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  • fjr 23 décembre 2008 12:37

    Etre, c’est être perçu ?

    Ah non ! Surtout pas. En tout cas, j’espère que non.

    C’est vrai que nous sommes des animaux sociaux, et que nous existons en partie, voire même pour une large part par nos interactions avec les autres.
    Mais réduire les êtres à la perception que l’on a d’eux, c’est nier toute liberté individuelle, toute originalité qui ne se marquerait pas extérieurement. En gros, c’est refuser l’individualité en ramenant toute l’essence humaine à la collectivité.
    Je crois justement que la seconde partie du XXème siècle a largement consisté à lutter contre cette vision réductrice des individus, et qu’elle y a amplement réussi.



  • fjr 3 décembre 2008 12:39

    Bizarrement, il me semble que vous êtes exactement d’accord avec l’auteur : définir un cadre légal pour ce que ne peut être que des décisions individuelles, au cas par cas, en fonction des situations personnelles est impossible, voir dangereux. Ou alors j’ai tout compris de travers !



  • fjr 2 décembre 2008 20:32

    - J’ai lu dans plusieurs réactions l’affirmation d’un "droit à la mort". Un droit à ce que nous ne pouvons concevoir a-t-il un sens ? La mort est un fait auquel on sera tous confronté, pas un droit.


    - Je comprends mieux la revendication d’un droit à ne pas souffrir moralement ou physiquement de façon insupportable. Si je comprends bien, le rapport Leonetti considère qu’une utilisation plus systématique des possibilités déjà ouvertes par la loi (possibilité d’administrer une surdose d’antalgiques à conséquence léthale à un patient en phase terminale notamment) permettrait de répondre à l’immense majorité des cas de figure. La question est déjà de savoir si les dispositions légales sont suffisamment connues et appliquées, et je pense que nous sommes assez nombreux à avoir assisté à la mort d’un proche qui aurait pu être mieux accompagné médicalement pour répondre sans aucun doute que ce n’est de toute évidence pas le cas.


    - D’ailleurs, plusieurs exemples personnels assez insoutenables évoqués dans les commentaires à cet article montrent bien que l’assistance médicale active à la mort est d’ores et déjà une réalité. D’ailleurs les rares cas de procès que j’ai à l’esprit concernant des médecins qui ont aidé des patients dans une situation insupportable à mourir se sont soldés par des sanctions purement symboliques (même si j’entends bien qu’être exposé devant un tribunal pour une décision prise par empathie, en essayant de faire le meilleur choix pour le patient, doit être lourd à porter). Mais les décisions qui sont prises par la communauté médicale le sont au cas par cas, en pesant chaque fois les conséquences de leur décision, dans le secret des consciences.


    - Légiférer pour aller au-delà est-il nécessaire ? Il faut être conscient que dans ce domaine, quels que soient les garde fous que l’on mettra, l’acceptation légale et explicite de l’euthanasie ouvrira la porte à des dérapages qui sont inadmissibles lorsqu’il s’agit de vie humaine.


    - D’ailleurs, une ou deux réactions plus haut sont évocatrices de ce que pourront être ces dérapages : les soins palliatifs coûtent chers, pourquoi maintenir en vie quelqu’un qui coûte cher à la communauté et dont la situation est désespérée ? Peut-être en serons-nous réduits à ça. Peut-être arrêterons-nous de soigner les patients qui coûtent trop cher. Peut-être même dans ce cas là serons-nous tentés "d’abréger leurs souffrances" comme j’ai abrégé celles de certains des animaux familiers avec lesquels j’ai vécu. Mais n’ayons pas l’hypocrisie de présenter ça comme un progrès !



  • fjr 25 novembre 2008 17:58

    Merci de ce triste rappel qui a forgé les consciences d’une génération d’étudiants, comme d’autres événements tragiques ont pu le faire à d’autres époques.
    Il n’est pas inutile, et je crains que Malik Oussekine soit bien oublié aujourd’hui.



  • fjr 21 novembre 2008 19:40

    Je me permets de faire remarquer à l’auteur du problème qu’il n’y a pas de réponse possible à la question n°2 car l’énoncé est faux.
    En effet, si MA’ = MA + BH, alors, à l’étape 3, MA’ = 34,5 + 22,5 = 57
    J’en déduis, contrairement à l’énoncé de la question, que MA’ a obtenu la 1ère place à l’étape 3, ce qui n’est bien évidemment pas le cas pour MA.
    C’est compliqué, les maths modernes, quand on essaie d’additionner des éléphants et des fraises des bois...

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