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Eric de Trévarez

Recherche en séméiologie et symbolisme. Agrégé d'Economie et Gestion
 
 

Tableau de bord

  • Premier article le 04/07/2008
  • Modérateur depuis le 14/01/2009
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Derniers commentaires



  • Eric de Trévarez 3 mai 2010 22:18

    La situation me semble trop complexe, pour avoir uniquement des solutions politiques.



  • Eric de Trévarez 4 janvier 2010 01:54

    Effectivement , voilà aussi une autre démonstration du paradoxe de Zénon, elle utilise le théorème sur les limites :

    On envisage deux cas :

    1) la distance entre le départ et la destination de la flèche, est une distance finie
    2) la distance entre le départ et la destination de la flèche, est une distance infinie 

    - 1) si la distance entre le départ de la flèche et sa cible est une distance finie :
     
    le fait de diviser ce nombre fini, succesivement, un très grand nombre de fois par 2, donne un reste qui tend vers 0.

    la flèche atteindra donc son but.


    -2) si la distance entre le départ de la flèche et sa cible est une distance infinie : 

    si on divise l’infini par 2 une infinie de fois, on obtient une indétermination, car l’infini divisé par l’infini, donne une indétermination (et non pas 1) ( l’infini X 2 = l’infini)
    Infini/infini= indétermination

    on ne peut se prononcer...

    Cette démonstration utilise, en effet, le théorème sur les limites. Cette problèmatique du paradoxe de zénon, à propos du sujet qui nous intéresse, le passage à 2010, vient, judicieusement, car il s’agit effectivement d’un raisonnement sur la limite des intervalles... 

    Nos journalistes ont une approche sans limite des intervalles, à moins que se soit une approche très limitée...le résultat au niveau de l’info, est le même, un zéro pointé ! 







  • Eric de Trévarez 2 janvier 2010 15:57
    Merci d’avoir relevé ce détail significatif. Qu’il ait été déjà signalé pour le passage à l’an 2000, n’a rien changé…
     
    Voilà ce que donne une société campée sur l’effleurement des choses, le tout communication, et l’image. C’est le règne de l’apparence et des raisonnements faciles.

    Dans 2010, il y a 10, écrit en gros pour l’occasion. Cela suffit, on est passé aux dizaines... En 2011, l’effet image des dizaines sera terminé ! Alors on se laisse aller à l’émotion ; 2010, on est passé aux dizaines : on change de décennie.
    Qu’il n’y ait pas d’année 0, ne change rien à l’affaire... Ce détail qui est le début d’un raisonnement, n’est pas important ! Ce n’est pas dans l’air du temps.
    Le problème, c’est qu’il en est ainsi de tout ! Tout le monde a son avis, sans défiance pour l’émotion, ni méfiance pour l’ignorance... Ignorer que les chiffres et la numérotation sont deux domaines différents, importent peu. Les intervalles sont devenus en mathématiques un problème de spécialiste !

    Cette erreur, qui est générale, en dit long sur le niveau moyen de la nation et en particulier sur celui de journalistes. Probablement un sophisme de plus... L’intelligence ne couvre plus la cervelle, pas plus que les pantalons ne couvrent les fesses. Voguent la galère et les forçats de l’ignorance, toute fesse à l’air… 


  • Eric de Trévarez 26 décembre 2009 06:05

    Rapport du comité de Salut Public du 18 floréal de l’an II, (7 mai 1794)

    « ...Le vice et la vertu font le destin de la terre : ce sont les deux génies opposés qui se la disputent. La source de l’un et de l’autre est la passion de l’homme. Selon la direction qui est donnée à ses passions, l’homme s’élève jusqu’aux cieux, où s’enfonce dans des abîmes fangeux. Or le but de toutes les institutions sociales, c’est de les diriger vers la justice qui est à la fois le bonheur public et le bonheur privé... »
    « ... Vous vous garderez bien de briser le lien sacré qui unit les hommes à l’Auteur de leur être. Il suffit même que cette opinion ait régné chez un peuple, pour qu’il soit dangereux de la détruire. Car les motifs des devoirs et les bases de la moralité s’étant nécessairement liés à cette idée, l’effacer, c’est démoraliser le peuple. Il en résulte du même principe qu’on ne doit jamais attaquer un culte établi qu’avec prudence et avec certaine délicatesse, de peur qu’un changement subit et violent ne paraisse une atteinte portée à la morale, et une dispense de la probité même. Au reste, celui qui peut remplacer la Divinité dans le système de la vie sociale est à mes yeux un prodige de génie ; celui qui, sans l’avoir remplacée, ne songe qu’à la bannir de l’esprit des hommes, me parait un prodige de stupidité ou de perversité... »

     



  • Eric de Trévarez 19 décembre 2009 22:48

    République : Adelphité ou Fraternité
    Les causes du déclin de l’esprit républicain

    Adelphité : du grec qui veut dire frère

    Il n’est pas nécessaire, ni souhaitable de prendre la racine grecque, pour signifier la fraternité ; la racine latine, frater, suffit ; de plus « fraternité » est le terme employé par la République depuis ses premiers débuts, avec constance et permanence.
     
    Adelphité qui sent aussi le vin, de par sa racine(...) présente l’inconvénient de focaliser sur le grec, et par la même occasion, adelphité fait oublier ou minimise la dimension chrétienne, des racines judéo chrétiennes du peuple français. Ce n’est pas le reflet de la réalité de l’histoire.
    Si la laïcité forme probablement le carré républicain, avec la Liberté l’Egalité et la Fraternité, la laïcité n’est pas le synonyme de l’athéisme. C’est pourtant ce raccourci que le matérialisme républicain a emprunté, au risque d’y perdre l’« âme » de la République...
    L’athéisme est une opinion parmi les autres. Elle doit être respectée à ce titre. Il n’y a ni supériorité pour l’athéisme, ni condescendance pour le religieux.
    Les Pères de la République Française avaient beaucoup de méfiance à l’égard de l’athéisme. N’oublions pas que l’athéisme est à l’origine du matérialisme, du consumérisme et par conséquent du capitalisme actuel...
     
    Les textes fondateurs de République disent aussi que le Citoyen ne sera pas non plus un athée stupide... A force de nier toute divinité, nous sommes arrivés à nier toute transcendance ; or la République est faite de transcendance et de vertus.

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