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Emmanuel Goldstein

Emmanuel Goldstein

Citoyen Français, démocrate enragé, rationnaliste intraitable, libre examineur, défricheur d’encyclopédies, frappé d’addiction aux livres, dévoreur d’Histoire, de philosophie, de politique et de droit, epicurien, défenseur acharné des libertés publiques.

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  • Premier article le 08/10/2007
  • Modérateur depuis le 25/06/2009
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Derniers commentaires



  • Emmanuel Goldstein Emmanuel Goldstein 9 octobre 2008 21:37

    Je comprends ce point de vue du rejet de toute violence. Je suis moi même non violent. 

    C’est une des raisons qui m’a conduit à écrire cet article. Je voulais évaluer la possibilité d’une révolution non violente. 

    Je suis obligé de conclure qu’un rapport de force est nécessaire à un moment donné, fut-il le plus bref possible. 

    Et je pense qu’en ces circonstances, votre position n’amène qu’à l’échec, et à la victoire permanentes des forces d’oppression. 



  • Emmanuel Goldstein Emmanuel Goldstein 9 octobre 2008 21:35

    Je pense que votre position est tout simpelment la négation des avancées obtenues par la révolution. 

    Je ne masque pas dans mon texte le "côté obscur de la révolution" (massacres, putsh), et j’indique bien qu’il faut à tout prix éviter ces débordements. 

    Mais désolé, sans cette transition révolutionnaire, vous n’auriez pas aujourd’uhi les libertés qu’il vous restent. La déclaration des droits de l’hommes, qui fait partie intégrante de notre Constitution, n’existerait pas, et c’est toute la République qui n’aurait pas existé. 

    Donc, comme vous je pense que la révolution était un moment violent à passer, mais qu’il a permis des avancées historiques essentielles qui subsistent encore (certes un peu rognées sous certains aspects) et permettent notre liberté. 

    De plus, vous omettez l’impact international de la révolution, qui a apporté au monde entier l’aune auquel juger du niveau de liberté des peuples. 



  • Emmanuel Goldstein Emmanuel Goldstein 9 octobre 2008 21:31

    M. SAlvador, c’était notamment en réaction à votre article que j’ai écris le mien au départ. Il m’a amené à d’autres réflexions qui dépasse le seul cadre que vous souleviez. 

    Mais je pense justement que la révolution purement "intellectuelle" que vous appellez de vos voeux n’a aucune effectivité. 

    Je n’affirme pas être favorable à une révolution. 

    Mais je pense qu’on ne peut pas utiliser ce terme autrement que dans l’idée d’un véritable rapport de force même symbolique qui "contraigne" "l’élite" ou l’autorité politico-médiatique à plier devant la souveraineté du peuple rationnel. Disons que je pense que ce que vous proposez n’est pas une révolution, mais un simple combat moral que ceux qui ont le devoir de le répercuter (les medias tradis) peuvent mépriser continuellement par l’omerta, et marginaliser par la diffamation. 

    Bref, sans rapport de force réel qui contraigne les acteurs à revoir leur position, sans jonction de toutes les forces d’opposition, ces dernières resteront marginales. 



  • Emmanuel Goldstein Emmanuel Goldstein 9 octobre 2008 21:21

    non666 je ne partage pas votre souverainisme, et je reste internationaliste.
    Je suis pour la mondialisation, mais contre l’idéologie du choc des civilisation et de "l’élite mondialisée". 

    J’ai voté oui à la constitution européenne. Mais depuis, face aux incapacités de l’Europe a faire face aux souverainetés populaires (notamment en relation avec le traité de Lisbonne), je pense qu’il faut réserver transitoirement notre position sur l’Europe. 

    En revanche, lorsqu’il apparaît que cette élite mondialiste répond à un projet d’asservissement et d’appauvrissement des peuples, la souveraineté nationale, populaire et insurrectionnelle reste la seule solution transitoire. Pierre Rosanvallon parle de "démocratie immédiate" pour qualifier ce mode de souveraineté. Lorsque les peuple se font voler leur souveraineté, j’estime qu’ils devient légitime d’envisager un retour temporaire à la démocratie immédiate, dans le but de refonder les principes. 

    Rappellez vous que c’est "l’oubli" des droits de l’homme qui est la cause de tous les malheurs publics". 

    Enfin, je n’aime pas l’idée de "listes", car je ne reste un démocrate, et que c’est justement ce que nous devons combattre, avec edvige ou esdvirsp et le reste. 



  • Emmanuel Goldstein Emmanuel Goldstein 8 octobre 2008 03:29

    "Ensemble" ? 


    Je ne crois plus. La rupture est consommée entre ces gens et le peuple. 

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