Je trouve ça un peu gros de se moquer des erreurs scientifiques d’Allègre quand on a soi-même commis un article prétendant dénoncer l’assassinat d’un type qui aurait inventé une machine miraculeuse à produire de l’énergie (plus qu’elle n’en consomme) :
L’autre fois où je vous ai croisé et où j’ai commenté l’un de vos articles, c’était pour réclamer des sources (je n’ai jamais eu de réponse) pour des affirmations manifestement aberrantes, ici :
La Taverne, je ne veux pas me mêler des prises de becs que vous avez pu avoir avec d’autres intervenants ailleurs sur cette page, mais j’aimerais bien que vous m’expliquiez où vous voyez de l’antisémitisme dans les constats ci-dessus.
« Soixante et un Palestiniens ont été tués samedi dans la bande de Gaza »
« Les derniers décès portent à 6.257 le nombre de personnes tuées dans les violences israélo-palestiniennes depuis 2000, pour la plupart des Palestiniens, selon un bilan établi par l’AFP. »
Pourquoi on ne met pas le gouvernement et l’armée israéliens en rétention de sûreté ?
Je viens de voir ce film. Je l’ai trouvé globalement très intéressant, magnifiquement réalisé, avec de très beaux décors, costumes et paysages qui nous plongent vraiment dans la Corée du XVIème siècle, mais aussi très sombre par son analyse des rapports humains.
Cependant, la fin me laisse perplexe. J’y cherche une note d’espoir et je n’en trouve pas qui me convainque. Alors que le reste du film est assez réaliste et cohérent, le flegme absolu affiché d’emblée par Jang Seng face à son malheur ne me convainc pas. L’explication qu’il en donne non plus : de mémoire, il ne me semble pas qu’il était « ébloui par l’or et les apparences » au début du film, donc je ne vois pas en quoi il a évolué sur ce point à la fin du film. Je me demande encore quelle est la morale de l’histoire, si tant est qu’il y en a une.