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Lord WTF !

Lord WTF !

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Mit der Dummheit kämpfen Götter selbst vergebens.
 
There is no darkness but ignorance...

 

Tableau de bord

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Derniers commentaires



  •  

    Mademoiselle Céleste,

     

    affichant la profession de danseuse,

     

    J’ai opté positivement pour Mademoiselle Céleste et non Madame car aucun gentilhomme digne de ce nom ne saurait corrompre le caractère sacré du mariage en s’associant avec une danseuse, si ce n’est courtisane ou pis encore. Ce qui n’enlève rien à l’honorabilité de ces dames, et donc à la vôtre, dont je ne refuse pas la fréquentation dés lors que certaines fantaisies me font décence et raison perdre.

     

    Cela étant dit Mademoiselle Céleste, je vous rappelle que de par l’Ordre et la hiérarchie naturels voulus par Dieu et la Nature dans leur ineffable sagesse, il est fort peu approprié que votre genre fréquente ces lieux virtuels ou non, qui de par l’Ordre et la hiérarchie naturels sont réservés à la gente masculine : aux femmes les affaires de la Maison, aux hommes celles de la Raison.

     

    Donc Mademoiselle Céleste, afin de vous permettre de préserver , si cela est encore possible, quelque vertu, je vous invite à quitter ces lieux, et si vous tenez tant à discuter, sachez que j’ai moi-même un cabinet où je reçois régulièrement et avec une impérieuse assiduité de jeunes demoiselles pour me livrer aux joies prodiguées par de légères discussions suivies de charnels entretiens, qui bien entendu sont suivis par de sincères actes de contrition et un tendre baiser sur le front soyeux de ma fidèle épouse.

     

    Je vous invite donc, au 5 de la rue St Satyre, où le concierge Monsieur Da Silva, dont la catholique foi n’a d’égale en proportion que la moustache de sa tendre moitié, saura vous faire patienter dans l’antichambre de mon cabinet privé. Cependant, je me dois de vous informer que je ne pourrai vous honorer de ma présence et plus encore, les lundis, mercredis, vendredis et dimanches après la messe : ces soirées et après-midi étant réservées à mes visites autant hygiéniques qu’hebdomadaires, à la pension Madelon, située au 6bis de la rue Ste Cyprine, honorable institution qui sait satisfaire autant aux impérieux mouvements de la nature d’un gentilhomme de noble naissance autant qu’à ses fantaisies un peu moins naturelles. 

     

    En attendant, je vous invite à quitter séance tenante ce lieu qui ne convient point à votre genre ni aux manières d’une dame digne de ce nom, et cela même si celle-ci par son assidue fréquentation des cabarets ou par d’impudiques jarretelles contrevient aux bonnes mœurs.




  • Monsieur FYI,

    j’espère que vous n’avez pas pris au premier degré ma lyrique envolée...Mais ne dit-on point que personne ne sait gré à l’homme spirituel de montrer quelque humour ou ironie, dés lors qu’il se met au niveau d’une société où il n’est point permis de montrer de l’esprit, et où l’humour ne s’attarde que sur le superflu...

    ainsi donc Monsieur FYI, je vous rassure je ne suis royaliste, ni cul-bénit ; mais préfère voir l’ironie de toute révolution, qui comme leur définition l’indique, ne se résument finalement qu’à l’action de tourner en rond...et ainsi nous condamnent toujours aux mêmes situations...



  •  

    Monsieur Bonnet,

    De par sa nature, une baudruche ne peut que résolument tendre vers l’instant où elle se dégonflera, et où sa flasque constitution apparaîtra enfin à tous. Mais là n’est point le problème : le problème réside dans ce système impie, autant contraire à la Raison qu’à Dieu, et que certains appellent Démocratie, mais que mon confesseur, le Père Sénile de Mont-à-sec,préfère nommer, à juste raison, démoncratie lors de ses dominicaux prêches.

    Car voyez-vou,s Monsieur Bonnet, notre système politique est à une juste et sage politique ce que la fosse à purin est au bain turc, bain turc dont j’apprécie la fréquentation, et qui entre la suavité procurée par la vue de ces petits négrillons aux culs bombés et la garantie de la compagnie de gentilshommes de nobles naissances, offre à un esprit raffiné et porté aux choses de la Raison le calme nécessaire à toute réflexion digne de ce nom.

    Ce que, et vous en conviendrez, ne peut être permis par la fréquentation d’une fosse à purin, quand bien même, certaines de nos jeunes paysannes sont autant agréables aux yeux d’un gentilhomme épris de paysages rustiques qu’à ses viriles parties attirées par d’impérieux mouvements de sa nature vers de champêtres vallées et collines.

    Ainsi, pour en revenir à cette démoncratie ; par ce processus infernal nommé suffrage universel, celle-ci ne sert qu’à l’exaltation de la médiocrité et du vice, à l’élimination du juste et du sage, de ceux qui par noble naissance et condition sont destinés à gouverner notre nation ; la démoncratie n’est que la haine de cette aristocratie naturelle que Dieu tout comme la Raison destine au gouvernement des hommes et de la Cité.

    Ne vous étonnez donc point, Monsieur Bonnet, que par cette aberration autant contraire aux lois divines qu’aux lois naturelles, baudruches et bouffons, et autres individus dépourvus autant de valeur que d’intelligence, dépourvus autant de capacités intellectuelles que d’éducation, se voient être nos gouvernants, car la cause est d’avoir permis à des masses elles aussi dépourvues autant de valeur que d’intelligence, dépourvues autant de capacités intellectuelles que d’éducation, de se voir confier le droit de vote ! Or autant la Nature que la Raison ne saurait tolérer que ceux qui n’ont point d’intelligence politique se voient permis d’interférer dans le gouvernement de la Cité ou des hommes.

    Non, Monsieur Bonnet, ni la Raison, ni la Nature ne sauraient tolérer plus encore le gouvernement des baudruches et bouffons, ni ne confier quelconque pouvoir à ces masses illettrées et brutales, dont l’inclination naturelle tend vers la barbarie et non la civilisation : cela est une véritable insulte autant à l’Esprit qu’à l’Intelligence, que d’enfreindre ainsi et sans vergogne, les lois naturelles et divines, en éliminant le naturel processus de sélection et d’affinement qui permet à ceux dont la destinée est de former la caste des grands hommes de notre nation d’accéder aux fonctions qui leur sont naturellement réservées et d’ainsi de mener la plus juste et sage des politiques : la seule à même de régénérer notre nation et d’en finir avec ces nouveautés progressistes qui sont autant étrangères que contraires à l’Esprit de notre nation.

    Et en cela, nous devons abattre l’arbre impie ainsi que les fruits pourris de la satanique révolution de 1789, qui vit la défaite du très chrétien et noble Saint Georges face au diabolique et roturier dragon ! La défaite de l’Esprit et de la Lumière face aux légions de l’Ombre et du Mal : les légions de Satan, Monsieur Bonnet !

    Jamais plus grand crime ne fût commis dans notre sainte patrie, fille chérie de Notre Sainte Mère l’Eglise, ainsi je vous invite, le plus courtoisement, Monsieur Bonnet, à soutenir la restauration du Roi très-chrétien sur son antique trône, et avec nous, forces de la Lumière, croisés de Dieu et de la Raison, lui faire triomphe, relever son oriflamme et clamer tous ensemble Christus Regnat, Vincit, Imperat !

    Chacun à sa place, à son rang, et la foule sera bien gardée ! 

     

     

     









  • Monsieur le Bâtard,

     

    Autant me désole-je que vous ne partagiez point mes vues, autant me réjouis-je que vous ayez su goûter ma prose. D’autant plus que vous sachant issu de la roture et qu’ainsi donc votre nature et condition vous inclinent naturellement à un langage ordurier dont semble-t-il vous tirez quelque fierté parfois, ici-même.

     

    Sur votre question qui fut de savoir si j’exercerais la profession de précepteur, je ne puis que vous répondre par la négative, ma nature et condition me condamnant à l’oisiveté et aux arts supérieurs.


    Ce qui traduit dans ce langage ordurier qui vous est si familier donnerait ceci : « wesh tarba ! t’es foncedé ou quoi ? vas-y lâche le spliff ! je suis pas ta reum pour t’apprendre à parler…va t’acheter un dico, bouffon ! si tu captes pas ce que l’autre fils de tepu avec sa face à la Burt Reynolds y bave ! allez zyva passe le oinjjj… »  

     

    Cependant, je puis vous fournir quelques conseils, ainsi donc reprenons votre dernier paragraphe : « Non parce que j’ai des idées, mais je parle un peu comme un mec qui habité 20 ans en cités, alors forcément ça les rends moins comprehensibles et tout de suite plus chocante.... Si j’avais votre plume on leur accorderait certainement plus d’interet. »

     

    vous auriez du écrire ainsi : « Bien qu’étant de nature roturière et donc peu à même d’un langage civilisé, j’ai quelque entendement, et parfois m’arrive-t-il de concevoir quelque projet ou raisonner ; cependant ma nature et condition m’interdisent bien souvent d’arriver à les formuler en un langage civilisé ou bien encore de savoir les énoncer d’une façon autant claire que concise, et cela dans le respect des convenances : respect des bonnes manières qui est le propre de tout gentilhomme digne de son nom. A ma décharge, je me dois de vous instruire que c’est parmi les métèques et les nègres des faubourgs malfamés que mon éducation se fit ou plutôt se défit ; et qu’ainsi ma naturelle inclination au langage ordurier ne fut que trop favorisée. Ainsi donc Monsieur, je ne puis que constater à quel point ma condition me condamne à n’être qu’une voix dans le désert. »

     

    Sur ce, Monsieur le Bâtard, sachez que je n’apprécie que trop peu la fréquentation de la roture, encore plus quand celle-ci semble tirer grande fierté de sa fréquentation passée ou présente des métèques ou nègres, et ainsi contrevient sciemment au respect de la hiérarchie naturelle entre les races…mais il me semble que vous êtes vous-même issu de la gente cosmopolite. Ceci expliquant cela alors…

     

    kiltran, refrè…le Monsieur y déconne…déchire trop sa race cette beuh…


     smiley  

     

     

     

     







  • Monsieur le Bâtard,

     

    Veuillez m’excuser de m’immiscer ainsi dans cette discussion entre gentilshommes, mais je ne puis vous laisser proférer de telles insanités ! En effet, vous écrivez : « …je ne pense pas que l’homme soit supérieur à la femme. », et en cela vous vous détournez de la juste voie tracée pour nous par l’Eternel, qui dans son ineffable sagesse a destiné la Femme à la propagation de la vie, ainsi qu’à l’excellence dans les arts domestiques : ce qui donc place naturellement l’homme au-dessus et la femme en dessous.

     

    Bien que cela soit certes triste, si ce n’est affligeant, c’est le propre de la femme de n’entendre rien aux affaires de la Raison, et d’avoir un dégoût certain pour les questions touchant à l’Homme, à l’Amour, la société ou bien encore le sens de la vie ; cela est triste, j’en conviens car nous devons subir leur compagnie si nous formons l’espoir d’avoir quelque descendance, mais ne nous en prenons point à Dieu et à la Nature, qui dans leur ineffable sagesse les ont non seulement doté de tendres appâts mais aussi nous ont offert l’échappatoire suivant : à savoir que la femme qui certes a peu d’esprit, a néanmoins le naturel instinct de savoir le sacrifier par amour pour son époux qui lui est naturellement supérieur autant en nature qu’en esprit, et ainsi poussée par la grandeur et superbe de son compagnon se voit dotée d’un second esprit, qui ainsi corrige sa déficiente nature.


    ainsi pour illustrer mon propos, j’évoquerai ma tendre et fidèle moitié, ma chère Eugénie, qui si elle excelle dans la confection de madeleines, n’entend rien à celles du cosmopolite Proust...

     

    Et sachez que si c’est l’amour qui vous a fait proférer de telles insanités, et prétendre à l’égalité des genres, bien souvent une paire de binocles bien montées suffit à affranchir le malheureux homme succombant aux élans de la passion de tel manquement à la Raison et au respect de l’Ordre naturel.


    Ainsi donc Monsieur le Bâtard, concevez bien qu’un machiste ne fait dés lors que témoigner d’un respect certain pour les grandioses desseins de Dieu et pour l’Ordre naturel, mais rappelez-vous cependant qu’en vengeance comme en amour, la Femme est définitivement plus barbare que l’Homme...

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