C’est marrant ces propriétaires (soi-disant « petits ») qui veulent spéculer sur la pierre, et qui se plantent.
C’est ça le vrai libéralisme, la fameuse « main invisible » qui régule.
On fustige les conséquences dont on chérit les causes, c’est toujours la même histoire.
Les propriétaires veulent être rentier point barre, il n’y a rien d’honorable dans le fait d’être propriétaire.
Trouver la perle rare, du pauvre gars, ne représente en rien la grande majorité des propriétaires à l’appétit vorace, et à la morale plus que douteuse.
De toute façon, la seule mesure efficace, serait que l’état construise des logements MASSIVEMENT. Là, le prix s’effondrerait vraiment.
Je ne suis pas pour que les « petits propriétaires » souffrent, entendons-nous bien.
Cependant, entre deux maux et lorsqu’on décide d’arbitrer, je choisirai toujours celui qui impacte le nombre d’individus le plus élevés.
Ne me dites pas que la masse énorme de locataires en souffrance contient massivement de mauvaises personnes indélicates ?
Le fait qu’une femme puisse avorter, ne doit pas être remis en question.
Jamais.
J’image mal la moitié de la population, les femmes, accepter de valider par un vote, un référendum… la fin de cette liberté indispensable.
Je suis, comme le rédacteur, surpris qu’on utilise la constitution, qui est censée entreposer les lois de base de fonctionnement de la constitution, comme le mode de scrutin par exemple.
À vrai dire, la liberté d’avorter dans la constitution ne me dérange pas plus que ça, par contre le fait que ce soit un précédent pourrait par exemple faire entrer dans la constitution qu’il ne peut y avoir d’autre choix de programmation budgétaire que celle que l’Europe définie par exemple.
De toute façon, il faut se faire à l’idée que rien n’est écrit dans le marbre et une sixième république remettrait les compteurs à zéro.
C’est exactement ça, le capitalisme détruit aussi bien la nature que le lien social.
Séparer les deux comme le revendiquent les pseudos écolos de droite, ce n’est rien y comprendre au lien quasi charnel qui existe entre destruction du tissu social et de la nature.
Que la croupe était belle, mais que la soupe était bonne.
Ventre vide n’a pas de tête, et une bite a vite fait de se transformer en saucisse.
Freud avait tort : penser que tout ce qui dans la tête provient de ce qui est dans le slip, n’était que dans celles des gens bien nourris qui le consultait.