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Emmanuel Goldstein

Emmanuel Goldstein

Citoyen Français, démocrate enragé, rationnaliste intraitable, libre examineur, défricheur d’encyclopédies, frappé d’addiction aux livres, dévoreur d’Histoire, de philosophie, de politique et de droit, epicurien, défenseur acharné des libertés publiques.

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  • Premier article le 08/10/2007
  • Modérateur depuis le 25/06/2009
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Derniers commentaires



  • Emmanuel Goldstein Emmanuel Goldstein 17 octobre 2008 18:01

    Et si les Français se gouvernaient avec leur souveraienté du peuple, l’esprit de la Révolution Française, la République, la Raison, le pluralisme démocratique ? 

    Plutôt que de choisir entre le neo-conservatisme américain-chrétien, le néo-conservatisme juif et le neo-conservatisme musulman ? 

    Et si on redevenait montagnard intransigeant ? 



  • Emmanuel Goldstein Emmanuel Goldstein 12 octobre 2008 16:14

    A l’auteur,

    Le genre de "décision" à laquelle vous avez été confrontée, peut faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir. Une telle décision ne peut se fonder que sur un règlement intérieur. Et si une telle disposition n’y est pas inscrite, il s’agit d’un détournement de pouvoir, puisqu’il n’y a aucun texte auquel rattacher le pouvoir de vous interdire de prendre une photo. 

    L’arrêt Daudignac de 1951 concerne exactement la même situation, sauf que le photographe qui s’était vu interdire son activité dans la rue était un professionnel et il s’agissait d’une question de liberté commerciale. 

    En ce qui vous concerne, il s’agit plus simplement de la question de savoir si le règlement prévoyait cette éventualité. Si ce n’est pas le cas, il y a excès de pouvoir, du moins c’est au juge de le déterminer. 



  • Emmanuel Goldstein Emmanuel Goldstein 10 octobre 2008 00:38

    Pour le reste vous me voyez rejoindre vos analyses. Mais pitié, changez d’avatar !



  • Emmanuel Goldstein Emmanuel Goldstein 10 octobre 2008 00:31

    Vous le dites vous même : prendre en compte les éléments non officiels du 11 septembre amène immanquablement à envisager (je dis bien envisager, je ne dis pas "juger") l’hypothèse soit du complot gouvernemental direct (MIHOP ou "inside job"), soit de l’implication de réseaux "traitres" privés ou non. MAis c’est de la spéculation. 

    En revanche, les efforts mis dans le fait de ne pas tout réveler de la part des autorités américaines et l’omerta médiatique sont dans des sociétés démocratiques des phénomènes tout à fait anormaux (au-delà du fait que dans une enquête criminelle, un faux témoignage ou la rétention d’information est déjà criminelle). S’ils voulaient (enfin) mettre fin à cette querelle, ils n’auraient pas ce comportement tout à fait dictatorial. Les efforts mis à masquer l’intégralité de ces données amplifie même le sentiment qu’il y a bien quelque chose à cacher. 

    Pour ma part, je m’en tiens à la position "poperrienne" : j’infirme la version officielle, mais je ne peux affirmer qu’un tel ou un tel est responsable. Comme je l’indique, il y a divers "courants" conspirationistes.

     En revanche, le jour où une ENQUETE CRIMINELLE aura lieu, que tous les éléments disponibles d’archives seront sérieusement étudiés de façon contradictoire, le jour où la JUSTICE aura tranché, nous autres conspirationistes retournerons à nos foyers vivre nos vies tranquilement. Justice sera faite. Et aujourd’hui, ni vous ni moi ne pouvons faire autre chose que demander cette enquête. 

    Je remarque tout de même que la position des pro-vo évolue, et que nos vies ne seront peut-être pas vécues en vain. Il y a deux ans, il n’aurait pas été imaginable de voir un pro-vo dire qu’il est "louable de demander la réouverture d’une enquête". 

    Quant à la révolution, elle concerne, elle, l’ensemble de l’internationale neo-conservatrice qui est "trans-civilisationnelle" puisque les nouveaux fanatiques sont de toutes les civilisations. 

     



  • Emmanuel Goldstein Emmanuel Goldstein 10 octobre 2008 00:16

    En partie seulement parce qu’il n’y a pas de substitution de conscience de pouvoir avec la méthodologie que vous proposez, comme je l’explique au milieu de mon papier. 

    Il n’y a qu’une négativité, et pas de positivité ultérieure. 

    De plus, le but d’une révolution n’est pas de ruiner tout le monde. L’idéal sont les révolution populaires courtes et massives qui s’ensuivent par un départ rapide du pouvoir executif, comme ce fut le cas en 1830, 1848, et de façon un peu différente, en 1870. 

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