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Gyges

Né le 13/11/83
M'intéresse à tout ce qui est intéressant, c'est à dire à à peu près tout.

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  • Gyges 20 septembre 2011 18:02

    Pour l’historien américain, le fascisme se développe selon cinq phases. Premièrement, des publicistes dissidents, extrémistes de droite méprisant la modération des conservateurs, et anciens extrémistes de gauche reniant la démocratie, forment une critique commune du libéralisme politique, au nom d’une synthèse nationale et sociale.

    "Il est donc nécessaire de faire naître un sentiment d’urgence, de désigner un ennemi commun cherchant à détruire le collectif et contre lequel le groupe tout entier doit se mobiliser. Cette mobilisation permet de réprimer sévèrement toute contestation sans perdre la caution populaire. Il suffit de désigner l’homme à abattre comme « ennemi », « traître », « sous-homme ».« 

    Wikipédia, »Fascisme"



  • Gyges 20 septembre 2011 18:00

    Le Fascisme

    En son sens large, le fascisme se définit comme une réaction aux valeurs de l’humanisme démocratique du Siècle des Lumières. Issu des frustrations engendrées par ce nouveau modèle de société, le fascisme rejette les droits de l’homme, le communisme, l’anarchisme, les libertés individuelles et le libéralisme.

    Mussolini, dans La Doctrine politique et sociale du fascisme, en 1933, affirme : « Le fait est que le XIXe siècle était le siècle du socialisme, du libéralisme, de la démocratie, ceci ne signifie pas que le XXe siècle doit aussi être le siècle du socialisme, du libéralisme, de la démocratie. Les doctrines politiques passent ; les nations restent. Nous sommes libres de croire que ceci est le siècle de l’autorité, un siècle tendant vers la “droite”, un siècle fasciste."

    Pour l’historien américain, le fascisme se développe selon cinq phases. Premièrement, des publicistes dissidents, extrémistes de droite méprisant la modération des conservateurs, et anciens extrémistes de gauche reniant la démocratie, forment une critique commune du libéralisme politique, au nom d’une synthèse nationale et sociale. L’idéologie se forme ainsi dans des pays de vieille tradition démocratique, comme la France (...)

    Il est donc nécessaire de faire naître un sentiment d’urgence, de désigner un ennemi commun cherchant à détruire le collectif et contre lequel le groupe tout entier doit se mobiliser. Cette mobilisation permet de réprimer sévèrement toute contestation sans perdre la caution populaire. Il suffit de désigner l’homme à abattre comme « ennemi », « traître », « sous-homme ».



  • Gyges 20 septembre 2011 17:48

    Décidément, t’es trop fort en raisonnement JL, comme ton psychiatre....

    Soit le syllogisme suivant :

    DSK a dit : je n’ai pas commis de délit envers Diallo, mais une faute morale envers ma femme.
    Mais quelle faute ??
    Donc il a commis un délit envers Diallo.

    Superbe ! Encore , encore !!



  • Gyges 20 septembre 2011 17:42

    « J’ai noté cette phrase de DSK : »Il n’y a eu ni violence, ni contrainte, ni ... ni ... ; ce n’est pas moi qui le dit, c’est le procureur« 

    JL, tu es un génie !!

    Si il avait dit : »J’ai rien fait, la preuve, c’est que j’étais là !« ca prouvait qu’il avait rien fait.

    Mais là, il se sert du rapport du procureur comme caution.

    C’est la preuve qu’il est coupable !

    Pour moi aussi, »cela vaut aveu" : de connerie de ta part, certes, mais aveu quand même.



  • Gyges 20 septembre 2011 07:44


    « A-t-on jamais mis à ce prix l’intérêt du commerce et du profit ?

    Tant de villes rasées, tant de peuples exterminés, passés au fil de l’épée, et la plus riche et la plus belle partie du monde bouleversée dans l’intérêt du négoce des perles et du poivre...

    Beau résultat ! Jamais l’ambition, jamais les inimitiés ouvertes n’ont poussé les hommes les uns contre les autres à de si horribles hostilités et à des désastres aussi affreux. »

    (...)

    « Ils firent à ce peuple les déclarations habituelles : « Nous sommes des gens paisibles, arrivés là après un long voyage, venant de la part du roi de Castille, le plus grand prince de la terre habitable, auquel le Pape, représentant de Dieu sur la terre, a donné autorité sur toutes les
    Indes. Si vous acceptez d’être tributaires de ce roi, vous serez très bien traités.

    Leur réponse fut celle-ci : « Quant à être des gens paisibles, vous n’en avez pas l’allure, si toutefois vous l’êtes. Quant à votre roi, s’il a des choses à demander, c’est qu’il doit être indigent et nécessiteux ; et celui qui a fait cette répartition des terres doit être un homme aimant les
    dissensions, pour aller donner à quelqu’un quelque chose qui ne lui appartient pas, et le mettre ainsi en conflit avec les anciens possesseurs. »

    Montaigne. (Les Essais, Livre lll)

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