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eric

Travailleur émigré en russie

Tableau de bord

  • Premier article le 06/01/2009
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • eric 1er novembre 2007 04:54

    http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/opinions/20071031.OBS2402/une_bon ne_mesure_meme_si_elle_nest_pas_tres_opportune.html

    Dosière a qualifié cet article par avance, démagogique et irresponsable. On pourrait rajouter populiste, mensonger dés le titre ’ c’est désormais justement le parlement qui décide et non plus le seul président, pleurnichard, sous informé. Nul



  • eric 31 octobre 2007 12:00

    Avouons le, nous, protestant, avons raté notre coup !

    La laïcité, telle qu’elle trouve son origine dans la Bible, était un des axes de la réforme. Quand Calvin a voulu trop s’impliquer dans la vie civile,les autorités de Genéve l’on mis à la porte. Même chose avec d’autres thèologiens dans les villes libres de hollande etc... Locke à bien expliqué comment à l’inverse il était parfaitement inutile pour l’Etat de contraindre les religions.

    En France, vieux pays césaro papiste mais pas entièrement acquis à la contre réforme, nous avons essayé d’implanter ce concept laïque. Ferdinand Buisson par exemple à crée une morale laïque sur la base de l’éthique protestante à destination des instituteurs. Jules Ferry et son staff de réformés, ont essayés d’introduire une laïcité respectueuse de type protestant libéral.

    Quelques succés, mais dans l’ensemble,notre « complot a échoué. Le fond culturel »césaro papiste" a résisté.

    Marcel Gaucher dans « La religion dans la démocratie » montre très bien que les laïcard d’aujourd’hui sont resté des « croyants » et que la laïcité à la francaise telle que l’illustre cet article est une religion, pour ne pas dire, par respect, une mythologie, bien pensante intolérante et au total peu laïque.

    Ratiocinner pour savoir si on peut interdire le voile dans l’entrée d’un gite rural est de l’ordre de la querelle byzantine mais aussi de la police de la pensée. Quand on en est à condamner l’intention qui est derriéère la pensée qui est derrière l’acte, on peut aller très loin. Vous finirez comme la Pologne de Jaruzelski par interdire le port des lunettes noire en classe et par vous ridiculiser.

    Cela commence d’ailleurs déjà. On voit des laîques lutter contre le « symbole chrétien » du Sapin de noel dans les écoles....alliant l’intolérance à l’inculture.

    Tous cela est d’autant plus pathètique que vous vous trompez de combat comme les islamistes du reste. Que les intégristes islamiques en soient réduit à envoyer des jeunes filles dans la rue ou à la télé réclamer un droit à porter le voile est un signe de leur intégration accélérée à notre société et à nos valeurs. C’est un comportement occidental. Dans un pays musulman traditionnel, on imagine mal des femmes manifestant pour défendre leur droit de choisir !

    A certains égard, nous avons eu plus de succés avec les catholiques francais dont la tolérance, l’ouverture aux autres, la modération, devraient être un exemple pour les quelques bigots laïques qui subsistent.

    D’ailleur, sur les 100 filles exclues en 10 ans de l’éducation nationale dont la moitié réintégrée (bonjour le phénomène de société) ; beaucoup ont fuie dans le privé catho ou très souvent, elles ont finit par retirer leur voile d’elles même, tant il est vrai que bien malin celui qui parvient à contraindre un adolescent à s’habiller comme il ne veut pas et que c’est un age ou les choses changent vite. Sauf si on en fait une question de principe.

    Le rapport Obin sur l’école face à l’obscurantisme religieux semble bien montrer entre les lignes, que les réaction apparemment intégristes sont souvent une réaction à l’intolérance inculte et dogmatique des laïques.

    Enfin j’aimerai attirer votre attention sur un enjeu beaucoup plus important que le voile et souvent ignoré des laîques. Il est un symbole religieux démonstratif qui est en vente libre partout et personne ne fait rien ! Le croissant boulanger a été inventé à Vienne pour narguer l’islam en mangeant son symbole. Ces croissants sont partout et personne ne dit rien ! On détourne l’attention des laïque sur le voile qui est très minoritaire, alors que chaque matin, des millions de francais, rendent sans le savoir un hommage muet à l’intolérance religieuse !

    Faites quelque chose !



  • eric 27 octobre 2007 10:41

    Perte de temps pathétique et regrettable ! Il y a tellement plus urgent !

    Grande découverte de l‘article, Sarkozy parle comme on parle et non comme on écrit ! Le désir de démontrer la pauvreté du langage parlé de Sarkozy conduit à une complication de l’écriture qui le rend à la limite du digeste sans que pour autant elle parvienne à cacher l’essentiel. Le point de départ est que Sarkozy est méchant menteur et ultralibéral, le corps est d’interpréter tout mot de son cru en procès à charge.

    Ors tous discours politique public présente les caractéristiques que vous décrivez tous partis confondus. Tous discours qui se veut présidentiel doit par exemple appeler à l’unité nationale. C’est tellement un passage obligé que l’on sait que Delanoë envisage de se présenter depuis qu’il en a parlé et qu’on l’enseigne dans les cours d’art oratoire. Tous discour oral qui veut passer recour à la répétition qui est une des bases de la communication.

    Il aurait été plus intéressant, plus objectif, plus éclairant de faire des comparaisons.

    Tient, un exemple, la rupture. Vous avez de la chance que Sarko, se la soit approprié. Strauss Kahn présenta le concept proprement révolutionnaire de « réformisme radical » Jospin le « réformisme révolutionnaire » Mitterrand de « rupture avec le capitalisme » Ségolène : le marché, eau du poisson, mal, nécessaire, à combattre. Fabius« gauche durable »

    Et le tout par écrit s’il vous plait !

    Comme spécialiste vous n’aurez aucun mal a voir qu’il s’agit d’oxymores dans les deux premiers cas, comme d’ailleurs la plus part des concepts agités par la gauche aujourd’hui. Les bourgeois bohêmes, l’élitisme égalitaire, la désobéissance civique citoyenne, la recréation du lien social par des spécialistes appointé (en gros l’État va recréer la société) d’archaïsme de la pensée dans le troisième, de bouillie intellectuelle dans le quatrième et de concept marketing sans épaisseur pour le dernier.

    La synthèse, chère aux cœur de gauche ne pouvait que déboucher tôt ou tard sur le concept de « rupture réformiste durable révolutionnaire anticapitaliste de marché.... Ah ! Cela, ça fleure bon la complexité ! Sarkozy leur aura au moins évité cela.

    Et encore y a-t-il ici un grand progrès. Le fait que l’oxymore ait remplacé le pléonasme dans la langue des orateurs de gauche est au fond assez rassurant au moins sur la plan politique sinon sur le plan intellectuel Quand ils parlaient de démocratie « populaire« , de justice « sociale », il était clair que justice et démocratie n’étaient pas prévues pour tous le monde.

    Leur langue à eux ne permet pas de penser la complexité elle se complexifie inutilement pour cacher l’incurie contradictoire de la pensée quand ce ne sont pas des arrières pensées plus inquiétantes.

    Parler de rupture revient à dire qu’il va y avoir un « moment » de changement avec les politiques passées, marquée par l’absence de réforme dans des domaines clefs. On voit à peu prêt de quoi on parle.

    Parler de réformisme radical ne rend pas compte d’une complexité mais de l’intention de ne rien faire, car à ne pas choisir entre réformisme et radicalité qui sont deux méthodes « radicalement distinctes, c’est bien annoncer l’immobilisme.

    Ce que vous reprochez le plus à Sarkozy, c’est d’essayer d’être compris approuvé suivi soutenu politiquement et de l‘être. Il fait de la politique. Invoquer la complexité est en revanche le recours type du technocrate. C’est tellement compliqué... Seul un spécialiste peut réellement la comprendre et surtout l’exprimer. A la limite, pourquoi voter ?

    Évoquer la bêtise ou l’émotivité immature des électeurs trompés pour expliquer pourquoi son discours passe et pas celui de ses adversaires, ne peut pas fonctionne dans un pays ou 80% des jeunes ont le niveau bac. Sauf à avouer un mépris abyssal pour ses concitoyens. Car l’article dit explicitement que si les africains ne sont pas plus bête que les autres, les électeur UMP si, qui avalent n’importe quoi au prix d’un langage de charretier.

    Compte tenu qu’il était sortant, que son profil personnel ne représente pas l’idéal type de l’électorat de droite traditionnelle, que la situation sociale du pays n’est pas très brillante et de l’intensité du pilonnage TSS, il est clair que sa victoire sans précédent récent est à certains égard moins une réussite de son discours qu’un rejet presque viscéral de la langue de bois de gauche arrogante hautaine pédante suffisante, technocratique et contradictoire.

    Un tel triomphe avec une langue « la plupart du temps redondante, cabotine, affabulatrice, incantatoire plus qu’explicative, impropre à penser la modernité » devrait surtout vous inciter à « commencer de décrypter, d’alerter, de résister » à ce qui se dit en face, car perdre face à un adversaire pareil en dit plus long sur ses opposants et leur langue à eux que sur lui-même.

    Ayant conclu qu’il était bête méchant et pervers, mais c’était aussi le présupposé de départ, la vrai urgence démocratique ne serait elle pas de comprendre comment les brillants intellectuels complexes d’en face ont pu devenir inaudible au point de perdre sans en rester à la facilité de la bêtise du « peuple » ?

    Tient, pour commencer, essayez de « décrypter ce que peu bien vouloir dire votre « incantatoire« « dérégulation néo libérale« . Dans le genre stéréotype, cela rappelle le fameux « y a un problème au niveau des structures » Un anglicisme, qui n’existe pas en Français, adossé à un concept anglo saxon un peu floue, avec une goutte de latin pour faire chic mais qui ne change rien au fond dans la mesure ou les libéraux n’ont guère changé leurs principes de base. Cela peut avoir un sens en amérique ou la gauche libérale essaye d’expliquer en quoi son libéralisme diffère de celui de la droite, guère en France ou la droite peu libérale n’a pas besoin d’exhiber sa différence face à une gauche qui ne l’est pas du tout. Dans le genre penser la complexité, cela se pose un peu là !

    Bon travail !



  • eric 26 octobre 2007 23:31

    Perte de temps pathétique et regrettable ! Il y a tellement plus urgent !

    Grande découverte, Sarkozy parle comme on parle et non comme on écrit !

    Le désir de démontrer la pauvreté du langage parlé de Sarkozy conduit à une complication de l’écriture qui le rend à la limite du digeste sans que pour autant elle parvienne à cacher l’essentiel. Le point de départ est que Sarkozy est méchant menteur et ultralibéral, le corps est d’interpréter tout mot de son cru en procès à charge.

    Ors tous discours politique public présente les caractéristiques que vous décrivez tous partis et candidats confondus. Tous discours qui se veut présidentiel doit par exemple appeler à l’unité nationale. C’est tellement un passage obligé que l’on sait que Delanoë envisage de se présenter depuis qu’il en a parlé et qu’on l’enseigne dans les cours d’art oratoire.

    Il aurait été plus intéressant, plus objectif, plus éclairant de faire des comparaisons.

    Tient, un exemple, la rupture. Vous avez de la chance que Sarko l’ait utilisé, se la soit approprié Il revient à la tendance Strauss Kahn d’avoir défendu le concept proprement révolutionnaire de « réformisme radical » Jospin le « réformisme révolutionnaire » Mitterrand de « rupture avec le capitalisme » Ségolène : le marché, eau du poisson, mal, nécessaire, à combattre. Fabius« gauche durable »

    Et le tout par écrit s’il vous plait !%0



  • eric 26 octobre 2007 16:22

    @ Gazi bora, effectivement Perrineau cite d’ailleurs Adorno. C’est lui qui, moins prudent, l’applique au Fn en démontrant que l’on trouve toujours ce que l’on cherche. Car si on entend certainement des blagues grivoises dans des réunions du Fn , le FN ne compte pas au nombre des partis qui se passionnent absolument pour légiférer en matière sexuée, qu’il s’agisse de parité, d’homosexualité etc... et qui trouvent en une improbable « élite ultralibérale mondialisée » la cause de tous les maux sociaux etc...

    Vous avez parfaitement raison sur votre deuxième point. C’est exactement le but poursuivi. Nous, jeunes générations de la grande droite libérale, populaire sociale républicaine et démocratique, ne sommes plus comme nos grands parents prisonniers de notre bonne foi et prêt à nous laisser noyer sous des flots d’une indignation aussi violente que pleurnicharde et politiquement intéressée.

    Face à l’indigence d’une pensée qui navigue entre la réduction ad lepenum et l’évocation de Vichy à tous bout de champs et qui relève de la cour de récréation d’école primaire la seule réaction approprié Est C’est celui qui dit qui l’est......

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