanctuariser l’école pour la protéger des menaces extérieures. Il est parti avant d’avoir commencé un début d’application. 
    La violence est d’ailleurs dans la classe. Il n’est pas question de l’empêcher d’entrer mais plutôt de l’en faire sortir.
    Vous n’appréciez guère les chefs d’établissements, mais, cher Paul, il y en a encore qui sortent manu militari d’une salle de classe des perturbateurs violents qui ne craignent plus leur professeur (c’est plutôt dans ces cas là le professeur qui craint -à juste titre- ses élèves.) Et puis si vous plaquez au sol un élève dans votre bureau pour lui arracher un couteau,en attendant la police, vous avez intérêt à avoir des témoins qui attesteront que vous n’êtes pas allé au delà de l’immobilisation au sol. Quand la police arrivera, elle demandera au chef d’établissement de décliner son identité : adresse, date de naissance etc...Si vous souhaitez porter plainte pour menaces de mort, il vous faudra passer une demi journée au poste pour la déposition, puis une demi journée dans les bureaux du médiateur qui expliquera à l’élève que c’est pas bien de menacer de mort le principal de son collège et qu’il ne faudra pas recommencer.
    dj



  • daniel daniel 16 février 2009 21:56

    Est-ce vraiment ce que j’ai écrit ? Ramassez vos bras et restez coi.

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