• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

HClAtom

HClAtom

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

  • Premier article le 27/11/2013
  • Modérateur depuis le 06/09/2014
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 18 658 1529
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 0 0 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • HClAtom HClAtom 4 novembre 2014 17:01

    Et bien voilà, c’est parfait.

    Si grâce à mon intervention W a pu enfin commencer à se confier, une voie vers la résilience s’ouvre pour elle. Elle m’avait bien affirmé en effet que jusqu’ici j’étais le seul au courant, même ses sœurs ne le savaient pas.

    Pour le reste, s’il te plaît de m’esquinter à base d’hypothèses farfelues. et de leçons de morale discutables, sur des constructions imaginaires, grand bien te fasse. S’il te plaît aussi de croire que W n’est pas traumatisée par son viol, qui ne serait pour elle qu’une broutille, un « simple attouchement », grand bien te fasse aussi.

    Ma motivation, puisqu’elle t’intéresse tant, est simplement que la parole se délie, pour aider à la résilience des victimes. On peut critiquer ma méthode, mais visiblement elle fonctionne.

    Cordialement



  • HClAtom HClAtom 4 novembre 2014 15:53
    @pourquoipas,

    Ton interprétation des faits, croustillante à souhait, de révélations, de fantasmes et d’hypothèses, est celle que tu veux en faire, la réalité est bien différente.

    Tout le monde avait compris qu’il y avait eu une histoire entre W et moi, et qu’elle s’était terminée, et même que j’en suis resté amer, d’où, d’ailleurs, l’écriture de cet article, et son ton révolté contre les violeurs.

    Mais il n’y a pas que W, il y a aussi C, gravement dépressive, au bord du suicide, fondant irrépressiblement en larme à la vue de mes filles, il y a aussi M, deux cancers, toxico, autodestructrice, qui n’aime pas son second fils, car il la dégoûte, et puis trop d’autres dans des états psychologique souvent pitoyables. W est la dernière en date qui présentait des troubles typiques. A tel point que, voyant son comportement, c’est moi qui ai deviné qu’elle avait été violée, elle n’a fait que le confirmer. Ce sont donc des troubles réels, clairement visibles de l’extérieur, au moins pour un amant. Puisque tu n’es pas intime avec W, je comprends que tu sois passée à côté de cela, puisque W, à cause de son traumatisme, se mure dans le silence.

    Quelle que soit ma position passée ou actuelle par rapport à W, elle n’en reste pas moins une personne blessée par un viol, qui reste isolée avec sa douleur, à cause de l’image et du silence pudibonds de la société concernant le viol. C’est tout le sujet de mon article. Je le répète, oui je suis en colère, mais contre les violeurs, pas contre W, M ou C, qui sont des victimes.

    Tu peux désormais continuer à faire le choix du silence, me demander de me taire, et reprendre la vie comme si rien n’était, laissant W derrière son mur de silence, avec son traumatisme. Tu peux attendre qu’elle décide elle même d’en parler. Cela fait déjà 30 ans qu’on attend, on n’est plus à quelques années près. Tu auras alors tout le temps de continuer à fantasmer sur mes motivations.

    Tu peux aussi choisir d’aller voir W et de lui dire que, désormais, tu sais pour son viol, et que si elle veut en parler, pour aider à la résilience, les copines sont là pour ça. Qu’il ne faut pas rester ruminer ça, seule dans son coin. J’ai essayé de le faire, bien évidemment, mais pour W tout homme est un danger potentiel, donc aucun d’entre eux ne peut convenir pour aider à une telle résilience, en l’état actuel, même en déployant des montagnes d’amour. Mais entre femmes, il y a peut être moyen de se comprendre, d’avoir les mots justes, voire, hélas, de partager des expériences, et ainsi réaliser qu’on n’est pas seule.

    A toi de voir.

    Cordialement



  • HClAtom HClAtom 4 novembre 2014 15:40

    @Surya

    Mais c’est bien ce que j’ai fait.

    J’ai cru que, avec beaucoup de douceur, d’attention, de disponibilité, de générosité, d’amour, on pouvait aider à guérir la blessure, ou au moins à libérer la parole. J’étais trop présomptueux, comme vous semble-t-il, car strictement rien n’a bougé, pas même d’un micron. Tout cela est enkysté depuis 30 ans.

    W n’a confiance en aucun homme, même pas en son amoureux, on comprend ses raisons. « Je t’aime, mais je n’ai aucune confiance en toi », tel est en résumé le paradoxe, difficile à vivre, qu’il me fallait résoudre. Pas facile d’obtenir aucun lâcher prise dans de telles conditions, en tout cas je n’y suis pas parvenu.

    Cordialement



  • HClAtom HClAtom 4 novembre 2014 14:56

    @pourquoipas,

    Ton interprétation des faits, croustillante à souhait, de révélations, de fantasmes et d’hypothèses, est celle que tu veux en faire, la réalité est bien différente.

    Tout le monde avait compris qu’il y avait eu une histoire entre W et moi, et qu’elle s’était terminée, et même que j’en suis resté amer, d’où, d’ailleurs, l’écriture de cet article, et son ton révolté contre les violeurs.

    Mais il n’y a pas que W, il y a aussi C, gravement dépressive, au bord du suicide, fondant irrépressiblement en larme à la vue de mes filles, il y a aussi M, deux cancers, toxico, autodestructrice, qui n’aime pas son second fils, car il la dégoûte, et puis trop d’autres dans des états psychologique souvent pitoyables. W est la dernière en date qui présentait des troubles typiques. A tel point que, voyant son comportement, c’est moi qui ai deviné qu’elle avait été violée, elle n’a fait que le confirmer. Ce sont donc des troubles réels, clairement visibles de l’extérieur, au moins pour un amant. Puisque tu n’es pas intime avec W, je comprends que tu sois passée à côté de cela, puisque W, à cause de son traumatisme, se mure dans le silence.

    Quelle que soit ma position passée ou actuelle par rapport à W, elle n’en reste pas moins une personne blessée par un viol, qui reste isolée avec sa douleur, à cause de l’image et du silence pudibonds de la société concernant le viol. C’est tout le sujet de mon article. Je le répète, oui je suis en colère, mais contre les violeurs, pas contre W, M ou C, qui sont des victimes.

    Tu peux désormais continuer à faire le choix du silence, me demander de me taire, et reprendre la vie comme si rien n’était, laissant W derrière son mur de silence, avec son traumatisme. Tu peux attendre qu’elle décide elle même d’en parler. Cela fait déjà 30 ans qu’on attend, on n’est plus à quelques années près. Tu auras alors tout le temps de continuer à fantasmer sur mes motivations.

    Tu peux aussi choisir d’aller voir W et de lui dire que, désormais, tu sais pour son viol, et que si elle veut en parler, pour aider à la résilience, les copines sont là pour ça. Qu’il ne faut pas rester ruminer ça, seule dans son coin. J’ai essayé de le faire, bien évidemment, mais pour W tout homme est un danger potentiel, donc aucun d’entre eux ne peut convenir pour aider à une telle résilience, en l’état actuel, même en déployant des montagnes d’amour. Mais entre femmes, il y a peut être moyen de se comprendre, d’avoir les mots justes, voire, hélas, de partager des expériences, et ainsi réaliser qu’on n’est pas seule.

    A toi de voir.

    Cordialement



  • HClAtom HClAtom 3 novembre 2014 17:09

    Je vous remercie pour considérer finalement qu’il y a bien sur le viol un tabou inacceptable. Nous sommes donc d’accord sur l’essentiel. Il semble donc que ce soit plutôt la forme que vous me reprochiez.

    En tout cas, si vous ne m’accordez pas de détenir la vérité ultime, ce que d’ailleurs je n’ai jamais revendiqué, sachez que je pense à l’identique en ce qui vous concerne.

    Je sais que tout cela part d’un très bon sentiment de votre part, mais le résultat objectif de votre position est que W restera murée dans son silence, à se faire un autre cancer, pendant que son violeur continuera ses violences en toute impunité.

    Si vous pensez qu’on peut résoudre le problème sans avoir l’indélicatesse d’oser en parler haut et fort, comme pour la pédophilie, alors faites-le, proposez, vous aussi un article qui nous expliquera comment faire, et notamment mieux que moi. Car ne proposer que le status quo n’est plus une solution acceptable.

    Cordialement

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv