• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Emmanuel Goldstein

Emmanuel Goldstein

Citoyen Français, démocrate enragé, rationnaliste intraitable, libre examineur, défricheur d’encyclopédies, frappé d’addiction aux livres, dévoreur d’Histoire, de philosophie, de politique et de droit, epicurien, défenseur acharné des libertés publiques.

Tableau de bord

  • Premier article le 08/10/2007
  • Modérateur depuis le 25/06/2009
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 7 320 289
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 35 21 14
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique










Derniers commentaires



  • Emmanuel Goldstein Emmanuel Goldstein 8 octobre 2008 03:17

    Camarade Lyon !

    Tes camarades neo-conservateurs sont devenus socialiiiiissss eux aussi : ils ont nationalisé des mega-banques !

    Misère : ça fait de toi un allié de Kim Jong Il !!!!



  • Emmanuel Goldstein Emmanuel Goldstein 7 octobre 2008 19:44

    Oui, très d’accord avec vous. 

    La baisse d’hier est totalement irrationnelle. 

    Les financiers et banquiers se comportent comme des moutons suivistes et créent des surréactions sur les marchés. Il faut que ces gens se calment. 

    Dans un ouvrage de Daniel Cohen, 27 question de politique économique (2007), explique très bien le fonctionnement suiviste des marchés financiers. Chaque acteur détermine ses anticipation sur ce qu’il évalue être les anticipation des autres acteurs qui anticipent eux-mêmes etc. 

    Le milieu bancaro-financier dit aux Etats et aux Banques centrales : "donnez nous votre argent ou on ne rembourse pas les dépots". 

    Face à ce chantage, qui fonctionne par la terreur mediatique, il faut résister. Si cela persiste, il faudra purement et simplement nationaliser les banques. 



  • Emmanuel Goldstein Emmanuel Goldstein 7 octobre 2008 19:38

    Oui, très d’accord avec vous. 

    La baisse d’hier est totalement irrationnelle. 

    Les financiers et banquiers se comportent comme des moutons suivistes et créent des surréactions sur les marchés. Il faut que ces gens se calment. 

    Dans un ouvrage de Daniel Cohen, 27 question de politique économique (2007), explique très bien le fonctionnement suiviste des marchés financiers. Chaque acteur détermine ses anticipation sur ce qu’il évalue être les anticipation des autres acteurs qui anticipent eux-mêmes etc. 

    Il y a dans cette crise une sorte de sommation, par le milieu des banquiers, à obtenir des liquidités des banques centrales. Le milieu bancaro-financier utilise la terreur pour obliger les Etats à leur apporter de l’argent frais. Les banquiers disent aux Banques centrales et aux Etats : "soit vous nous donnez votre argent soit on ne garanti plus les dépots". 

    Si nous voulons mettre fin à ce chantage de grande ampleur, il faut purement et simplement NATIONALISER le système bancaire. 



  • Emmanuel Goldstein Emmanuel Goldstein 7 octobre 2008 19:15

    http://www.lepoint.fr/actualites-economie/les-bourses-de-paris-et-de-londres-terminent-en-leger-rebond/916/0/280326 

    Je crois qu’il faut éviter de s’envoyer des signaux de peur en ce moment, car c’est exactement ce qui plonge le système dont on oublie les fondamentaux bien réels. 

    Pour eviter la crise systèmique, il faut justement laisser passer l’orage sans penser à se précipiter dans le vide ou à sa banque. 

    Tous les prêts sont corrélés à des BIENS MATERIELS, DES APPARTEMENTS, DU CAPITAL D’ENTREPRISES. Même si leur valeur faciale baisse, elle finira par remonter si on arrete ce psychodrame financier...

    N’oubliez pas Naomi Klein : on produit la terreur et on justifie tout ce qu’on veut. 

    Et puis, si c’est la fin de la finance casino, tant mieux. On en reviendra à des bases saines, dans l’économie réelle. 

    Le problème de liquidité ne se pose que si tout d’un coup, tout le monde veut des liquidités. Et c’est justement ainsi que le système s’effondre. Si tout le monde se calmait, laissait passer l’orage, rachetait des titres en baisses mais corrélés à des biens matériels bien réels, alors le système se stabiliserait de lui-même. 

    Résistons à cette terreur, l’orage passera, et comme le remarque l’auteur, on va enfin pouvoir acheter des appartement à des prix normaux. 






  • Emmanuel Goldstein Emmanuel Goldstein 7 octobre 2008 19:07
    Les Bourses de Paris et de Londres terminent en léger rebond

    Les Bourses européennes ont clôturé globalement en baisse mardi, même si les places parisienne et londonienne sont parvenues à opérer un léger rebond.

    L’indice parisien CAC 40 a gagné 20,24 points, soit 0,55%, à 3.732,22, après avoir plongé de 9,04% lundi, sa plus forte baisse depuis sa création en juin 1988.

    Les compartiments de la banque et de l’assurance ont à nouveau fortement pesé sur la tendance, cédant respectivement 3,91% et 2,49%.

    Les banques britanniques ont particulièrement souffert. RBS a dévissé de près de 40% à 93,4 pence, son plus bas niveau depuis fin 1993. Lloyds TSB a perdu 12,93% à 233,5 pence et Barclays 17% à 283 pence.

    Le Premier ministre britannique Gordon Brown et son ministre des Finances Alistair Darling avaient une réunion ce soir sur la crise financière avec le gouverneur de la Banque d’Angleterre Mervyn King.

    Dexia a abandonné 13,31% à 5,90 euros, après l’arrivée d’un nouveau tandem à sa direction, l’ancien Premier ministre belge Jean-Luc Dehaene et Pierre Mariani, venu de BNP Paribas, qui a pour sa part repris 1,37%.

    Les transactions boursières sur le groupe financier belgo-néerlandais Fortis restent elles suspendues, jusqu’à ce que Fortis publie un communiqué sur les conséquences financières des différents accords passés récemment.

    Du côté des éléments de soutien, qui ont permis à l’indice paneuropéen Eurofirst 300 de limiter son recul (-0,18%), la Réserve fédérale américaine a décidé de créer une ligne de crédit spéciale pour acheter des billets de trésorerie (papier commercial).

    L’Union européenne a réaffirmé de son côté sa volonté unanime de garantir les dépôts bancaires de quelque 490 millions de citoyens européens et de venir en aide, au cas par cas, aux banques le nécessitant.

    Stanislas Dembinski

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv