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eric

Travailleur émigré en russie

Tableau de bord

  • Premier article le 06/01/2009
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Derniers commentaires



  • eric 13 novembre 2007 08:49

    Je ne sais pas ce que veut dire ordolibéral mais il me semble que les termes que vous utilisez par ailleurs vont dans le même sens que votre article. Une sorte de personnification ou personalisation du marché, qui n’est aprés tout qu’un lieu comme vous le rappellez.

    Peut être serait il plus judicieux de dire, des technocrates ou des politiques ou des fonctionnaires europééens, ou les citoyens européens à travers leurs représentant ont organisé les marchés en europe d’une façon qui fait qu’ils ne présentent pas tous les avantages thèoriques que vous en attendriez.

    Le fonctionnement des marchés en europe est il assez libre pas assez libre, trop libre ? Tous cela n’est pas une question de marché mais de politique et de démocratie.

    Je préssens que vous sous entendez peut être par ordo libéral qu’il y a un ordre libéral sous optimal. Mais que cela soit vrai ou pas, là n’est pas la question. L’important est de savoir si l’europe est démocratique ? Si oui,cet ordre est préférable par nature. Prétendre qu’une solution technique est tellement bonne qu’elle devrait échapper au choix démocratique, cela s’appelle la technocratie.

    Je crois qu’elle réprésente la tentation de Dupuy.

    Je crois aussi que cette tentation technocratique est plus dangeureuse du point de vue de la folie mimétique que les risques que l’on peut rencontrer sur les marchés.



  • eric 12 novembre 2007 23:32

    Dupuy à tendance à complexifier l’expression des idées de Girard tout en les dénaturant un peu.

    Ce que vous décrivez dans cet article, le marché, un des lieux ou s’exprime la tendance au mimétisme des etres humains, me parait un bon exemple de limitation, et peut être de limitation orientée et pas entièrement désintéressée...

    Comme dans « ordre et désordre », l’idée sous jacente est que tous cela est bien compliqué, mais que fort heureusement, des spécialistes de la « complexités », sont à même de déterminer mieux que « ces mécanismes erratiques et irrationnels de marché » ce qui sera bon pour le bien public, lui même déterminé par les dits spécialistes.

    Au jour d’aujourd’hui, force est de constater que si rien ne nous garantie que la mauvaise réciprocité ne nous conduira pas au « désastre » ou dans « la » « bonne » direction, c’est bien dans le domaine des marchés au sens économique qu’elle en a le moins produit. Rien à voir par exemple avec la politique, l’idéologie, la religion etc...

    Depuis 200 ans, on nous annonce que le marché nous conduit à la catastrophe sociale, écologique, humanitaire ou pourrait être suseptible de l’être. Au millions de mort concrets du Nazisme, folie mimétique dont le lieu fut l’état, nous opposera-t-on les millions de gens qui auraient peut être vécu vécu ou mieux vécu si le marché n’avait pas été fou ?

    En réalité votre titre est trop limitatif, il aurait fallu écrire, l’humanité, lieu de la folie mimétique.

    L’homme est au risque de la folie mimétique, le marché, lieu de rencontre d’échange de confrontation entre des hommes n’en est pas exempt.

    En pratique, le marché est peut être « le » lieu ou les forces de rappel sont les plus importantes, l’intervention publique, l’intervention de la société civile organisée, ’syndicats de travailleurs ou de consommateurs, la concurrence nationale et internationale, les choix individuels des consommateurs au quotidien.

    Quand vous parlez des « thèoriciens du marché » j’imagine que vous faites, par erreur, allusion aux libéraux. Toute personne qui étudie les marchés pour essayer d’en comprendre le fonctionnement est un thèoricien du marché. Marx par exemple à une thèorie du marché. Vous aussi ici.

    Les libéraux analysent le marché à partir d’un modéle thèorique, celui du marché pur et parait pour ensuite comprendre les écarts, lié à l’irrationalité humaine comme aux disfonctionnements qui souvent en résultent. Leur conclusion politique est que le marché n’est pas ce qu’il y a de plus efficace ou le plus rationnel pour atteindre un but donné, limité et démocratiquement décidé, mais que quand un tel but n’existe pas de façon évidente et consensuelle, le meilleur système est de laisser leur liberté au gens. C’est un point de vue éthique et non économique. Toutes les économies les plus libérales ont plannifié la production en temps de guerre. Mais ce n’est pas tous le temps la guerre.

    Le risque d’un dévellopement techologique menant à la catastrophe peut exister, mais il n’est pas dépendant de la forme des choix. Le marché est sans doute ce qui offre les meilleure chance de sélection de technologies pas trop délirantes. C’est là que la t’echnique est le moins au risaue d’une autonomie parce que c’est là qu’il y a le plus d’intervenant humains aux intérêt contradictoires.

    Prenons le nucléaire. Aux états unis, le marché n’a pas cru à cette technologie et ne l’a pas massivement et systèmatiquement dévelloppé. En France, une minorités de spécialistes a fait des choix technologiques peu démocratiques, sure de sa compétence et de sa légitimité. Si dans 20 ans les américains n’arrivent plus à se chauffer, on pourra dire que le marché est aveugle. Si dans 20 ans nous sommes tous Tchernobylisé, on dira que le marché à évité le pire aux américains.

    Vouloir isoler un lieu privilégié de la folie mimétique c’est très exactement désigner un bouc émissairre, un lieu extèrieur d’ou vient le sens, ici le mal.

    Démonter qu’aucun lieu humain et donc notamment le marché, n’est a l’abri de la folie mimétique de l’homme me parait pas une grande percée thèorique.

    Dméontrer qu’aucun mécanisme ne mettrait par lui même l’homme à l’abri de lui même non plus. On peut dire exctement la même chose de toute institution, l’Etat par exemple qui non seulement n’en est pas à l’abri mais c’est avéré en pratique l’outil privilégié de son déchainement meurtrier.

    La conclusion est qu’il faut « veiller aux commencements », qui, comment, pourquoi et sur quelle base ?

    La conclusion de Girard qui est qu’il faut se convertir soi même, personellement. Elle me parait plus prometteuse et surtout potentiellement plus démocratique.



  • eric 7 novembre 2007 16:12

    @ Loic, excellent exemple, dans la série la vie existe au de la du periphérique, nos amis d’outre quievrain, de ce qu’une fusion nous apporterait , un peu de vrai décentralisation pour toutes les régions francaise, car les chicons c’est comme cela que cela s’appelle dans le nord de la france et ce n’est donc pas un terme étranger même si ce n’est pas compris à Paris.



  • eric 7 novembre 2007 11:46

    Comme francais, il m’est difficile d’avoir une opinion sur les positions flamandes. Comme en Estonie quand je parle Russe, j’ai eu affaire aux réactions aggressives voir hargneuses de flamands quand je parlai français même si mon accent parisien devait bien leur faire comprendre que je n’étais qu’un touriste égaré. Mais comme en estonie, peut être est il vrai que les wallons payent les humiliations passées ? Peut être est il vrai que les premiers travaillent plus et que les seconds sont plus assistés , Je n’en sais rien et de toute façon on ne nous demandera pas notre avis.

    J’ai découvert par hasard au Québec chez les indépendantistes qu’ils existerait un mouvement rattachiste Belge. Et alors là, j’ai une opinion. Je suis pour ! J’ai l’impression que les Belges francophones ont toutes les qualités qui font le charme de la France sans la pluspart des défauts français. Rattacher France et Wallonie contraindrai la France à faire preuve de souplesse, d’adaptation, notamment pour tenir compte des spécificités juridiques, culturelles etc...de remettre à plat beaucoup de nos archaïsmes. Notre état contraint de se poser des questions dans le cadre de négociations avec un autre état sur un pied d’égalité dans le but d’une fusion ou d’une fédération. chaque administration mettant à plat les deux systèmes pour tenter de trouver ce qu’il y a de meilleur.Des fonctionnaire franco belges ou belgo francais habitués aux négociations avec des irrédentistes en corse , des focntionnaires franco francais à bruxelles économisant les primes d’expatriation etc... Une vraie brèche dans le jacobinisme centralisateur ! Quelle chance pour la France ! Pour la Wallonie ? Cela c’est à vous de voir. Donc en ce qui me concerne, c’est quand vous voulez ! Bienvenu !

    Bruxelles capitale extraterritorialisée de l’Europe ? Je suis plus réticent. L’appartenance à une communauté nationale est le seul patrimoine et la principale identité des citoyens les plus défavorisés. Un modèle extranational est peut être adaptés à des gens de haut niveau intellectuels vivant déjà entre plusiseur pays et culture,mais pour le bruxellois de base, ce projet n’est il pas un peu élitiste ?



  • eric 1er novembre 2007 05:03

    Pour ne pas perdre votre temps à lire cet article en voici un résumé. Sarko est nul, pipol et vichyste et Ségolène est exactement pareil et d’ailleur c’est la faute de Sarkozy.

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