@F-H-R Euh, non, ce n’est pas l’état le responsable de toute cette pauvreté. C’est le capitalisme néo-libéral. Mais il est vrai que l’état étant totalement acquis à celui-ci et le laissant agir à sa guise, il est complice. Mais le vrai responsable, c’est ce système économique inique qui ne fait que prôner la loi de la jungle, en se prétendant liberté.
Il omet simplement de dire que cette liberté n’est loisible qu’aux puissants, les autres ne pouvant que se plier aux premiers. Bref, pour rester dans la métaphore, la liberté du renard dans le poulailler.
C’est la parfaite illustration de la liberté offerte par le libéralisme : celle-ci n’est en rien la liberté pour tous, mais seulement la liberté pour les forts d’oppresser les faibles. La liberté du renard dans le poulailler. La liberté du requin dans le banc de poissons. Rien de plus.
Bref, ce n’est ni plus ni moins qu’une forme moderne de féodalisme où le pouvoir ne découle plus du sang de la lignée mais du capital. Ce n’est pas une démocratie contrairement à ce que l’on peut nous dire.
@Spartacus Cela pourrait se faire. Mais aucune assurance ne serait compétitive, la CPAM les écraserait tous.
Tous les minables des assurances privées ont des frais de gestions aux alentours des 20%. La CPAM, elle, seulement 2%. Imbattable. Sans même parler des bouches inutiles des actionnaires à nourrir qui rendent l’ensemble encore moins compétitif.
Bref, votre solution magique ne peut pas marcher. Ceci étant dit, cela n’a rien d’étonnant puisque celle-ci n’est que dogmatique.
L’éternel exemple États-Unien le démontre pourtant. Cela ne fonctionne pas.