• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

daniel

daniel

Principal de collège public honoraire, producteur et animateur d' émissions de jazz sur une radio locale havraise et deux radios en Ile de France.
Auteur du PARADOXE DE LA PRECOCITE INTELLECTUELLE. La troisième édition, mise à jour , vient de paraître aux Editions Bénévent.
Les éditions Bénévent ayant été mises en liquidation judiciaire, Le Paradoxe est devenu introuvable. Sauf en ligne sur : www.leblogduparadoxedelaprecociteintellec.blogspot.com
 

Tableau de bord

  • Premier article le 21/02/2007
  • Modérateur depuis le 24/01/2009
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 9 64 104
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 59 25 34
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique












Derniers commentaires



  • daniel daniel 26 janvier 2009 19:23

    Bonsoir Dabornepanuire
    et merci pour votre réflexion. Et quel beau pseudo ! J’adhère au programme.Vous avez peut-être raison mais tout le monde n’est pas en mesure de maîtriser l’enseignement pour ses enfants comme vous l’avez fait.
    Pour vous rassuer je vous invte à vous reporter à mon bloc-notes.



  • daniel daniel 25 janvier 2009 14:18

    Merci Blé d’avoir pris le temps de commenter.
    Le problème est ailleurs, oui.
    L’école, en ce moment n’apprend pas toujours à apprendre. Même à Neuilly.Oui encore
    Ce ne sont pas les 5OOO médiateurs qui vont réduire l’absentéisme. Hélas oui toujours.
    Le problème est ailleurs. Certainement.
    Il reste que l’école ne peut pas tout et que les parents font bel et bien partie des maillons de la chaîne. Chacun a un rôle à jouer et il suffit qu’un maillon casse....
    L’école est le révélateur des crises culturelles et sociales qui nous frappent avant d’être l’outil qui les guérit.
    Alors, c’est sûr, abondance de bien ne nuit pas mais je rappelle souvent que deux surveillants dans une cour surveillent moins bien qu’un seul, et qu’en classe la démonstration est souvent faite qu’un petit effectif n’est pas toujours la solution à des problèmes d’une autre nature.
    Enfin s’il vaut mieux être riche et bien portant que pauvre et malade je souhaite aussi que les premiers paient pour les seconds.



  • daniel daniel 18 décembre 2008 12:29

    On a beau être un journaliste "indépendant" on n’en reste pas moins un journaliste.
    Dans ce cas précis, les intellectuels "de gauche" qui peuplent la rédaction de France Inter et ne peuvent être soupçonnés d’allégeance au Pouvoir ont réagit comme tous les journalistes ce jour là. Tous ont procédé de la même façon illustrée par la parodie mise en scène par Coluche sur les "personnes autorisées" qui ne savent rien mais qui parlent quand même.
    Une information vague peut tenir l’antenne (radio ou télé) comme si rien d’autre n’avait d’importance. C’est à chaque fois le même réflexe.
    Au moment où ces journalistes de Radio France veulent nous mobiliser pour les défendre contre les menaces qui les inquiètent on a du mal à les suivre. Quand on a fait un peu de radio on reste impressionné par l’énormité de la machine "France Inter" tant pour ses locaux que pour son personnel.
    Ils réclament une augmentation de la redevance pour continuer à fonctionner ainsi.
    Ils revendiquent leur indépendance politique et, en effet pour l’instant, ils démontrent sa réalité (épaulés par les "humoristes" qui en remettent une couche ou Daniel Mermet qui fait de Là bas si j’y suis une véritable émission militante. Et pas vraiment sarkozyste).
    Si les conditions de recrutement ne changent pas on n’a pas grand’chose à craindre de la nomination d’un patron qui n’aura pas plus d’influence sur la "ligne éditoriale". 



  • daniel daniel 17 décembre 2008 13:46

    Il faut avoir vécu et travaillé pendant des dizaines d’années avec les élèves pour constater qu’il y a une malheureuse fatalité. Je l’ai écrit sur AgoraVox dans un article consacré, il y a quelques jours, aux manifs contre la suppression des SES en seconde (finalement le ministre voulait qu’elles soient obligatoires) : Chaque année, il faut une grève et des manifestations de rue avec un folklore immuable. C’est devenu un rite initiatique et pour avoir toujours vu de très près les "grévistes" et les manifestants je n’ai pas toujours été convaincu de la réalité de leurs inquiétudes. Défoulement collectif, sûrement, spontanéité téléguidée par des syndicats d’enseignants dans leur bataille idéologique contre le ministère, parfois. Un bon piquet de grève de la FCPE peut dispenser les membres du SNES de se déclarer grévistes. Pas d’élèves, pas de cours.
    Lorsqu’il n’y a pas de projet de réforme à contester, on trouve toujours un prétexte.
    Conclusion, ce ministère est ingouvernable et quand on voit une jeune élève de seconde fraîchement élue présidente d’un "syndicat" lycéen faire la leçon au ministre, on se dit que ça ne changera pas de sitôt.
    Pourtant personne n’est satisfait de la "condition enseignante" en particulier ni du fonctionnement de l’Enseignement Public en général, mais les gouvernements, les uns après les autres, s’appliquent à démontrer qu’il suffit de mouvements de rue, de violence et de vandalisme mettant en danger élèves et personnels, pour qu’un ministre intraitable la veille capitule le lendemain. Une leçon facile à retenir. 
    Pendant cette partie annuelle de poker menteur, d’autres travaillent. Ailleurs.



  • daniel daniel 10 décembre 2008 18:47

    Merci de votre remarque
    et je n’ai rien à en retirer. Sauf à ajouter une nuance pour être tout à fait complet. L’administration doit donner l’exemple nous en sommes bien d’accord. On peut dire la même chose des enseignants et nous savons bien vous et moi qu’il y a parfois des manques fâcheux. Je ne me hasarderai pas à discuter des proportions et si vous n’avez rencontré qu’un seul chef d’établissement estimable sur 15 vous avez manqué de chance. Aussi je ne me baserai pas sur ma seule expérience personnelle pour évaluer la proportion d’enseignants estimables (j’en ai connu beaucoup, je le leur ai dit et ils le savent). J’en ai connu aussi qui auraient dû changer de métier car il se mettaient en danger et leurs élèves avec eux. Les rapports et inspections n’ont jamais abouti à des solutions satisfaisantes. Tout le monde ne peut pas être évacué vers les CDDP. Pour finir, un exemple qui concerne un lycée voisin de mon collège. Un professeur agrégé était systématiquement en congé de maladie avant et après les petites vacances. Un puis deux proviseurs ont fermé les yeux sur ces certificats de complaisance. Un troisième a gentiment fait remarqué au professeur qu’il se déconsidérait auprès de ses collègues qui n’étaient pas dupes, des parents qui protestaient par courrier et des élèves devant lesquels il se vantait de sa pratique qui lui épargnait aussi les jurys de bac.
    Cette mise en garde amicale déclencha une procédure auprès du procureur pour harcèlement et un courrier menaçant de l’avocat du professeur.
    Il ya des comportements navrants à tous les échelons et les I.A. (que je ne fréquente pas) auraient peut-être aussi des histoires à raconter.
    Amicalement
    dj

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv