Pour l’historien américain, le fascisme se développe selon cinq phases.
Premièrement, des publicistes dissidents, extrémistes de droite
méprisant la modération des conservateurs, et anciens extrémistes de
gauche reniant la démocratie,
forment une critique commune du libéralisme politique, au nom d’une
synthèse nationale et sociale. "Il est donc nécessaire de faire naître un sentiment d’urgence, de
désigner un ennemi commun cherchant à détruire le collectif et contre
lequel le groupe tout entier doit se mobiliser.
Cette mobilisation permet de réprimer sévèrement toute contestation
sans perdre la caution populaire. Il suffit de désigner l’homme à
abattre comme « ennemi », « traître », « sous-homme ».«
Mussolini, dans La Doctrine politique et sociale du fascisme,
en 1933, affirme : « Le fait est que le XIXe siècle était le siècle du
socialisme, du libéralisme, de la démocratie, ceci ne signifie pas que
le XXe
siècle doit aussi être le siècle du socialisme, du libéralisme, de la
démocratie. Les doctrines politiques passent ; les nations restent. Nous
sommes libres de croire que ceci est le siècle de l’autorité, un siècle
tendant vers la “droite”, un siècle fasciste."
Pour l’historien américain, le fascisme se développe selon cinq phases.
Premièrement, des publicistes dissidents, extrémistes de droite
méprisant la modération des conservateurs, et anciens extrémistes de
gauche reniant la démocratie,
forment une critique commune du libéralisme politique, au nom d’une
synthèse nationale et sociale. L’idéologie se forme ainsi dans des pays
de vieille tradition démocratique, comme la France (...)
Il est donc nécessaire de faire naître un sentiment d’urgence, de
désigner un ennemi commun cherchant à détruire le collectif et contre
lequel le groupe tout entier doit se mobiliser.
Cette mobilisation permet de réprimer sévèrement toute contestation
sans perdre la caution populaire. Il suffit de désigner l’homme à
abattre comme « ennemi », « traître », « sous-homme ».
Décidément, t’es trop fort en raisonnement JL, comme ton psychiatre....
Soit le syllogisme suivant : DSK a dit : je n’ai pas commis de délit envers Diallo, mais une faute morale envers ma femme. Mais quelle faute ?? Donc il a commis un délit envers Diallo.
« A-t-on jamais mis à ce prix l’intérêt du commerce et du profit ?
Tant de villes rasées, tant de peuples exterminés, passés au fil de l’épée, et la plus riche et la plus belle partie du monde bouleversée dans l’intérêt du négoce des perles et du poivre...
Beau résultat ! Jamais l’ambition, jamais les inimitiés ouvertes n’ont poussé les hommes les uns contre les autres à de si horribles hostilités et à des désastres aussi affreux. » (...)
« Ils firent à ce peuple les déclarations habituelles : « Nous sommes des gens paisibles, arrivés là après un long voyage, venant de la part du roi de Castille, le plus grand prince de la terre habitable, auquel le Pape, représentant de Dieu sur la terre, a donné autorité sur toutes les Indes. Si vous acceptez d’être tributaires de ce roi, vous serez très bien traités.
Leur réponse fut celle-ci : « Quant à être des gens paisibles, vous n’en avez pas l’allure, si toutefois vous l’êtes. Quant à votre roi, s’il a des choses à demander, c’est qu’il doit être indigent et nécessiteux ; et celui qui a fait cette répartition des terres doit être un homme aimant les dissensions, pour aller donner à quelqu’un quelque chose qui ne lui appartient pas, et le mettre ainsi en conflit avec les anciens possesseurs. »