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daniel

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Principal de collège public honoraire, producteur et animateur d' émissions de jazz sur une radio locale havraise et deux radios en Ile de France.
Auteur du PARADOXE DE LA PRECOCITE INTELLECTUELLE. La troisième édition, mise à jour , vient de paraître aux Editions Bénévent.
Les éditions Bénévent ayant été mises en liquidation judiciaire, Le Paradoxe est devenu introuvable. Sauf en ligne sur : www.leblogduparadoxedelaprecociteintellec.blogspot.com
 

Tableau de bord

  • Premier article le 21/02/2007
  • Modérateur depuis le 24/01/2009
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Derniers commentaires



  • daniel daniel 10 décembre 2008 15:09

    Merci canine.
    Après avoir lu tous les commentaires précédents j’avais très envie de mettre mon grain de sel et ce que vous dites sera le début de mon petit mot. Eh oui, heureusement, il y a des chefs d’établissement qui sont présents avant l’arrivée des élèves et ne partent qu’après. Sauf s’ils résident sur place, comme ils devraient tous le faire, par nécessité absolue de service, selon la formule en usage. Et dans ce cas, ils continuent a faire front dans leur quartier après 18h. Leur nom est tagué sur les murs, ils se font traiter d’enculés depuis les étages quand ils sortent dans la rue etc... Et pourtant ils n’hésitent pas à faire respecter le règlement et les personnels. Les conseils de discipline et exclusions définitives sont l’ultime moyen pour évacuer les fauteurs de trouble et protéger personnels et élèves.
    J’espère qu’il y a plus de 10% de chefs d’établissement qui ne relèvent pas du jugement sévère de Paul Villach.
    Qant à la solidarité souhaitable de la part des collègues, il n’y a qu’a lire toutes les réactions qui précèdent pour deviner qu’elle n’est pas toujours unanime. Il y a ceux qui s’en sortent (avec des méthodes honorables ou non) et ne souhaitent pas se faire remarquer, il y a ceux qui ont peur et on ne peut négliger cette réalité. Le seul qui doive être présent pour défendre le personnel menacé, c’est le principal du collège ou le proviseur du lycée. Il est (ou devrait être) sur le terrain tous les jours. Il sait qu’il ne faut pas trop compter sur les autres échelons de la hiérarchie qui ne sont guère enclins à le soutenir lui non plus.
    J’ai été censeur de lycée (une côte cassée par un intrus ivre qui importunait les jeunes filles de l’établissement : réponse du secrétariat général du rectorat :"vous devriez mettre en place des projets d’établissement" ) j’ai été principal de collège (conseil de discipline contre un élève qui ridiculisait un professeur sur son blog : Présence d’un avocat pendant le conseil de discipline qui a fait appel de la décision du conseil d’exclure l’élève ; appel satisfait par le rectorat qui a cassé la décision du conseil de discipline).
    Il faut être courageux et obstiné. Même quand on nous soupçonne d’être un administrateur-voyou, inculte et arriviste.
    dj



  • daniel daniel 14 octobre 2008 17:23

    Il n’y a pas unanimité au sein des CRDP, CDDP et CNDP. J’en sais quelque chose puisque mon Paradoxe de la précocité intellectuelle n’avait pas eu l’honneur de l’imprimatur du Centre national. Il y a là quelques lecteurs qui font la pluie et le beau temps et décident de la ligne éditoriale. Je ne suis pas sûr que Darcos ait beaucoup d’aurorité sur ces gens . Dans les régions, il y a d’autres équipes qui ne sont pas nécessairement à l’unisson. Le Paradoxe a fini par paraître. Il a même été réédité mais sans la pub nationale.
    A chacun d’entre nous de continuer à démasquer l’imposture.
    dj



  • daniel daniel 4 octobre 2008 20:03

    Bonjour,
    Je suis surpris et heureux de voir cité mon petit village dans Agoravox.
    En effet la démarche du conseil municipal fut originale mais discutable. Le but était d’attirer l’attention sur le Sénat (sans doute plus que sur Chevaigné qu’on pourrait prendre pour Babaorum). Objectif atteint mais noyé dans un débat autrement plus bruyant sur les avantages en nature des sénateurs. Pour l’info locale, il est vrai que la population peut se demander quelle sera la prochaine surprise ; Je ne suis pas électeur à Chevaigné mais je ne pense pas que ce coup d’éclat faisait partie du programme avant les élections municipales.
    Cordialement
    dj 



  • daniel daniel 2 octobre 2008 19:41

    Compliments pour votre analyse et le débat qu’elle suscite. Il y a tant de contributions que je les ai survolées.
    Mais vous semblez avoir peu d’estime pour les chefs d’établissement. Il est vrai que celui du film est très ramolo. Nous ne sommes pas tous comme çà. J’ai parfois sorti moi-même de la salle de cours des élèves qu’on entendait de loin mais que des profs tétanisés n’osaient pas contrarier.
    J’ai été au hit parade de l’enquête du POINT parceque je pratiquais la "tolérance réduite au minimum" et renseignais tous les incidents de l’enquête télématique SIGNA (abandonnée depuis l’article du POINT.) Pourtant, le collège que je dirigeais été loin d’être le plus violent et le plus difficile à tenir.
    Vous semblez connaître le système de l’intérieur et vous savez bien que les chefs d’établissement attendent souvent une mutation ou une promotion soumise au bon vouloir de l’I.A. ou du Recteur. Lesquels n’aiment pas du tout les conseils de discipline qui votent une exclusion définitive de l’établissement.
    Donc encore bravo pour votre critique du film et l’article qui suit sur le sujet de l’exclusion.
    Pour la question du choix du livre par France Culture, Nicolas Demorand était alors à F.C. et comme Bégaudeau, il écrivait dand les INROCKUPTIBLES . Demorand a rappelé sur France Inter qu’il avait beaucoup aimé le livre à l’époque.
    dj
    nb : Si vous avez le temps, j’ai moi aussi donné mon avis sur www.surdoues.canalblog.com



  • daniel daniel 17 septembre 2008 14:35

    Merci d’apporter autant d’attention à ma modeste contribution initiale.
    Vous vivez de l’intérieur les problèmes d’effectifs et vous êtes fin prêt pour entrer dans l’administration. 
    A la fin du dernier § de votre dernier message je suis tenté de vous dire combien je suis d’accord avec vous. Pourtant, dans le cas des lycées, je crois que le pouvoir n’est plus dans le bureau du recteur mais dans les bureaux des services qui répartissent les moyens. Les relations courtisanes et politiques (et elles ne manquent pas) jouent peu entre proviseur et recteur. Les recteurs ne s’occupent plus de ces tâches "subalternes". En revanche la répartition des moyens entre le ministère et les académies leur donne l’occasion de jouer des coudes pour défendre leur dotation.
    Pour les collèges, chaque I.A. se trouve dans la même situation et cherche à obtenir du rectorat la dotation maximale. A ce moment les prévisions d’effectifs jouent un rôle important. Le poker menteur ne sert qu’une fois car si on gonfle fictivement ça coûtera cher l’année suivante.
    Pour juger objectivement de votre affirmation, il faudrait connaître le H/E dans votre département ces dernières années. C’est lui qui dira si oui ou non on vous réduit les moyens horaires.
    Si votre principal partage 96 élèves en quatre divisions au lieu de cinq, j’ai l’impression qu’il récupère ainsi plus d’une bonne vingtaine d’heures. Pour le bénéfice d’autres niveaux ou la mise en place d’autres actions.
    Encore une fois je n’ai pas écrit mon texte pour défendre le ministre sur tous les dossiers, et si vous me donnez le rapport H/E départemental décroissant pendant ces dernières années, je serai d’accord avec vous sur ce point.

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