• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

HClAtom

HClAtom

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

  • Premier article le 27/11/2013
  • Modérateur depuis le 06/09/2014
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 18 658 1529
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 0 0 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • HClAtom HClAtom 3 novembre 2014 13:28

    J’ajoute que pour W, et toutes les autres je garde une grande part de tendresse, mais aussi d’admiration, car elles parviennent malgré tout à tenir debout, dignement, même si c’est parfois au prix de cancers, d’allergies, de dépressions, ... Pour moi aucune de ces femme n’est salie, mais au contraire, elles sont grandies par leur combat silencieux.

    Ce sont leurs violeurs, qui les ont mutilées à vie, qui sont l’objet de ma colère. Leur impunité n’est plus acceptable.



  • HClAtom HClAtom 3 novembre 2014 13:09

    J’ai bien conscience de choquer la morale bien pensante, mais il faut bien un jour lancer le pavé dans la marre. Je sais que mon « tact » sera jugé à l’aune de cette morale.

    Ni W, ni les autres, ne m’ont jamais demandé de garder cela pour moi. Il faut le noter, jamais aucune. J’y vois clairement un appel au secours, auquel je réponds aujourd’hui avec mes faibles moyens.

    Si votre enfant, dans l’hypothèse où il aurait subi la pédophilie, n’est pas trop lourdement traumatisé, et réussis à vous parler grâce à votre tact, c’est très bien. Que fait-on pour tous les autres qui enfouissent ça au plus profond et ne peuvent en parler, même pas à leurs frères et sœurs, même pas à leurs parents ? C’est le cas de W, et de beaucoup trop d’autres, en ce qui concerne le viol. On les ignore, on ne fait rien pour elles, on les passe sous silence ?

    Cordialement



  • HClAtom HClAtom 3 novembre 2014 12:30

    Donc si votre enfant, par exemple, me révèle un acte de pédophilie qu’il aurait subi, je devrais faire silence, et ne pas vous en parler. Il faudrait que j’attende que la victime le fasse d’elle même, c’est à dire espérer qu’elle sorte un jour de son traumatisme pour parvenir enfin à en parler. Les problèmes de la pédophilie et du viol sont similaires.

    Comme je l’explique dans mon article, je ne peux vous accompagner dans cette voie là.

    La victime, traumatisée, persuadée qu’elle est socialement sale, confrontée à une société qui le pense aussi, et le montre par son silence complice, va se renfermer sur elle même et enfouir au plus profond de son âme une douleur inexpugnable, qui peut finir en cancer ou en suicide. Et vous voudriez que ce soit cette victime, dans cet état là, qui parle ? Vous mésestimez la puissance du traumatisme.

    Cordialement



  • HClAtom HClAtom 27 octobre 2014 20:24

    Vous avez raison.

    Et vous dites bien qu’il s’agit d’un problème de société. Or, quel est le but de notre société, à part atteindre le paradis sur Terre ? Un monde où les machines travaillent pour l’homme. Un monde finalement assez similaire à l’empire romain, où les citoyens romains ne travaillaient pas, mais les esclaves le faisaient à leur place. Le paradis c’est l’empire romain, vu du côté citoyen de Rome, pas pour le reste, bien sûr, mais en remplaçant les esclaves par des machines.

    A mon avis, tout se joue sur le prix des machines.

    Si je suis entrepreneur, et que je peux acheter une machine qui me permettra de licencier x personnes, cela est aujourd’hui possible, et très rentable. Mais cela pose un gros problème : la machine a été créée grâce à l’impôt public, grâce au travail d’une société entière depuis 100 000 ans. Pour inventer la machine il a d’abord fallu maîtriser le feu, inventer l’école, puis l’université, mais aussi les routes, les pompiers, les hôpitaux, qui bénéficient aux ingénieurs qui inventent la machine, et aussi à leurs enfants. Il n’y aurait pas de machine inventée sans le travail préalable d’une société entière. C’est un fait.

    Alors il suffirait d’imposer à chaque machine une taxe sociale. Cette taxe serait une juste rétribution en retour de l’investissement de la société pour parvenir à la produire. Pour l’instant le prix d’achat est sous évalué. Il ne tient pas compte de tous les investissements nécessaires à créer la machine.

    Puisqu’il faut être comptable de nos jours, alors comptons, et observons que les robots qui propulsent les humains dans la misère ne sont pas payés le prix qu’ils ont coûté en recherche et développement à la société entière, car la société investit depuis au moins 100 000 ans, et il serait temps de la rembourser.



  • HClAtom HClAtom 27 octobre 2014 19:59

    Franchement, en appeler à Schumpeter, c’est à dire à la destruction créatrice, de nos jours, ce n’est pas sérieux.

    Aujourd’hui il s’agit de rachat des innovateurs par ceux qui n’ont pas d’imagination, mais plein d’argent, pour tuer l’innovation qui les gène. Il s’agit de ne réserver l’innovation qu’aux seuls « élus » qui en auront le droit, notamment grâce au crédit impôt recherche dispensé principalement aux plus riches entreprises. Il s’agit par exemple de tuer les innovations énergétique (gaz déchets bio, habitat producteur d’énergie, recyclages, solaire, ...) pour garantir la rente de situation des pétroliers.
    Et caetera.

    Il faut être profondément naïf pour tenir le discours que vous tenez, ou drogué. Plus aucun économiste n’oserait emprunter votre chemin. Réveillez vous : entre la théorie de Schumpeter et ce qu’est devenu le monde, il ne reste plus que vous pour être hypnotisé par des concepts utopique d’un siècle dans lequel nous ne sommes plus depuis longtemps.

    Vous devriez arrêter de vous droguer, car le résultat est lamentable.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv